Fred n'a qu'à se taire.

- Par l'auteur HDS Fred et Eric -
Auteur homme.
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Récit libertin : Fred n'a qu'à se taire. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Fred n'a qu'à se taire.
Bonjour les amis il m'en est arrivée une inattendue. Je faisais mes courses sur un marché de Paris, sac à provisions multicolore à la main , très sage et pas du tout en chasse quand je me suis arrêté prendre des fruits. je regardais l'éventaire quand une voix chantante m'a soufflée à l'oreille avec un charmant accent chantant: Vous avez vu la taille de leurs bananes?
Un peu surpris je regarde qui parle et je découvre une merveille de black, pas tout à fait black, genre crème avec un merveilleux sourire m'allant droit dans les yeux. Je me détourne et cherche les bananes des yeux. Là j'ai vraiment été surpris. C'étaient en effet des fruits XXL et il a ri de ma surprise. Elles viennent de chez moi j'ai repéré l'étiquette. Y pas meilleures que les bananes de chez moi. Tout est bon. Ferme et goutteuse sans déconner ce sont les meilleures. Il a rajouté un ton plus bas, je t'en ferais bien goûter une mais y a du monde.
Tu là fait goûter à tout le monde?
T'es fou mec! Juste aux gens que je connais.
Et on se connaît?
Vous êtes tous pareil les mecs dans cette ville de fou. On se croise au moins 2 fois par jours si ce n'est pas plus. J'habite au dessus de chez toi et là tu me découvres! Pas gentil ça!
Bah je dois être occupé sans doute.
Je ne sais pas mais y a des soirs tu fermerais ta fenêtre on pourrait se demander ce qui te fatigue mais hier t'as tellement gueulé et l'autre mec aussi que je comprends ta fatigue.
J'ai rougi, et pourtant il m'en faut. Le mec derrière l'étal s'impatientait et j'ai pris des bananes sans réfléchir avant de regarder et choisir d'autre choses. J'ai tendu un billet et le temps qu'il me rende la monnaie le "métis" ( je savais pas comment dire) m'a glissé à l'oreille d'aller au café à coté, il arrivait.
Je suis allé au cmptoir du bar, toutes les tables étant occupées et j'ai commandé un café. Le mec avait pîqué ma curiosité. Je l'ai vu entrer dans son jean bombé, serré sur "sa banane", et un tee shirt blanc faisant ressortir la teinte de sa peau. Il s'est approché sourire aux lèvres. Assez près pour ne pas être entendu dans le brouhaha il m'a dit: Ce que tu mates te plais petite cochonne?
D'un coup il a foutu mes défenses( si il m'en restaient) à plat. Euh oui. J'ai tant crié que ça?
Je vais pas te mimer mais c'est vachement monté dans les aigüs. C'était ton mec?
Non je vis seul le plus souvent. (merde mais je lui disais tout comme un âne)Cool non? Pas de compte à rendre à personne.
C'est vrai qu'il y a de bons cotés.
Tu as prévu de manger quoi à part la banane?
J'ai eu un sourire, peut être la tienne?
Waouh,monsieur est chaud!
Intrigué surtout, je n'ai jamais eu d'amis de couleurs et t'es beau.
C'est gentil ça. Apart ça, rien prévu encore?
Non.
Déjà mangé antillais?
Non je crois pas.
Viens, je t'emmène y en a un d'excellent à une rue d'ici.
J'allais payer mais il avait déjà mis sa monnaie sur le comptoir. Viens, il m'a ppussé de la main sur les fesses.
Dans la rue il m'a demandé mon prénom, moi c'est Jean Claude mais tout le monde dit JC.
Moi c'est Frederic mais les amis disent Fred.
Ok Fred alors. Si je répète ce que j'ai entendu tu aimes la queue des mecs?
Les belles oui, hier elle était pas mal.
Tout à l'heure je pense t'offrir mieux!
Humm pourquoi pas. On était arrivé , dès l'entrée je sentais les épices et le mec connaissais le patron. On a eu une petite table dans un coin et à peine arrivé et assis j'ai senti sa cheville entre mes jambes.
Tu sais , à chaque fois qu'on se croisait je me faisais un cinéma sur toi et là on va se faire une vraie toile. Il a passé la commande en, je suppose créole.
Bon j'ai entendu pas mal d'encore, de vient , oui vient ou encore j'aime ta queue.
Et t'as entendu ça d'en haut?
Fenêtre ouverte j'ai pas du être le seul. Sur que t'était chaud.e!
Ben ça faisait un moment alors j'en ai profité un max oui.
