De l'inter cul ... turel

- Par l'auteur HDS Ibis14 -
Récit érotique écrit par Ibis14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : De l'inter cul ... turel Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De l'inter cul ... turel
C’était le grand jour,Après des semaines de conversations sms en utilisant la messagerie d’un site de rencontres, LA rencontre allait enfin avoir lieu.
En avalant son café, Il passait en revue les vêtements qu’il allait porter, pantalon de toile, chemise ample pour dissimuler la rondeur de son ventre (le kilos se sont accumulés avec les années à son grand désespoir), ses chaussures les plus récentes et bien sûr un boxer en lycra tout doux et bien moulant.
Oh Elle n’a rien promis, mais il a pris soin de se raser proprement les joues et tailler aux ciseaux l’épaisse touffe de ses poils pubiens : au cas où, il ne veut pas paraître négligé.
Il a fait sa connaissance sur cette appli réservée aux rencontres extra conjugales, elle se présentait comme mariée, 45 ans, Black et en recherche de piment dans sa vie.
Lui a indiqué sur son statut qu’il était marié, même si son épouse est partie depuis des années travailler à l’étranger, ne faisant que quelques rares apparitions au fil des mois : sans jamais savoir quand elle rentrerait si quand elle partirait, il se sent enfermé entre son travail, la maison et l’éducation des enfants.
Une belle amitié s’est nouée entre eux au fil des semaines.
Et pourtant les débuts furent chaotiques ! dès les premiers messages, il devina son pays d’origine, un tout petit confetti sur une carte, un pays producteur de café, proche de l’équateur. Et en utilisant internet, il réussit à lui glisser quelques mots dans sa langue maternelle. Là on peut dire qu’il a réussi à capter toute son attention !
Mais dès qu’elle vit une photo de lui entouré de très belles femmes dans une tenue traditionnelle qu’elle connaissait bien, elle devina qu’en fait il connaissait son pays et sans doute avait des connaissances en commun avec elle et Elle décida de stopper net leurs échanges.
Il lui en a fallu de la persuasion pour lui faire accepter de reprendre le dialogue !
Il sourit à ces souvenirs en montant dans sa voiture hybride : il avait choisi ce modèle pour le silence lui permettant de se laisser bercer par la musique. En s’asseyant, il sentit le frottement doux du lycra mais se força à penser à autre chose qu’une caresse : le rendez vous n’était convenu que pour un déjeuner, rien de plus, et il lui fallait se concentrer pour s’empêcher rêver mieux.
Il avait dans un petit sac un sachet de thé qu’elle lui avait demandé de ramener d’un de ses récents voyages : c’était à n’en pas douter, plus amical qu’un bouquet de fleurs dont il se doute qu’elles ne produisaient aucun effet sur la belle.
Le trajet par l’autoroute passa trop lentement à son goût : il regardait son horloge toutes les minutes et comptait les kilomètres, mais il finit par arriver devant la porte du petit immeuble abritant l’appartement de la belle.
Il prit une grande inspiration et envoya un ultime message sur l’application car il n’avait bien entendu ni son véritable nom, ni son numéro de téléphone. La porte s’ouvrit.
Elle est tendue, un peu fébrile. Grande, mince, les cheveux crépus coiffés en boule, de larges lunettes sur son petit nez et des yeux expressifs. Elle le salue, l’invite à entrer, parle un peu trop fort, ne sait en fait comment se comporter : les échanges ont été si nombreux et au final si intimes !
Faut-il l’embrasser ? lui serrer la main ? Elle décide de lui faire signe d’avancer et lui propose de prendre son manteau. Elle s’empresse de le faire asseoir et lui proposer une Amstel, oubliant qu’il ne boit pas. Au moins, lui assis et occupé, elle pourra trouver le prétexte de la cuisine pour s’échapper et tenter calmer sa fébrilité.
Oh elle en a connu des hommes blancs, elle a même vécu avec l’un d’eux, mais depuis son inscription sur le site, elle n’avait jamais accepté que des rendez vous dans les cafés ou au restaurant. Pour celui-ci, elle a décidé de l’inviter, intriguée par ses expériences de voyages dans son pays, rassurée par ses messages transpirant la tranquillité : au moins celui-ci ne ressemble pas aux tordus rencontrés auparavant.
Elle est folle se dit-elle, même s’il se dégage de lui un certain charme, même si sa voix chaude inspire confiance, il n’est déjà plus vraiment jeune, il est musclé c’est certain, mais rien ne cache sa rondeur.
