Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : masturbation et hypersexualité.

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : masturbation et hypersexualité. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2019 dans la catégorie Fétichisme
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : masturbation et hypersexualité.
Avertissement : au cours de ces derniers mois, j'ai trouvé un nouvel équilibre entre Philippe et Agun et une meilleure maîtrise de mon hypersexualité.

Je vais donc espacer ces publications, dans la mesure où l'essentiel de ce que j'ai pu vivre au cours de toutes ces années a déjà été relaté.

Il y aura cependant encore quelques textes, qui ne suivront pas forcément la chronologie, à commencer par celui-ci qui concerne la masturbation féminine. J'ai écrit ce texte comme un clin d'oeil à une de mes plus fidèles lectrices, avec qui j'ai évoqué le sujet en privé. Elle se reconnaîtra.

Depuis mon plus jeune âge je me masturbe : il ne se passe pas une journée, sauf quand je suis indisposée, où je ne pratique pas ce plaisir qu?on appelle à tort solitaire. Car chez moi, la pratique est loin d'être seulement solitaire, à la fois par goût de l'exhibitionnisme, mais aussi pour offrir mon plaisir à mes partenaires.

MA PLUS ANCIENNE PRATIQUE

J'ai déjà raconté comment, à peine adolescente, j'avais, à leur insu, surpris mes parents en train de faire l'amour. J'ai, par la suite, sans être repérée, épié les ébats de l'un avec ses nombreuses maitresses et de l'autre avec son amant.

J'ai longtemps pensé que les gémissements, les cris, que j'entendais, les traits du visage déformés, que tout cela exprimait une souffrance, provoquée par ce long morceau de chair qui s'enfonçait dans l'intimité de la femme. J'ai fini par comprendre qu'il ne s?agissait pas de souffrance, mais de plaisir.

Je ressentais alors une vive jalousie, ayant développé un complexe d'Electre : j'aurais voulu être à la place de ces femmes. Et en même temps, je ressentais une pulsation constante, ma petite culotte était mouillée. Mes lèvres intimes devenaient grosses, la peau picotait. Pour me calmer, je caressais instinctivement mes petits seins, étonnée que leurs pointes se durcissent ainsi. Je respirais profondément pour essayer de contrôler ces pulsions. Cela se renouvelait à chaque fois que j'assistais à ces scènes interdites.

La seconde fois que cela m'est arrivé, j'ai cru que j'avais fait pipi dans ma culotte, quand j'ai senti une humidité chaude. Je ressentais une bouffée de chaleur, avec des picotements dans mon clitoris, et ça augmentait l'humidité. C'était comme une pulsation dans la vulve qui n'arrête jamais.

C'est peu après que j'ai découvert l'endroit où était rangée la clé de la bibliothèque familiale. J'ai fini par trouver ce qui devait rester hors de ma portée : les nombreux ouvrages érotiques de la bibliothèque familiale, dont beaucoup étaient en Français, ce qui n'était pas un obstacle, ayant toujours été bilingue.

J'ai déjà raconté combien furent importantes pour moi ces lectures, notamment celle d'Emmanuelle et du Déclic, la bande dessinée de Milo Manara. C'est qu'à cette époque, il y a près de trente ans, internet n'était pas accessible. J'attendis d'être seule à la maison pour pouvoir lire tranquillement dans ma chambre ce qu'on avait voulu me cacher.

Ce fut le premier tome du Déclic qui provoqua ma première « vraie » masturbation. A la vue de ces images, je sentis ma culotte se tremper et à nouveau cette excitation entre mes reins.

Tout d'abord, je fis de simples pressions sur mon clitoris, à l'aide de mon jeans, cela me fit tellement de bien que, dans les minutes qui suivirent, par mimétisme, je me suis mise nue, allongée sur mon lit. Je me caressais le ventre, en imaginant que j?étais à la place de la belle Claudia.

Je fis descendre ma main jusqu'à ma chatte et commençais de longs va et viens sur mes lèvres, ma chatte était trempée de mouille. Je trouvais ces dessins terriblement excitants. J'aurais voulu être la protagoniste de ces scènes. Je pensais aussi à celui dont je jalousais les maîtresses et l?épouse et avec qui je rêvais de devenir une vraie femme.

Allongée sur mon lit, les jambes écartées mais tendues, je commençais des pressions plus violentes sur mon clitoris, j'entendais le bruit de mes doigts trempant dans ma cyprine. Je ne voulais pas que ce plaisir intense s'arrête, jamais.

Ma respiration devint de plus en plus courte jusqu'à disparaitre totalement, laissant place à de petits gémissements, puis à des cris sonores de jouissance. Ma cyprine coulait à flots, mes draps en étaient trempés ainsi que les doigts de ma main droite, mon visage était devenu écarlate, mes muscles se contractaient avec violence, le plaisir explosa dans mon ventre, arrachant un dernier hurlement de plaisir, de joie : ce fut mon premier orgasme et il avait été violent !

Ma respiration redevint calme, je fermais le livre, je me rallongeais nue dans mon lit. Je laissais le plaisir se dissiper et la chaleur du jour m'emporter dans un profond sommeil, qui fut rempli de rêves érotiques. A mon réveil, je me doigtais encore et j'eus à nouveau de puissants orgasmes. J'avais découvert le secret du plaisir et réalisé que j'étais capable d'enchaîner les orgasmes.

Ce sont les scènes interdites, ces lectures et un complexe d'Electre non assumé qui ont fait de moi une hypersexuelle et une pratiquante assidue de la masturbation.

CHAQUE JOUR OU PRESQUE

Rapidement, je me suis rendue compte que plus je me masturbais et plus j'en avais envie. J'étais devenue insatiable en matière de masturbation. Depuis cette découverte, et sauf dans les moments où je suis indisposée, j'ai toujours pratiqué la masturbation. La découverte de mon hypersexualité, à l'occasion de mon dépucelage, n'y a rien changé, pas davantage que les périodes où j'ai donné libre cours à mon hypersexualité, ni celles où j'ai été sous la coupe de mâles dominants comme Rachid, Hassan ou N. et pas davantage en étant l'épouse de Philippe.

Je ressens le besoin de me masturber, à plusieurs moments de la journée. J'aime plus que tout que ce plaisir dit solitaire soit partagé, et notamment avec celui et celle avec qui je partage ma vie.

OFFRANDE DU MATIN A L'HOMME QUE J'AIME

J'ai toujours ressenti le besoin de me caresser le matin, manière de commencer la journée par un premier orgasme, au réveil et pas seulement quand mon sommeil a été peuplé de rêves érotiques.

Depuis près de 20 ans que je vis avec Philippe, j'aime lui offrir ce premier plaisir solitaire : ma jouissance le réveille et il adore d'en être le spectateur, sachant qu'ensuite je vais pratiquer sur lui une autre de nos traditions du matin, celui de notre première fellation de la journée.

Voici comment cela se passe en général : mon chéri dort encore, profondément, comme un bébé. Je l'ai sans doute épuisé hier soir, parce que j'avais envie de lui encore et encore.

Je le regarde, me disant que je suis heureuse de partager ma vie avec un homme qui a compris ma nature, encourage mes besoins et qui m'aime tant. Je m'approche pour déposer un léger baiser sur ses lèvres et résiste à la tentation de poser ma main sur sa verge, pour la caresser et la prendre en bouche. Je le ferai, mais plus tard. Ce sera mon plaisir qui le réveillera.

En général, je dors nue. Je repousse les draps. Je caresse mon ventre doucement, puis mes seins. Depuis mon éveil à la sensualité, mes petits seins ont toujours été une zone particulièrement érogène. C'est d'ailleurs parce que Philippe lui avait confié ce secret que Rachid, alors un total inconnu, avait pris possession de moi dans l?ascenseur de mon immeuble.

Mes cuisses s'écartent. Je sens une vague de chaleur emplir mon ventre et mon entrejambe, mes tétons se dresser. Une main sur chaque sein, je les caresse, je pince mes tétons, je ferme les yeux.

A voix basse, pour ne pas déja le réveiller, j'appelle Philippe, j'implore ses caresses, j'ai envie de sa langue sur mon corps, qu'il vienne sucer mes tétons. Alors je les pince plus vite, plus fort.

Mes cuisses s'écartent encore plus. Mon minou dégouline d'envie. Alors ma main droite quitte ma poitrine, ma main gauche doit alterner sur chaque sein pour qu'aucun ne soit en reste.

Ma main se fait exploratrice, mon ventre d'abord, puis mes cuisses, elle passe de façon furtive sur mon sexe sans s'arrêter, puis délicatement elle se fraie un chemin entre mes lèvres.

J'alterne caresses sur les lèvres et masturbation du clitoris. Ma respiration se fait haletante, et, en fermant les yeux, j'imagine cette fois que Philippe est en train de fouiller ma chatte de sa langue, comme il l'a fait si bien la veille au soir.

La paume de ma main gauche se plaque sur mes tétons, que je maltraite pour les faire pointer encore plus. Mon autre main s'active entre mes cuisses, et passe et repasse sur mes lèvres, puis je pénètre ma chatte béante et trempée d'un doigt, puis deux.

Je rêve d'être prise et j'avoue qu'à ce moment-là ce n'est pas forcément à Philippe que je pense.

Je suis de moins en moins discrète, de moins attentive à ne pas réveiller l'homme qui dort à mes côtés.

- Oh oui, prends-moi, baise-moi !

Je plonge mon majeur jusqu'à toucher ce point si sensible dans une courbure de mon vagin.

Une fois ce point sensible touché, l'envie se fait insoutenable. Ma main gauche caresse mon sein avec impatience, ma main droite branle mon clitoris, jusqu'à atteindre le paroxysme de mon plaisir. Je me retiens, car je ne veux pas encore jouir.

Ma main gauche quitte mon sein pour prendre la main de Philippe. Je serre fort ses doigts, au fur et à mesure de la montée de mon plaisir. Je veux lui offrir ma jouissance.

Il s'est réveillé, me sourit. Il ne sait plus trop quoi faire ! Me laisser continuer ou me prendre ? Philippe est presque pétrifié tant il me désire et tant il trouve ce spectacle magnifique.

J'accélère, il sent que je me lâche, que je me prends au jeu en l'oubliant totalement. Mes mains vibrent sur mon clitoris et de ma bouche sortent des petits gémissements qui le rendent fous.

