TABLE DE SAPIN10

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : TABLE DE SAPIN10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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TABLE DE SAPIN10
Depuis un long instant, j’avais les yeux rivés sur ma femme en train de danser à seulement deux mètres de moi. Elle était habillée élégamment. Chaussée de hauts talons. Qui fit ressortir le galbe troublant de ses jambes. Celles-ci étant recouvertes de basse couture qui laissait apercevoir sous la jupe les légères protubérances des attaches des portes jarretelles. Il me tardait de rentrer à la maison. De la culbutais à même le divan devant un film de cul. Cela tombé bien nous étions le premier samedi du mois. Un moyen comme un notre pour fêter notre nuit de noce. Et oui ! Depuis 11H30 elle était devenue ma femme légitime.
Pour l’occasion nous avions réuni la famille la plus proche dans la demeure de mes beaux parents. Sitôt le repas terminé, la cuisine s’est transformé en une vaste discothèque.
Se sachant regarder, ma femme a rejeté la tête en arrière, se gênant pas de se passer les mains sur le corps. Ses gros seins sous son chemisier en satin blanc qui la moulait comme une seconde peau ballottaient au rythme de sa danse. L’effet était bandant.
Cette excitation additionnée à celui de l’alcool avait eut sur moi un effet aphrodisiaque. Me poussant à fantasmer sur ma jeune belle-sœur. Qui se dandinait près de sa femme. Tournoyant sur elle-même. Entièrement vêtue de noir. Une tenue pas approprié pour la célébration du jour, mais bon ! Elle était pourtant magnifique dans son ensemble composé d’une veste à manches courtes et d’une jupe longue tombant élégamment sur de petites bottines de cuir très pointues, qui moulaient à merveille ses chevilles et ses pieds.
À un moment elle s’est penchée, me tendant son fessier. Un cul d’enfer qui était loin d’apaiser l’état où je me trouvais. Tout au contraire, cette scène m’a donné même envie de faire des bêtises. Je me suis promis de m’y occupé quand l’occasion se présenta à moi. Surtout qu’à plusieurs reprises ma sœur m’avait confié que sa sœur était une chaudasse. Aux dires de ma femme, la coquine avait commencé très tôt son apprentissage sexuel. Mais cette confession ne m’avait pas étonné plus que ça. Connaissant le côté hardiesse de ma femme pour le sexe. Mais aussi le penchant libertin de ma belle-mère. Cette dernière dansait elle aussi sur la piste improvisée. Comme si c’était la dernière danse de sa vie. Remuant son lourd popotin d’une femme de 110KG, au rythme de la musique.
Pour les mordu de mes histoires, je n’ai pas besoin de vous la présenter. Il me semble que vous avez fait amples connaissance avec elle. Pour les autres, elle est tout simplement ma maîtresse. Oui ! Vous avez bien lu. Une amante douce, souriante, toujours de bonne humeur et qui aime les parties de jambes en l‘air comme aucune autre avant elle. Même Brigitte et Bernadette, les deux femmes mariées qui ont bercé mon éducation sexuel étant jeune leurs arrivées pas à la cheville. Une bouffeuse de cul et de bite hors paire. Marié à un rustre, jamais satisfait, et côté sexe tout son contraire. C’est à se demander s’il est vraiment le père des deux filles et du fils qui ne laisse pas sa part au chien.
À plusieurs reprises lors de nos réunions de cul, j’ai demandé comment elle pouvait rester avec lui. Elle m’avait alors répondu : - Tout bonnement par ce que nous sommes différents.
Aller comprendre ce qu’elle avait voulu me dire par là. Mais à vrai dire cela m’était égal, je la baisais, un point c’est tout… Mais toutes ses pensées n’arrangeaient en rien mon état. Mon sexe était tellement dur qu’il me fait furieusement mal. À côté de moi, mon officiel beau-père me parlait, me questionnait sans que j‘entende le son de sa voix, tant la musique mangeait ses paroles.
Puis ma belle-mère quitta la piste de dance. Tout en vacillant elle s‘est dirigée vers la table où j‘étais assis. Après m’avoir caressé la tête et peigner mes cheveux avec ses doigts elle sortit de la pièce. Pas la peine d’être devin pour savoir où elle se rendait. Aux toilettes ! En toute discrétion j’ai quitté ma place et l’emmerdeur par la même occasion pour lui emboîter le pas. Alors qu’elle s’apprêtait à refermer la porte des toilettes, je l’ai bloqué de tout mon poids. Surprise de ne pas pouvoir la fermer, elle s’est alors penchée.
- A c’est toi.
- Je peux entrer ?
- Pourquoi ? Fit-elle un sourire salace aux lèvres. Tout en écartant la porte pour me donner accès. Après mon passage elle s’est empressée à verrouiller l’ouverture.