Elle jette un œil dans son miroir, Elle qui est si fine, elle a enfilé une lingerie qui met en valeur sa poitrine car elle sait combien les hommes blancs préfèrent les poitrines généreuses aux larges popotins. Elle n’a pourtant promis qu’un déjeuner, mais au fond d’elle-même elle sent ce petit serrement de cœur qui lui rappelle sa solitude du moment et sa recherche d’un amant galant.
Il patiente, la regardant se mouvoir de la cuisine au salon, faisant mille choses qu’elle a déjà faites, Elle l’observe bien sûr, demande des nouvelles du pays, faisant comme si elle ne connaissait pas les réponses, tout doit être parfait bien sûr : c’est ainsi que l’on reçoit.
Les plats s’accumulent sur la table : plantains, sombe, riz, pâtes, pommes de terre, patates douces, bœuf en sauce, dorades grillées, tranches de tomates et chou émincé : tout doit être proposé à l’invité car on ne sait jamais ce qu’il va aimer. Et l’invité, tout en politesse, devra se servir de chaque plat. Le riz se mélange aux haricots au poisson à la viande à l’avocat à la mayonnaise à la sauce tomate et pour finir à l’ananas et à la grenade en un immense monticule de nourriture.
Mais Lui se contente des crudités avant de retourner s’asseoir dans le large canapé. Elle le sait, il reviendra à la table, les blancs n’aiment pas mélanger le froid et le chaud … et pourtant elle est gênée, se reprochant l’odeur du poisson sur ses mains, elle n’ose même pas croquer dans la tête de la Dorade qu’elle s’est servie ni plonger les doigts dans les branchies. Elle se sert du foufou et le mange à la fourchette : elle aimerait tant manger à la cuisine ! mais personne n’est là pour faire la conversation à cet invité qu’elle regrette un peu d’avoir convié à déjeuner… Un café aurait été bien suffisant !
Elle est gênée de son regard qui ne laisse aucune chance à la dissimulation, il lui semble qu’il est capable de lire dans ses pensées et pour autant, ses yeux gris verts sont doux et aimables. Les mots finissent par sortir plus aisément et la conversation s’engage comme entre deux amis évoquant les douces collines verdoyantes de ce petit pays.
Le repas terminé, il se lève pour l’aider à débarrasser et ranger : décidément, elle ne se fera jamais à cette capacité qu’ont les blancs à participer aux tâches ménagères et surtout elle ne supporte pas la présence d’un homme dans sa cuisine, encore moins un étranger ! il reste des traces de farine, d’huile, ses casseroles ne sont pas brillantes et rutilantes que va-t-il penser d’elle ? Ah ! si seulement elle était au pays, sa bonne aurait eu vite fait de débarrasser cette maudite vaisselle et leur apporter un thé brûlant ! Mais non, elle se trouve seule alors elle rit pour cacher sa gêne.
Il a la gentillesse de prendre un livre de photographies et se plonge dedans, faisant semblant d’y trouver un quelconque intérêt la laissant gérer le problème domestique à sa façon.
C’est alors que l’on sonne à la porte ! Et une de ses amies passe lui rapporter les plats de la dernière fête de la diaspora : moment de gène vite balayé par un regard approbateur de l’amie en question qui se lance dans une discussion à bêtons rompus avec Lui. Parlant des lieux visités, sondant sa connaissance des us et coutumes et papotant comme s’ils étaient eux les meilleurs amis du monde !
Et les heures de l’après midi passent ainsi, on se déchausse, on se met à l’aise et finalement on cherche à retarder l’heure du départ.
Mais voilà, il est temps, il fait nuit. Salutations d’usage, embrassades, promesses de se revoir bientôt. Elle l’accompagne comme il est de coutume jusqu’à son véhicule garé juste devant la porte pour le regarder partir. Et …. Rien …. La voiture ne démarre pas, tout concentré à la visite, Il n’a pas fait attention au fait que l’essence a manqué et qu’il roulait sur la batterie. Il faut brancher le véhicule à une prise électrique et … attendre plusieurs heures la recharge et bien entendu, disposer d’une longue rallonge !
L’amie est toujours là, elle se propose d’appeler un ami qui saura apporter la rallonge et en attendant, tout ce petit monde remonte dans l’appartement.
L’amie est ravie, Elle plutôt gênée. L’amie s’amuse alors à lancer quelques allusions pour Lui proposer de rester passer la nuit, Le poussant à regarder avec d’autres yeux son hôte. Elle a bien compris, cette amie, qu’Elle a besoin d’un petit coup de pouce pour enfin passer de nouveau le cap de recevoir un homme chez elle. Elle semble envieuse même.