N'en pouvant plus, il se relève, se met nu à son tour, matant mon corps nu que relève le peu de lumière venue de la rue. Il voudrait plaquer son corps au-dessus du mien pour venir en moi ! Mais je le repousse en lui disant juste :

- Attends, mon amour ! Regarde !

Alors il attend, à genoux à côté de moi, en distinguant mon corps et mes mouvements, en écoutant mon souffle. Son regard est empli d'amour et de désir. Il apprécie mon offrande.

Il prend son sexe dans sa main et lui aussi fait aller et venir doucement son poing le long de son membre tendu.

Philippe connait nos rites. Il sait qu'il doit me laisser me finir, que ce plaisir c'est à lui que je le dédie. Je resserre les cuisses. Mon corps se tend. Je retiens mon souffle jusqu'à rester plusieurs secondes en apnée ! Philippe sait que je vais jouir, que je ne peux plus résister davantage.

Je suis tendue à en exploser. Je m'excite comme une folle sur mon sexe.

Ma main droite se fait encore plus pénétrante en ma minette. On entend les petits clapotis caractéristiques. Je jouis, je jouis, le corps totalement tendu, tremblante, vibrante, dans un râle à la fois profond et aigu.

En fermant les yeux au moment d'exploser enfin, je vois des étoiles par centaines :

- Oh ouiiiii ! Philippe, je t'aime !

C'est seulement à ce moment-là que Philippe vient m'embrasser fougueusement. Il bande très fort, sachant que, dans un instant, je vais enfin m'occuper de lui, que ma bouche va prendre possession de sa verge en érection jusqu'à ce qu'il se vide dans ma bouche, connaissant à son tour un orgasme dévastateur.

EN JOURNEE : UN BESOIN ET UNE THERAPIE DE RESISTANCE

En journée, la fréquence dépend de l'endroit où je me trouve et de la situation sexuelle dans laquelle je suis à ce moment, pour parler clair si je suis plus ou moins en manque.

Il est évident que le besoin de me masturber était particulièrement fréquent quand je voulais nier mon hypersexualité, devenir une épouse fidèle et que je refusais obstinément les invitations candaulistes insistantes de Philippe. Il en a été de même, jusqu'à ces derniers mois, lors de ces périodes que nous appelons de « disette », que nous nous imposons pour réguler mon hypersexualité.

Il est incontestable que la masturbation, pratiquée en journée, apaise ma frustration.

Ce fût aussi le cas lorsque j'étais l'épouse d'Hassan et que celui-ci m'avait de fait enfermée, placée sous surveillance, avec la volonté d?être le seul à assumer mes besoins sexuels.

A la maison, et en particulier quand je suis seule, l'exercice des plaisirs solitaires ne pose aucune évidemment aucune difficulté. Seul Hassan, qui m?avait surprise un jour, a tenté de m?en empêcher. Je souhaite parler de cet épisode qui a particulièrement dégradé mes relations avec mon second mari.

Hassan était rentré plus tôt que prévu et avait entendu des gémissements depuis ma chambre.

Fou de rage, pensant que j'étais avec un amant, il ouvrit brutalement la porte, pour me découvrir nue, sur le lit, en train de me fourrer un énorme gode dans la chatte. Ce qu?il voyait confirmait que, malgré ses talents incontestables d?amant, il ne me suffisait pas. C?était pour lui une humiliation.

- Salope ! Ma famille avait raison à ton propos : tu es une malade ! Je ne te suffis pas ?

- Non, tu ne me suffis pas ! Tu m'interdis de rencontrer d'autres hommes, laisse-moi au moins cela !

- Pas question, arrête-ça tout de suite !

Il se précipita sur moi, arrachant sans ménagement le gode, me faisant ainsi un mal de chien. J'ai tenté de résister, il se montra très brutal. Je le défiais :

- Salaud ! Viens au moins me finir, si tu es un homme !

Il blêmit sous l'injure. Je voyais dans ses yeux qu'il avait une furieuse envie de me battre :

- Pas question ! Tu n'es qu'une kahba, une nympho. C'est Rachid, Kamel et Sofiane qui avaient raison et moi j?avais tort de penser que tu étais digne d?être mon épouse et la mère de mes enfants ! Mais désormais tu es mon épouse, la mère de ma fille, tu vas te soigner de grès ou de force !

Il revint avec des cordes et, après une brève lutte où je l'ai abondamment griffé et mordu, il me ligota sur le lit, les mains derrière le dos, puis entreprit la fouille de la maison, à la recherche des godes et autres vibro-masseurs, mais aussi des lectures érotiques, cassettes et DVD X, qu?il envoya à Philippe. Il m?annonça également qu?il supprimait l?accès à Internet.

- Je m'en fiche ! Tu ne pourras pas me laisser ainsi attachée en permanence et quand tu seras absent, je me soulagerai ! Et puis, il y a bien d?autres moyens de me faire du bien. Supprime aussi à la cuisine les bananes ou les carottes, entre autres !

Depuis notre soirée de mariage, où j'étais redevenue la maîtresse de Philippe, je ne cessais de provoquer Hassan, voulant le pousser à bout.

Hassan essaya de lutter contre mon envie de me masturber, en donnant des instructions strictes à sa cousine Hassna, qui me servait de cerbère.

- Hassna, non seulement je ne veux pas qu'elle puisse rencontrer d'autres hommes, mais il faut l'empêcher de se donner du plaisir toute seule. Elle attendra mon retour pour que je m?occupe d?elle, afin que je lui fasse le plus vite possible un autre enfant, ça la calmera.

Tout cela était inutile, comme furent vaines ses tentatives de me faire soigner, en m'obligeant à consulter un psychothérapeute. Je refusais de prendre les traitements médicamenteux genre antidépresseurs et anxiolytiques qui inhibent la libido.

Le soir venu, Hassna devait lui avouer son échec, elle ne pouvait tout de même pas m'empêcher d'aller aux toilettes, où je ne manquais pas de me soulager, sans la moindre discrétion, soucieuse de la défier elle mais surtout Hassan qui prétendait régir ma plus profonde intimité.

Le soir venu, Hassan, furieux du rapport que lui avait fait sa cerbère, me prenait avec la plus grande brutalité, sans se soucier de mon plaisir, avec pour seul objectif de me féconder. Il mettra un bon moment avant de comprendre qu'en cachette je prenais des contraceptifs, refusant ce destin de ventre qu'il avait choisi pour moi.

CARESSES ET METHODES

Pour pratiquer, je n'ai pas besoin de penser à des situations érotiques ou de fantasmer sur un amant, même si cela est souvent le cas. Pas davantage d?avoir recours à des lectures érotiques, à partir de la bibliothèque de Philippe, aussi fournie que ne l'était celle de mon père.

J'avoue cependant que je ressens beaucoup d'excitation en rédigeant mes textes sur HdS, de même qu'en découvrant ceux de certains auteurs. J'en profite pour vous recommander tout particulièrement la lecture des récits de Micky. J'ai entrepris de relire toutes ses publications, je ne peux le faire sans que ne me vienne l'envie de me caresser !

Ce sont mes doigts qui connaissent le mieux les endroits qui déclenchent mon excitation puis mon orgasme, mes tétons, mon clitoris, ma chatte.

J'avoue cependant pratiquer fréquemment ce que l'on appelle le « humping ». C'est d'ailleurs une pratique que j'ai beaucoup utilisé lorsque je vivais avec Hassan, qui n?avait pas conscience de mon imagination dans ce domaine.

Le « humping » est une technique de masturbation sans les mains, qui consiste à frotter son sexe contre une surface pour en retirer du plaisir. « Humping » est un terme anglais qui veut dire « bosse ». Une partie des femmes utilisent cette technique de masturbation avec un coussin roulé ou en utilisant la lingerie portée bien qu?il existe de multiples surfaces utilisables et utilisées. Une scène du film « Black Swan », où Nathalie Portman use de cette pratique, est devenue culte.

Ce terme désigne aussi l'action de se frotter contre la jambe de son/sa partenaire durant les préliminaires. C'est également une technique masturbatoire entre filles aussi, mais là, elle prend un autre nom : le tribadisme, cette action de deux femmes se frottant le sexe mutuellement pour en prendre du plaisir dans la position (entre autres) appelée « le ciseau ». C'est une de mes pratiques préférées avec Agun.

J'aime aussi, dans ces moments, avoir recours à des vibro-masseurs ou à des godemichets.

C'est dans la chambre de ma mère que j'ai découvert mes premiers godes. Je compris plus tard qu'avant de se résoudre à tromper mon père, qu?elle adorait, elle avait essayé de contrôler ses envies avec ces engins. Profitant d'un moment où j'étais seule dans la maison, j'avais entrepris une fouille minutieuse de sa chambre et j'avais découvert dans un tiroir deux godes, dont l'un était d'une taille que je n'ai retrouvé plus tard qu'avec certains de mes amants les mieux pourvus, comme Rachid, Ahmadou ou Hassan.

CE N'EST PAS TOUJOURS L'ENDROIT NI LE MOMENT

Le fait d'avoir besoin de me donner du plaisir en journée n'a pas été toujours simple à vivre, lorsque je suis en dehors de chez moi.

Le cinéma, dont j'ai déjà parlé, ou les toilettes d?un centre commercial, d'un restaurant, d'un lieu public, sont alors les bienvenues pour me soulager.

J'ai aussi raconté, dans le récit 53, publié récemment, les difficultés que j'ai rencontrées lors d'une tentative de reprendre une activité professionnelle.

Je ne pouvais, de temps en temps, m'empêcher de me rendre aux toilettes pour me soulager, en me masturbant, tout en veillant à réprimer tout gémissement de plaisir. Je m'efforçais d'être discrète, du moins je le croyais, à tort, car une de mes collègues, Monique, avait repéré mon manège et découvert la raison de mes passages aux toilettes, un jour où je m'étais laissée aller à ne pas contenir ma jouissance. Ce fut cela qui a été largement à l'origine de ce qui s'est passé avec Denis, mon supérieur hiérarchique et qui m'a amené à renoncer à ce poste, après avoir eu une relation adultère avec lui.

MASTURBATION ET EXHIBITIONISME

La masturbation est, d'évidence, un plaisir solitaire. Certes, mais j'aime tout particulièrement le faire en présence de témoins, ce qui renforce mon plaisir et ma jouissance.

