COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Soumise (5/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Soumise (5/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Soumise (5/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse. Elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.

• Je suis ton Maître Anne.
• Oui, Maître Christian.

C’est par ces phrases que chaque fois nous quitterons nos costumes de gens du monde pour entrer dans celui de la soumission ou autres dominations nous nous parlerons.
Je me donnerai pieds et poings liés à Christian, mais toujours, pour le moment, devant Renaud mon mari.
Renaud est plus vieux que moi et à la suite de problèmes de santé, de cœur plus particulièrement, il n’arrive plus à bander.
Il semble se satisfaire de la situation alors que moi, étant plus jeune bien que dépassant la cinquantaine, j'ai encore besoin de sexe et de luxure, deux choses qui me sont encore nécessaires.
Jouir dans ma tête comme lui, très peu pour moi !
Quand Christian mon nouvel amant m'a pris sauvagement une première fois dans notre salon, j'ai retrouvé les joies d’une vraie verge en moi.
J’avais pensé qu’un gode suffirait à me satisfaire, or la scène de la piscine même si je me suis reprise, m’a montré que j’en veux bien plus.
Je vais même jusqu’à accepter des coups de ceinturon pour satisfaire mon Maître et mon candauliste de mari.

Ayant signé mon contrat me permettant de rentabiliser mon entreprise de décoration, du moins pour cette année, j’attaque les travaux de réaménagement du grand bâtiment destiné à recevoir des chambres d’ôtes et appartenant à Christian.
Laurent, mon chef de chantier à qui je semble ne pas déplaire depuis des mois, se met au travail avec son équipe.

Il est vrai qu'il fait très mûr, il doit approcher la soixantaine mais semble musclé et viril.
Il commence par faire casser les murs de la première chambre, je le croise deux fois, il est ponctuel, il respecte sa parole.
Je retourne à Mâcon, je dois commander tenture, rideau et autres décorations.
Pour le reste, le gros œuvre, plâtre, peinture, ciment, c’est à mon chef de chantier qui s’en occupe.
J’ai seulement de sa part le prix qu’il va me facturer, sa prestation, les heures de travail de son équipe et le coût des matières premières, il m’a appris les volumes nécessaires pour mes devis.
Le vendredi soir, alors qu'ils viennent de partir, arrive Renaud, mon mari, en tenue sport.
Il y a longtemps que je ne l’ai pas vu si élégant. Christian l'accueille.

• Viens, je vais te faire le tour du propriétaire, tu nous excuseras, pour les travaux.
• Ce n’est pas ta soumise qui les dirige ?
Non, ta femme, la soumise c’est maintenant que tu as croisé ses ouvriers qui partaient.
Une partie de l'équipe travaillera demain.

Christian lui fait voir les cuisines, la salle où les clients mangeront tous ensemble comme ça se fait dans les gites, le salon bibliothèque.
Renaud s’intéresse aux livres, je le vois regarder ceux vers le haut.
Qu’a-t-il remarqué ?
Je me fais petite souris.
Je suis encore toute troublée, à peine remise de la séance de flagellation avec la ceinture.
Lorsque je passe ma main sur mes seins, la peau très sensible me fait encore mal.
Il en est de même sur mon fessier.
Christian que je n’ai pas vu de la journée est en survêtement, donc absence de ceinture, il a dû aller courir dans ses vignes.

• Ici, c’est l’entrée de la cave, attend j’ouvre.

La maison recèle des touches de modernismes, j’ai déjà parlé du système d’ouverture du portail par l’I-Phone, grâce à une application.
Il tapote, on entend le déclenchement d’une porte, il nous fait entrer.

• Nous sommes à l’entrée d’une cave à vin, ma cave à vin.
Je ne fais que continuer le travail de mon grand-père, relayé par mon père avant sa disparition.

Je suis nulle sur le vin, mais je remarque que tout est placé dans des alvéoles : Un coin est marqué « Bordeaux », un autre « Alsace », un troisième « Monde » et une grande partie de l’ensemble où plus de 1 000 bouteilles sont rangées est étiquetée « Bourgogne ».