L’ami arrive, le branchement se fait prestement et bien entendu, vu l’heure, il est temps de dîner. Les Amstel sont de sortie, l’ami tente lui aussi de sonder les connaissances de l’invité, et l’alcool aidant, la conversation glisse vers un ton un peu plus léger : il est étonné même de découvrir que l’invité connaît quelques pratiques sexuelles locales.
Les amis finissent, tard, par rentrer chez eux, les laissant, Elle et Lui, seuls.
Elle lui fait visiter la chambre d’amis, s’assure que tout ira bien pour Lui, qu’Il sera bien installé, la salle de bains est propre comme toujours, bonsoir bonsoir, elle se retire dans le salon tout pendant qu’il commence à se demander ce qu’il va porter le lendemain, il fait assez chaud dans l’appartement pour qu’il puisse dormir nu même s’il aime à porter un grand tee shirt.
Il n’a pas envie de dormir et Elle, dans le salon a mis une émission à la télévision.
Il se rends donc dans le salon à son tour, Elle a enfilé un boubou et se tient dans le canapé, une tasse de thé à la main.
- « En veux-tu une tasse ? » Pour prolonger le moment il accepte, bien qu’il n’aime pas trop cette boisson au lait bien trop sucrée à son goût.
Elle se lève, et glisse vers la cuisine, Lui ne peut s’empêcher d’observer le léger mouvement de ses seins désormais libres sous le boubou.
Ses yeux s’écarquillent lorsqu’elle se penche devant lui, à la mode de son pays, les jambes tendues, le dos plat … laissant bailler l’échancrure du boubou et révélant sa poitrine nue.
Alors il se lance à reprendre la discussion sur les pratiques sexuelles de ce petit bout d’Afrique et Elle, désormais complètement à l’aise, accepte de parler.
Alors il se lance, évoquant librement et sans se rendre compte du trouble naissant chez Elle pèle mêle le Gucuga ces pénétrations courtes et saccadées, le gucumita ce mouvement long et vigoureux de pénétration complète du pénis, la façon aussi de décalotter le gland pour ceux qui ne sont pas circoncis. Avant de venir tapoter le clitoris…Elle pense au sien, à la forme pointue, et en déplaçant ses cuisses, elle frotte ses petites lèvres très facilement excitables qui commencent à se mouiller et Elle se remémore les séances d’exercices avec sa tante et ses cousines pour bien préparer leur sexe à l’amour. Aujourd’hui elle reste fière de ses grandes lèvres bien tirées !

Elle rit de cette conversation, et en même temps souhaite qu’elle dure encore et encore alors elle le questionne sur ses pratiques.
Et Lui, entièrement pris maintenant dans cette conversation ne peut que lui répondre. Alors il se lève et vient poser ses lèvres sur les siennes :- Viens je te montreComme elle répond à son baiser, il s’assied aux pieds du canapé et son visage à Lui caresse son visage à Elle, les lèvres entrouvertes pour laisser passer son souffle.
Le temps s’arrête.
Elle passe la main dans ses cheveux qu’elle trouve aussi doux qu’ils en avaient l’air et guide sa tête pour que les lèvres parcourent son cou lui donnant des frissons dans le dos quand le souffle chaud passe sur sa nuque.
Elle avance sa seconde main dans son dos à lui pour l’attirer encore plus contre elle et ressentir la force qui se dégage de sa poitrine et de ses épaules.
Quant à lui, il s’approche tant qu’il peut pour sentir les seins de la belle, il glisse une main à la recherche d’un premier téton, il commence même à sentir ses testicules se mouvoir au fur et à mesure que son sexe entre en érection.
Enfin, il l’enserre d’un bras sous la nuque et libère complètement son bras qui part à la recherche des fesses de sa partenaire pour la rapprocher encore de lui.
Mais elle se débat comme lors de sa nuit de noces pour s’échapper un moment, elle a le souffle court et surtout, elle doit s’assurer que ses premières sécrétions vaginales ne dégagent pas une odeur trop forte. Aussi, elle s’enfuit dans sa salle de bains pour passer de l’eau sur sa vulve que sa tante appelait aussi « celui qui fait sourire le taureau » Une fois certaine de son hygiène intime, elle revient dans le salon et appelle son homme, d’un geste à se lever. Elle vient se lover tout contre lui, sa cuisse venant tâter la raideur dans son pantalon afin de s’assurer de ses bonnes dispositions. Elle fait glisser sa main vers le bas de son dos, sur ses fesses, et joue de ses ongles pour exciter ses nerfs et le pousser à mouvoir son bassin vers elle.
