COLLECTION ANNE MA MUSE. L’accident. Mon premier black (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. L’accident. Mon premier black (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. L’accident. Mon premier black (1/2)
Ce soir, Chris71 me fait un immense plaisir.
Après deux textes écrits en commun, il me créé une collection spéciale, comme il a une collection parlant de sa jeunesse quand il était jeune mousse à Toulon, Lorient ou Brest.
Sans oublier les deux tours du monde lui laissant de bons souvenirs qu’il raconte dans de nombreux textes.
Ce soir, j’ai un fantasme que je lui ai demandé de mettre en forme, le titre « Mon premier black » donne la nature de ce fantasme.

Je me présente, je m’appelle Anne, j’ai 58 ans, une vie bien avancée mais encore assez jeune pour vivre des aventures comme celles déjà éditées sur HDS.
Je mesure 1 mètre 64 pour 60 kg et je suis très fière de ma poitrine, assez opulente.
Surtout pour mon âge, elle est encore ferme.
Mes seins sont en forme de poire, ils sont un peu lourds je le reconnais, mais se tiennent encore bien.
Je vous dis tout.
Je me fais raser régulièrement, trouvant plus hygiénique ce mont de vénus glabre que la touffe qui m’était poussée à ma puberté.
Parfois en hiver, je la laisse pousser, mais j'en fais un triangle bien net.
Question habillement, étant secrétaire dans une boîte qui emploie de nombreux hommes, sans aller jusqu’à l’indécence, j’aime mes tenues affriolantes.
On me dit féminine.
J'aime porter jupe avec divers hauts ou veste.
Savoir qu’un homme bande pour moi, même si je suis à ce jour inaccessible à tout autre que mon ami légèrement plus vieux que moi, me plait.
Mon ami que je fréquente est encore assez vert pour me satisfaire, mais je le trouve très classique.
J'ai un fils qui vient encore à la maison.
Heureusement son travail, ses activités font qu'il n'est pas trop envahissant.
J’aime faire l’amour avec mon ami qui ne vit pas avec moi, mais j’aime aussi avoir d’immenses fantasmes que Chris71 va essayer de satisfaire.
Voici l’histoire qui découle de ce que je viens de lui raconter.

Je suis chez moi, on sonne à ma porte, je cours pour ouvrir, je sais qui arrive même si je ne l’ai jamais vu.

- Bonjour monsieur, entrez.

Mon fils vient de me téléphoner pour me dire que vous alliez passer me voir. Excusez ma tenue, je sors de ma douche, il ne m’avait pas précisé l’heure de votre visite.
Il m’a seulement dit pour que je ne sois pas surprise que vous étiez noir.
J’ai d'ailleurs été étonnée qu’il me précise votre couleur de peau, je n’ai jamais été sujette à faire des différences entre les hommes, blanc, jaune ou noir.

- En un mot madame Anne, vous n’êtes pas raciste !
- Voilà, vous avez le mot juste.
- Pourtant vous avez mis le mot « blanc » en tête de votre énumération, mais je plaisante, n’ayez crainte.
- Entrez, ce jeune tête en l'air de fils m’a dit ne pas avoir trouvé les constats à l’amiable dans ma boîte à gant, à la suite de l'accrochage qu'il a eu avec vous.

Je vois aussi qu’il vous a donné mon prénom, je me demande qui de nous deux est un âne.

- Je vois que vous aussi avez de l’humour, Anne et âne, il fallait y penser.
- Certes je vous en remercie, comment votre maman vous a appelé ?
- Amadou, madame !

Je m’efface pour qu'il entre.
Je devrais me trouver gênée de recevoir un homme que je ne connais pas avec seulement sur le dos un peignoir.
Celui-ci est en éponge, heureusement, mais il est aussi court, dégageant mes mollets et une partie de mes cuisses nues.
L’odeur de la brousse dont ses ancêtres doivent être issus me saute au nez, j’aime cette odeur poivrée.

- Prenez la première porte à droite, c'est le séjour.

Je vais nous faire couler un café.
Si vous en buvez bien sûr, sinon il doit me rester deux ou trois sachets de thé vert.

- Un café, c’est parfait.
- Asseyez-vous ici !

Le fauteuil sur lequel je le place est à côté de la table basse.
Il a les jambes dégagées et bien visibles dans son jean délavé.
Revenant de la cuisine avec mon plateau, je m’assois face a lui dans l’autre fauteuil.

- Alors expliquez moi, mon fils vous a cassé votre belle auto.

Je viens de la voir dehors, je n’en ai jamais vu de pareille, donnez-moi sa marque !

- Une simple Renault 5 customisée.
- Pardon, Renault 5, c’est une vieille voiture, j’en ai eu une avec mon mari avant que nous nous séparions.
- Une voiture customisée, c’est soit une voiture récente ou une vieille voiture comme la mienne, c’est plus classe.

Nous les désossons, nous changeons les moteurs, pour augmenter la puissance et après, c’est au goût de nos clients.
Nous changeons les pare-chocs et autres rétros, bref tout ce qui est visible.
Pour finir, la nouvelle voiture passe dans l’atelier de peinture où nos graphistes proposent les couleurs et les dessins que vous avez vus sur la mienne.