J'ai raconté récemment (récit 51) cette nuit de 2014, où de retour de nos vacances, Philippe m'a offerte à sept routiers en rut, pour mon plus grand plaisir et le sien.

POUR L'AMOUR D'UNE FEMME

De même que j'aime offrir mon plaisir à Philippe l?homme de ma vie, de même la masturbation occupe une place particulière dans ma vie de couple avec Agun. J?ai voulu raconter quelques épisodes récents de notre vie de couple.

Comme je l'ai expliqué (récit 52), nous ne vivons pas ensemble, nous essayons de nous voir à chaque fois que possible, grâce en particulier à Philippe. Les moments où nous sommes ensemble sont donc particulièrement précieux et intenses.

Je le répète : dans nos moments d'intimité, il n'y a que plaisir et un immense amour. J'aime passionnément Philippe. Mais j'avoue n'avoir jamais été autant amoureuse que je ne le suis d'Agun.

Personne ne m'a donné autant d'amour, ne s'est montrée aussi désintéressée, sans rien demander pour elle. Quand nous sommes séparées, le sentiment de manque est immense. Et personne ne me donne autant de tendresse et de plaisir. Dans les bras d'Agun, je ressens moins le besoin d'autres hommes que Philippe. Par contre je souffre des jours où je n'ai pas droit aux caresses de ma chérie. Je suis amoureuse. Follement amoureuse.

AMOUR ET MASTURBATION

C?était un soir où j'étais allée chez elle, Philippe prenant soin des enfants.

Nous étions dans le noir, allongées sous la couette, nues comme des vers.

Nous nous étions déjà longuement aimées et nous étions censées dormir.

Je la sentis se retourner pour se mettre sur le dos. Et de manière quasiment imperceptible je sentis ses mains bouger sous le tissu de la couette et de toutes petites vibrations dans le lit. Puis doucement j'entendis son souffle se faire plus fort. Ma chérie se masturbait, pensant que je dormais.

Agun ouvrit les cuisses jusqu'à ce que son genou vienne toucher ma cuisse. A ce moment, dans l'obscurité, je l'imaginais cuisses grande ouverte, nue, offerte, avec sa main caressant son sexe, à la recherche d'un plaisir que je ne pouvais lui donner, étant censée dormir

Cette image, la douceur de la scène, tous ces petits bruits et mouvements que me révélaient mes sens en alerte, contribua à renaitre en moi mon désir pour ma femme.

Ma main écarte doucement ses cuisses et s'approche de son sexe.

- Je t'ai réveillé ! Pardonne-moi, mon amour, je pensais que tu dormais. Je me caressais en pensant à toi, au bonheur que j'ai d'être ta femme.

- Ecarte les jambes, mon amour ! Je te veux !

Je caresse les seins d'Agun dont je sens les tétons durcir. J'embrasse et caresse tout ce corps qui m'appartient. Ma bouche s'approche du sexe de ma compagne.

Lorsque ma bouche accapara son sexe et qu'elle sentit ma langue sur son clitoris, Agun fut parcourue d'un énorme frisson. Agun secoue la tête, folle de plaisir, tant elle ne peut résister à mes caresses et en particulier quand je lui bouffe la chatte.

A un moment, je lui glisse un doigt entre ses fesses.

- Tu aimes ça on dirait, ma belle ! Tu es bien serrée. Un jour je demanderai à un mâle de t'enculer, j'ai envie de voir ça !

- Je ne veux que toi, tu le sais. Oh c?est bon mon amour, continue !

Agun se détend et sent mon index humidifier, glisser dans son anus. Je suis décidée à amener Agun à l'orgasme. J'accélère la rotation de mon index ainsi que les mouvements de ma langue sur le clitoris.

Agun est maintenant dans un état second. Elle sent tout son corps frémir. Soudain quelque chose d'indescriptible se produit en elle. Son corps se raidit, il est comme traversé par une onde inimaginable de plaisir. Ses mains appuient sur ma tête. Elle serre les dents pour ne pas hurler. C?est comme si son crane allait exploser.

Elle ne se contrôle plus. Elle est en train de connaitre un formidable orgasme. Après ce qu'elle avait cru durer une éternité son corps se détendit. Elle était en nage et se lova dans mes bras :

- Oh, Olga, c'était indescriptible. J'ai cru que ça ne finissait pas. Tu me tues de plaisir : quand j'ai joui, c'était comme si mon crane allait exploser Je suis à toi, je suis ta femme, je t'aime.

Nous nous sommes enfinendormies dans les bras l'une de l'autre et c'est ainsi que Philippe, venue me chercher, nous a trouvées le lendemain matin, hésitant à nous réveiller et à briser cette union totale de deux êtres.

SURPRISE

Ce soir-là, il y a quelques mois, Philippe avait amené les enfants (sauf le petit dernier que je gardais et qui dormait profondément) chez la baby-sitter et s'était rendu chez Théodora (qui ne l'avait pas encore quitté).

Je pensais que j'étais seule, j'étais dans ma chambre, je me masturbais comme souvent. Je fermais les yeux pour jouir mieux et surtout avoir des images qui me donnaient plus de plaisir. Soudain quelqu'un s'assoit au bord de mon lit. J'ouvre les yeux.

Une jolie surprise signée Philippe : je vois dans la pénombre Agun qui, comme moi, est nue. Elle se caresse le con en me regardant amoureusement.

Elle me prend la main et la pose sur mon sexe.

- Continue à te donner du plaisir, mon amour. C'est si beau. Nous allons jouir ensemble, avant de faire l'amour !

Sans réfléchir, entraînée par le désir de jouir, je recommence ma masturbation. Je la regarde et elle se branle aussi. Nous nous offrons mutuellement notre plaisir, tout en nous disant des mots d'amour.

Nous nous connaissons si bien, nous savons accorder le rythme de notre plaisir comme deux violons. Voyant qu?elle va venir, j'accélère mes caresses. Comme prévu, nous jouissons ensemble, nos cris de plaisir se mêlent.

Agun vient dans mes bras, sa tête sur mon épaule et ses lèvres cherchent les miennes, sa langue prend possession de la mienne.

Nous nous embrassons à en perdre le souffle.

- Phom rak khun (je t'aime), mon Olga

- Moi aussi je t'aime, ma perle. Tu m'as manqué ! Je ne peux pas me passer de toi.

Agun met la main sur mon clitoris et, sans attendre, commence une bonne masturbation. Agun sait si bien me branler: je jouis sous ses doigts rapidement. Elle n?arrête pas là ses caresses: elle me doigte le con d'abord et le cul ensuite.

Agun pose sa tête sur mes cuisses, les écarte et sa langue vient chercher encore une fois mon clitoris. Je veux retarder ma jouissance. Elle pose deux doigts sur mon cul et les rentre facilement tellement j'étais mouillée. Cette fois encore je jouis.

Elle veut maintenant sa part.

Je me tourne vers elle qui me tend les lèvres et je l'embrasse fougueusement. Je lui caresse les seins et enfin je pose ma main sur son con. Je cherche à peine son bouton et je le branle. Elle jouit en me demandant encore. Je recommence, elle jouit encore et encore et me demande de la sucer.

Je lui passe ma langue sur toute sa fente. Je sens sur ma langue le goût de sa cyprine. Je trouve enfin son clitoris. Je le lèche et l'entendais me dire oui, oui, oui, sans arrêt.

Je la sens jouir et là elle pousse un cri de jouissance.

Elle me demande :

- encore un peu, s'il te plaît, mon amour

Je recommence à la sucer. Elle gémit en me disant encore des oui sans fin, pour finalement pousser son cri, une nouvelle fois: Ouiiiiii !

GODE ET DOUBLE GODE

Une dernière et récente anecdote avec Agun. Je suis venue chercher Agun à son travail pour que nous allions chez elle. Nous avons la soirée pour nous, Philippe s'est organisé.

Nous marchons un peu, enlacées amoureusement, ne nous souciant pas des regards réprobateurs que certains nous envoient.

Cela fait plusieurs jours que nous ne sommes pas vues, devant nous contenter du téléphone et des nombreux messages échangés. J'estime que nous sommes allés loin du lieu de travail d?Agun.

Je ne peux plus attendre. Après 10 minutes de marche, Agun se pose contre un muret et me confie que, pendant son travail, elle n'avait pas cessé de fantasmer, en nous imaginant elle et moi seules, nos corps l'un contre l'autre, chauds et transpirant de désir.

Aujourd'hui, je sens que nous allons partager des moments encore plus complices et plus torrides que d'habitude. Je sens que ma chatte est humide et ouverte, que mes tétons sont durcis par le désir.

Je me rapproche d'elle, ouvre son imperméable pour lui caresser le bras et lui dit que l'idée de sentir son vagin et ses beaux seins d'un 90B dans ma bouche me faisait aussi mouiller.

Elle m'attire contre elle, m'embrasse et me murmure qu?il ne faut pas attendre plus longtemps pour satisfaire nos désirs. Nous ne faisons pas attention au « sales gouines » que nous lance un passant.

On rejoint l'appartement d'Agun, qui est à quelques kilomètres de là, en taxi.Le chauffeur nous mate, mais on s'en fiche.

Durant le trajet, ses mains se baladent déjà sous ma jupe et elle m'embrasse langoureusement avec ses douces lèvres. Nous arrivons à son immeuble et prenons l'ascenseur.

À mon tour, je lui caresse le vagin en passant ma main dans son string et je sens à quel point elle a envie d'être pénétrée. Arrivées à sa chambre, nous nous dirigeons vers son lit, tout en s'embrassant. Sa langue dans ma bouche, je sens le désir m'envahir. Je lui lèche le cou et descend vers sa poitrine. Je finis de la déshabiller et commence à lui lécher les seins tout en caressant son clitoris. Elle gémit et mouille de plus en plus. A son tour, elle me déshabille et nous nous retrouvons nues. Nos regards expriment désir et amour.

Elle me demande de prendre les boules de Geisha qui se trouvent dans un tiroir de son dressing. Je lui ai offert toute sorte de jouets sexuels, pour qu'elle puisse se soulager quand nous ne sommes pas ensemble. Nous aimons aussi, l'une et l'autre, faire l'amour au téléphone. Pendant que je me retourne vers elle, elle se masturbe et nous nous lançons des sourires complices.

On s'embrasse à nouveau et je commence à introduire les boules qui n'ont pas de mal à glisser dans son vagin car elle mouille comme je ne l'ai jamais vu mouiller.

