Saliah, la libraire...

- Par l'auteur HDS Diluc -
Récit érotique écrit par Diluc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Saliah, la libraire... Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Saliah, la libraire...
Ce jour là, nous étions dans le black friday, sauf qu’évidemment nous étions samedi... ayant vécu aux USA j’ai toujours du mal à voir le ce simple jour se transformer en une semaine en France....
Bon j’étais dans un grand centre commercial de la région parisienne dans une chaîne de librairie par abonnement. Comme tout les clients, j’avais déjà vu sur leur catalogue le livre qui m’intéressait et je m’en saisis puis me dirigeai vers la caisse lorsqu’une grande jeune fille brune un peu typée, vêtue d’un jeans et d’un t shirt rouge s’approcha de moi et me demanda si je voulais de l’aide.
Je lui répondis que non et elle me demanda ce que je cherchais, visiblement elle n’avait pas vu le livre que je tenais à la main...
Plein de ce que je croyais être de l’humour, je lui dis que je cherche un endroit pour faire un tennis..
Raté!
La jeune femme s’effondra en larmes: je me sentis immédiatement comme un con et m’approchai d’elle. Sa chef jaillit de derrière sa caisse pour la prendre dans ses bras et elle commença à me lancer des accusations.
Comme quoi j’avais mal parlé, j’avais du l’insulter, que je devrais avoir honte...
Clairement je sentis immédiatement que j’étais dans la merde: entre le phénomène des me too, les accusations de sa chef, je comprit que cela allait mal finir!
Mais la jeune femmes se reprit, expliqua à sa chef que cela n’avait rien à voir avec moi et se laissa entraîner dans l’arrière boutique: je suivi les deux femmes.
La jeune Saliah expliqua alors à sa chef que son copain l’avait larguée ce matin, qu’elle était stressée, qu’elle avait peur de mal faire, tout ça: moi j’étais là, à côté des deux femmes comme un idiot, mon bouquin à la main...
La chef lui dit de rentrer chez que malgré la black friday, il n’y avait pas tant que ça de monde donc qu’elle pouvait finir sa journée. La jeune femme lui dit que non car elle n’avait pas de bus alors… N‘écoutant que ma galanterie, je m’offrait à ramener la jeune, et jolie l’avais-je précisé?, Saliah chez elle.
Nous nous mettons d’accord, je paie mon livre et nous sortons dans les couloirs du centre commercial pour aller à ma voiture.
Un peu timidement, la jeune femme demande à me prendre la main car elle a besoin d’un contact... un peu surpris, j’accepte, après tout pourquoi pas?
Sa main est fine et légère, très chaude et agréable à tenir.
La tenant ainsi par la main, nous arrivons à mon véhicule et elle me donne son adresse que je rentre dans le gps. Ce n’est pas si éloigné et nous avons un petit quart d’heure de route pendant lequel Saliah m’a raconté sa vie de jeune femme marocaine libérée, que son copain lui a envoyé un sms ce matin pour lui dire qu’il l’a quittait, qu’elle en avait marre des jeunes cons qui passent leur temps à jouer à la console et qui font toujours la gueule.
Ambiance...
Bon, nous arrivons en bas de son immeuble et je me gare. Elle me demande si je veux boire un café avec elle et j’accepte. En fait j’espère bien un epetite récompense...
Nous entrons dans un tout petit appartement et Saliah m’installe dans un petit canapé deux places pendant qu’elle nous fait un café à tous les deux. Elle s’assied à mes côtés et nous savourons la boisson chaude.
La main de Saliah se pose sur mon genou, je mets la mienne par dessus...
Un simple échange de regards et nous nous retrouvons à nous embrasser doucement... elle a une bouche très érotique et sait parfaitement y faire; ses lèvres fines sont un enchantement et j’en profite. Elle m’enlace et je fais de même...
Je lui retire son t-shirt et retire son soutien gorge, découvrant une poitrine menue mais attendrissante, en forme de poire, le téton bien vaillant. Je commence à lui sucer un sein en malaxant l’autre de ma main.
Saliah haléte et devient entreprenante, me déshabillant rapidement.
Lorsqu’elle m’abaisse mon caleçon , je bande déjà fort et elle se met de suite à me sucer: la bougresse sait y faire et je sens sa langue jouer avec mon gland tandis que sa main branle ma verge de plus en plus vite.