- Vous dites, nous, nous, nous, vous avez un garage qui fait ce genre de travail ?
- Oui et non, j’ai des parts dans le garage que vous pouvez voir au centre ville. Pour ma part, avec deux autres associés, j’ai deux stations de lavage dont l’une à côté de ce garage.

Nous amenons chacun de nos clients pour qu'ils utilisent nos services.

Après avoir écouté ces explications je me lance.
Je ne sais pas trop comment attaquer, je prends le taureau par les cornes et le tutoyant, je lui pose la question.

- Es-tu marié ?

Le risque qu’il se braque est grand, mais les petits détails de mise en scène que j’ai préparés devraient l'amadouer.
Ils doivent me servir surtout à éviter de payer les réparations de cette voiture personnalisée par mon assurance.
Ajouter la franchise qu’elle déduira et la surcote l’an prochain, mon fils étant en tord dans cet accident.
Je ne roule pas sur l'or, mon budget aurait du mal à le supporter !

- Marié, surtout pas, j’aime trop les femmes pour les épouser et leur mettre un fil à la patte.
- Je vous comprends, mais je pense que vous avez de nombreuses conquêtes.
- Oui, c'est vrai mais on s'en lasse vite quand ce sont des jeunes qui n'ont aucune expérience.
- Mais elles au moins sont belles, ont une peau ferme, des seins toujours très dressés.
- Cela ne fait pas tout.

Je vous étonne peut-être en vous disant que je préfère les femmes mûres.
Je suis aux anges, il tombe lui-même dans mes filets.

- C’est intéressant, je ne m'attendais pas à ce qu’un jeune homme comme vous me dise cela.

Une femme mûre, ce sont des seins qui tombent, des rondeurs mal placées.

- Mais aussi une grande expérience par rapport à de petites dindes.


Disant cela, je me lève.
Je suis arrivée au point de rupture qui va me faire tout gagner si je continue à jouer le jeu intelligemment.
Je réduis la distance naturelle sous couvert de lui donner sa tasse, je laisse mon peignoir s’ouvrir naturellement.

- Pardon, mon peignoir me trahit, mais si je vous ai bien entendu, vous appréciez ?

La tête de ce grand garçon aux grands yeux et surtout sa corpulence mesurant 1 mètre 80 pour un peu moins que le quintal.
Les deux pans se sont écartés, faisant deviner la vallée entre mes seins et me permettant de lui montrer ma chatte épilée.
Cela faisait partie de mon plan imaginé quand Jean, mon fils, m'a relaté son accident et informé de la venue de cet homme.

- Tu permets.

Après ce que tu m'as dit, puis-je te proposer de régler cette affaire à l’amiable, si je suis à ton goût ?
Je devais être rouge de honte, mais je suis aussi excitée en prononçant ces mots.
Je profite de la surprise affichée sur son visage, je me penche et j’avance ma bouche vers ses grosses lèvres noires.
Il ne me les refuse pas, sortant lui-même sa langue qu’il me fourre bien profond dans ma bouche, au contact de la mienne.
Le moment d’étonnement vite passé, il avance ses mains et fait tomber mon peignoir.
Il se saisit de mes deux seins, qui se dressent face à lui, ses mains commencent à les caresser.
Mes tétons réagissent, mes aréoles très sombres se fripent.
Ma poitrine semble lui plaire, comme ma bouche.
Mes mamelons sont aux anges.
Tout le temps où je me suis préparée, espérant en arriver là, j’avais fantasmé sans penser que ce serait si génial.
Surtout que devant moi, comme mes mamelons, la bosse dans son pantalon commence à se développer, la pauvre, vivement que je la fasse sortir.
Vais-je avoir la chance qu’elle soit, comme mon rêve me la présentait, longue et grosse ?
Je m’agenouille devant lui.
C’est lui qui dégrafe son jean, fendu comme les jeunes d’aujourd’hui, à la hauteur de ses rotules.
Il le descend à ses genoux, comme mon fils, pas de slip, pas de caleçon, je le sais, je lave son linge parmi tous les désagréments que mon Jean m’apporte.

Sa verge saute en l’air lorsqu’elle est libérée.
Le manque de sous-vêtement doit faciliter les choses chaque fois qu’ils se font une meuf, c’est comme cela que mon fils me parle de ses copines.
Comme je l’ai dit parlant d’un Tanguy, à 25 ans, il est loin d’être mature et semble se complaire à vivre chez maman, je dirais même aux crochets de maman.

