Mais oui, c'est elle 6

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mais oui, c'est elle  6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mais oui, c'est elle 6
Elvire, ma femme, veut hâter le dénouement. Elle est venue, elle vient d'exposer à Greg les raisons de sa présence malgré l'amour qu'elle a pour moi. On pourrait croire qu'elle veut en finir au plus vite, riche de l'argent promis et de cette première et sans doute dernière relation sexuelle extra-conjugale. C'est ainsi que, derrière la porte entrebâillée de la cuisine d'où je les observe, j'interprête l'échange précédent.

Elvire n'est pas venue philosopher, elle veut savoir ce qui peut faire la différence entre un accouplement avec ce mari qu'elle prétend aimer et une union intime avec un autre homme. Greg lui en a offert l'occasion, elle a rusé pour le rejoindre. Elle ne veut pas s'attarder pour ne pas éveiller mes soupçons en revenant trop tard. Elle fera l'amour et rentrera à la maison. En mémoire elle gardera secrète cette escapade unique, doit-elle penser. Si elle savait où je suis ! D'où sa dernière déclaration :
- Je suis décidée à éprouver la force de tes sentiments et ta vigueur d'homme amoureux pour compléter mes connaissances. Comme toi je suis d'avis à mettre l'ouvrage sur le métier. Un baiser sera le meilleur commencement
Les voici sur la même longueur d'ondes. Il a convoité ma femme. Ma femme veut savoir ce qu'est l'acte de chair avec un autre que moi.
Ils sont toujours assis sur le canapé, ils pivotent de manière à se faire face. Greg me fait un clin d'oeil, Le profil de ma femme est tendu vers lui, dans l'attente du premier échange physique. Elle ne sait pas que je suis là, elle ne peut pas me voir.Greg au contraire s'efforce de me faire entendre et voir leur rapprochement. Me nargue-t-il ?

Ils se penchent, leurs têtes se rapprochent, leurs bouches vont s'unir. Les mains de Greg se referment sur la coiffure soignée que ses doigts écrasent. Elvire se contente d'un vague "oh!". Quels cris ne pousserait-elle pas si j'étais le démolisseur. Il ne faut pas décourager l'homme qui guide, à ce prix, le baiser. Un baiser surprenant, long, si long pour moi. Plus long que tous ceux que nous avons échangés au cours des dernières années.Les têtes bougent, Greg lève le pouce gauche en ma direction avant d'aller poser sa main gauche sur le genou gauche de ma femme.

Etrangement la jambe droite d'Elvire se referme sur cette main , c'est un mouvement réflexe pour immobiliser la main audacieuse, pour en empêcher la progression. Greg détache sa bouche et demande :
- Tu ne veux pas ? Je croyais...Sinon, que fais-tu ici ?

- Oh, pardon ! Tu comprends, c'est la première fois... la surprise. Embrasse-moi encore.

L'angle des jambes s'ouvre, la main remonte, balaie le tissu de la mini-jupe, atteint la dentelle rouge du string nouveau dans la collection de culottes de mon épouse. Elle a fait des frais pour ce rendez-vous. Le baiser a repris avec plus d'intensité, la chevelure d'Elvire ne s'en remettra pas. Enfin les partenaires se séparent, la main velue redescend au genou. Ils se regardent comme étonnés de la force de ce premier contact.

Greg se lève, tend la main à la compagne docile, la tourne vers la porte d'entrée du salon; je les vois de biais . Le séducteur se place dans le dos de la femme, l'encercle de ses deux bras, se colle à sa croupe, s'y frotte. Quand les seins sont emprisonnés dans les mains viriles, ma femme glousse à la fois de surprise et de plaisir; tout son corps est secoué d'un frisson qui ne m'échappe pas. Greg embrasse la chair de la nuque, embrasse l'épaule qu'il dénude. Elvire se tord contre son ventre.

- Ma chérie (Eh oui ! Il prend des risques de langage ) te souviens-tu ? Pour voir ta poitrine je t'avais donné cinquante euros. Vois ces billets. Pour éprouver la même émotion, je t'offre le premier. S'il te plaît, laisse-moi t'enlever ta blouse immaculée. Tourne-toi, je la déboutonne. Oh! Tes tétins s'évadent des balconnets de ton soutien gorgr. J'ai envie de les baiser.

Le voilà penché sur les seins. Elle ferme les yeux, penche la tête en arrière, soupire, ouvre les lèvres et émet un râle excitant, tête toujours rejetée en arrière. Greg la contourne, me la présente de dos. Je vois ses mains descendre le long du dos, dégraffer, au passage, si léger le soutien-gorge, le lancer sur un fauteuil et continuer la chute des mains jusqu'à la lisière de la jupe. L'une remonte le tissu et découvre au milieu des magnifiques rondeurs du fessier la ligne rouge de dentelle qui se perd dans le sillon des fesses et disparaît vers l'avant. Il bloque le corps à hauteur des hanches et s'amuse à caresser la croupe. Le baiser sur la bouche reprend puis l'homme va téter les seins mignons.

