COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (8/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (8/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (8/8)
Je vous ai quitté alors que Marie me parlait de son père biologique, sa mère s’étant fait inséminer pour la mettre au monde.

Après l’avoir baisée une nouvelle fois, la fistant pour la première fois, elle a repris l’histoire de son père avec un peu de difficulté.
Je suis une femme pour femme avec de l’expérience depuis que j’ai accepté de satisfaire toutes ces dames de la haute, moi qui viens de la banlieue.

- Mon père s’appelait Jean, tu m’excuses, l’appeler papa, voire père comme j’ai toujours dit « mère » à mère m’a été impossible Jean donc s’est assis à ma table.

À partir de ce moment, elle me raconte ce qu’ils se sont dit.
Il lui a expliqué qu’il avait pris conscience de ce qu’il avait accepté de faire quand il avait vu Charlotte le ventre rond.
Il était déjà marié sans enfant.
Ce que Charlotte ignore encore, c’est qu’à la naissance de Marie, il l’avait reconnue comme sa fille.
Il lui a avoué avoir récupéré un mouchoir en papier, un jour où dans un square, elle était avec sa nourrice.
Il avait vu sa fille tomber.
La jeune femme avait nettoyé les gouttes de sang avec, avant de le jeter dans une poubelle.
Il l’avait récupéré et fait faire un test ADN qui a confirmé sa paternité.
Un jour elle a appris son décès, un académicien qui disparaît cela se dit à la télé.

- Surprise, un notaire m’a convoqué.
Hors de sa famille légitime, j’ai hérité de l’hôtel particulier où j’habite.

À ce moment dans notre lit, naturellement depuis que nous sommes ensemble, ma main prend son sein.
Je sais que dans nos pratiques amoureuses, ses seins sont sa principale source de plaisir.
Elle adore que je les lèche longuement.
D’autres points de son corps sont très sensibles, ses pieds.
Mieux son gros orteil gauche, pourquoi lui ?
Des terminaisons nerveuses doivent être directement branchées sur son cerveau.
Jean, l’immeuble, sa maman, son métier.
Quand je descends de ses seins jusqu’à lui, même ma langue sur son nombril a un effet limité.
Comment retransmettre ce qu’elle fait quand je lui prends le pied et que je le suce ?
Elle se tord dans tous les sens, criant à qui veut l’entendre son plaisir.
Cet intermède montre comment notre amour a progressé surtout quand ayant repris nos sens, j’attends la suite de son histoire qui va faire partir de mon histoire.

- Tu me parlais de ton papa, Charlotte semble l’ignorer que c’est lui qui t’a fait son héritière !
- Oui j’ai eu peur qu’elle n’ait du mal à accepter que je le voyais en secret.
Je lui ai fait croire que j’avais fait un emprunt pour me le payer.
Le plus drôle c’est qu’elle a tenu à m’aider et tous les mois, elle me verse la moitié de ce que je suis supposée rembourser.
Avec cet argent, j’ai pris des parts dans notre cabinet d’avocats, Brigitte a eu une mauvaise passe, j’en ai profité, mais il m’est impossible d’être majoritaire.
- Est-elle lesbienne ?
- Oui, mais elle l’ignore, c’est une refoulée, tu me connais j’ai assez de connaissance de notre milieu pour cela.
Elle fait partie des femmes que tu connais bien, tu en rencontres régulièrement, mais elle refuse de s’assumer.

J’arrive donc à ce joli mois de mai ou je reçois un coup de téléphone d’un gendarme sur mon portable alors que Marie est dans mes bras après un autre moment torride passé ensemble.
Je pourrais expliquer ce que nous venons de faire, bien sûr, mes jouets sexuels m’ont permis de la faire grimper au rideau comme elle l’a faite pour moi.

- Êtes-vous Viviane ?
- Oui.
- Connaissez-vous Marguerite, comtesse de la Tour ?
- Oui, c’est une grande amie.
- J’ai le regret de vous dire qu’elle est à l’article de la mort.
Elle faisait faire ses besoins à son chien dans le caniveau quand un camion montant du bas de Salins a fait un écart.
Le chien est mort et la comtesse percutée sans sortant sur le choc.
Elle nous a donné votre numéro pour vous joindre.
Elle vous réclame.

Marie et moi en quelques minutes, avons fait nos valises.
J’ai sorti la voiture de papa du garage souterrain, mis le GPS direction, Salins centre et nous avons pris l’autoroute.
Marie pendant que je conduisais a appelé Brigitte et Charlotte.
Charlotte lui dit qu’elle regarde pour prendre un train jusque dans le Jura.

- Merci d’être venue si vite Viviane.

Marguerite nous parle d’une petite voix, elle a du mal à respirer, nous voyons qu’elle fait beaucoup d’efforts.

- Qui est cette jeune fille, à la regarder, mais oui, tu es la fille de Charlotte mon amie.
Viviane, tu m’as tellement parlé d’elle, par moments j’en ai été jalouse après ce que nous avons vécu.
J’ai rapidement compris que l’amour avait frappé entre vous deux, à mon âge il faut savoir s’effacer.
Je crois que le destin m’a rattrapé.
J’espérais bien vous voir aux prochaines vacances, hélas la montagne qui est tombée sur la tête en a décidé autrement.
Viens à côté de moi et toi Marie de l’autre côté.
J’ai du mal à parler, un de mes poumons est touché.
Je sais que c’est la fin, je voulais te dire plusieurs choses avant de rejoindre ta maman Viviane.
Je souhaite que tu t’occupes de Loulou mon chien, tu leur demanderas à qui ils l’ont confié, ils refusent de me le dire, j’ai peur qu’il ne soit à la SPA.

