Ma femme candauliste est obsédée des gros calibres, la suite

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme candauliste est obsédée des gros calibres, la suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2019 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme candauliste est obsédée des gros calibres, la suite
Cela fait un moment que mon couple bat de l’aille, en plus j’ai récemment découvert que ma femme me trompée. Nous nous sommes liés d’amitié avec Phillipe, un de ses fournisseurs, à tel point que nous dinons l’un chez l’autre et que nous nous voyons aussi pendant les vacances. Quand j’ai compris leur manège, j’ai confronté le couple illégitime au cours d’une soirée chez nous.

Laurence a finit par m’envoyer que lorsqu’elle a vu son fournisseur en slip de bain, elle a pas pu résister à un mat de cette taille. J’ai profité de la situation pour que nous fassions un plan à trois des plus torride ( voir « Première tromperie de ma femme »). Je ne pensais pas, qu’à la suite de ce moment, notre vie de couple prendrait un telle tournure.

En effet, j’ai été plutôt surpris, quand hier ma femme m’a parlé d’essayer des queues de plus en plus grosses. Mais elle a insisté pour que j’assiste à ces moments intimes avec des étrangers à notre couple. Elle m’a mis un peu au pied du mur parce qu’elle avait déjà fixé un rendez vous pour aujourd’hui avec un black, plus jeune que nous mais surtout extrêmement bien monté.

A cause d’un rendez vous qui s’éternise, j’ai raté les mises en bouche de ce menu qui m’excite depuis qu’elle m’en a parlé. Mais je suis arrivé juste à temps pour voir ce mat d’ébènes, long d’au moins 25 cm et tellement large que ma Laurence n’arrive pas à en faire le tour avec sa main, perforer la chatte de mon épouse. Tout ça devant mes yeux, alors que je suis dans un fauteuil avec un verre de whisky mis à disposition par femme avant mon arrivée.

Il la ramone dans différentes positions, lui procure plusieurs orgasmes et quand elle finit par le chevaucher, il en profite pour déjà ouvrir son cul avec deux doigts. Ils finissent par jouir ensemble, il lâche tellement de jus que je vois des filets blancs couler du sexe de ma femme toujours rempli par cette queue presque hors normes.

Une fois qu’ils ont un peu repris leurs esprits, l’homme se lève et vient se présenter à moi, il s’appelle Charles. Sa politesse dans un tel moment m’étonne mais la suite encore plus. En effet il se dépêche de retourner vers ma femme en lui disant:« Allez ma belle, il va falloir me remette d’attaque pour que je te prouve que tu as bien un cul à black. »Je retrouve le coté obsédé de ma Laurence, comme pendant les premières années de notre couple, quand je la vois se jeter avec gourmandise vers ce mat ramolli.

Elle l’empoigne avec ses deux mains pour le branler mais surtout pour le remettre droit et embrasser son gland. Elle profite qu’il soit encore assez flasque pour le prendre en bouche et en avaler le plus possible. Mais cette expérience est assez courte car il reprend rapidement une bonne vigueur. Charles se penche sur ma femme pour lui caresser le dos.

Rapidement ses grosses mains descendent vers le cul de Laurence pour lui malaxer les fesses. Dans cette position je n’arrive pas à voir s’il la doigte ou pas mais je préfère imaginer que oui. Entre ce spectacle et l’odeur de sexe qui règne dans notre chambre conjugale, je bande comme un fou. Je glisse ma main dans ma fermeture éclair et commence à me caresser.

Laurence se met à tousser, la queue de Charles doit prendre trop de place dans sa bouche et l’étouffer. Immédiatement ses mains quittent le corps de ma femme et son sexe sa bouche. Il l’entraine vers le lit, s’allonge sur le dos et la place sur lui en 69. Elle se remet, tout de suite, à sucer son amant du moment alors qu’il lui écarte les fesses à deux mains.

Pendant que je vois la bouche de ma moitié monter et descendre sur ce mat noir et bien gonflé, je le devine lécher le petit trou devant lui. J’adore bouffer le cul de ma femme, sentir son petit trou s’ouvrir sous mes léchouilles, la sodomiser lentement avec ma langue et y rentrer le plus profondément possible. Du coup je me décale pour mieux admirer la croupe de Laurence et ce qu’il lui fait.

Charles à le visage enfoncé entre les deux globes fessiers de Laurence, il doit être entrain de faire rentrer et sortit sa langue dans sa rosette. Son visage recule tout doucement, il ouvre bien le cul devant lui avec ses mains. Il crache sur le petit trou et maintient la raie bien ouverte avec une main pendant qu’il donne ses doigts à lécher à femme.

Laurence suce l’index, le majeur et l’annulaire de son amant, comme elle le faisait juste avant avec sa queue que maintenant elle branle. Elle est dans un état d’excitation et de déchaînement incroyable. Ce qui est bon dans le fait d’offrir sa femme à un autre, c’est qu’on peut vraiment admirer sa moitié prendre son plaisir. Quand on est tout les deux porté par le feu de l’action, je ne peux pas profiter à ce point de ses expressions de plaisir.