Je l’arrête et lui retire son jean: elle n’a pas de culotte, son maillot est parfaitement épilé et je commence à lui faire un cunnilingus qui la fait crier de plaisir alors que mon pouce joue avec son clitoris.
Son vagin est extrêmement étroit et je le sens se contracter autour de mes doigts et autour de ma langue. Elle mouille comme une sauvage.
A un moment elle se retire se lève et se réfugie dans la chambre à côté où je la rejoins.
Elle m’attend allongée sur le lit, les jambes écartées, se caressant le con doucement. Je m’installe entre ses cuisses, l’embrasse avec tendresse et entre en elle très doucement.
Elle est tellement serrée que je vois qu’elle a peur...
J’y vais très progressivement, la caressant doucement, la rassurant par des mots de tendresse, Saliah jouit alors que je ne suis qu’à moitié en elle...
Je continue à entrer en elle jusqu’à ce que tout mon membre soit logé et je la regarde dans les yeux: ceux ci brillent de joie et de bonheur...
Alors je commence le va et vient, d’abord doucement, puis de plus en plus vite... j’ai l’impression de faire l’amour à une jeune vierge tellement elle est serrée...
Saliah me dira plus tard qu’elle a eu un orgasme à chacun de mes coups de queue...
Je la posséde ainsi, elle reste accrochée à moi, plantant ses ongles dans mon dos, embrassant mon cou et ma bouche en permanence, j’ai affaire à une jeune tigresse de l’amour...
Je jouis enfin en elle et c’est alors l’apothéose! J’éclate littéralement à l’intérieur de son vagin et je sens que, parfaitement réceptive, elle est aussi en plein bonheur...
Je vais pour me retirer mais elle me force à rester en elle.
Je sens ma queue se calmer petit à petit en elle et lorsqu’enfin elle est revenue à un état normal, Saliah me libère de ses jambes musclées.
Nous restons ainsi, muchés l’un contre l’autre, pendant un long moment...
Puis elle me regarde intensément et me remercie. Elle me dit qu’elle n’a jamais autant joui de sa vie, que je lui ai fait découvrir de nouvelles choses, qu’elle ne pensait pas que faire l’amour avec un vieux c’était comme ça!
Merci j’ai à peine quarante ans!!!
Je me demande bien ce qu’elle faisait avec son copain quand même!
Je la reprend dans mes bras et lui caresse son joli petit cul, mettant un doigt à l’entrée de son anus bien rond. Je lui demande si elle veut essayer cela.
Saliah me dit oui mais qu’il faut vraiment y aller doucement. Je l’allonge sur le ventre et lui écarte ses fesses bien fermes. Je vois son petit trou et très doucement je le lui lèche en faisant entrer ma langue en elle. Elle se caresse dans le même temps, gémissant au rythme de mes coups de langue.
Au bout d’un moment, mon sexe est revenu en ligne, je suis bien dressé et bien dur et me met par dessus elle.
Doucement j’entre dans son cul... avec précaution, je m’arrête à chaque fois qu’elle gémit de douleur et j’attends qu’elle me fasse signe pour continuer...
Petit à petit, lui susurrant des mots d’amour dans l’oreille, j’entre en elle.
Lorsqu’enfin ma queue est rentrée jusqu’à la garde, Saliah halète fortement et jouis en continue. Je me met alors à la ramoner, lentement dans un premier temps, puis de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’elle crie son bonheur avec moi.
Lorsque je sens que je vais jouir, je sors de son cul à présent bien élargi et pénètre son vagin détrempé dans lequel je me vide consciencieusement...
Ouf, c’était délicieusement bon de se faire un petit cul vierge comme cela...

Je me met sur le dos et Saliah vient se blottir contre moi. Elle me demande si je veux rester et être son homme... Elle pense être amoureuse de moi... je crois qu’elle est juste amoureuse de ma queue...Elle me détrompe et me dit que l’amour avec moi, c’est aussi des sentiments, ce n’est pas que du Sexe.
Ce en quoi elle n’a pas tort, je dois dire!
Je l’aime bien ma petite Saliah et à présent nous nous voyons régulièrement... pour du sexe évidemment, mais pas que en fait, nous nous entendons bien!

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