Pour la première fois, je découvre ce sexe noir.
Terrible !
Elle est légèrement plus longue que celle de mon amant Paul.
La principale différence, se trouve au niveau du gland qui est nettement plus gros.
J’avais envie d’une verge noire comme celle que je lèche en ce moment, mais aussi éviter de payer les réparations.
Je suis comblée, après avoir touché cette queue de couleur.
Je m'attendais à ce qu'elle soit encore plus longue et plus grosse, comme on le raconte dans des histoires.
Ce n'est pas le cas d'Amadou, son pieu est plus grand que ce que je connais, sans être impressionnant.
Par chance, le secrétariat de mon entreprise attendra, heureusement, je suis en vacances cette semaine.
Comme je l’espérais, sa queue développe loin de ce que j’avais imaginé, mais elle est bonne tout de même, je vais du gland aux couilles et en remontant, ma langue tourne autour de son gland.
J’ai une chance tout de même, ce gland est très gros, un centimètre de plus de largeur que la tige qui le porte, je dois reconnaître ne jamais en avoir vue de telle tige.
Ma bouche finit par descendre tout au long.
J’ai souvent sucé mon mari, mon ami actuel aussi, mais le passage de cette masse allant jusqu’au fond de ma gorge est nouveau.
Quand elle ressort, je bave comme jamais et je dois passer ma main pour lui nettoyer la bite.
Je recommence plusieurs fois, je sens que je suis à la limite de recevoir sa semence au fond de ma gorge.
Il doit le sentir lui aussi.
C’est Amadou qui me relève, il s’allonge légèrement sur son fauteuil et m’aide à me positionner.
Je m’assieds sur lui, en écartant mes cuisses.
Je suis face a lui, on se regarde, c’est sa verge qui me pose un problème.
Elle est si dure, qu’il la couche pour mieux la remonter et me la fourrer entre mes lèvres intimes.
Je suis tellement mouillée, trempée, dégoulinante qu'elle entre facilement au fond de ma chatte.
Il est légèrement moins bien monté que je ne l’espérais venant d’un noir, mais ce gland épais que je sens glisser divinement, écartant mon conduit avec facilité comme je l’ai dit, étant une vraie fontaine.
Je lui entoure le cou, avec mes deux bras, je plonge mon regard dans le sien et c’est comme cela que nous commençons à bouger.
Son regard est intense tout le temps où je suis encore assez lucide avant que mes yeux ne tournent et que le plaisir se déclenche en moi.
Je ferme les yeux, je ne sais plus où je suis.
Je gémis, je crie, c'est intense comme jamais.
Il y a des semaines que je n’ai pas été sautée de cette façon.
Avec mon ami Paul, c'est classique, rapide, au lit, lui sur moi à la missionnaire.
Quand cela va-t-il se passer la prochaine fois ?
Il est encore en moi et déjà je pense à une autre fois.
Je l’ignore, je me demande si je ne rêve pas, aussi je veux profiter à fond de cette verge réalisant une partie de mon fantasme, un sexe noir en moi !
Il explose, je sens le sperme s’échapper sur les côtés de mon sexe quand je redescends mon bassin jusqu’à ses couilles.
Il a dû décharger une grande quantité.
J’ai l’impression d’être la seringue d’une infirmière quand avec son piston elle vous injecte son produit et que votre corps est dans l’impossibilité d’absorber toute la quantité du liquide.
Je ne peux retenir les ah, ah, ah qui ponctuent notre coït.
C'est vrai que je suis très bruyante quand je jouis. Plusieurs fois je me suis demandé si mon fils ne m’entendait pas.
Ma tête tombe sur son épaule, je ne vois pas s’il a récupéré, moi je suis à plat.
Je me garde de bouger, sa main venant entourer ma nuque, comme pour me donner sa tendresse après ce moment de folie.
Plusieurs minutes passent avant que j’émerge enfin.
Je redresse ma tête, je suis heureuse. J’ai été baisée divinement sur ce fauteuil et sa bouche qui reprend la mienne me fait penser qu’il a aimé.

- Eh bien ma salope, toi quand tu veux quelque chose, tu sais l’obtenir.

Dis, soit franche, tu espérais que ma queue serait comme celle décrite par beaucoup dans des histoires, longue et grosse ?
Tu as vu, tu as senti, elle est normale, sauf le gland un peu disproportionné. Elle t'a bien fourrée et fait jouir, avoue.

- Je dois reconnaître avoir beaucoup aimé, tu es un merveilleux amant !

Nous sommes toujours assis face à face, son sexe en moi.
Je sens que sa vigueur est intacte, c'est incroyable, il n'a pas débandé.
Il avance ses grosses mains, de vrais battoirs, il les met sous mes fesses et recommence à me pistonner la chatte en me soulevant et me laissant retomber.
Pour lui mon poids ressemble à des plumes, il est tellement musclé.
C’est la première fois qu’un homme recommence à me baiser cinq minutes après avoir déchargé une première fois.
Je n'ai jamais connu cela.
Il m'a baisée deux fois, son sexe a bien écarté mon vagin qui doit être bien ouvert. Dommage qu'il ne se soit amusé avec mes mamelles qu’avec parcimonie !
Il me relance dans une course folle, une chevauchée fantastique.
Quel homme…


Merci à Anne l’héroïne de cette histoire pour ses corrections.
Le chapitre deux, va vous monter que son fantasme peut se réaliser.

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Texte coquin : COLLECTION ANNE MA MUSE. L’accident. Mon premier black (1/2)
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