• Tout est informatisé dans une application, c’est moi qui me charge de ce travail.
Vous voyez les vins du « monde », chaque année je me rends à Dijon à la foire gastronomique.
Outre un repas différent chaque année le hall du palais des congrès en étant truffé, il y a un pays ôte, cette année c’était le Chili.
Il y avait un exposant de vin, j’en ai acheté 24 bouteilles.
Portugal, Californie bien sur, Espagne, Grèce, mes clients pourrons voyager simplement en commandant une bouteille de vin du pays de son choix.
Pour la cuisine, j’ai embauché une jeune femme du village qui préparera les repas chaque week-end dès l’arrivée des clients.
Pour le premier week-end, chaque chambre, comme je vous l’ai dit, est réservée par des habitués de ma grand-mère.
Exemple, le couple d'Hollandais chez qui mes parents se rendaient quand ils ont eu leur accident sera parmi nous.

J'écoute la conversation.
Je pourrais faire un inventaire plus complet des divers vins, mais pour moi la seule différence c’est dans mon verre, je vois s'il est rouge ou s'il est blanc !
Il est vrai que pour nous embrouiller un peu plus, nous les femmes, ils font des vins dits Crémant, un genre de champagne, il y en a même du rosé plus sucré.
Je pense que les puristes contestent ce que je dis, mais je suis ignare sur les vins.
Dans un pays de producteurs de ce produit, c'est un comble !

Au moment de sortir, je regarde la tenture représentant une scène de chasse, magnifique car certainement très anciennes, voir d’origines.
Nous sortons, je frissonne, la cave était fraîche, à température constante, c’est l’avantage des caves en pierres en forme de voûte.

• Dis-moi Christian, que se trouve-t-il derrière cette autre porte avec le même système d’ouverture ?
• Permet que je ne vous montre pas tous mes secrets.
Je vous les dévoilerais ce soir à la veillée.
Je veux vous compter l’histoire de ma famille et surtout de mes grands-parents mais ceci après avoir mangé les plats préparés par une amie qui habite dans un village que vous avez traversé en venant de Mâcon.
Elle y a installé un laboratoire avec une équipe qui prépare de la cuisine bourguignonne qu'elle vend par Internet, grâce à un système de livraison pour les soirée entre amis.
Elle me livre tous les matins depuis que je suis revenu m’installer ici, après la mort de ma grand-mère.
Elle-même avait une bonne s’appelant Berthe presque aussi vieille qu’elle.
Je lui ai donné ses droits à la retraite, lui offrant par là-même une petite maison dans ce même village.
Elle pourra encore m’être utile si certains soirs, j’ai besoin d’extra discrets, vivre ce que sa patronne vivait, sans jamais ne rien dire au village, c’est une perle.
Inutile que l'on sache dans la région que j'accueille des libertins durant les week-ends.
Dommage qu’elle soit si vieille, il faut que je trouve une femme de service pour nettoyer le gîte et servir les repas, j’ignore encore ce que je vais faire, dans les jours prochains j’appèlerais Pôle emploi.

Nous rentrons, il faut dire que ce soir, impossible de nous servir de la piscine, l’été n’est pas là et le temps c’est couvert, alors que l’on nous promettait du beau temps.

• Anne sert tes Maîtres, tu trouveras un repas froid dans les frigos.
Quand nous ouvrirons, ce sera le repas que je servirais à nos clients le vendredi soir début des séjours, vous allez être les testeurs.
Avant que tu n'arrives, Renaud, j’ai monté deux bouteilles de la cave, un blanc qui se trouve dans la cave à vins relais dans la cuisine.
C’est un « Mâcon Roche-Vineuse » produit dans mes chais et un rouge Cote de Beaune Corton.
Bien sûr, nos clients auront la carte de notre cave, avec les tarifs.

Je me fais de nouveau petite, Mâcon Roche-Vineuse ... vont-ils penser à me précipiter de la roche ?

• Allons dans ma chambre c’est la seule qui est utilisable.
J’aime être nu chez moi le soir, j’aimerais que vous en fassiez de même, puisque nous sommes en position test.
Comme je l’ai dit, j’ouvre un gîte libertin, mes invités du premiers week-end et les clients des autres semaines seront nus pour la plupart.
C’est la première chose que nous faisons quand nous arrivons de ce genre de maison dès que nous sommes à l’abris des regards extérieurs.