Quand il fait revenir ses doigts vers les fesses de ma femme, je suis le mouvement. Evidement ma gourmande de femme a repris en bouche le sexe d’ébènes et lui malaxe en même temps ses grosses couilles. Je la connais assez pour savoir qu’elle a aussi envie de lui caresser les fesses mais elle n’ose pas, dommage pour lui.

Charles pose deux de ses doigts humides sur le petit trou devant lui et commence à le masser. Laurence a un cul très accueillant, il a donc aucun mal à les enfoncer délicatement dans ses entrailles. Une fois qu’ils sont bien au fond il reste un moment planter, je ne sais pas si ses doigts sont immobiles ou tournoient dans le cul de ma femme, mais j’espère la deuxième solution.

Au bout d’une ou deux minutes, je vois ses doigts ressortir tout doucement. Une fois qu’ils sont dehors, il les redonne à lécher à ma femme qui adore sentir ses sécrétions intimes. Pendant ce temps il maintient son trou bien ouvert avec sa bouche. Comme tout à l’heure, avec sa main sèche il ouvre bien la raie devant lui mais cette fois il pose ses trois doigts entre les fesses de ma femme.

Il lui masse longuement la rondelle, bien qu’elle est la bouche pleine Laurence gémit de plus en plus. Charles a plus de mal à les faire rentrer alors il commence par en enfoncer deux bien au fond et les refait sortir et quand il n’a plus qu’une phalanges en elle il introduit son annulaire pour pénétrer les trois au plus profond des entrailles de ma femme.

Elle est obligé de recracher la queue de son amant et pousse un petit cri qui montre à quel point elle peut être salope. Charles la ramone vigoureusement, sa main de libre libère la raie de Laurence pour lui claquer les fesses. Après la troisième fessées, alors qu’elle s’est remis à le sucer il pense à voix haute:« J’en étais sûr »
Au bout d’un moment de 69 endiablé où il lui ramone le cul avec sa main en lapant régulièrement la chatte et que ma femme lèche chaque centimètre de son costume 3 pièces, Charles se dégage. Il place ma femme à 4 pattes sur le lit et fait presque rejoindre la tête et les genoux. Laurence est dans une position très excitante et son amant du moment remet son index, son majeur et son annulaire dans les entrailles de mon épouse.

Je le vois même tenter d’y rentrer son pouce mais à défaut il enfonce son auriculaire. J’aime beaucoup doigter le cul de ma femme mais je ne suis jamais allé plus loin que 3 doigts, vu comme elle réagit maintenant je le regrette. Je suis excité comme jamais et encore plus quand j’entends Laurence crier, entre deux gémissements:« Vas-y! Encule-moi! Défonce moi la rondelle! »
En plus de 15 ans de vie commune je ne l’ai jamais entendu parler comme ça. Charles astique son manche pour le préparer à la sodomie, j’arrête de me caresser à travers mon boxer et sort ma bite pour être plus à l’aise. Alors qu’il la doigte toujours je l’entends dire:« Toutes les femmes fantasment d’avoir une telle queue dans leur cul mais tu es veinarde car toi tu peux! Tu as vraiment un cul à black! »
Puis Charles retire ses doigts un à un et pose son gland pour titiller la rondelle de ma femme. Il se cale bien entre ses fesses, il demande à ma femme de pousser et appuie sur la base de son champignon pour l’enfoncer dans ses entrailles. Son gland commence à disparaitre sous les cris de Laurence, c’est un mélange de plaisir et douleur. Elle s’excite dans tous les sens et hurle:« Ouiiiiiiiii…. Aiiiiiiiiiie….. Arrêêêêêêêêête…. Non continuuuuuuuuue…. »
Elle ne sait plus ce qu’elle dit et veut mais Charles a déjà fait passer son gland et continue de la pénétrer progressivement mais lentement. Je me rapproche, la bite à la main, pour bien voir le cul de ma belle se dilater sous le mat d’ébène de son amant. Quand sa queue est bien engagée il la lâche et pose ses mains sur les hanches de ma femme.

Il continue de s’enfoncer tout doucement alors que ma femme continue de manifester ses sensations qui on l’air bien puissantes. Elle a la tête enfoncé dans un oreiller et ses doigts serrent le draps de plus en plus fort. Une fois qu’il a bien la moitié de son sexe dans le cul de ma femme, Charles s’immobilise et lui demande:« Alors! »
Laurence ne répond pas mais je l’entends respirer très fort et continuer à gémir. Du coup son amant continue de s’enfoncer en elle tout aussi délicatement malgré le gabarit. Mon épouse gueule de plus belles alors Charles se tourne vers et moi et m’ordonne:« Fais la taire! Enfonce lui ta queue dans la bouche! » Comme je ne devais que regarder je ne sais pas trop quoi faire mais en voyant Laurence relève la tête et son sourire jusqu’aux oreilles, je m’approche d’elle et lui présente mon sexe.