Elle geint, il grogne comme un goret.Un nouveau déplacement me montre une main qui passe entre les deux ventres. Elle se glisse sur le pubis, cherche et enfin se fixe sur la fine dentelle. Le gousset subit la pression du majeur. Avec l'index il se met à tourner lentement; il a découvert le clitoris et l"échauffe. Elvire se contorsionne autour de ces doigts. Ils s'embrassent avec frénésie. Il n'y a plus de sursaut ou de recul; tous deux sont conquis, se livrent maintenant à fond.

Deux mains appuient sur les frêles épaules féminines et tout naturellement Elvire s'agenouille devant la braguette. Elle baisse le zip, tire le pantalon vers le bas, tire le caleçon sur les mollets et se retrouve nez face à la verge horizontale, cette queue qu'elle a décidé de mieux voir, cette fameuse bite à toucher enfin, à branler vraiment, ce pieu à se faire mettre au coeur de son sexe, cet écouvillon qui devra lui raboter les parois du vagin. Elle admire :
- Oh! Qu'il est beau ! Qu'il est gros ! Je peux...

- Il te plaît ? Bien sûr, tu peux toucher. Oui, les couilles aussi ! C'est mieux que celle de ton Jean, hein.

- Mieux ? Je ne sais pas. C'est différent, aussi long, plus épais et de forme différente. On dirait un obus. Et tu n'as plus de prépuce. Tu es circoncis?

- Oui, soupèse le paquet. Tu as envie de l'embrasser ? Vas-y. Je n'attends que ça. Attends, je m'assieds sur le canapé, viens entre mes jambes. Oui, comme ça , avec les mains.

- Ca alors, elle grossit encore entre mes doigts. Je lèche le gland... ce n'est pas trop fort ? quoi ? dans la bouche ?

- Vous ne faites pas ça ? C'est ce qu'il y a de meilleur! Ah, si !

Le malin conquérant s'arrange toujours pour que je puisse voir sans être vu. Pourtant je n'ai pas vu tomber la jupette et le string pendant les mouvements. Mais maintenant j'aperçois le beau cul bnu de ma femme au moment où elle se penche pour choyer le membre volumineux de son séducteur. Elle est si belle vue de derrière.

La tête monte et descend sur la chose dans un aller retour de plus en plus appuyé. Greg a remis ses grosses pattes dans les cheveux défaits et accentue les déplacements de la bouche le long de son sexe. Parfois Elvire tousse, râle, tente de se dégager. Sans succès. La fellation dure et lui paraît peut-être trop longue. Je dirais interminable, mais elle la pende peut-être savoureuse. Elle y prend goût, s'acharne.

Chaque fois que Greg relâche la prise, elle tousse, s'essuie les lèvres du revers de la main. Et elle repart, avale, bave mais suce, creuse les joues dans l'effort. Ah, l'exercice l'excite, des doigts viennent chatouiller son abricot, ses doigts aux ongles vernis fouillent entre ses petites lèvres. Elle suce Greg et en même temps se masturbe.

Tout est foutu pour moi. Plus rien ne la retient, plus trace de gêne. Elle est entrée dans le jeu. L'homme la repousse, lui ordonne de prendre sa place et de lui donner accès à sa chatte. Il se défait des derniers sous-vêtements et prend place face au sexe féminin.A son tour il s'émerveille devant cette belle fente.

- Mais c'est encore tout neuf. Ton mari te néglige, il aurait dû ravager ce sexe. Tes grandes lèvres sont gorgées de sang, lisses. Enfin, voilà une femme qui se taille la motte mais ne la rase pas. Voilà un ventre de vraie femme, pas un ventre de bébé. Il y a du poil. Et là, au milieu des nymphes ciselées dans la nacre rose, je vois un filet liquide.

Il écarte les lèvres, regarde attentivement, scrute longuement, s'émerveille :
Que c'est beau. Dis c'est pour moi ? Ilm faut que j'introduise un doigt dans ton petit con. Il y plein de jus gluant.J'en pique sur mon index, ça sent bon la femelle. Ma chérie (sic) tu mouilles déjà. Viens.

Il se couche sur le dos, tête vers moi, pieds vers l'entrée du salon.

- Viens sur moi. Continue à me sucer et présente ta cramouille pour que j'y boive ta cyprine abondante. Viens que je te lèche et que je suce ton bouton.

Le soixante neuf s'engage sur le canapé. Les bras de Greg enserrent les hanches, attirent à sa bouche gourmande le bas ventre et le sillon qui court de l'anus ouvert par la position jusqu'au renflement du clitoris. J'entends les bruits humides de la langue et de la bouche qui agacent les chairs si tendres.Il se goinfre le salaud, ma présence ne freine pas sa soif. La croupe balance de droite à gauche, de bas en haut sous l'influence des succions. A l'autre extrémité la tête dépeignée s'agite autour du sexe gras enfin à sa merci. En l'engloutissant la femelle en chaleur étouffe ses gémissements de jouissance.

