La belle saison 4/8

- Par l'auteur HDS Poesexe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La belle saison 4/8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La belle saison 4/8
Suite de ma saison d’été. Me voici de nouveau à la gare, pour accueillir ma chérie qui vient me rendre visite. Un soleil de plomb inonde déjà les montagnes environnantes, en ce début de matinée. Le train entre en gare presque à l’heure. Quelques passagers en descendent. La plupart continuent vers la destination finale Font Romeu. Sandra saute sur le quai, pimpante dans un jean jaune paille et un chemisier parme. Elle se retourne et sourit à un homme, qui descend après elle et l’accompagne le long du quai, en trainant une lourde valise. Qui est ce type ? Voilà qui commence bien. Quand elle s’approche, je distingue clairement ses petits seins pointus au travers du chemisier carrément transparent, ce qui n’a pas échappé non plus à son compagnon de voyage.
Elle me fait un petit signe et vient se blottir dans mes bras, avant de se retourner.
« Merci Monsieur, c’était très aimable à vous. Mon fiancé va se charger de la valise. » Le type me dévisage, l’air dépité, et je fais de même, sans sourire.
Je récupère la valise, et il s’éloigne en bredouillant un « bon séjour », qu’il ne pense surement pas.
Sandra, se jette à mon cou, et sa langue s’insinue, tel un serpent agile, dans ma bouche en un baiser, court, mais intense.
« Je suis contente de te voir ! » me dit elle « Et toi ? »« Je suis content aussi, mais j’étais étonné de te voir débarquer avec un type.
« Oh ! tu exagères. Je n’ai pas débarqué avec un type. Figure toi qu’il n’a pas arrêté de me mater pendant tout le trajet depuis Perpignan. »« On ne peut pas l’en blâmer » dis-je en jetant un regard appuyé sur sa poitrine largement exposée. « Ta tenue n’est pas des plus discrètes. »« Tu trouves que c’est trop transparent ? » demande t’elle inocemment.
« Pas pour moi mais… »« En tout cas, c’est léger, et vu la chaleur, assez agréable à porter. Donc comme je te disais, le type me matait. Je me suis dit que je pouvais en tirer parti. Comme il cherchait à engager la conversation, j’ai répondu et appris qu’il descendait au même stop que moi. A l’arrivée, je me suis levée pour attraper ma valise, mais c’était un peu haut pour moi. »Ce faisant elle mime le geste en levant les bras au dessus de sa tête, faisant saillir ses tétons qui semblent vouloir transpercer le tissu.
« Et il t’a proposé de t’aider. »« Exactement. »« Et tu ne lui a pas dit que tu venais me rejoindre. »« Ben non, sinon, il ne m’aurait pas aidé. »« Evidemment. »Nous prenons place dans ma voiture, et nous voilà partis pour la station. J’explique à Sandra que j’ai juste le temps de l’installer dans mon appartement, car je dois aller travailler. Je lui ai prévu de quoi déjeuner, et lui indique qu’elle peut de ballader dans le coin jusqu’à mon retour vers 14h30. Elle me dit de ne pas m’inquiéter, et qu’elle va en profiter pour bronzer sur la terrasse et bouquiner.
Vers 11h, elle passe au restaurant pour me dire qu’elle a rencontré une jeune femme Kiné, et qu’elle vont faire la dinette ensemble.
Sans surprise je ne la trouve pas à mon appartement, en début d’après-midi.
Elle arrive une demi heure après-moi, un paréo noué autour de la poitrine. Elle ne me laisse pas le temps de parler, et se jette sur moi. Ses mains se faufilent partout et ont tôt fait de me dévétir. Mon dernier vêtement arraché, alors que je suis allongé sur le lit, elle se redresse, et dénoue son paréo, apparaissant en slip de bain minimaliste juchée sur d’immenses talons. Elle tire sur les lacets qui maintiennent sa culotte pour les dénouer et le tissu tombe à terre dévoilant sa chatte entièrement rasée, luisante de désir. Puis elle vient m’enjamber et saisissant ma verge, la plante dans sa vulve dans laquelle je m’enfonce avec délectation. Assise sur moi, elle monte et descend en rythme avec des soupirs d’aise, tandis que je lui malaxe les seins dont les pointes sont maintenant dures grosses comme des framboises. Elle se penche en arrière et vient saisir mes couilles, en les pressant légèrement. Elle halète au dessus de moi, et je sens que, de mon côté, je ne vais pas pouvoir me contenir très longtemps. Sentant mon sexe grossir, elle commence un mouvement de bascule d’avant en arrière, son ventre venant de frotter au mien à chaque mouvement vers l’arrière, et me projetant profondément en elle vers l’avant.