Elle avale immédiatement mon gland et passe sa langue dessus, sans oublier de descendre sur mon frein. Dans cette position je ne vois plus la sodomie mais je continue à imaginer le pieux de Charles qui déchire le cul de ma femme jusqu’à ce que ses couilles viennent taper la moule de Laurence, sûrement très humide. Il reste un moment immobile avant de commencer à la limer.

Rapidement, Charles monte à son tour sur le lit, pour encore mieux posséder le cul de ma femme. Ses coups de rein sont de plus en plus rapides et violents du coup ma femme me suce de moins en moins bien. Quand il commence à la fesser je n’ai plus le droit qu’à des petits coups de langue, donné au hasard. Je décide de laisser mon épouse à son plaisir et je retourne voir l’action en me déshabillant totalement sur le chemin.

En voyant ce mat d’ébène entrer et sortir à un rythme fou du cul de ma femme et quand je remarque comme ses fesses sont rouges, je ne peux m’empêcher de me branler. Charles décule complètement, sa queue est recouverte d’un liquide visqueux. Laurence mouille du cul quand je la doigte ou la sodomise mais jamais à ce point!

Il repositionne son gland, bien au milieu des globes fessiers qui sont devant lui et s’enfonce dans les entrailles de ma femme d’un coup sec en lui arrachant un nouveau cri. Sa queue rentre entièrement en elle et ses couilles viennent taper sa chatte avec un bruit de flaque. Il la ramone immédiatement à rythme bien sauvage et reprend les fessées. Laurence semble bien plus qu’apprécier ce traitement, en effet elle ondule son corps et crie son plaisir comme une folle. J’espère que la nouvelle voisine l’entend et pense que c’est moi qui la fait hurler comme ça.

Je retourne vers la tête de ma femme que j’attrape entre mes mains. Sans que je ne lui demande rien, elle ouvre la bouche et je l’empale sur ma queue. Bien que je me branle dans sa bouche, elle continue de gémir comme une chienne. Alors que son amant se penche sur elle pour investir l’autre trou de mon épouse avec ses doigts, il gémit de plus en plus fort et dit:« Salope! T’es vraiment une bonne cochonne! Ton petit cul va me faire jouir! »
Il lui martèle les entrailles comme un marteau piqueur et lui fait je ne sais quoi avec sa main. Je vois le corps de ma belle se granuler et je sens que même sur son visage, elle a la chair de poule. Je m’excite encore plus dans sa bouche et je sens que sa langue participe de plus en plus. J’aimerai que ses mains s’occupe de mes couilles ou mes fesses mais vu ce qu’elle subit je ne lui demande même pas.

En moins de 5 minutes de ce traitement, Charles annonce qu’il va lâcher la sauce. Il décule et empoigne à deux mains son énorme bâton alors que je continue de baiser la bouche de ma femme qui garde la position. J’adorerais admirer son petit trou complètement ouvert mais mes yeux ne décolle pas du sexe de son amant qui se branle au dessus d’elle.

Il envoie un premier jet tellement puissant qu’il arrose mon ventre et les cheveux de Laurence. Les suivants s’écrasent sur son dos et les deux derniers sur les fesses de ma femme. Je n’ai jamais vu un homme jouir autant et devant la vision de l’arrière de ma femme totalement maculé par la jouissance d’un autre, je me vide dans sa bouche.

Alors que je lâche 5 bonnes giclées, Laurence continue de me sucer en avalant tout mon sperme. Une fois que j’ai la queue qui commence à ramollir, elle me recrache et s’affale sur le lit. Charles est entrain de se rhabiller sans dire un mot et en nous regardant. Je n’ai toujours pas quitter le lit que j’entends déjà ma femme ronfler avec un énorme sourire.

Je me relève et enfile mon boxer, même flasque j’ai l’air ridicule à côté de Charles. Il me sert une nouvelle fois la main et me remercie puis me dit qu’il va nous laisser entre nous. Je le raccompagne à la porte, avant de partir il me demande de remercier ma femme et de l’embrasser de sa part. Quand j’allais fermer la porte, il se retourne et me dit:« Laurence à mon numéro, on se refait ça quand vous voulez! »
Je le salue, ferme la porte à clé et je retourne dans notre chambre à coucher. Quand je rentre une très forte odeur de sexe me monte au nez. En voyant ma femme complètement nue sur le lit et recouverte du sperme de Charles, je sens ma queue frétiller. Je ferme la porte et je vais m’assoir à côté d’elle.

Bien qu’elle dorme, je ne peux m’empêcher d’écarter ses fesses et admirer sa rondelle encore bien ouverte, rouge et gonflée par les assauts de son amant. Dommage qu’elle est déjà avec Morphée parce que j’ai très envie de la sodomiser à mon tour, je vais devoir attendre son réveil. Je viens me blottir contre elle en espérant que nous sommes seulement au début de nouvelles aventures…

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