Tout en ayant son sein dans ma bouche et en lui léchant le téton, je lui retire le jouet, petit à petit puis d?un seul coup qui la fait pousser un cri de jouissance.

Je vais chercher un autre sextoy : une ceinture godemiché.

Agun m'attire contre elle et me retourne pour que je me mette à quatre pattes.

Elle me fait un cunnilingus. Elle se penche pour me lécher le vagin, tout en enfilant la ceinture.

- Ma chérie, dans notre couple, d'habitude, c?est moi qui te prends !

- Aujourd'hui, mon Olga, c'est moi qui vais te baiser. Je vais te défoncer, comme le ferait un mâle, comme tu aimes !

Elle continue à me lécher et une fois qu'elle m'a bien fait mouillée, elle se met également en levrette pour introduire le gode en moi. Après quelques minutes, j'ai un petit orgasme. Elle me lèche le dos et sort alors un gode à deux têtes qui était placé sous son lit.

On s'assoit, l'une face à l'autre et nous introduisons le jouet dans nos vagins. On se regarde l'une et l'autre se déhancher et savourer le plaisir.

Au bout d'environ cinq minutes, nos regards se remplissent d'extase et nous avons ensemble un formidable orgasme

Les avis des lecteurs

@ Thallium, pour éviter aussi des dégâts collatéraux, j'aime qu'un mâle gicle sur moi. Sur mon visage, mes sens, mes cheveux. Et avant tout dans ma bouche pour avaler le précieux nectar.

Histoire Erotique
Olga,

Alors tu aurais eu de quoi nettoyer tu sais. Je te sais du genre à laisser les jouets propres après ton passage. Je t'imagine une main sur ta chatte en ce moment et je rebande...

Thallium

@ Thallium, beaucoup!

Histoire Erotique
Hum Olga,

Si je te dis que tu me pervertie et que je me suis laisser aller a me masturber en lisant ce texte. Ca te fait plaisir non?

Thallium

Je suppose au sens biblique du terme, cher Ghislain!

Histoire Erotique
Très bien relaté.
Très excitant .
J'aurais bien aimé 'connaitre' Olga
Ghislain

C'est exact, Arthur

Histoire Erotique
Une pratique étroitement liée à ton hypersexualité
Arthur

c'est pour moi si important et depuis mon adolescence

Ce texte est une ode à l'onanisme.
Bravo : vous redonnez les lettres de noblesse à la masturbation ......
c'est magnifique !!!

@ Yacine, oui j'aime offrir mon plaisir à mes partenaires

Histoire Erotique
J'ai eu le privilège de te voir te donner du plaisir. C'est de toute beauté.
Yacine

Merci Claude!

Histoire Erotique
Ce que j'aime, c'est la façon dont tu offres ton plaisir aux gens que tu aimes, Philippe et Agun
Claude

Histoire Erotique
Les scènes de masturbation que tu rapportes dans ce récit sont torrides!
Claude

Oui Marion c'est exactement cela, je pense que tu as bien compris. Oui, c'était voulu et par celui auquel tu penses

Histoire Libertine
@ Olga, merci, je suis allée relire les récits où tu parles de cela et suis arrivée à la conclusion que ce n'est pas par imprudence ou par hasard que tu as pu assister à ces scènes, ni que tu as pu accéder à ce que tu appelles "l'enfer" de la bibliothèque familiale.
C'était voulu. Quelqu'un a voulu que tu découvres ces choses, je devine qui et pourquoi, on se comprend, je respecte ta volonté de ne pas en dire plus ici pour des raisons évidentes.
Sache seulement que j'ai connu la même chose. Tu as mon adresse mail, car j'aimerais t'en parler.
J'ai compris que ton addiction à la masturbation, ton exhibitionnisme et au final viennent de là. Chaque parcours est particulier. Dans mon cas je ne suis pas devenue hypersexuelle et je vis une situation conjugale classique. Ton cas s'explique à mon avis pour une raison bien précise, mais je prèfère qu'on en parle de vive voix.
Bises
Marion

Oui, Manon, par les lectures qui furent les miennes alors, à cause des scènes que j'ai découvertes. Je ne peux pas en dire davantage

Histoire Libertine
Je comprends que tu ne puisses en dire davantage, mais j'ai le sentiment que ton addiction à la masturbation est étroitement liée à ton complexe d'Electre.
Manon

Oui Sarah, très important, comme c'est aussi le cas du texte sur mon exhibitionnisme

Histoire Libertine
Un texte qui, je pense, est important pour te comprendre.
Sarah

C'est exact, même si je pratique la tolérance

Histoire Libertine
De rien Olga

On vient pour lire des histoires erotiques et non pour porter 1 jugement de valeur. Ceux à qui ça ne plait pas ils ont qu'à aller voir ailleurs !!!!!

La chipie

Merci à Christine et La Chipie!

Histoire Libertine
@ Olga, pas de soucis! La chipie a parfaitement résumé les choses: Philippe et toi, vous avez trouvé un équilibre qui permet à une épouse hypersexuelle et un mari candauliste d'être heureux. Alors que les nuisibles vous fichent la paix!
Christine

Histoire Libertine
Au vu de ta manière de parler ça ressemble plus à 1 langage de mac que celui d'un mec épris de la gonzesse !!!!!

De toute façon elle est heureuse avec Philippe, lachez leur la grappe !!!! Elle a 1 mari et 1 femme à la maison plus des enfants . Olga et son mari sont conscients de ce qu'ils font donc soit vous lisez et vous appreciez soit vous rendez votre tablier et vous laissez tomber !!!!

La chipie

NB : avant de nettoyer la merde sur le paillasson des autres occupez vous de votre propre paillasson !!!!

Histoire Libertine
@ Kamel, paie toi notre tête en plus! Tu voulais, en faisant basculer Olga dans la nymphomanie, systématiser ce que Rachid faisait occasionnellement. Et bien évidemment au prétexte de laisser Olga vivre pleinement sa libido et ses pulsions!
Christine

Pardon ma Christine, je n'ai pas remercié, toi qui fût, dans ces moments difficiles ma confidente et qui m'a tant aidé!
@ Kamel, il n'y a pas que vis-à-vis d'Hassan que tu dois te sentr coupable!

Histoire Erotique
@ Olga, pas de soucis, je sais que tu es honnête et que tu diras comment les choses se sont passées, sans me ménager bien sur ( j'ai déjà dit que je n'étais pas fier de ce que j'ai fait alors, en particulier vis-à-vis de mon frère) et sans te ménager toi-même, et c'est ce que tu as toujours fait dans tes récits.
@ Patrick, Christine et les autres, je ne suis pas un mac. J'aurais voulu faire d'Olga ma meuf, vivre avec elle et lui laisser développer tout son potentiel.
Kamel

Un grand merci à Patrick, Luc et La chipie! Un point supplémentaire pour Kamel: je ferai ce récit plus tard, mais qu'il s'attende à ne pas être ménagé!

@ Jeanne, pourquoi me détestes tu autant? C'est Philippe qui n'a pas voulu de toi, je ne l'ai pas contraint!
@ Kamel, je n'ai pas peur de raconter en effet ce qui s'est passé!

Histoire Erotique
@ Kamel, jouir, vous n’avez décidément que ce mot à la bouche. Inutile de le répéter à tout de bout de champ dès que vous parlez d’Olga et vous. C’est un fait, certes, sur lequel Olga n’est jamais revenue dessus, me l’a confirmé. Et alors ? C’est quoi pour vous ? Un mot magique, un argument parfait pour tout justifier ? Non, ce n’est rien de tout cela, que ce soit pour vous d’ailleurs comme pour quiconque. Penser cela c’est se tromper lourdement. Mais de toute évidence, c’est votre cas puisque cela semble toujours vous empêcher de mesurer la gravité de vos actes lorsque vous faisiez chanter Olga.

Ce que vous avez désiriez, ce n’est pas Olga, c’est son corps. Qui elle a été, est, et sera ne vous intéressait en aucune façon. Tout ce que vous vouliez, c’était abuser de son corps, mot choisi à dessein, selon votre seule convenance. Vos intentions envers elle n’étaient pas celles d’un homme envers sa femme, mais d’un souteneur qui désirait transformer Olga en une bonne gagneuse.

Vous ne comprenez toujours pas comment Olga peut être mariée à Philippe, malgré votre piètre vision de ces compétences sexuelles ?

Esprit, cœur, corps, c’est ma Sainte Trinité pour nouer une véritable relation avec une personne. Pour m’expliquer, je vais définir succinctement et peut-être maladroitement ces trois points. L’esprit est la capacité à intéresser, stimuler, nourrir, éveiller l’autre dans bien des domaines. Le cœur est la capacité à ressentir des sentiments profonds, à les exprimer, les partager, les faire naitre. Le corps n’est pas l’aspect physique, mais la présence physique, c’est l’impression que cela inspire quand on est auprès de l’autre, les sensations des contacts des deux corps, parmi lesquels la sexualité fait partie. Cette trinité est différente selon chaque individu et ne vous en déplaise, si une partie de votre aspect corps s’accordait avec Olga, pour ce qui est du cœur et de l’esprit, l’écart me semble bien être abyssal. Celui qui remplit tous ces critères pour Olga est Philippe, peu importe la vision du corps que vous pouvez avoir de lui, et la réciprocité est vraie. C’est pour cela qu’ils forment toujours un couple uni malgré les vicissitudes de la vie.

@ Jeanne, encore cette glorification de la violence ? En quoi le fait qu’Hassan ait cherché à modeler Olga selon sa vision qu’il voulait d’elle, reniant ainsi presque tout ce qui la définissait, en usant de la force physique, chimique, ou psychologique est-il une bonne chose ? Je ne sais pas ce qui est le plus dur à supporter, celui qui commet l’acte ou celui qui l’applaudit et l’encourage.

On ne change pas quelqu’un ainsi, en aucune façon et peu importe les motifs. Si on veut le faire, il faut avant toute chose s’assurer que l’évolution souhaitée soit pour son bien et non seulement le sien. Ensuite, et seulement ensuite, il faut écouter, discuter, débattre, argumenter. C’est un processus délicat et qui peut être parfois très long, mais c’est le seul. Un comportement aux antipodes de celui d’Hassan.