Il joue de ses lèvres sur son cou toujours et de ses doigts agiles, fait remonter doucement le boubou jusqu’à passer sa main sur la peau de ses hanches.
Elle est prête, elle sent son sexe humide, elle sent son ventre se tendre vers lui, elle sent qu’il sera un amant doux et délicat. Alors elle s’abandonne.
Elle s’écarte un peu et fait passer son boubou au-dessus de sa tête, levant bien haut ses bras pour lui offrir la vue de ses seins qui tombent un peu du fait des enfants qu’elle a allaités, elle lui offre la vue de ses hanches larges et belles, elle lui offre enfin la vue de son pubis aux poils noirs et bouclés qui remontent vers son nombril. Elle lui offre tout cela avant de revenir se poster devant lui, de s’agenouiller et enfouir son visage sur son ventre, juste au-dessus de son sexe qu’elle sait déjà érigé pour elle.
Elle s’écarte cependant, répugnant à être trop entreprenante malgré son envie : il ne faudrait pas qu’il pense avoir à faire à une de ces femmes libres de la capitale !
Aussi elle retourne se lover sur le canapé, le laissant la suivre et se pencher sur elle pour lui prodiguer ses caresses.
Les doigts de son amant trouvent très vite le chemin de sa vulve, tout pendant qu’il tête une de ses seins, faisant se dresser le téton, il flatte de ses doigts les contours de ses lèvres intimes, jouant déjà avec leurs dimensions mais pour un instant seulement : il n’est pas temps.
Ses mains se déplacent vers ses fesses, cherchant les contours des plis qui se forment entre les cuisses et la partie la plus dodue, il l’embrasse sur la bouche, lui mordille les oreilles, caresse du bout de ses doigts les avant-bras et les seins. Lorsqu’il cherche à passer un doigt dans le sillon de ses reins, elle se trémousse pour l’en empêcher, alors il joue la partition différemment et tire sa maitresse vers le bord du canapé, les jambes dans le vide et les cuisses sur ses épaules : sa bouche, lentement, se dirige vers son ventre, vers son sexe : elle comprend qu’il va faire ce que très peu d’hommes chez elle acceptent, il va venir lécher son intimité.
Tout à son désir, elle le laisse faire.

Et lui, doucement, effleure de son menton ces poils qui, poussant drus sur le pubis protègent la chaude caverne, il écarte ces cuisses massives pour en ouvrir la porte le mieux possible, il tire un peu sur les fesses pour installer définitivement ce sexe offert à sa bouche, Elle se dit qu’elle a eu raison de chasser les éventuelles odeurs.
Il sort sa langueIl la fait dure et pointue pour faire le tour du périmètre à explorer, il prend son temps pour bien élargir le cercle de travail, il lèche l’intérieur des cuisses, il souligne le pli des fesses et va jusqu’à effleurer les petits poils de ce lieu secret en effet, la vulve est de telle forme que le périnée est presque inexistant Il découvre ainsi une vulve de plusieurs centimètres de long plus grande que toutes celles qu’il a pu connaître !
La douce odeur lui indique qu’il est sur la bonne voie pour donner le plaisir à sa partenaire, et, ouvrant les yeux, il constate que les lèvres de ce féminin sacré sont humides déjà et sa maitresse ouvre d’elle-même plus largement les cuisses, elle pousse ses fesses vers le bord du canapé et monte son bassin à la rencontre de la bouche chaude et humide de son amant. Alors sa langue se fait plus large et plus douce, et, partant du bord de l’anus, il lèche complètement le sexe offert, sa langue fait remonter les grandes et les petites lèvres vers le clitoris qu’elles recouvrent finalement, la langue poursuit son ascension et vient frotter cette petite montagne sur toute sa longueur : un gémissement s’échappe de la gorge de sa partenaire, elle tient sa tête entre ses mains pour l’immobiliser et d’un mouvement large du bassin frotte sa chatte sur la langue, le nez et le menton de son amant. Elle effectue le mouvement de plus en plus vite puis ralentit et recommence à accélérer. Il comprend son désir, et sort sa langue le plus possible, ainsi elle pénètre le vagin de la belle alors que son nez frotte le clitoris et son menton caresse l’anus : elle se masturbe en l’utilisant comme un objet, elle sait ce qu’elle veut.