Elle balbutie des mots inintelligibles, les yeux fermés, les bras posés sur ma poitrine alors que son bassin est pris d’une dans de saint-Guy incontrôlée. Tout à coup elle s’arrête, et replie ses jambes sous elle. S’aidant de ses cuisses, elle commence un mouvement vertical de plus en plus rapide, à la limite de m’expulser, puis venant claquer furieusement contre mon ventre en s’empalant brusquement. Ce dernier sprint, sensuel, fait monter d’un cran la tension. Je sens la chaleur qui part de mes testicules et remonte le long de ma queue, jusqu’à une sensation de brûlure qui s’intensifie lors de l’explosion finale. Les cris de Sandra accompagnent cette cavalcade, et nous jouissons tous deux dans un râle d’extase, avant de nous effondrer, repus, fourbus, mais heureux.
« J’en avais besoin » me dit elle simplement.
« Moi aussi, mais quelle fougue ! »« C’est la séance de bronzage. »« Je ne savais pas que le soleil te faisait cet effet. »« Tu sais que je t’ai dit que j’ai rencontré une Kiné ? »« Oui, et alors ? »« Alors déjà, tu la connais. »« C’est possible, j’ai croisé, plus ou moins tous les kinés de la station »« Mais elle te connaît. Elle s’appelle Joelle. »« Ah oui, je vois ! »« Tu l’as sautée ? »« Mais non ! pourquoi veux tu ? »« Parce que c’est une drôle de coquine. Nous avons commencé par une petite dinette : melon, avocat salade, et fruits. Après le café elle m’a proposé de rester avec elle puisque tu n’étais pas là. Nous nous sommes donc étendues sur les transats. Elle a commencé à se deshabiller et s’est retrouvée en culotte. Ne voulant pas paraître nunuche, j’ai oté mon soutif, et n’ai gardé que mon bas de maillot. Elle a enlevé sa culotte en me déclarant qu’lle bronzait nue, car il n’y avait pas de vis-à vis. Elle s’est allongée et m’a demandé de lui passer de l’huile solaire, ce que j’ai fait, d’abord sur son dos ses fesses et ses jambes. J’ai remarqué qu’elle n’avait aucune marque de maillot, ce qui montre qu’elle pratique souvent l’intégral. Ensuite, elle m’a dit de m’allonger et qu’elle allait m’enduire, à son tour. Elle a commencé à me masser le dos , puis les jambes, en remontant. Arrivée à mon fessier, elle a défait les ficelles de mon maillot, en disant que je n’en avais pas besoin, et me l’a enlevé. Puis elle enduit mes fesses d’huile, massant vers l’intérieur des jambes. Elle m’a écarté les jambes et a massé l’intérieur, remontant sur ma chatte et le sillon fessier qu’elle a parcouru plusieurs fois, écartant mes fesses de plus en plus.
« Tu en as un beau cul » m’a t’elle murmuré « Il doit bien s’éclater ton homme. »J’étais pétrifiée. A la fois, j’étais un peu choquée par son audace, et en même temps je n’arrivais pas à me révolter contre ses mains si douces qui me faisaient du bien et m’excitaient. Ses doigts ont écarté mes lèvres, et ont caressé longuement mon clito avant de s’enfoncer en moi, avant de ressortir et de venir titiller mon anus. Sous cette caresse je l’ai senti s’ouvrir et quand elle m’a planté son majeur dans mon cul, je n’ai pas résisté. Elle l’a retiré et sa bouche est venue remplacer ses doigts, m’arrachant des soupirs incontrôlés. Enfin j’ai échappé à cette emprise en me tournant sur le dos. J’ai raflé le flacon de crème solaire et je lui ai dit que je pouvais faire le devant, moi-même. A plat ventre, les yeux mi-clos, elle me regardait faire. Quand j’ai eu terminé, elle m’a repris la lotion et a commencer à se tartiner, le devant, insistant longuement sur les seins, dont elle pinçait les pointes, au passage, Je commençais à somnoler quand sa main est venue chercher la mienne et l’a posée sur son sexe. Que faire ? Je savais ce qu’elle attendait, alors, j’ai fait comme pour moi et je l’ai caressée. Elle semblait apprécier le traitement, et se cambrait sous mes doigts, s’agitant de plus en plus jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme, bref. Elle s’est ensuite endormie.