Les plats qu'il avait choisi étaient succulent et de plus en plus relevés. J'ai eu la bouche en feu. Heureusement pour moi il n'avait pas commandé de vin mais l'eau me chauffait encore pire la bouche. Le petit verre de rhum antillais avec un peu de sel a calmé le feu. En fait il l'a simplement déplacé, j'avais cette fois le feu aux fesses et envie de sa queue. Le retour n'a pas du être triste. Je me souviens avoir bandé presque tout le temps. Même avec mon fute ample on devait le remarquer.
Une fois à mon étage et la porte refermée derrière nous on s'est roulé une pelle d'enfer en se cherchant, moi sa queue et lui mes fesses et mes tétons. Dire que les vêtements ont volés est certain et nu j'ai bien du admettre que la couleur de sa peau allait très bien avec la belle bête que je tenais en main. ses mains, pas inactives caressaient mes fesses , les claquant un peu pour que je les desserre, j'aime ce jeu et en palpant ses couilles lourdes et sa belle bite je me suis laissé aller un peu plus. Son doigt a caressé puis titillé mon trou qui ne demandait que ça, il me poussait vers la chambre, située sous la sienne il savait ou aller et il m'a renversé sur le lit, se plaçant entre les cuisses, sexe contre sexe. Il était largement vainqueur par la taille et j'aimais pas que la taille mais la couleur de sa peauet le bout rose qui pointait ainsi que ses petits poils frisés. Il s'est levé pour fermer la fenêtre avec un sourire.
Pour commencer tu devrais faire connaissance avec ma bite de la bouche je crois que tu en a besoin. Il était à cheval sur moi, les genoux sous mes bras et il a mis un oreiller sous ma tête. Je louchais sur ce beau gland que j'ai pris en bouche avec plaisir, caressant ses fesses en même temps. Il avait le bon format pour ma bouche, j'ai pas une grande gueule mais la langue va bien et... humm ,on sentait une bonne habitude. Il ondulait dans ma bouche m'invitant à sucer ce que j'allais faire et lui , ho lui! Il passait les doigts entre mes fesses, , tournant autour du trou comme on tourne autour d'une margelle me faisant cambrer un maximum.
Jusque là j'y vais à l'instinct je t'ai pas entendu mais on va passer au moment ou je t'ai entendu. Il a enfilé une capote et a craché sur ma rondelle avant de se positionner et de s'enfoncer doucement. J'ai bien tenté de me taire mais j'ai vite oublié mes résolutions et me suis accroché aux draps.
Oui!! OUI! Vas y, creuse ton sillon, baise moi comme une chienne. Toutes les terminaisons nerveuses de mon cul réagissaient à l'intromission de son engin. Raide et épais il m'a investi totalement. Les mains sur mes reins il me bourrait le fion. j'ai du crier , mordre le drap tellemnent c'était bon et lui inlassable allait et venait dans mes reins. A un moment il m'a fait tourner et écarter les cuisses face à lui. J'ai pu lire son sourire quand il s'est à nouveau enfoncé en moi, tenant mes cuisses largement ouvertes. Je savais plus où j'étais de plaisir je me suis touché et même mou je me suis branlé et quand je l'ai vu se crisper , j' ai accéléré sur mon gland mou et baveux . Il a eu une crispation et s'est retiré pour ôter la capote et finir de jouir sur mon ventre, mêlant son jus au mien. Il s'est étendu à coté de moi un moment.
Je reprenais mes esprits et lui sans doute des forces car peu après il m'a fait mettre de coté , enfilant une autre capote et entrant cette fois plus facilement en moi m'a baisé à la paresseuse, prenant le temps de bien faire des mouvements de bassin amples où je sentais le gland aller et venir. Ce mec était fait pour l'amour et je tremblais de me sentir dans l'état où il me mettait. Il a encore changé de position croisant nos jambes il m'a pris de face la longueur de sa queue le permettant. Il me fixait du regard, attentif à mon plaisir, maître du sien. Je me sentais comme un chiffon quand il a voulu voir ma réaction et s'est retiré, ôtant la capote il s'est branlé au dessus de moi. J'ai ouvert les yeux jusqu'au moment où son jus est sorti il m'a giclé sur ma tronche de lope à belles bites.
Bon Fred , je crois que quand on se croisera tu me reconnaitras maintenant?
Tu t'en vas Jean Claude?
Hé, je bosse et là je suis déjà à la limite. Il est allé à la salle de bain, j'ai entendu l'eau couler et il est revenu s'habiller.
Je claque la porte derrière moi. Tu sais ou j'habite! Il est parti avec le sourire.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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