COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (1/2)
Vous me connaissez, je m’appelle Anne, j’ai 58 ans, je travaille à Besançon dans une entreprise de transport comme secrétaire.
Encore quelques mois et enfin la « quille » comme le dirait Chris71 dans ses récits du temps où il était dans la marine nationale.

Mon travail me passionne, mais j'ai aussi mon copain Pierre avec qui je ne vis pas, mais qui vient souvent chez moi, surtout les week-end.
Il n’est plus tout jeune, 70 ans, mais homme encore assez vert et qui sait m’apporter le plaisir chaque fois que nous faisons l’amour.

La différence entre maintenant et ma jeunesse, c'est que nous ne sommes plus des chiens fous, nous faisons l’amour en prenant notre temps.
Je serais encore assez encline à me faire prendre de façon plus hard, mais Pierre lui, a toujours un petit problème physique comme un muscle qui l’empêche de me satisfaire.
Missionnaire et levrette sont nos positions favorites.

Je le sens bien quand il me prend par mes hanches et que son sceptre, normal par rapport aux hommes que j’ai eus dans ma vie, sans avoir pour autant été une grande gourmande, entre et sort de ma chatte lisse.
Je vous rappelle que je mesure 1 mètre 64 pour 60 kg et je suis très fière de ma poitrine, assez bien proportionnée, un peu lourde peut être.
C'est dû à mon âge mais quand il malaxe mes seins et titille mes tétons, ils se dressent toujours fièrement.

Comment décrire mes "nichons" ?
Le mot qui me vient c’est « poire », oui j'ai des seins en forme de poire, c’est assez classique.
Je suis une femme très coquette.
Côté sexe, je me fais raser régulièrement suivant mon humeur, mais pour changer ma silhouette, il m’arrive de les laisser pousser en triangle peu épais.
C'est souvent en hiver que j'ai une toison.
Un triangle net que j'entretiens.
Question habillement, j’ai dit être secrétaire dans une boîte où travaillent beaucoup d’hommes et j’aime qu’ils se retournent sur mon passage.
Jupe avec divers hauts ou veste suivant les saisons me rendent féminine. J'aime aussi les robes.

Laisser voir le haut d’un de mes bas n’est pas pour me déplaire, surtout avec certains qui ont toujours un œil un peu lubrique.
J’aime quand ils jettent un œil, détournant la tête pour mieux revenir vers la source de leur fantasme !

Je connais les femmes de certains et ce sont plutôt des repousses amour qui portent d’affreux collants que j’ai abandonnés quand j’ai pris de l’âge, voulant rester légèrement plus sexy.

Rien de plus existant que des hommes qui bandent pour vous, en sachant que vous ne serez jamais à eux, surtout s’ils sont bedonnants.
Mon ami, malgré son âge, je le redis, sait me satisfaire, du moins je le croyais, jusqu’au jour où j’ai reçu un coup de téléphone.
Au début j’ai cru que c’était Thierry, mon fils, il a la mauvaise habitude de me téléphoner très tard car c'est un bourreau de travail et c’est de sa voiture, avec son kit main libre, qu’il a l'habitude de m’appeler.
Il serait faux de penser que ses appels me dérangent.
Je suis mère avant tout et j’aime que malgré sa fatigue, maman compte encore un peu pour lui.

Non, ce n'est pas lui.
Tout de suite je reconnais la voix très caractéristique "d’oiseau des îles" de ma belle-sœur, épouse de Jacques, mon frère, qui était allé en Martinique chercher l’âme sœur.
Épiphanie était une magnifique femme noire quand il l’a rencontrée.
Je m’étais étonnée, quand il était revenu d’une période de service civique dans cet île, qu’il nous parle de cette jeune femme au drôle de prénom pour un autochtone.
Il nous avait appris que par tradition on donne le nom du saint du jour de la naissance du bébé, c’était son cas.

