COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (8/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (8/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (8/8)
Je pensais passer une soirée dans mon fauteuil à lire un bon livre écoutant Mozart, mais Lucie, la copine que Noël, mon neveu, mon filleul, mon amant, je peux employer ces trois termes, en a décidé autrement.
M’avouant qu’elle est bi-sexuelle, me le démontrant en m’embrassant tendrement, je veux récompenser Noël pour le bon repas qu’ils nous ont concocté.
J’entraîne Lucie vers ma chambre.

- La violette !

Juste celle qu’il ne fallait pas, c'est la nuisette que Pierre m’a offerte pour noël hier.
Elle était sur ma chaise où je l’avais posé hier au soir.

- La violette, je m’excuse, elle est là car Pierre me l’a offerte hier au soir, je vais la mettre si cela ne te dérange pas.
- Alors la blanche.
- Si tu le permets, tu vas trouver que je suis chiante, mais avec tes cheveux blonds, la noire serait parfaite.
Avant mettons ces bas.
- Je ne mets que des collants !
- Pouah, les collants sont des tues l’amour, nous avons les mêmes jambes bien galbées, regarde ces bas qui se portent sans porte-jarretelles ils sont très sexy.

Bas noirs pour les deux, nuisette violette, à ras de ma chatte pour moi, et une nuisette noire pour elle.
Nous voici de retour dans l’escalier, elle a mis une paire de mes hauts talons noirs.

Dans la glace, elle est magnifique, moi je ne suis pas mal, même si la différence d’âge n’est pas en ma faveur.
Je ne dirais pas que nous sommes deux Blues Belles Girls, étant légèrement plus petites qu'elles.
Cependant, mes seins dressés sous ma nuisette pourraient rivaliser avec plus d’une d’entre elles.
Lucie est plus proche de ces femmes de spectacle avec ses deux pommes, moi ce sont des poires.
Ce que je n’avais pas remarqué, mais qui me saute au yeux quand nous descendons, c’est son bronzage intégral et pourtant nous sommes au mois de décembre.

La musique douce fait que les dernières marches franchies, nous reprenons les choses là où nous les avions laissées, après nous être rendues dans ma chambre nous déshabiller et mettre ces tenues plus que provocante.
La principale différence de nous est double, mes seins et ses seins, ma chatte glabre et la sienne avec toison.
Tout ce que nous allons faire à partir de ce moment, pour moi la femme de 58 ans, est une découverte.

Par-dessus mon épaule les hommes ont un verre en main, sur la table, ils ont ouvert la bouteille de rhum que Noël nous a offerte.

De nouveau Lucie prend ma bouche.
C’est doux, mieux qu’un homme, moins violent même si un peu de violence n’est pas pour me déplaire.
Ma main part en exploration dans sa fourche, là aussi c’est doux, c’est trempé, dégoulinant.
Nous tournoyons encore deux à trois fois avant que je ne m’effondre dans mon fauteuil que les garçons ont laissé libre.

Je suis semi allongée, ce qui dégage ma chatte, je suis totalement à la merci de notre belle amazone.
Nos bouches se sont séparées, à regret pour moi, mais vite elle m’écarte les cuisses et c’est ma chatte que sa langue investit.

Comme pour ma bouche, sa langue vient agresser très doucement mon clitoris qui n’en demandait pas plus, je suis trempée.
Vue ma position, ma chatte doit couler sur la peau de bête, épargnant mon fauteuil en cuir blanc, évitant ainsi de le tacher.

Rapidement, elle me fait jouir.
Dans le brouillard qui m’entoure, je vois nos hommes se lever qui du fauteuil, qui de l’accoudoir, boire la fin de leur verre et les reposer sur la table basse.
Noël dégrafe et fait tomber son pantalon, Pierre sort simplement sa verge et je le vois s’approcher de moi.

Plus prompte, Lucie se relève, se cale sur mes accoudoirs et présente à ma bouche sa fente blonde dégoulinante.
J’ai le temps de voir des perles de cyprine qui en sortent.

Je sors ma langue au moment où elle s’affaisse sur mon visage, une main sur le dossier et l’autre écartant ses lèvres vaginales à peine marquées.
C’est d’emblée une vrai rivière qui coule de son corps, ce sont même rapidement de petits jets que je dois ingurgiter.
Je le fais avec envie.

- Mince, comment fais-tu ?
Je n’ai jamais été une femme fontaine.

C’est le dernier mot qu’elle prononce, Pierre lui présente sa verge mi-bandée et investit sa gorge.
Elle le prend en main ce qui rapidement le fait durcir.
Je sens un mouvement, je suis dans l’impossibilité de voir, mais je sens la seule verge disponible venir en moi.
Ce ne peut être que celle de mon neveu.
Noël bande comme jamais.
J’ignore le temps où tous les quatre nous baisons ensemble, mais ce que je sais c’est que Lucie se cabre plusieurs fois, sous la décharge d’orgasmes dévastateurs, poussant des cris stridents.