Une heure plus tard, je me suis rhabillée pour te rejoindre. Elle m’a dit : reviens quand tu veux, c’était bon. Pour moi c’était excitant aussi, mais j’avais besoin d’un vrai mec. »« Eh bien ! tu me demandes si je l’ai sautée mais c’est plutôt l’inverse ! »« Je ne crois pas qu’elle soit vraiment lesbienne. Peut-être bi. En tout cas, vu comment ça s’est passé avec moi, qu’elle ne connaissait pas, je me dis qu’elle doit sauter sur tout ce qui bouge. »« Pas sur tout ce qui bouge, mais j’ai un copain qui la fréquente un peu. » dis-je en pensant à Christophe..
Le soir, après le service, nous partons sur Argelès. Sandra m’attendait, vétue d’une robe d’été, à bretelles boutonnée sur le devant. Une fois arrivés nous déambulons dans les ruelles noires de monde, à la recherche d’un restaurant, pas trop bondé. Alors que nous lisons la carte d’un restaurant italien, j’avise qu’il y a aussi des tables au premier étage, et à une de ces tables, Christophe, avec, en face de lui Marie-Pierre. Vu le caractère qu’elle a , je lui souhaite bien du plaisir !.
Après une salade composée, et une glace, nous entrons dans une des discothèques , et sommes aussitôt submergés par une vague de chaleur et de son tonitruant aux basses vibrantes. Les tubes les plus récents s’enchainent. Pas moyen de trouver une place assise. Nous nous lançons donc sur la piste de danse. Sandra se remue et tourne en cadence. Sa robe qui virevolte, laisse entrevoir dans la pénombre, ses jolies fesses, et son intimité. Un coup d’œil autour de moi me suffit pour constater que je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué. Plusieurs mâles, se sont approchés d’elle et l’encadrent de près. Sandra se faufile entre deux d’entre eux et vient se pendre à mon cou en riant, ce qui semble décourager les prétendants.
« Ils sont un peu collants. » me dit elle.
« Il faut dire que tu leur dévoile tes fesses. Ils ont sans doute pris ça pour une invitation. »« Oh non ! je n’ai rien mis dessous pour que tu voies bien que je n’ai aucune marque de bronzage. »« J’ai vu…ou plutôt, tout le monde a vu ! »« De toute façon, il n’y a même pas un endroit pour se poser ici. Allons ailleurs. »Nous quittons les lieux sous les regards dépités des garçons et haineux des filles.
Un peu plus loin, au bout de la promenade, nous trouvons un endroit moins bondé, où nous nous installons. Nous dansons, au rythme des tubes de l’été, et nous relaxons dans des fauteuils profonds, en savourant des Mojitos bien frais.
Vers les 4h du matin, nous regagnons notre voiture, car nous avons encore une heure de route. Nous passons par le front de mer, quasi désert à cette heure. S’arrêtant sous un réverbère, Sandra, déboutonne sa robe, et en écarte les pans, dévoilant sa nudité.
« Alors, que penses tu de mon bronzage ? »Sa peau uniformément dorée, ses petits seins pointus, et sa minette imberbe, me font craquer. D’un bond, je saute le muret qui nous sépare de la plage, et lui tends les mains. Elle se laisse guider, et vient s’asseoir au bord du mur, jambes pendantes vers moi. Je les écarte sans ménagement, et viens embrasser sa vulve découverte. Sa main appuie sur ma tête m’encourageant et ma langue vient chercher son clito pour le titiller. Elle se penche en arrière, soulevant le bassin pour me laisser un accès plus complet. Ma langue ne suffit bientôt plus et mes doigts viennent remplir sa cavité, s’agitant spasmodiquement et provoquant des soupirs de bien-être. Tout en continuant de lécher son clito, ma main gauche remonte et vient pincer un sein au téton érigéLa belle, abandonnée, dénudée garde le sens des réalités et me signakle qu’elle voit des gens s’approcher. Sans attendre, je la fais descendre de mon côté, et finis de lui oter sa robe, sur laquelle je l’allonge avant de me jeter sur elle et de l’embrocher. Ses jambes remontent et viennent se verrouiller autour de mes reins. Je la pistonne vivement et elle semble apprécier le traitement, mais nous sommes interrompus par des voix qui se rapprochent.