Il est reparti la retrouver, après ses études en France. Ils se sont mariés et ont eu un fils.
Un garçon, s’appelant Noël, mon frère ayant réussi à ce qu’il échappe au nom de Toussaint, Eustache ou autre nom dur à porter.
Ça a été facile, il est né à minuit quinze le 25 décembre !
Jacques est proviseur au collège du village de Sainte-Luce, après avoir été en fonction à Pointe à Pitre.
Je pose le combiné sur le plan de travail de ma cuisine.
Avec Épiphanie, quand elle appelle, ça dure des plombes, elle veut tout me dire depuis son dernier appel.

Quelle heure est-il chez elle ?

Cinq heures de décalage, 13 heures ici, 8 heures du matin bien sûr chez eux.
Je sais que je suis bonne pour une heure avec elle.
En posant mon téléphone, je vais pouvoir nettoyer ma cuisine, sinon mon samedi après-midi est foutu surtout que Pierre ce soir m’emmène au restaurant, c’est l’anniversaire de notre rencontre.

- Salut belle-sœur comment va, ici pour la famille ça roule. Ton frère est égal à lui-même, toujours à son travail, c’est usant, ce n’est pas beau de vieillir.
- Tu n’as qu’a prendre un amant, rend-le jaloux, tu verras ça marche.
- Toujours le mot pour rire belle-sœur, si c'est ce que tu as pratiqué avec ton ex, on voit le résultat- Tu exagères, j’ai retrouvé quelqu’un, la vie est parfaite depuis.
- Je sais, tu vis chez toi, il vit chez lui, vous vous voyez, vous baisez, s’il le peut encore vu son âge, et chacun retourne chez soi.
Tu m’excuses, avec un plan comme le tien, mieux vaut rester avec ton frère. Au lit au moins, il continue à assumer malgré sa cinquantaine.

Ça c’est tout Épiphanie, fille gentille, mais sachant vous glisser des vacheries chaque fois qu’elle le peut.
Heureusement, je ne l’ai vue que quatre fois depuis que mon couillon de frère est retourné l’épouser.
Par compte, celui que je regrette, c’est mon neveu, mon filleul.
La dernière fois que je l’ai vu, il avait douze ans, il aura vingt ans cette année.
Il va falloir que nous pensions à lui envoyer son cadeau pour qu’il le reçoive à temps, la fin de l'année approche.

- Laisse tomber tes affaires de cul avec mon frère, tu sais que ça me gène, tu dois savoir que moi aussi, bien que je sois plus vieille que toi, j’aime le cul, même si avec Pierre, c’est souvent plus intellectuel que physique.
- Je vois, vous devez parler de l’hiver qui est là en regardant la neige tomber, alors que moi, si j’étais chez vous, je sortirais nue dans mon jardin et je me roulerais dedans.
- Je connais la suite, tu le ferais avec ton mari et au lieu de faire des bonhommes de neige, vous rouleriez, rouleriez, rouleriez jusqu’à ce que vos peaux soient rougies par le froid.
- Je vois que tu deviens aussi cochonne que moi belle-sœur.
- Oui, tu vois, je suis capable d’avoir des pensées salaces moi aussi.
Attend, je pose le téléphone, je vais me caresser la chatte.
- Tu me fais marcher, Anne, ne me prends pas au mot !
Surtout que je viens de me lever, ton frère est parti depuis une demi-heure, je suis nue sous mon peignoir.
Mais je suis obligée de rester sur ma réserve, Noël est encore dans sa chambre, il part pour son permis de conduire dans une demi-heure.
- Je vois que tu fuis la difficulté ma grande.

J’ai failli dire « ma grosse » car le mariage lui a profité, contrairement à moi, qui suis restée celle que je suis depuis des années.
Régulièrement, nous nous échangeons des photos sur Internet.
Autant Noël est devenu un beau mec, dépassant son père d’une tête, autant Épiphanie montre une poitrine tombante sous ses tee-shirts, il est vrai que là-bas c’est l’été.