Patrick

Histoire Erotique
Mon intention était de provoquer Kamel, pour qu'il se révèle tel qu'il est. J'avoue que son cynisme m'a pourtant époustouflé!
Le summum c'est de voir Jeanne la moralisatrice " soutenir" Kamel, Rachid et Hassan et, bien entendu, tout mettre sur le dos d'Olga. On sait pourquoi: Philippe a repoussé ses avances et, ça, Jeanne ne le pardonne pas à Olga
Luc

Histoire Libertine
@ Kamel: on peut facilement imaginer ce qu'étaient tes projets pour Olga, si elle était devenue ta "meuf" comme vous dites entre vous. Nul doute que tu aurais été encore plus loin que Rachid pour profiter d'Olga
Je me retiens de dire ici ce que tu es!
Christine ( en colère)

Histoire Erotique
J'invite Olga à raconter quand elle le voudra ce qui s'est passé lorsqu'elle était mariée à Hassan et que je suis devenu son amant.
J'ai reconnu que j'avais profité de la situation (et que j'en étais pas fier), tant à l'époque de Rachid et qu'il m'avait confié l'organisation des séances à la cité, que lorsque mariée avec Hassan, elle était en manque.
Olga est honnête, je l'invite à reconnaitre dans ces deux situations qu'elle a pris son pied.
@ Patrick, vous avez raison, je la voulais pour moi. J'ai désiré cette femme dès que je l'ai vu, la première fois où Rachid l'a amené à la cité. J'avoue que j'ai été jaloux de Rachid, puis d'Hassan. Oui mon rêve était qu'elle devienne ma meuf et je lui apportais tout le plaisir dont elle a besoin, vu le potentiel que j'avais pu constater dans ces après-midi à la cité
Kamel

Histoire Libertine
@ La chipie, je n'ai rien dit sur ce coup-là! Mais puisque vous m'interpellez, je dis que la responsable c'est Olga, pas Kamel ou même Rachid, ils n'ont fait que d'aller dans son sens.
J'ai beaucoup de sympathie pour Hassan, qui a utilisé en vain la manière forte pour la soigner, c'était peine perdue, c'est dans la nature d'Olga
Au lieu de le remercier, elle l'a trompé honteusement!
Jeanne

@ La Chipie: merci! Un petit clin d'oeil, ne réveillons pas cette chère Jeanne, elle nous fiche la paix depuis un moment :-)

Histoire Libertine
Vu que je ne suis pas diplomate 1 brin je salue les plumes de Patrick et Luc. Je les en remercie car c'est exactement ça.

Kamel comme les autres ont été nocif pour Olga et son couple.

Dame Jeanne tais toi la tu comprends mieux , tu emmerdes le monde, lache l'affaire c'est 1 site d'histoires erotiques, ce n'est ni harlequin ni les bisounours !!!!

La chipie

@ Patrick: merci pour cette analyse complète et juste!

Histoire Erotique
@ Kamel, vous parlez fort à propos d’addiction et c’est bien ce que Rachid avait su si habilement construire dans le couple d’Olga et Philippe. Comme bien des addictions, oui, elle et lui y prenaient du plaisir, là-dessus aucun ne le nie. Seulement ce qui est déplorable est cette situation qui a créé justement ce que je vais appeler un effet tunnel. Rachid les poussait trop vite pour qu’ils voient ou prennent pleinement conscience de tous les à-côtés, les insultes blessantes, les dénigrements, etc. En ce domaine, vous avez été un acteur bien trop important, un complice de cette addiction.

Quant à ce qu’il s’est passé entre vous et Olga durant l’union de votre frère avec elle, l’opportunité qui s’est présentée, comme vous dites, a été de se servir de sa détresse physique et émotionnelle dans laquelle elle se trouvait pour arriver à vos fins, mais le pire reste la suite. Lorsque vous avez découvert qu’Olga retournait auprès de Philippe, la vérité n’est pas de dire que vous n’avez pas osé le révéler à votre frère, mais que vous avez trouvé là un moyen de pression sur Olga et que vous l’avez fait chanter pour recommencer à coucher avec elle. On est alors sorti du cadre de l’abus de faiblesse pour passer à un acte encore plus horrible. Oserez-vous seulement le nommer ?

Je connais bien sûr la réponse que vous allez me faire face à une telle accusation en me disant qu’elle jouissait. C’est une réponse parfaitement irrecevable. Face à ce type d’agression, la victime peut offrir un panel de réactions très varié. Pour atténuer ce qu’elle vivait, pour ne pas être blessée plus qu’elle ne l’était déjà par l’acte que vous la forciez à accomplir, Olga passait outre toutes ces choses, s’abandonnait corps et âme et jouissait.

Concernant Hassan, je vais le dire comme je l’ai interprété, et qui ne me semble pas très loin de la réalité. Olga n’a pas aimé Hassan "l’homme", elle a aimé Hassan "le libérateur du joug de Rachid". N’importe quel homme extérieur aux événements qui aurait su chasser Rachid de la vie d’Olga et Philippe aurait été accueilli presque en héros. Pour parler en image, un champion sauvant la belle du méchant. Hassan a eu une importance d’autant plus forte qu’il a su redoutablement faire jouir la belle, mais je le redis : n’importe qui d’autre, capable d’agir de même, aurait soulevé les mêmes sentiments chez Olga.

Si Olga a suivi trop loin Hassan, j’entends jusqu’au mariage, c’est qu’elle s’est perdue dans cette image, ce qui en soi n’a rien de bien surprenant étant donné la vie tourmentée qu’était la sienne. Les événements sont allés aussi loin aussi parce que Philippe n’a pas su trouver à l’époque les mots ou la force de s’imposer comme il l’a fait par la suite, car il était d’une certaine façon blessé, pas par Olga, mais par le fait de n’avoir pas été capable d’accomplir ce qu’Hassan avait réalisé.

Hassan et Olga n’étaient pas faits pour être ensemble. Un amant régulier complice de leur couple candauliste, oui, mais pas son époux. Ils étaient trop diamétralement opposés. Hassan croyait et souhaitait la faire changer, mais en se faisant, il détruisait la femme qu’était Olga et qui l’avait attirée. L’évolution et la dissolution de l’image qu’Olga avait d’Hassan se sont faites dès que Philippe a commencé à être écarté de la vie d’Olga. Par ailleurs, les méthodes qu’Hassan a pu employer pour y parvenir ne pouvaient que mener à l’échec et ce que vous prétendiez accomplir n’était en rien une aide en cela. Hassan voyait l’hypersexualiité d’Olga comme une addiction et comptait l’en sevrer de force, et non de gré, quand de votre côté vous aviez la prétention de l’entretenir. Un tel mélange aurait été autodestructeur.

Mais après tout, j’ai le sentiment que c’est là ce que vous désiriez en espérant ensuite récupérer les morceaux en veillant à ne surtout pas les recoller pour garder Olga à jamais sous votre coupe et en faire ce que bon vous vouliez.

Patrick

Histoire Erotique
@ Luc et Patrick, OK je reconnais que j’ai bien profité de l’addiction d’Olga, à l’époque où elle était sous la coupe de Rachid et qu’il m’avait confié l’organisation des séances hebdomadaires à la cité, puis quand elle vivait avec Hassan et était en manque parce que celui-ci voulait supprimer son hypersexualité.
A l’époque, j’ai pas eu l’impression que ça lui avait déplu tant que ça ! Je l’invite à raconter ce qui s’est passé quand elle était l’épouse d’Hassan et qu’elle le trompait sans vergogne.
Quant à Hassan, je l’avais mis en garde, lui disant qu’elle n’était pas le genre de femmes qu’il lui fallait. Il ne m’a pas écouté. Il m’a dit qu’il arriverait à la guérir, parce qu’il lui apporterait tout ce dont elle avait besoin, tant du point de vue sentimental que pour sa libido. Il s’est lourdement trompé !
C’est vrai que quand l’occasion s’est présenté, un jour que je suis passé chez eux, où Hassan était à son travail et Olga seule, je n’ai pas pu résister à la tentation et elle non plus ! Je peux vous dire qu’elle a kiffé, qu’elle était en manque ! Ca a continué tant qu’elle était en couple avec Hassan, et alors qu’elle était en même temps la maîtresse de Philippe. Le soir même des noces, elle avait trompé Hassan avec lui. J’ai pensé quand j’ai su aller dire la vérité à Hassan, mais j’ai pas osé. J’ai eu tort.
Aujourd’hui encore je me demande comment elle a pu se comporter comme ça. Depuis que je l’avais vu à l’œuvre à la cité, je savais que c’était une sacrée (…), mais là elle m’a scotché. Qu’est-ce qu’elle peut bien lui trouver à ce type qui l’avait poussé à assumer à fond son hypersexualité et qui, de ce qu’elle a dit n’est pas un étalon comme elle aime et comme elle a besoin ?
C’est dommage, Hassan aurait pu réussir, avec moi qui contribuais discrètement à calmer ses besoins. Avec l’âge et la naissance d’autres enfants comme voulait Hassan, elle se serait peu à peu calmée.
Kamel

Histoire Erotique
J’ai dit ce que je pensais à Kamel dans la série de derniers commentaires du récit 34. Mon point de vue en ce domaine n’a pas changé d’un iota, je ne le répéterais donc pas ici. J’invite juste ceux qui souhaitent comprendre de ce dont il retourne à les lire.

Patrick

Histoire Erotique
@ Kamel, tu ne voudrais pas qu'en plus on te plaigne! N'as-tu profité du fait que tu étais le seul homme qui pouvait librement accéder à Olga? Tu as profité de son état de manque, qu'elle était enfermée, surveillée et il semble même que tu l'as un peu forcée au départ. Tu as honteusement profité des circonstances, comme tu l'avais faite du temps de Rachid. Et en plus, tu as trompé la confiance de ton frère en le cocufiant. Alors, en effet, tu devrais avoir honte et te faire oublier!
Si d'autres sont d'accord avec moi ( je pense à Patrick ou encore à La chipie) qu'ils n'hésitent pas à intervenir!
Luc

Histoire Erotique
@ Luc ça n'a pas été facile de dire la vérité à Hassan. Mais pour le reste pourquoi je devrais avoir honte?
Kamel

@ Anna, merci!
@ Luc, il ne nous manque pas!
@ Daniel: en effet!
@ Claire: ton observation est tout à fait exacte
@ Marie, tout ce que tu reprends est exact. Je ne nie pas une jalousie excessive, mais aussi une réaction de défense face à certaines femmes (Marie C., Flavienne) dont l'objectif était de détruire notre couple.