Nous nous figeons un instant. Je reprends mon mouvement, lent et long, m’appliquant à entrer et sortir en elle de toute ma longueur, sans faire de bruit, tandis, qu’au dessus de nous, nous entendons la discussion diffuse d’un groupe qui passe, sans se douter qu’un couple est en train de s’envoyer en l’air, à moins d’un mêtre d’eux.
Les bruits de voix décroissent et finissent par s’estomper dans la nuit. Sandra se dégage et se positionne à quatre pattes, m’enjoignant ainsi de la posséder. Je m’enfonce en elle, et commence à la pistonner, me servant de ses hanches pour donner la cadence à mon bassin.
Sandra commence à gémir de plus en plus fort, projetant son cul contre mon bassin, ses fesses claquant sur mon ventre. Je sens mon sexe grossir en elle et son plaisir dégouliner de sa fente.
« Oh oui, vas y, n’arrêtes pas, encore, encore, plus fort ! vas y ! y y y ! »Elle pousse un long cri de jouissance et s’immobilise, laissant retomber la tension sexuelle qui l’animait. Après quelques instants elle se retourne et me prends dans sa bouche pour une pipe magistrale à laquelle je ne résiste pas très longtemps. Elle s’accroche à mes fesses et je déverse dans sa bouche de longues giclées. Elle s’étouffe presque mais réussit à me garder en elle. Elle recrache le sperme dans le sable et me reprend en bouche jusqu’à ce que toute trace d’érection ait disparu, puis elle remonte mon boxer, cachant l’objet du délit. Je rajuste mon jean, pendant qu’elle se relève et secoue vigoureusement sa robe avant de la renfiler, se contentant de trois ou quatres boutons, ce qui dévoile assez largement sa poitrine et ses jambes, quasiment jusqu’à l’aine.
« Ma robe est pleine de sable maintenant . » puis se tournant vers moi « Mais ça valait le coup. »Une fois sur la route, elle se met en tête de secouer sa robe à la portière, pour enlever le sable, mais le vent lui arrache des mains, et je dois m’arrêter pour qu’elle puisse la récupérer. Heureusement, la route était déserte. Nous regagnons la station, et je prie pour qu’aucune patrouille de gendarmerie ne m’arrête, avec une fille nue comme un ver, sur le siège passager.

Le lendemain, nous avons décidé d’aller nous baigner. J’emmène Sandra, au bord d’un lac de montagne. Je ne pensais pas y trouver autant de monde, mais la plage est bondée quand nous arrivons en début d’après-midi. Nous devons longer la rive, à pied, pour trouver un espace moins encombré. Inutile, cependant d’espérer trouver une anse déserte. Nous dégottons une petite crique pas trop peuplée, et décidons de nous y arrêter. Une fois nos serviettes étendues sur le sol, Sandra défait le nœud qui maintient son paréo, et apparaît dans un deux pièces mini, tenu par quelques cordons noués. Nous courrons nous rafraichir à l’eau du lac. Enfin, quand je dis nous courrons, c’est surtout moi, car Sandra, un peu surprise par la fraicheur de ce lac d’altitude, avance à petits pas, ponctués d’exclamations, et n’a pas dépassé le stade des chevilles dans l’eau. Je dois revenir en arrière et l’arroser copieusement pour qu’elle se décide à se jeter à l’eau. Elle vient rapidement se blottir contre moi.
« Salaud, tu m’as arrosé, et je suis frigorifiée ! »Elle se frotte contre moi, et je sens les pointes de ses tétons durcies par le froid qui viennent agacer ma peau. Nous remontons bien vite nous allonger sur nos draps de bain, et laissons le soleil nous sécher. Sandra, à plat ventre, dénoue son soutif et me demande de lui passer un peu de baume protecteur. Je lui tartine le dos, et elle ronronne sous mon massage. Puis, j’enduis ses jambes en partant des pieds et en montant jusqu’à ses cuisses qu’elle écarte complaisamment, laissant mes doigts s’immiscer, jusqu’à frotter sur le fond de son maillot.
« Malheureusement pour toi, il y a trop de monde pour que je l’enlève » me glisse t’elle.
« Allez !, je vais te tartiner, moi aussi. » complète t’elle.
Elle se redresse et se met à genoux à mes côtés, sa poitrine dévoilée à tous sur la plage.