- Bien restons-en là pour nos fesses, je suis contente que ton mode de vie te plaise, c’est pour tout autre chose que je t’appelle.
- Noël a rendez-vous à Paris pour le 1er de l’an, j’ai donné mon accord, il travaille bien et méritait une récompense.
Il va retrouver un ami de jeunesse retourné en France avec ses parents il y a deux ans.
Son père était un collègue de Jacques ton frère, ils étaient très proches.
Nous avons accepté à la seule condition qu’il passe te voir, il a été tout le suite d’accord.
- Pierre et moi serons enchantés de le recevoir, il arrive quand ?
- Le 23 au matin à Paris et sera à Besançon le 23, au train de 17 heures.
Il retournera à Paris chez son copain le 27 au matin, au train de 9 heures.
- J’aurais pu aller l’accueillir à Paris !
- Il veut se débrouiller seul, il peut donc venir ?
- Sans aucun problème nous serons à l’arrivée du train.
- Je vais le prévenir et voir avec lui pour les billets.
- Bonne journée Épiphanie, la bise à ton roi !
- Adieu, faut toujours que tu me la fasses.


Les quelques jours qui nous séparent de l’arrivée de mon filleul, je décore la maison pour la fête de Noël, fête à double intérêt cette année.
C’est une tradition chaque année de sortir de leur dessus d’armoire, les boîtes avec les boules, les guirlandes et autre étoile au sommet du sapin.

Pierre m’aide, c’est moi qui monte sur l’escabeau, j’ai pitié de son âge, on a les os fragiles en vieillissant !

- Tiens-moi bien, c’est bien beau d’acheter le sapin à la hauteur maxi pouvant entrer dans la salle, mais nous n'avons plus vingt ans, l’an prochain, on le prendra moins haut.

J’ai l’étoile au bout des doigts, j’arrive à entrer la pointe dans sa base et je perds l’équilibre.
Mon héros est là.

- Heureusement que tu m’as rattrapé dans tes bras, je me serais prise un sacré plat.
- Je suis content d’être ton héros, je mérite une petite compensation.


J’ai compris.
Atterrir juste dans ses bras, sans une égratignure, ça mérite qu’une fois qu’il me repose, je le prenne à mon tour dans mes bras et nos bouches se trouvent.
Que disais Épiphanie sur les vieux ?
Mon corps est attiré comme un aimant vers celui de l’homme qui partage de meilleurs moments de ma vie et je sens qu’il a envie de moi.
Chez nous, nous avons pour habitude d’être toujours légèrement vêtus et ma main se glisse dans son boxer, seul vêtement qu’il a sur lui.
De son côté, j’ai mon éternel peignoir mi-long et il en profite pour me caresser le sein avant de descendre se glisser sous la ceinture et me faire passer un doigt sur des lèvres et une fente.
Il doit sentir que je suis prête à le recevoir.

Nous sommes à deux pas du canapé, qui avance, qui recule.
Dans l’état d’excitation où je suis, il entre en moi d’un coup directe sans aucune fioriture.
Qui n’a pas baisé avec des hommes ayant de l’âge ne peux connaître le plaisir que vous prenez car contrairement aux jeunes ce ne sont pas des chiens fous.
Ce qui est certain c’est qu’au moment où mon orgasme éclate, c’est bien physiquement que je sens sa bite me pénétrer, il n’y a rien d’intellectuelle comme Épiphanie a semblé le croire.
Un deuxième orgasme plus long que le premier a traversé tout mon corps.

Comme je suis placée dans une bonne position du missionnaire, je vois deux choses, la fenêtre, la neige ne tombe pas ce qui va m’éviter d’aller me gêner les miches et l’étoile tout là-haut, là-haut au sommet du sapin qui est de travers.
Il va falloir que je remonte sur l’escabeau pour la redresser.
Dommage car si je retombe, je risque de louper les bras de mon amant et je risque de me casser ce qui me sert de figure, nous verrons ça plus tard…

Je remercie Anne, mais c’est sa collection, pour son apport.

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