Ça commence mal, mais mieux vaut éviter de lui dire que Loulou est déjà partie en direction du paradis des chiens.

- Quand je serai partie, prends mes clefs, tu les demanderas à Aline, la petite infirmière qui s’occupe de moi et tu iras chez moi.
Tu iras dans mon bureau, tu trouveras un coffre, voici le code.

Je le mémorise., Marie aussi.

- À l’intérieur il y a l’adresse de mon notaire et les doubles des papiers que nous avons faits.
Tu hérites de tous mes biens, tout est en règle, même les droits de succession, il te reste à signer, je voulais te présenter cela pendant les vacances.
- Marguerite, restez sage, Viviane est entre de bonnes mains, je suis avocate fiscaliste.
- Je verrais avec votre notaire ce que nous pouvons faire pour que Viviane perde un minimum de vos biens.
- C’est bien, une autre chose, depuis que je suis ici, j’ai sympathisé avec mon infirmière.
Je voulais faire venir le notaire.
J’ai promis à Aline que tu l’installerais dans son cabinet d’infirmière privé personnel ici à Salins.
Elle fait partie de nos tendances sexuelles, je l’aurais bien caressée un peu, mais j’ai déjà du mal à vous tenir les mains, les filles.
Enfin, mais ça c’est dans le coffre, je veux être incinérée comme ta maman et je souhaite que mes cendres rejoignent les siennes.
- Sans problème Marguerite, je vais t’avouer quelque chose, lorsque avec papa j’ai ouvert l’urne, une grande partie des cendres de maman sont tombées sur la petite plage de sable près de notre tente.
Nous mettrons les tiennes au même endroit.
Même si avec le temps, tout a disparu, je suis sûre que votre ADN se mélangera pour l’éternité.

Marguerite ferme les yeux, ses mains se détendent et les appareils se mettent à sonner.
Marguerite rejoint maman son amie et son chien.

La cérémonie est sobre, inutile à perdre du temps à décrire toutes les formalités, je parlerai de deux choses.
Côté notaire et grâce à l’aide de Marie, les biens de Marguerite me sont revenus.
Aline qui a accouru quand les appareils ont sonné est dans notre lit entre Marie et moi.
Attention, notre deuil oblige, c’est trois mois plus tard pendant nos vacances que nous avons fait plusieurs choses.

La première Marguerite, du moins, ses cendres reposent sur la petite plage avec en plus les cendres de Loulou sa dépouille conduit chez le vétérinaire et qui attendait ce que sa propriétaire revienne.
Marie a eu une idée respectant la parole donnée concernant Aline.
Papa est ici à Salins dans l’appartement que nous avons fait aménager au premier étage de la maison de Marguerite.
Il a son infirmière particulière qui vit avec lui, du moins jusqu’à son coucher.
Nous avons fait aménager un ascenseur qui permet de descendre son fauteuil roulant.
Il sert à la petite pour le sortir et le promener jusqu’à sa rivière.

Marie et moi n’avons eu aucun mal à amener Aline dans notre lit.
Marguerite avait raison, elle aime les femmes.
J’adore quand je suce la chatte de Marie pendant qu’Aline me suce de son côté.
À trois, nous découvrons des positions impossibles à 2.

Nos jouissances nous les atteignons plus souvent car à tout moment l’une de nous a envie de l’une ou de l’autre.
Mais tout a une fin, même les vacances.
Papa installé, Aline à ses petits soins, bien rémunérée pour vivre près de lui, nous rentrons à Paris avec Marie.

Avant de partir en vacances, j’étais près des bureaux du cabinet d’avocats.
Sortant d’avoir vu une cliente, j’ai fait le chemin pour la rejoindre, j’étais à deux pas.
J’avais vu la plaque sur le devant à côté de la porte.
« Brigitte M. »Sans lui dire, M comme Molière, ça m’a interpellé, j’ai ouvert mon carnet, il y avait des chances que j’aie raison.

- Brigitte Molière !
- Oui, que voulez-vous.
- Êtes-vous la fille de Stéphanie Molière ?
- Oui, c’est maman, que lui voulez-vous, elle est décédée il y a deux ans.

Marie avait raison, elle fait partie des lesbiennes refoulées, je suis une femme pour femme, sans difficulté je l’amène dans son lit.
Je le fais gratuitement sans lui dire que je suis Pacsé avec son associée, c’est un peu traître, mais j’ai un but que je poursuis.

- Tu as l’air anxieuse !

Je lui pose la question à la deuxième soirée au moment où nous dansons ensemble nos chattes intimement collées.
Je sens qu’elle mouille, je suis pute, je vais l’être jusqu’au bout, mais c’est bientôt l’anniversaire de Marie et je souhaite lui faire un cadeau.

Eh oui, je suis une salope, mais quand on aime et que la vie vous en donne les moyens, surtout étant une pute, il faut l’être jusqu’au bout.
C’est dans son lit qu’elle m’avoue avoir joué et perdu.
Je m’engouffre dans la brèche et propose mon aide.

Brigitte 41 % des parts de sa société.
Marie 40 %.
Moi 19 %.

Aujourd’hui Marie réalise son rêve, 59 % contre 41, nous sommes majoritaires.
Nous pouvons continuer nos vies de femme aimant les femmes dans l’esprit voulu par Marguerite.
Je me suis fait une ennemie, je le sais, l’amour prime.


Une série corrigée par ma muse Anne, qu’elle en soit remerciée.

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