Elle me passe de la lotion et je m’obstine à rester sur le ventre pour ne pas dévoiler l’érection naissante qui déforme mon slip de bain. Ensuite, sans se soucier des regards de nos voisins, elle s’enduit le devant, massant langoureusement ses seins, et finissant par l’intérieur des cuisses, jambes largement écartées, provoquant une attention particulière de la gent masculine présente, avant de se rallonger, sans s’en rendre compte.
Nous passons une après-midi agréable, en alternant, bronzette et baignades. Les ombres s’allongent, le soleil descend, et les vacanciers désertent peu à peu les lieux. L’ai commence à fraichir quand nous allons nager une ultime fois. Sandra, vient se serrer contre moi et me prend par la taille.
« J’ai une surprise pour toi » dit elle en me montrant son bas de maillot qu’elle a dénoué.
Puis elle descend prestement mon maillot avant de s’accrocher à mon cou et de venir nouer ses jambes autour de moi. Elle se frotte contre moi, et se soulevant, vient s’empaler sur mon sexe qui s’est mis au garde-à vous . Nous restons quelques instants, aisi emboités. Je surveille la plage, mais il ne reste que deux couples, qui ne font pas mine de vouloir nous rejoindre dans l’eau. Pris par l’érotisme de la situation, je commence à la faire monter et descendre sur ma queue, créant un léger clapotis autour de nous. Notre rythme n’est pas rapide, et les reflets du soleil couchant doivent masquer nos corps, , mais un observateur ne pourrait ignorer ce que nous sommes en train de faire. Profitant de la faible pesanteur, je remonte Sandra, et fais sortir ma queues avant de la reprendre longuement, m’enfonçant dans sa gaine étroite et chaude qui contraste avec le froid de l’eau.
« Continue doucement mon amour. Je vais bien jouir » me murmure t’elleElle accélère ensuite son mouvement et pousse de petits gémissement qui se terminent par un petit cri, coincidant avec mon plaisir quand je lâche prise, et gicle en elle en soupirant.
Mutine elle s’éloigne dans une éclaboussure et nage quelques minutes avant de partir vers la rive. Elle émerge de l’eau, et je réalise en voyant ses fesses émerger qu’elle n’a pas remis sa culotte. Un seul des couples présent se trouve face à elle, mais ils ne la lachent pas du regard. Elle remonte en courant jusqu’aux serviettes et s’essuie consciencieusement. Elle ote son soutien gorge, et apparaît entièrement nue pour une seconde, avant de nouer son paréo autour d’elle et de faire disparaître tous ses trésors.
Je la rejoins quelques instants plus tard, décemment vétu, et après avoir ramassé nos affaire, nous quittons les lieux en saluant les derniers baigneurs présents qui nous gratifient de sourires complices.
Après nous être arrêtés en cours de route pour nous restaurer, nous regagnons la station. Alors que nous quittons, à pied le parking pour rejoindre mon appartement, j’aperçois, sur un balcon, en contrebas, une paire de botte que je connais bien.
« Attends, » dis-je à Sandra « on va passer ailleurs »Au lieu de traverser directement les espaces verts, je contourne par la droite pour emprunter un sentier à flanc de coteau qui se trouve, en face des loggias du premier étage. Pour éviter le vis à vis des troënes ont été plantés au bord du chemin. Sandra me tient par la main, et je lui demande de ne pas faire de bruit. Nous sommes bientôt face au balcon où j’ai vu les bottes. Un coup d’œil, entre les branches me confirme ce que je pensais. C’est bien l’appartement de Marie-Pierre, et ce sont bien les bottes de Christophe. La lumière est éteinte, mais un réverbére proche éclaire une scène que j’aurais cru impossible il y a quelques jours. Assise sur le lit, Marie-Pierre, nue est en train de sucer le chibre de Christophe qui lui maintient la tête pour ne pas qu’elle s’interrompe. Elle engloutit le sexe imposant arrivant presque à engouler la totalité de la longueur. D’une main elle lui masse les couilles, alors qu’il lui triture ses seins un peu tombants. Elle le pompe avec vigueur, mais il a autre chose en tête, et il la retourne pour la positionner à quatre pattes avant de venir planter sa queue dans sa chatte poilue. Elle ahanne un peu et se calque peu a peu sur son rythme, accompagnant ses mouvements, lançant son cul en arrière pour qu’il la pénêtre plus profondément« Whahh qu’est-ce qu’il lui met » murmure Sandra à mon oreille. « Bien monté le copain ! »« Chut ! »Tout en regardant je soulève la robe de Sandra, et vient caresser son entrejambe. Sans quitter le spectacle des yeux, elle passe ses mains sous sa robe et fait glisser sa culotte sur ses chevilles avant de s’en débarrasser. Ma main trouve sa chatte inondée et mes doigts viennent danser la sarabande dans sa vulve offerte, tandis que mon pote pistonne allègrement Marie-Pierre, plus du tout réticente.