- Cela tombe bien me murmura-t-elle, j’ai comme une grosse envie de me faire remplir.
- Tu ne crois pas si bien dire, en lui exhibant ma queue bandée.
Prenant appui sur le bidet, elle a tendu son derrière vers moi. Tout en le remuant.
- Tu me rends fou, tu sais ? Mon gendre… Pour l‘occasion elle portait ce jour là des bas accroché à la baleine de sa gaine. J‘ai écarté sa culotte blanche sur le côté. Ce que le reflet du miroir me renvoyer était aphrodisiaque. Je l’ai soulevéePar les hanches, et j‘ai enfoncé ma verge dans son entier d’un seul coup dans sa chatte.
- Ne bouge plus, attends ! M’a-t-elle ordonné. C’est trop excitant.
Nos sommes restés un long moment soudés en ne faisant que d’imperceptibles mouvements pour faire durer notre plaisir. Elle a contracté ses muscles avec une force surprenante, enserrant ma bite dans un fourreau chaud et gluant.
- Oh que tu es gros… Je me mis à aller et venir doucement dans son intimité. Toujours grâce au miroir j’ai surpris Colette grimacée de plaisir. Émettant une faible plainte. Je lui ai fait l’amour tendrement, délicieusement. Puis j’ai éjaculé au plus profond de sa chatte. Ce fut un orgasme cosmique, phénoménal… Elle a jouit à son tour au moment où elle a senti mon sperme frappait les parois de son sexe.
- Oh ! Oui… ! Fit-elle, en tournant sa tête de mon côté, me montrant le blanc de ses yeux.
Je suis sorti le premier, pour aller rejoindre ma place. Ma femme et ma belle-sœur dansaient toujours pour m’en plus grand plaisir. Mon absence n’avait pas éveillé des soupçons. Alors que j’emplissais mon verre la copine du beau frère prit place à mon côté. Elle a collé se bouche à mon oreille et m’a dit : - Quand tes beaux parents s’absentent qui vient ramasser le courrier ?
- C’est souvent moi, pourquoi ?
- Il se trouve que j’ai colis à faire livrer et je ne veux pas qu’il tombe dans n’importe quelles mains. Si tu vois ce que je veux dire ?
- Oui parfaitement. Tu voudrais le faire livrer ici.
- Oui ! Tu as tout compris.
- Et il est gros ton colis ?
- Non ! Il tient sans problème dans la boite aux lettres.
- Et il arrive quand ?
- A ce que je sache ils partent demain tes beaux-parents ?
- Oui. À la première heure comme à leur habitude.
- Alors il arrivera mercredi.
Elle s’est saisis de mon verre et a bu une gorgée. Après un clin d’œil elle s’est levée et s’est avancée jusqu’à la piste de dance.
Cela faisait déjà une bonne heure que je partageais mon attente avec Isabelle, la copine du beau frère. Attendant patiemment la venue du facteur. M’abroutissant d’histoires incohérentes. Puis pour mon plus grand plaisir, j’ai vue par la fenêtre arrivée la voiture de la factrice.
- La voilà… Nous nous sommes tout deux levés, pour aller au-devant de la préposée. Hormis quelques enveloppes elle tenait aussi une boîte en carton.
- Mademoiselle F… c’est chez vous ?
- Oui… c’est cette jeune fille.
- Bien ! Répondit-elle, j’aurais besoin d’une signature.
Ceci fait elle tendit le colis.
- Bonne journée… fit-elle en reprenant place à bord de son véhicule.
Une fois dans la cuisine, Isabelle excitée comme une puce m’a demandé un couteau.
- Dans le tiroir. Répliquais-je en lui désignant du doigt.
Elle l’a ouvert et prit un grand.
- Je voudrais contrôler qu’il ne manque rien. Fit-elle en découpant les bandes de scotch. Ce qu’elle en sortit me laisser sans voix. Il s’agissait d’une sangle avec aux extrémités deux menottes, et de deux autres au centre.
- Tu sais à quoi sa sert ?
- Oui… je pense avoir une idée.
- Je vais l’offrir à mon chéri.
- Très beau cadeau… fis-je ironiquement.
- Il me tarde de l’essayer.
- Pour ça il va falloir que tu patientes un peu. Il quitte à… - Mais je pensais que tu serais d’accord pour jouer le cobaye.
- Comment ça. Là… tout de suite… maintenant… - Oui pourquoi pas. Cela t’embarrasse ?
- Pas le moindre du monde… tu veux que je m’installe où ?
Elle prit un temps de réflexion, avant d’envoyer : - Sur la table… oui sur la table… Elle n’en a tant vus cette table qu’elle n’était pas à un acte près. Je me suis allongé de tout mon long, sur le dos. Sans perdre une seule seconde de peur sans doute que je change d’avis temps, elle s’est penchée en avant pour me menotter les deux chevilles. Puis ce fut le tour de ma main droite.