Histoire Erotique
Au fait, on n'entend plus Kamel depuis qu'Olga lui a répondu. Pas très fier de son comportement, il semblerait!
Luc

Histoire Libertine
J'aime l'évolution de vos rapports avec Agun et notamment le fait qu'elle ne soit plus exclusivement passive avec toi. Vous formez un vrai couple bi maintenant.
Claire

Histoire Erotique
@ Olga, Marie est une lectrice qui te suit fidèlement!
Daniel

@ Manon: merci!
@ Christelle, les situations ne sont pas comparables. J'aime Agun, comme j'aime Philippe. Dans les cas que tu évoques, c'était des situations d'adultères ou des cas où des rivales (Marie C, Flavienne) ont essayé de nous séparer

Histoire Libertine
@ Manon, tu as raison, j’ai pris le temps de relire les textes d’Olga et ça permet de mesurer la situation particulière d’Agun pour laquelle Olga, non seulement accepte qu’elle ait des rapports avec Philippe, mais l’y pousse même, alors que sa compagne est lesbienne exclusive.
Olga n’avait jamais auparavant accepté d’avoir des rivales pour les hommes qu’elle a aimés. Ca a commencé avec les maitresses de son père au vu du complexe d’Electre qu’elle avait développées.
C’est envers Philippe qu’Olga a le plus exprimé cette jalousie et refusé qu’une autre puisse l’approcher, alors même que celui-ci la poussait à prendre des amants pour satisfaire ses fantasmes candaulistes.
Je reprends ici ces textes qui sont instructifs du « paradoxe » d’Olga envers Philippe. J’aimerais bien qu’Olga me dise pourquoi elle avait cette attitude et ce qui fait que c’est différent aujourd’hui.
Dans le récit 5, consacré à leur premier mariage :
« Je me dirigeais vers le parc où je vis un couple enlacé. Je m’approchais et je me rendis compte que ce couple, c’était Philippe et Christine. Ils s’embrassaient et je vis alors Christine sortir la verge de mon mari et la prendre en bouche. J’étais folle de rage. Je me dirigeais vers eux, j’envoyais une violente gifle à Philippe et je m’en pris à Christine, lui arrachant sa robe :
• Sale pute, tu vas laisser mon homme tranquille ! Il est à moi et à personne d’autre ! »
C’est suite à cela, et seulement à ce moment-là, qu’Olga s’est offerte à Pierre, le témoin du mariage, ce que voulait Philippe et qu’elle refusait. »
Le texte suivant est un extrait du récit 7, lorsque Philippe tente en vain de pousser Olga à satisfaire ses fantasmes candaulistes.
« Christine mit toute sa science à faire du « rentre dedans » vis-à-vis de Philippe. Philippe a beau être amoureux fou de moi, il n’est qu’un homme et finit par céder aux avances de la belle Christine.
Philippe a eu l’honnêteté de me le dire, avant que de bonnes âmes ne m’informent. J’étais folle de rage et de jalousie.
• Chérie, je t’ai toujours dit que tu étais libre. Libre de prendre un ou des amants. Je t’ais toujours encouragé, car je pense que c’est ce dont tu as besoin. Je voulais te dire qu’en ce qui me concerne, Christine est ma maitresse.
• Et moi je n’ai jamais dit que tu es libre, Philippe. Tu es à moi et à personne d’autre !
• Je suis à toi et rien qu’à toi. C’est toi que j’aime, pas elle. Mais avec elle, je découvre un autre monde. La voir s’offrir à des hommes devant moi, j’adore. Même si je rêve que ce soit toi qui m’offre ce plaisir, pas elle.
Je ne voulais plus rien entendre. J’avais envie de le tuer. Je me suis jetée sur Philippe, je l’ai giflé, frappé, griffé, puis déshabillé, avant de lui pratiquer une fellation qui a vite abouti à ce qu’il se vide dans ma bouche. Je n’en avais pas fini avec lui et, harnachée de mon gode ceinture le plus long, je l’ai sodomisé sans ménagement, insensible à ses cris de douleur et excitée par ses gémissements de plaisir. Si j’avais pu, je l’aurais marqué au fer rouge pour que Christine sache que Philippe était à moi, à moi seule, ma propriété, mon objet sexuel et que personne ne me le prendrait et ne nous séparerait.
Dans le récit 12, celui qui raconte la première soirée candauliste dont rêvait tant Philippe, avant d’obtenir ce dont il rêvait, Philippe se rapproche de Rita, une jeune prostituée que Rachid avait poussé dans les bras d’Olga :
« Il était allé jusqu’à aborder Rita et monter avec elle, pour qu’elle lui raconte le trio de ce fameux samedi soir et nos ébats lesbiens. Ils avaient fini par faire l’amour et pendant que Philippe baisait Rita il lui parlait de moi, lui disait qu’il aurait tant aimé nous voir nous aimer devant lui. Le comble était qu’alors que Philippe m’accordait une totale liberté, je ne pouvais m’empêcher d’être jalouse qu’il ait fait l’amour avec une autre femme, qui était ma maîtresse du moment et ce sans mon autorisation préalable. Et ce d’autant plus que Rita m’avoua qu’il « n’était pas un si mauvais amant que ça » et qu’il l’avait faite jouir. Voyant que j’étais furieuse, elle se justifia en disant que c’était un client comme un autre, puis elle tenta de me calmer en me disant que Philippe était fou de moi et n’avait qu’une seule chose en tête : mon plaisir. Cela ne m’a empêché de faire le soir même une terrible scène à Philippe. Il devait comprendre qu’il était à moi, il était ma propriété. »
Olga a dû mener de vraies batailles contre des rivales qui voulaient les séparer, elle et Philippe.
La plus féroce fut Marie C, qui s’appuyait sur Rachid. C’est ce que décrit le récit 19 :
« Pendant des heures, j’ai assisté, impuissante, aux ébats de Marie et de Philippe. J’assistais à l’adultère de mon mari. Marie avait deviné que ce serait pour moi une épreuve. C’est la pire des tortures qu’elle pouvait m’infliger. Ça peut surprendre et choquer, moi, qui, depuis que je suis mariée avec Philippe, me suis offerte à tant d’hommes, mais je n’acceptais pas la réciprocité. »
La rivale la plus dangereuse fut Flavienne, ancienne compagne de Philippe et qui parvint un moment à ses fins, alors qu’Olga avait sa liaison avec Hassan. C’est avec elle que la violence d’Olga est allée le plus loin (récit 33) :
« Je la giflais et mes mains étaient autour de son cou. J’avais vraiment envie de serrer. Jusqu’à présent, Philippe avait laissé faire. Quelque part, il était fier que « ses » deux femmes se battent ainsi pour lui. Mais cette fois ça allait vraiment trop loin. Philippe me connaissait et Il intervint, réussissant avec difficulté à me faire lâcher prise ».
Le dernier exemple a été celui de l’adultère de Philippe avec Ambre (récit 46)
« J’ai su tout cela bien plus tard, et j’en ai beaucoup voulu à Philippe pour ses mensonges, pour ce qui était devenu un adultère. Quand j’ai su la vérité, j’ai fait une scène épouvantable à Philippe. J’étais en larmes, je frappais Philippe, folle de rage. Celui-ci eut beaucoup de mal à me calmer, se contentant de me répondre que ce n’était pour lui qu’une aventure sans lendemains. Cette petite aurait pu être sa fille, il avait été flatté qu’elle s’intéresse à lui. Il ajouta qu’il n’avait jamais envisagé de me quitter. Philippe me rappela toute la liberté qu’il me laissait et qu’il revendiquait à son tour. »
Un dernier point intéressant : j’ai relu votre « Pacte candauliste » (récit 38) que vous avez conclu lorsque vous avez reconstitué votre couple, après « l’épisode Hassan ». Les principes 1 et 4 ne dispensent qu’Olga de l’obligation de fidélité :
• Principe n°1 : Philippe reconnait l’hypersexualité d’Olga et l’encourage à l’assumer pleinement en trouvant le plaisir avec d’autres partenaires, hommes et femmes. Dans ce contexte, Olga est dispensée de toute obligation de fidélité. Philippe reconnait à Olga la plus totale liberté sexuelle et son droit absolu au plaisir.
• Principe n°4 : Olga et Philippe s’engagent à la plus totale transparence vis-à-vis de leurs relations extra-conjugales. Il ne saurait donc y avoir d’adultères dans leur couple. Olga exprime ses plus grandes réserves sur d’éventuelles relations extra-conjugales de Philippe.

Marie

Histoire Libertine
Tu as raison, Manon. Olga pourrait donner des cours, professeure es-plaisirs!
Anna

Histoire Libertine
Une bonne façon de pratiquer la masturbation: lire les textes d'Olga!
Manon

Histoire Libertine
@ Marie, bonne remarque. Les réactions d'Olga face à des rivales étaient non seulement hostiles, mais souvent violentes.
Christelle

C'est très juste, Marie!

Histoire Libertine
@ Olga
Que non seulement tu acceptes, mais que tu encourages les relations entre Philippe et Agun prouve la force des sentiments que tu as pour l'un comme pour l'autre.
A la lecture de tes textes, j'ai as ete frappée par tes réactions quand une femme prétendait approcher Philippe.
Voilà de quoi consolider votre triangle amoureux
Marie

Je n'avais pas réagi aux propos de Jeanne, Luc et Patrick l'ont fait bien mieux que moi!
@ Christine, tu as raison de soulever ce point de l'exhibitionnisme, j'y reviendrai plus en détails

@ Claire, je répète que pour le moment nous n'envisageons pas de faire évoluer les choses. Et oui, dommage de ne pas pouvoir cumuler un mariage hétérosexuel et un mariage homosexuel. Mais je porte à chaque main une alliance à l'annulaire. sur celle de gauche le nom gravé est Philippe. Sur celle de droite, c'est Agun.
@ Marie, tu as raison. J'ai toujours été d'une jalousie terrible quand une femme s'approchait de Philippe. J'ai raconté les scènes que j'ai faites et que tu as rappelées, la plus terrible fut quand je l'ai surpris avec Flavienne. Je me suis sentie particulièrement trahie quand il a entretenu une relation adultère avec Ambre. J'ai toujours considéré que Philippe est à moi et seulement à moi. Avec Agun, c'est différent. Elle est toute à moi. J'ai envie qu'elle connaisse aussi le plaisir avec un homme, c'est pour ça que j'ai demandé à Philippe de la déflorer. J'ai été fier de mon chéri, il a été parfait et a beaucoup fait jouir ma compagne. Elle ne veut que moi, mais se plie à ma volonté quand je veux voir Philippe lui faire l'amour devant moi. J'aime ces moments. Pour répondre à ta dernière question, ça s'est passé le week-end dernier et ce fut magnifique!