Que le temps est long. Par bonheur le maniement de mon smartphone, l'enregistrement des preuves irréfutables de mon cocuage me font oublier l'étendue de la tromperie. Quand ensuite Elvire va se placer au-dessus du gros pieu, ajuste son vagin sur le gland, se penche vers les pieds de Greg et glisse lentement du gland vers le scrotum, je vois son corps envahi s'unir complètement à celui de l'amant. C'est fait, je suis cocu. Elle lui appartient même si elle se plaint de la douleur provoquée par le fort écartèlement de son vagin jamais aussi distendu.

- Tu as mal ? Un peu ? Ca va aller. Repose toi un instant. Après nous bougerons. Je t'adore. Tu aimes ?

- Oui, mais qu'est-ce que tu es gros et dur.

-On reprend. Lève top un peu, retombe, bouge. C'est bien, va
Ca a duré une heure encore. Elvire s'est balancée sur l'essieu planté en elle, elle s'est essoufflée, toujours pénétrée mais à cheval et tournée vers le visage de ce partenaire nouveau. Elle l'a reçu en levrette, elle a été défoncée pattes en l'air, pieds sur les épaules de Greg ou pieds en appui sur les reins de ce mâle en rut qui la chevauchait furieusement. Ce quinquagénaire a fait preuve d'une incroyable endurance, lui a arraché je ne sais combien d'orgasmes. Dans le feu de l'action elle a crié "j'aime" ou "je t'aime", comme folle d'amour, comme transportée dans un monde splendide où le plaisir seul règne constamment. Elle a demandé grâce, elle n'en pouvait plus.

- Tu m'as épuisée. Ca commence à brûler. Pitié.

-Alors, a-t-il demandé, ça t'a plu? Tu as aimé ? C'était mieux qu'avec lui ? Reconnais que je suis le meilleur !

- C'était fort, c'était fameux. Tu m'as comblée. Tu es formidable
- Donc tu vas divorcer et m'épouser. Je te donnerai du plaisir, je te donnerai une situation, tu seras riche, tu auras tout ce que tu voudras. Ce soir tu lui dis que tu le quittes et tu viendras dans mon lit pour une nouvelle fête. Tu veux que je lui dise que tu veux vivre avec moi ? Je peux le faire tout de suite, si tu le veux.

- Mais Greg, Jean est mon mari. Je me suis liée à lui jusqu'à ce que la mort nous sépare.

L'argument est trop faible pour convaincre l'amoureux:.
- Des mots, rien que des mots! Cela n'a pas de sens... Puisque c'est moi qui te fais jouir vraiment et que lui ne me vaut pas. Quitte le, épouse-moi.

Rien moins que le mariage. Greg sort l'artillerie lourde, veut frapper fort et gagner.

- Greg, ce n'est pas ce que j'ai dit. Oui; tu es un amant fantastique, mais mon Jean est un excellent mari. Jamais je ne quitterai l'homme qui me rend habituellement heureuse depuis notre mariage. Le sexe est important, mais ce n'est pas tout, et, à la réflexion, Jean n'est pas aussi défaillant que tu le dis. Sa verge est moins épaisse que la tienne, mais il sait s'en servir pour mon plus grand bonheur. Non, je ne veux pas divorcer, quelles que soient tes qualités amoureuses. Que diraient les gens ? Ma réputation, mon métier, mes parents...Je te remercie pour ces moments merveilleux, j'en garderai un bon souvenir. Tu me promets beaucoup de choses. L'amour de Jean compte plus que tout ce que tu pourrais me donner.

- Quand même, avoue que tu as hurlé tes orgasmes, que tu m'as dit que cela n'avait jamais été aussi puissant, que tu voudrais ça toujours. Avec moi c'est possible. Tu le criais...

- Je suppose que c'est ce que les femmes crient quand elles jouissent. J'ai certainement crié la même chose quand Jean me baisait. Non, encore merci pour cette expérience unique. Quittons-nous bons amis. Tu me dois deux cents euros.

- Je t'en donnerai mille la prochaine fois. Ne me laisse pas tomber, je t'aime
- Merci. Trouve une autre fille libre. Tu as tout ce qu'il faut pour gagner le coeur d'une gentille veuve
- Et si je disais à ton mari ce que tu as fait avec moi ou si je lui parlais de ton travail de bonne dans un bordel ?

- Mais, tu es odieux. Te rends-tu compte de ta méchanceté ? Non, tu ne feras pas ça ! Pas toi.

- Je vais me gêner ! Ou alors, trouvons un compromis. Garde ton mari et prends-moi comme amant . Une fois par semaine, à ta convenance, tu feras l'amour avec moi, comme aujourd'hui, ou
- C'est un vilain chantage. Je te prenais pour un gentleman.

- Je suis un gentleman. Tu seras une femme doublement heureuse, aimée par ton mari ignorant de nos rapports et adorée de moi. Allez, donne moi un dernier baiser. Réfléchis bien

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