- Ce ne serait pas le moment que ma femme rentre. Fis-je alors qu’elle menottait ma main gauche. J’étais dans une posture que je vous laisse imaginer.
Ceci fait elle s’est posté en bout de table et a admiré son œuvre.
- Alors ? Fis-je.
- Alors quoi, répliqua-t-elle.
- Enfin ça te plaît ?
- Quelle question… bien sûr que ça me plaît. J’imagine que tu veux que je te libère maintenant.
- Oui s’il te plaît… - Et bien pas moi. Je vais même te dire que je vais profiter de l’occasion qui m‘est donné.
- Pardon ! Je ne comprends pas très bien.
- Qu’est-ce que tu ne comprends pas très bien. Je ne suis pas baisable à tes yeux ?
- Oui Isabelle. Tu es une belle fille.
- Comme je te trouve à mon goût, nous allons tout profité. T’inquiète cela restera entre nous.
- C’est que… - C’est que… quoi ! Je vais me faire baiser par toi. Je suis sûr que tu le désire aussi, hein ? Je me trompe ? Aller baise moi. Tu ne crois pas que j’ai fait tout ça pour ensuite rentrer chez moi pour me branler.
- Mais ce n’était pas pour ton chéri ?
- Mon cul mon chéri. C’était pour me faire baiser par toi. Une fois fini je t’en fais cadeau, même. Que d’en parler j’en mouille ma culotte. Tiens regarde… Elle a retroussé sa jupe, très haut sur ses hanches. Exhibant des cuisses gainées de bas auto-fixant couleur chair, et plus haut une culotte rouge vif avec une belle auréole sombre dans son centre.
Elle se l’est ôtée avant de se hisser sur la table à l’aide d’une chaise, pour se placer au-dessus de ma figure. J’avais une vue imprenable sur son intimité. Je l’ai pas résisté à donner de petits coups de langue pour goûter cette fente qui s’offrait à moi. Avant d’écarter les lèvres brunes. Puis Isabelle s’est tournée. Me tournant le dos. Elle s’est penchée en avant pour mieux s’offrir sans retenue à ma langue qui s’est mit de nouveau à la fouiller goulûment. J’ai léché les petites lèvres brunes et réintroduit le bout de sa langue dans la fente. Je l’ai entendu gémir. J’ai léché de haut en bas, du clitoris au périnée. Puis mon attention s’est portée sur son cul. Enivré par son odeur fauve. J’ai entrepris de le lui lécher. Remontant le long de la raie moite de transpiration pour passer ma langue sur son anus odorant. J’ai dardait ma langue à l’orée du cul. Tentant de m’y introduire. Son goût avait une saveur amère. Il m’en fallait pas plus pour perdre la tête. Comme si j’avais avalé un fort aphrodisiaque. Ivre de sexe, j’ai lapé plus ardemment, avant de replonger dans son vagin trempé. Le pourléchant consciencieusement. Il n’en fallut pas plus à Isabelle de décharger dans ma bouche une abondante mouille. J’avais les lèvres, le menton souillé de son foutre.
Puis comme elle l’a déclaré quelques minutes plus tôt, elle s’est Intéressée à moi. À ma verge pour être plus exact. La libérant de sa prison. Elle s’est mise à me la masturber pour mon plus grand plaisir. D’ailleurs je n’ai pas manqué de le lui faire part en gémissant. Elle a prit cela pour un encouragement. Me prenant d’un coup dans sa bouche. M’aspirant lentement. Elle s’est mise à faire un petit mouvement de va-et-vient le long de mon sexe avec ses lèvres, tout en me caressant de sa main. Me jugeant sans doute apte pour le bouquet final, elle m’a abandonné quelques instants, le temps de venir s’asseoir sur mon sexe luisant de salive. D’un mouvement des hanches elle s’est enfoncé loin, au fond, tout au fond. Elle est restée quelques instants sans bouger, respirant à grand coup. Puis les mains en appui sur mes épaules, elle a fermé les yeux avant de commencer à aller et venir sur ma verge. Avançant et reculant son bassin sur mon ventre, tout en montant et descendant.
Chaque mobilité correspondait à un gémissement, qui se faisait de plus en plus sonore. Elle a roulé des fesses d’avant en arrière. Comme elle l’avait fait quelques jours plus tôt sur la piste de danse, attentive à me donner du plaisir. Je me suis retenu le plus longtemps possible. Elle a cédé la première et fut secouée par un long orgasme. J’ai suivi de près projetant ma semence loin dans son vagin. Quelques semaines plus tard, elle a quitté mon beau-frère. Et pour mon plus grand regret je ne l’ai plus revu…

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