Histoire Libertine
@Olga, en réponse à Caroline, tu évoques ton exhibitionnisme et tu rappelles qu’il vient de loin, depuis ton adolescence. Nous en avons souvent parlé et tu m’as dit qu’exhibitionnisme et hypersexualité sont très liés chez toi.
C’est ce qui m’avait frappé chez toi, la première fois que je t’ai vue, il y a près de 20 ans, quand Philippe nous a présentées. Nous étions en été, tu portais une robe courte, particulièrement décolletée, échancrée aussi dans le dos, particulièrement serrée et courte. Bref, elle m’était en valeur tes atouts, tes jambes, tes cuisses, ton joli cul, et surtout tes seins, libres de tout soutien. Nous étions dans une réception et les hommes qui découvraient la nouvelle conquête de Philippe s’en donnaient à cœur joie. Ils ne pouvaient cacher leur érection et ne se gênaient pas pour te draguer devant Philippe, convaincus de sa complicité. Dès ce soir-là, ta réputation était faite : pour les uns tu avais « le feu au cul », pour les autres tu étais une petite allumeuse.
Philippe m’avait demandé comment je t’avais trouvé.
Je lui avais répondu :
• Encore plus indécente que si elle était nue
• C’est exactement ce que je voulais. Je veux qu’elle fasse bander tous les hommes.
• Moi qui aime les femmes, elle me fait envie aussi, tu sais. Tu veux faire avec elle ce que tu n’as pas pu faire avec Flavienne et Patricia ?
• Oui, je le veux et je sais que c’est ce dont elle a besoin.
Je ne rappellerai pas certains épisodes dont tu as déjà parlé, notamment la fameuse robe que tu portais pour ton premier mariage avec Philippe, ou encore celle qu’il avait fallu que tu portes le fameux soir de pendaison de crémaillère chez nous, soirée au cours de laquelle Jean faillit devenir ton amant.
Tous les hommes qui ont compté dans ta vie ont encouragé cet exhibitionnisme, à commencer par celui qui a suscité ton complexe d’Electre. Philippe t’a beaucoup poussé, pour les raisons que nous savons, celui qui a été le plus loin a été Rachid. Seul Hassan, qui a essayé de réprimer ton hypersexualité, a voulu combattre de la même manière ton exhibitionnisme. Je n’en dis pas davantage, c’est à toi d’en parler, si tu le souhaites.
Tu sais combien je suis heureuse que tu aies construit une relation stable et forte avec Agun. Je comprends que tu affiches ton bonheur et que, lorsque vous êtes ensemble, tu aies envie de lui tenir la main, de l’embrasser. Comme beaucoup l’ont rappelé, vous ne faites de mal à personne.
Pour autant, moi aussi, dans le climat actuel d’homophobie, je vous invite à la prudence. Je sais qu’Agun, parmi ses qualités est capable de se défendre du fait des sports de combat qu’elle pratique. Mais attention à ce que tu n’ailles pas trop loin dans la provocation, comme tu l’as fait à quelques reprises selon les confidences que tu m’as faites.
En résumé, de même que tu sembles réussir à maîtriser ton hypersexualité, je t’invite à faire de même avec ton exhibitionnisme et ton goût pour la provocation. C’est la prudence la plus élémentaire.
Bisous
Christine.

Histoire Erotique
Je rêve: Jeanne accuse Olga de " débauches" Et bien oui, ma chère, figurez-vous que vous êtes sur un site de débauches, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué!!!
Qu'Olga se fasse baiser par d'autres types que son mari Philippe, en quoi ça vous gêne? D'autant plus que celui-ci est d'accord et meme il adore ça!
Conclusion: fichez lui donc la paix!
Luc

Histoire Erotique
@ Jeanne, cessez de tomber des nues chaque fois qu’Olga rappelle qu’elle apprécie les étreintes d’autres hommes que celles de Philippe. En quoi est-ce un aveu ? Par ailleurs, le reste de votre argumentaire est parfaitement inversable pour l’appliquer à Philippe et on pourrait, comme vous le faites pour Olga, l’accuser de se servir de son hypersexualité pour pratiquer ses débauches, comme vous le dites si mal.

Cessez de constamment dissocier Olga et Philippe dans l’expression de leur sexualité. L’hypersexualité n’appelle pas forcément au candaulisme et inversement. Le fait est qu’ils se sont accordés chez eux.

Patrick

Histoire Libertine
J'ai oublié de te demander de nous raconter quand ce sera déroulé le dépucelage anal d'Agun par Philippe.
Marie

Histoire Libertine
@ Olga, pour toi, Philippe s'est séparé de Théodora, ça doit être douloureux pour lui. Pour consolider votre trio, ne faudrait-il pas que tu encourages Agun à avoir des relations avec Philippe?
Il me semble que jamais avant tu n'avais accepté de partager Philippe avec une autre femme et que tu étais extremement jalouse, c'était le cas avec Christine, avec Marie C. avec Flavienne, Ambre et Théodora. Tu étais jalouse et même violente avec tes rivales.
Aujourd'hui tu sembles capable de partager Agun avec Philippe. C'est une belle preuve d'amour pour lui, comme pour elle!
Marie

Histoire Libertine
@ Olga, Merci pour ta réponse. Je vois que tu n'exclus pas une évolution par la suite. Agun ne demande rien, mais mériterait qu'on lui rende un peu de tout l'amour qu'elle te donne. Quand les enfants seront plus âgés, il sera temps de faire évoluer les choses. Philippe t'aime et comprendra que ce sera la moment pour qu'Agun devienne officiellement ce qu'elle est déjà dans ton cœur: ton épouse.
C'est bien dommage que tu ne puisses être mariée avec tous les deux. Il serait bien aussi que tu encourages les relations entre tes deux amours, que vous formiez un vrai trio, inséparable.
Claire

Histoire Libertine
La réponse à Caroline est un aveu: Olga a toujours besoin d'autres hommes. Depuis toujours, elle profite du candaulisme de Philippe pour pratiquer ses débauches!
Jeanne

Merci à tous pour vos commentaires. Nous avons aujourd'hui un équilibre qui nous donne satisfaction. Il n'est sans doute pas simple, mais c'est notre choix. Jacques du Canada, La chipie et Patrick l'ont bien compris, chacun avec leurs mots.
@ Claire, les choses évolueront peut-être, plus tard. Agun ne demande rien. Je l'aime, comme j'aime Philippe.
@ Marie, agun sait que je serai heureuse qu'elle ait des relations avec Philippe, ce serait bien pour elle comme pour lui. Mais elle ne le souhaite pas. Par contre, le dépucelage de "son petit trou" est programmé, avec Philippe
@ Caroline, j'ai besoin de cesmoments de tendresse et de plaisir avec Agun, mais je ne saurais me passer d'étreintes viriles. Et pour être claire, pas seulement avec Philippe (de même que celui-ci reste candauliste).Par ailleurs, je t'accorde que je suis exhibitionniste. J'ai toujours été ainsi, depuis mon adolescence et je ne pense pas pouvoir changer.

Je suis de la même avis que La Chipie, nous sommes maintenant en 2019. Ce qui était défendu hier l’est moins aujourd’hui et sera peut-être la norme demain.
Les enfants eux tant qu’on leur montre sans mensonge et moqueries ils vont tout apprendre. L’avenir, c’est eux nous nous sommes le présent, nous devrions donc en profiter!
Agun, elle, il faut y penser aussi. Ce ne doit pas être drôle tout le temps passe elle. Elle vit pratiquement toujours toute seule en attendant que son amour se présente. C’est pas nécessairement ce qu’une personne recherche dans la vie.
Tout le monde aime tout le monde dans la famille “T”. Dre Olga a même fait essayer une relation hétérosexuelle à Agun qui n’a pas trouvé ça si pire avec Philippe. Philippe n’a pas dû haïr ça non plus. Avoir Olga, son amour à côté de lui pendant wu’il faisait l’amour à son amour. Tout le monde était heureux après.
Pourquoi donc ne pas rejoindre l’utile à l’agréable?
Comme on dit chez nous, quand il y en a pour 6, il y a pour 7.
Toute cette famille devrait vivre ensemble. Les adultes auraient leur chambre avec un très grand lit. Une autre chambre que l’on pourrait appeler “chambre d’amis “ serait utiliser pour celui qui aurait besoin de repos. Elle serait utilisée aussi par Philippe lors de voyage éventuel de Théodora avec son fils.
De cette façon, plus personne seule à attendre que l’être aimé arrive. Tout le monde est heureux.
En vérité, je pensais! Ce n’est aucunement de mes affaires.
Jacques du Canada

Histoire Libertine
Olga ça je l'avais compris que ça n'irai pas. Ce que je n'ai pas apprécié c'était l'hypocrisie dont il a fait preuve.

Quand au fait de vivre à 3 je ne vois pas en quoi ça dérange, on aime pas 1 homme ou 1 femme on aime 1 personne !!! Chacun vit sa vie comme il l'entends du moment que c'est dans le respect d'autrui.

Pourquoi encourager ou presque Olga a quitté son mari, ils ont trouvé 1 équilibre à 3. Sans parler d u fait qu'il y a 1 pacte d'amour entre eux.

Olga témoigne, il faut les laisser vivre leurs vies comme ils l'entendent.

Quand aux enfants , autant dans les années 80 ça aurait été compliqué à gerer autant à l'heure actuelle les enfants sont plus rapidement mis dans le "bain" donc je ne vois pas en quoi ça dérange.

Pour dehors ou est le problème de se tenir la main ou de s'embrasser on est en 2019 il faut savoir vivre avec son temps.

La chipie

Histoire Erotique
Si Agun tient une plus grande part dans la vie d’Olga, elle ne se dirige pas vers l’homosexualité exclusive. L’équilibre qu’elle a trouvé vient au contraire de la balance que cette évolution a produite entre Philippe et Agun. Une forme d’harmonie entre l’amour, les sentiments et les plaisirs charnels différents que chacun d’eux procure à l’autre et où ils se retrouvent tous.