Pierre sort de sa bouche, du sperme tombe sur ma figure, lui aussi a joui.
Quand à Noël, il me lime toujours.
Un dernier orgasme pour moi, il se relève, sans avoir déchargé.
Quel étalon !
La force de la jeunesse.
Il se présente à la chatte de Lucie, comme je suis placée, se relevant légèrement et la petite le reçoit en elle.
Je me glisse au sol me faisant légèrement mal aux reins.
On n'a plus vingt ans pour de telles positions.
Lucie laisse ses genoux glisser le long des accoudoirs et se retrouve en levrette, les seins posés sur mon dossier.
Le feu de bois diminue, Pierre le recharge, j’ai réussi à me redresser, la petite tourne sa tête et offre sa bouche à celui qui vient de devenir son amant.
Mon homme et moi montons l’escalier, je tourne la tête, les jeunes sont seuls au monde.
Noël tire sur les pommes de Lucie comme s’il voulait les arracher.
Nous remontons dans la mezzanine quand le bruit de la jouissance de notre invitée me parvient.
Je franchis la porte de notre chambre et sans prendre le temps de me doucher, je m’effondre sur mon lit dans un coma profond.
Et dire que c’est moi qui parlais d’un bon livre et au lit.

- Anne, réveille-toi, je suis déjà descendu préparer le petit déjeuner, les croissants sont au four et sont presque cuits.
J’ai demandé aux jeunes de se lever, ils ont dormi dans le salon sur notre peau de bête, ils étaient touchants.
- Quelle heure est-il ?
- Sept heures, n’oublie pas que Noël part pour Paris au train de neuf heures !

Je me lève difficilement, j’ai encore un peu mal au dos.
Je vais dans notre salle de bain, douche ou bain, pile ou face ?
Douche, je me connais le temps de me préparer le café sera froid et les croissants auront durci.

Je remets mon peignoir, celui que j'ai depuis des années.
Il est vieux, mais c’est le seul dans lequel j’aime être pour déjeuner.
Ils sont les trois autour de la table et après un baiser, malgré la douche, la tête dans le cul, comme l’on dit, la première gorgée de café à bonne températures pour moi, je reprends vie.

En voiture. Lucie nous suit dans la sienne.
Pourquoi ferait-elle la pute, à 20 ans ?
Il y a quatre ans, ses parents lui ont offert en plus de son appartement une Mercedes A1.

- Au revoir à tous, merci pour tout, Lucie, j’ai bien ton numéro sur mon portable.

Le train part, Lucie est en pleurs.
Mon frère était parti aux Antilles rejoindre sa dulcinée, Noël fera-t-il le chemin inverse 20 ans plus tard, pour retrouver Lucie que je vois partir dans sa jolie voiture rouge direction le Sud ?

Le retour chez nous est nostalgique.
Quel tourbillon de luxure nous a emporté à notre âge ?
Après avoir mangé de la brioche, quand je regarde Pierre, je sais que je vais retourner au pain sec et à l’eau.

À la maison, je passe plusieurs heures à nettoyer les débordements sur mon fauteuil blanc.
Cyprine et sperme, avec un cuir doux qui plus est blanc, ne sont pas faits pour coexister.
Heureusement, aucun de nous n’avons été sur le fauteuil de Pierre dans lequel il se pavane pendant que je frottais le mien, à quatre pattes, lui montrant mon cul.

Pain sec, car il y a quelques années il serait venu derrière moi, aurait écarté le peignoir du matin et m’aurait planté sa verge.

Une semaine a passé.
Nous venons de nous coucher, sitôt la nouvelle année souhaitée, quand mon portable sonne.
J’ai le temps de voir qu’il est cinq heures.
Merde Épiphanie.

- Anne, salope, qu’est ce que ce bordel en France, je vais venir t’étriper.
- Calme toi Épiphanie, quel bordel ?
- Crie moins fort tu vas réveiller Pierre.

Sans se retourner, j’entends.

- Trop tard, c’est déjà fait, que veut-elle cette connasse ?

Elle a entendu.

- La connasse, elle est en colère, Noël vient de m’appeler, il reste en France à Sète je crois, il a rencontré une pouffiasse qui lui a mis le grappin dessus, une certaine Lucie et qu’il aurait rencontrée chez-vous.
- Calme-toi, j’ignore comment ton fils a atterri à Sète où la petite a son logement, mais la pouffiasse que tu dis s’appelle Lucie et est une jeune fille qu’il a croisé la première fois au Mac Do près de chez nous.
- Au Mac Do, il mange n’importe quoi, il va être malade.
- Arrête tes connerie, Épiphanie, Lucie est la fille de propriétaires d’une clinique à Montpellier.
Dis-moi, un jour mon frère t’a rejoint à Pointe à Pitre car il t’aimait, étais-tu une pouffiasse pour autant ?

J’ai raccroché, à cette heure inutile de déranger Noël et Lucie, ils doivent réveillonner avec des copains.
Je les appellerai dans la soirée et dès que je saurai pourquoi Paris puis Sète.

Je vais pour me rendormir, je sens une main sur ma chatte, des doigts mutins caressant mon bouton.
La bouche de Pierre trouve la mienne dans le noir et ma main une verge tendue.
Une semaine d’abstinence à son âge l’a revigoré.

Quand j’écarte les cuisses, mon amoureux vient me fêter une bonne et heureuse année.
Comme je l’ai dit, j’ignore ce qui s’est passé, ce dont je suis presque sûre, c’est que dans quelques semaines, j’aurai des chances de pouvoir vous raconter mon voyage dans le Sud.

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