« ahh, oui c’est bon, je viens ! » clame celle-ci en se cambrant.
Christophe, est abuté en elle. Il s’extrait et vient présenter son dard contre l’autre orifice.
« Eh, non ! pas par derrière, je ne … »Trop tard. D’une poussée rectiligne, il introduit son gland dans le fondement de la fille.
« Aie, aie ! ça fait mal ! »Sans tenir compte de ses protestations, Christophe continue de l’investir. Les trait crispés, elle hurle de douleur en se tortillant pour lui échapper, mais rien n’y fait. Bien accroché à ses hanches, il la pistonne durement. Elle a enfoui sa tête dans l’oreiller et on entend plus que des gémissements à chaque assaut sur son cul levé vers lui.
Pour être dans le ton, j’ai gardé deux doigts dans la chatte de Sandra, et un s’est introduit dans son anus. Je la fiste doucement, sans effort car elle m’aide en basculant son bassin d’avant en arrière. Elle a lancé son bras et a sorti mon sexe de mon short, le masturbant avec entrain.
En face de nous les choses évoluent peu à peu. Les cris et plaintes de Marie-Pierre se transforment peu à peu en Gémissements de plaisir. Elle pousse maintenant sur ses bras pour venir à la rencontre du mandrin qui lui perfore les intestins. Christophe, qui a perçu le changement y va maintenant sans retenue, et vient percuter son fessier, de son bassin, à chaque bordée.
Sandra se déplace pour se glisser devant moi, et monte sur le muret, au bord du chemin. Elle est juste à la bonne hauteur, et je n’ai qu’à soulever le tissu de sa robe pour avoir accès à son cul. Elle se penche en avant et se cambre. Elle me saisit entre ses jambes et vient enfoncer ma queue dans sa chatte détrempée. Par dessus son épaule, j’aperçois, face à nous Marie-Pierre entrain de se faire sodomiser en haletant de plaisir. Je coulisse dans la matrice de Sandra qui a pris sa robe entre ses dents pour étouffer ses râles de plaisir.
Marie-Pierre ne peut se contenir et exprime son plaisir« Hu-hu-hu-hu ! Ah oui. AH c’est trop fort ! ah ! ah, ah,ah… » hoquète t’elle, Christophe sort et asperge son dos de longs jets de sperme. Puis, la faisant pivoter, il lui plante son sexe dans la bouche. Vaincue elle le pompe un momentSandra est agitée de spasmes, et je jouis en elle.
A t’elle secoué les branches des troenes ? Avons nous été trop bruyants ?
Marie-Pierre stoppe son activité et tourne la tête vers nous.
« Tu as entendu ? » demande t’elle à Christophe, en train de se rhabiller.
« Ouais, ça c’est sur, j’ai entendu. »« Mais non idiot, dehors, du bruit. »« C’est les cigales, ou un chat. »« On devrait fermer les rideaux, quelqu’un pourrait nous voir. »« Et alors, de quoi tu as peur ? »« Enfin, tu me fais faire des choses… des choses qui, ma réputation… »« Tu ne veux pas que les gens sachent que tu es une grosse cochonne, en fait ! »« Je ne suis pas une cochonne, comme tu dis, et si tu ne m’avais pas forcée… »« Allons, allons, tu as pris ton pied comme jamais, hypocrite » dit il en lui appliquant une claque sonore sur les fesses« Oh, quel mufle ! » dit elle en se levant pour tirer les rideauxJ’ai remis mon short et Sandra a laissé retomber sa robe. Nous nous éloignons, repus sur le chemin. A quelques mêtres nous croisons un couple« Bonsoir, il fait chaud ce soir. »« Oh oui, il fait chaud. Bonne soirée. »Un peu plus loin« Tu crois qu’ils étaient là ? » me demande Sandra« Comment savoir ? »« Si ils étaient un peu plus haut sur le chemin, ils ont dû avoir un double spectacle » me dit elle.
« Nous ne serions pas les seuls voyeurs de la station ? En tout cas s’ils étaient là, ils se sont montrés discrets. » conclu-je.

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