Patrick

Histoire Libertine
Au fait, moi j'avais posé mes questions sur ton couple lesbien par message privée et tu as répondu publiquement. Pas de soucis!
J'avais des interrogations similaires à celles de Caroline. Je ne dois pas être la seule à avoir noté des changements de ta part
Claire

Histoire Libertine
Toujours bi, Olga? N'es-tu pas en train de virer ta cutie? En tout cas, ton équilibre change et Philippe peut suffire à tes envies d'étreintes viriles.
Il viendra un moment où tu devras assumer tes préférences et vivre avec Agun. Les enfants peuvent comprendre, tu ne serais pas la seule maman à vivre avec une autre femme!
Je comprends aussi que tu aimes toujours Philippe, ce texte le confirme. Il t'aime, il comprendra comme il l'avait déjà fait à d'autres occasions, notamment lorsque tu étais tombée amoureuse d'Hassan
Mais meme dans ce cas, évite les provocations et ce qui te caractérise, l'exhibitionnisme. Et c'est une lesbienne exclusive qui te le recommande
Bisous aux deux amoureuses!
Caroline

Histoire Libertine
@ Olga, bien sûr que vous ne faites de mal à personne C'est juste qu'il y a le climat actuel et que vous pourriez faire une mauvaise rencontre! Soyez prudentes!
Je trouve que, comparée au récit que tu lui as consacré, la façon dont tu parles d'Agun évolue. Tu es de plus en plus amoureuse d'elle, disons-le, de plus en plus lesbienne. La preuve, c'est chaque jour ou presque que tu as besoin de faire l'amour avec ta femme.
Je pense qu'un jour votre trio évoluera et que ca finira par un mariage entre toi et Agun. Je vous le souhaite car cette fille a tout donné par amour pour toi.
Claire

Histoire Libertine
Merci Olga. Ont-ils toujours des relations? As-tu mise en œuvre ton envie de voir Agun se faire enculer?
Marie

@ Claire, l réponse est oui à tes questions. C'est presque tous les jours (en semaine, quand les enfants sont à l'école et le dernier à la crèche) que je ressens le besoin d'Agun
Quant à ce que certains prennent pour des provocations, nous ne faisons de mal à personne.Je suis juste heureuse quand nous sommes ensemble et j'ai envie de le montrer, en lui tenant la main, en étant enlacées ou de l'embrasser. Je veux qu'on sache qu'elle est ma femme, ma compagne, qu'elle est à moi tout simplement

@ Jacques du Canada, merci pour votre compréhension Je n'oublierai pas
@ Maurice merci!
@ Steph et JP: exact!
@ Marie, je voulais qu'elle connaisse ça. Elle a accepté. J'ai demandé à Philippe de s'en charger, je savais qu'il le ferait avec respect. Ma chérie a eu du plaisir, c'était beau, je lui tenais la main, je l'embrassais, je l'encourageais et je le caresssais.

Histoire Erotique
Allez y a votre rhytme Dre Olga. Vous pouvez aussi passer par dessus cette épisode aussi! C’est vous qui contrôler.
Jacques du Canada

Histoire Libertine
@ Olga, je me trompe ou bien il me semble que tu es de plus en plus amoureuse d'Agun, et donc de plus en plus attirée par le saphisme. Ceci pourrait expliquer pourquoi tu maitrises mieux ton hypersexualité qui, tu l'as reconnu en réponse à une question que je t'avais posée, est, elle, exclusivement hétérosexuelle,tu es fidèle à ta compagne. As-tu augmenté la fréquence de tes rapports avec Agun ces derniers mois?
J'observe aussi, malgré mes mises en garde, que vous vous "affichez " toujours autant. C'est beau l'amour, mais soyez prudentes, mes chéries!
Caroline

Histoire Libertine
Contrairement à toi, qui est bi, je crois qu'Agun est exclusivement lesbienne. Il me semble toutefois avoir lu que tu l'avais faite dépuceler par Philippe. Elle a aimé ça?
Marie

Olga a raison de souligner que la masturbation n'est pas qu'un plaisir solitaire, mais fait partie pleinement de la sexualité d'un couple, qu'il soit hétéro ou homo d'ailleurs
Steph et JP

Histoire Erotique
Hum, j'aimerai être réveillé de la même manière que Philippe, il a de la chance de se voir offrir ton plaisir, puis ensuite de bénéficier de tes talents de fellatrice!
Maurice

@Christine, merci!
@ Patrick Un grand merci, je ferai cela quand je me sentirai prête, ne vous inquiétez pas
@ Claire, c'est très possible, mais je ne peux en dire davantage ici
@ Kamel: il faut dire les choses. Oui, je l'ai trompé, parce que la vie qu'il voulait m'imposer était insupportable. Avec Philippe, parce que j'ai compris que c'est lui que j'aimais. Et avec toi aussi dans les conditions que tu sais et que je t'invite à raconter si tu l'oses.
Oui, depuis Hassan a beaucoup changé, il assume son rôle de père. Et oui encore, l'an dernier, il nous a rejoint avec sa fille en vacances et, avec l'accord de Philippe, nous avons baisé. j'emploie ce terme, car c'était purement sexuel. Et c'était toujours aussi bon, sans qu'il n'y ait de ce point le moindre aspect sentimental.

Histoire Libertine
Les passages consacrés à Philippe et Agun sont magnifiques!
Christine

Merci Micky! Je dois dire que je n'ai pas encore lu tous tes textes, loin de là, mais je n'en ai pas encore trouvé de "moins bons".

Histoire Erotique
Je m'étais promis de ne plus commenter tes textes, Olga. Je veux juste rappeler, pour ceux qui l'accablent qu'il faut replacer l'attitude d'Hassan dans le contexte de l'époque. En effet, à part le fait qu'Hassan a été pour toi un amant exceptionnel, vous n'étiez pas compatibles, je le savais et j'ai essayé de le lui faire comprendre en vain.A partir d'un moment, tu n'acceptais pas la vie qu'il vouliat t'imposer, tu as commencé à le tromper, avec ton ex-mari.
Le temps a passé et vous vous avez trouvé un bon équilibre en tant que parents, c'est une excellente chose.
Je crois même que, lors des vacances de l'an dernier, cela a même été un peu plus loin, il me semble
Kamel

Histoire Libertine
As tu vraiment découvert par hasard comment accéder à cet "enfer" de la bibilothèque familiale. Où t'a-t-on aidé à trouver?
Claire

Un texte qui devrait servir de base à l'éducation sexuelle des jeunes filles, dans un monde idéal... Il en décomplexerait beaucoup. J'en profite pour remercier Olga de sa fidélité de lectrice, vraiment exceptionnelle, sans oublier ses commentaires élogieux pour les bons comme les moins bons textes.

Histoire Erotique
À ceux qui souhaitent un texte relatant l’histoire avec N., je trouve au contraire qu’un tel récit ne s’accorde pas bien avec la volonté d’Olga de moins parler d’elle. Par ailleurs, le départ de Théodora reste encore relativement récent, évoquer en ce moment les événements qui l’ont amenée à partager la vie de Philippe et Olga serait en soi mal avisé.

Patrick

Merci cher Roland pour ce soutien, j'ai promis de continuer à écrire, merci de votre compréhension pour les délais

@ Jacques du Canada, pardon du retard pris pour répondre. J'en parlerai, même si ce sera pas pour dans les prochaines semaines.C'est un épisode douloureux, mais j'ai promis de dire les choses, y compris quand elles ne me sont pas favorables.
@ La Chipie, merci! Hassan a changé aujourd'hui, mais nous n'étions pas compatibles. Les performances d'un amant ne suffisent pas à faire un couple
@ Je n'en doute pas, Kaminu!

Histoire Libertine
La masturbation est 1 droit, les hommes le font je ne vois pas pourquoi les femmes n'auraient pas le droit elle aussi d'en profiter !!!!

La chipie

Histoire Erotique
Un très beau texte, comme toujours.
Ce qui m'attriste, c'est que tu annonces, Olga, que tu écriras moins souvent. Je le comprends mais cela va me manquer. Ta vie entre Philippe et Agun est passionnante, une sorte de ménage à trois et j'espère que tu en donneras des descriptions de temps en temps tout de même.
Tes récits sont vraiment intéressants, Olga. Merci.
Roland.

Si je comptais toutes les fois où je me suis moi-même masturbé en te lisant Olga...

Histoire Libertine
Hassan est 1 bel hypocrite. L'homme a tout les droits et les femmes rien !!!!

Bel ode à l'amour.

A quand la suite et le recit de N et Theodora ?

La chipie

Merci à Paul, à Luc et Patrick!

Histoire Erotique
L’épisode où vos rapports ce sont rapprochés en N et vous n’a pas été raconté Dre Olga. Vous en avez parlé sommairement plus tôt dans vos récits mais on a jamais su ce qui s’est vraiment passé pour créer un tel émois dans votre couple et qui a permis à Théodora de rejoindre Philippe.
Cette épisode a aussi permis à vos enfants d’avoir un demi frère dans leur famille.
J’espère donc qu’avec vos nouvelles décisions vous nous renseignez quand même là-dessus.
Jacques du Canada.

Histoire Erotique
L'offrande de ton plaisir à Philippe, comme à Agun, est une formidable preuve d'amour.
Paul

Histoire Erotique
Un texte très fort!
Luc

Histoire Erotique
Je vais le redire ici, mais je suis heureux pour vous que vous ayez atteint cette maitrise et cet équilibre de votre plaisir.

Ce texte sur la masturbation féminine, et un peu plus, était à la fois beau à lire et excitant. J’envie ce seul plaisir de Philippe de pouvoir assister à de tels moments. J’avoue aussi que Christine a bien de la chance d’avoir pu être la spectatrice d’un de ces moments intimes entre vous et Agun.

L’anecdote sur Hassan confirme le peu de sentiment que je peux avoir déjà exprimé à son sujet. Cette façon de vouloir vous transformer par la force, physique ou chimique, était absolument odieuse et je reste très polie. Une preuve de plus qu’il était fait pour être l’un de ces hommes qu’invite Philippe dans votre couple et pas davantage.

Patrick



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : masturbation et hypersexualité.
Histoire sexe : Une rose rouge
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