Repas et vins sublimes.
J’ai beaucoup apprécié le jambon persillé de Bourgogne.
Cette restauratrice ou traiteur a de l’avenir dans son travail.
J’aime servir mon Maître et mon mari.
N'est-ce pas la base d’une femme qui aime être dominée ?
Je proposerais bien à Christian de devenir sa femme de service, mais j’ai déjà un métier très lucratif, complété par la pension de Renaud, à mon âge changer des draps et des serviettes éponge, très peu pour moi.

• Renaud, je t’ai dit que je te parlerais de ma cave en parlant de mes origines.
Je vais démarrer une flambée, j’ai fait ramoner et rentrer du bois sec, rendons-nous dans la bibliothèque.
Assieds-toi dans ce fauteuil.
Aimerais-tu un alcool et un cigare ?
• Alcool oui, cigare, je ne fume pas, j’ai assez de problèmes cardiaques, pour éviter de fumer.

Il oublie de dire qu’il fumait deux paquets par jour avant qu’il n’arrête après sa première alerte.
Malgré ça, il est devenu impuissant.

• Toi, place-toi à mes pieds, petite salope.
Je vais vous expliquer l’histoire de cette maison et j’aime avoir un repose pied devant cette belle flambée.

Me rebeller et risquer de me retrouver montant à la roche avant de faire un saut de l’ange, très peu pour moi.
Je m’agenouille, formant une boule ou il pose ses pieds sur mon dos.
J’ai honte, mais quand j’ai signé le contrat à côté de la sienne, je savais que hors travail, je lui appartiens.

• Que penses-tu de ce marc de bourgogne ?
Ce sont mes gars qui le distillent une fois par an.
Mon grand-père avait une autorisation d’être bouilleur de cru, mon père aussi. Pour moi, hélas, je suis le dernier à avoir cette autorisation, encore un droit qui nous échappe !
Je peux faire distiller à l’alambic placé dans notre village une fois par an.
Ce que je vais vous expliquer vient de grand-mère Patty qui me l’a raconté alors que nous étions assis dans ces mêmes fauteuils.
Elle avait sa chambre là ou j’ai la mienne maintenant, nous avions les chambres du haut à notre disposition quand mes parents étaient encore de ce monde.
Vous êtes bien installé, je commence, avant Renaud donne moi ton verre que je le remplisse.

Bien installé parler pour eux, comment vont-il être à la vitesse ou ils sifflent la bouteille de marc.

• Mon arrière grand-père était tâcheron sur les vignes de notre commune, il habitait dans le village en contrebas.
Mon grand-père a travaillé dur et a profité de mauvaises affaires que le gros propriétaire qui possédait ce manoir a fait.
Un jour, il a réussi à racheter toutes les dettes du gros bourgeois et de sa bourgeoise pour les faire mettre à la porte.
Pour arriver à avoir assez d’argent vu la pauvreté de notre famille, il a dû magouiller, mais sans jamais se faire prendre avant de racheter le domaine.
Un jour mon grand-père a eu un accident quand il venait d’acquérir le domaine, il était ce que l’on peut dire un eunuque.
Je m’excuse Renaud, mais c’était un précurseur de ce que nous faisons à la petite pute à mes pieds, il regardait ma grand-mère se faire sauter après avoir acquit ce manoir.
Quand au gros bourgeois et sa femme, ils sont partis, personne n’a plus entendu parler d’eux.
Il s'est dit par certains que sa femme a été vue tapiner à Lyon.
Un autre a dit la même chose, mais dans une ville d’Allemagne.
Ils auraient rejoint un officier allemand qu’ils avaient hébergé pendant la guerre.
Ce qui est certain, à la libération elle avait été tondue et personne n'a plus voulu travailler pour eux.
Cela explique en partie les problèmes de dettes qui s'en sont suivis.

J’ai un début de courbature, je bouge un peu, malgré cette gêne, j'écoute.

• Anne, ton cul, tu veux qu’il ramasse ?
Arrête de bouger, tu me déconcentres, où j’en étais ?
À oui, je parlais de ma grand-mère m’ayant avoué que mon grand-père ne l’avait pas engrossée…

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