Lui aussi le devine et se prête bien volontiers à ce jeu, lapant, aspirant, suçant, soufflant, il sent l’eau venir doucement et couler sur son menton et dans son cou, alors il avance un doigt, et doucement, il pénètre le vagin offert, il entre un puis deux doigts, il vient chercher la douceur du vagin là, juste derrière le clitoris, il sent la boule que font les sécrétions prêtes à gicler de la femme fontaine, alors il frotte de ses doigts cette masse chaude et gluante.
Le geyser arrive enfin, un flot de cyprine sort à grande vitesse du trou, madame râle, elle écarte le visage de son amant pour se caresser elle-même et faire gicler sur ses cuisses et tout autour de grands jets chauds et clairs, elle se cambre, frotte sa main sur sa vulve à une vitesse incroyable, l’eau coule comme de la pluie, son amant est trempé de ce nectar intime, il bande comme jamais, son sexe est dur à lui faire mal, il sait que s’il y touche, il éjaculera directement dans son pantalon.
L’instant est sublime.
La nuit ne fait que commencer.
Haletante, elle se redresse, les yeux encore un peu dans le vague, elle s’accroche à son cou, l’embrasse, enfonçant sa langue à la recherche de la sienne.
Elle glisse ses mains sur son torse et lève la chemise détrempée, il tente de se dégager car il sent le point de non-retour atteint et panique à l’idée d’éjaculer dans son pantalon.
Elle le sent, ralentit le rythme et le laisse ôter lui-même ses vêtements : le caleçon en lycra moule parfaitement son sexe court et épais. Elle ne se retient plus d’y porter sa main, doucement, elle soupèse les testicules et les excite de ses ongles, elle approche son visage pour sentir les pulsations du bâton et l’enserre de sa bouche à travers le tissu.
C’en est bien trop pour lui, tout honteux, il éjacule. Les jets sont nombreux et la semence traverse la douce protection qu’elle baisse afin de profiter du spectacle : de ses doigts doux, elle accompagne la première jouissance de son amant et étale le sperme le long de la verge. D’un massage sublime elle fait durer l’orgasme puissant qui lui traverse les reins, n’hésitant pas à tirer doucement les petites boules vers sa langue et à caresser le gland poisseux du plat de sa main.
Il tombe à genoux et ils s’enserrent, emplis de joie et de plénitude.
Un peu surpris encore, un peu gênés, il faut cependant revenir de ce voyage, la chemise, le slip, le canapé, les cuisses, les ventres mouillés commencent à refroidir nos deux amants.
Elle propose une douche commune.
Il la suit, regardant sans vergogne ce derrière qui ondule sous ses yeux, ces fesses qui appellent ses mains. Elle pense simplement que cette verge ne la blessera pas lorsqu’elle sera de nouveau apte à reprendre du service … ce qui ne saurait tarder pense-t-elle dans un sourire.
Ils se glissent sous le jet brûlant, dans cette douche qui n’est pas prévue pour deux, ils se serrent, se savonnent mutuellement.
Alors qu’elle attrape sa verge, il tient à s’excuser de la rapidité de son éjaculation, Elle rit, heureuse dit-elle de lui avoir fait autant d’effet. Ses mains savonneuses vont et viennent de son dos à ses fesses, elle le fait se retourner dos à elle. Alors, ses gestes se font plus doux, elle passe doucement une main mutine entre ses cuisses pour venir masser le service trois pièces qui se présente à elle. Manifestement Il adore, sa verge parle pour lui et se dresse de nouveau, mais il ne compte pas se laisser aller une seconde fois, il se rebelle, se retourne, embrasse sa douce sur la bouche et reprends l’initiative, portant ses mains à ce fessier dodu et profitant que le savon facilite les glissades, il insère ses doigts dans le sillon séparant les globes et soupèse chacun d’eux gentiment.
Elle lui demande alors s’il a aimé être arrosé ainsi. Pour lui, c’est une grande première ! il le lui dit, elle s’étonne … Mais il lui dit aussi combien les poils drus de son sexe ont blessé sa langue si fragile et lui propose d’y faire une coupe d’été, sachant qu’au moins ça la ferait sourire.
A sa grande surprise, elle accepte. Moins par désir que pour s’assurer que la tension sexuelle montera plus doucement qu’il y a quelques minutes.
Alors qu’ils sortent de la douche, elle attrape une serviette épaisse et trouve dans le placard la boîte contenant le nécessaire de rasage d’un amant trop vite disparu.
Lui, réclame de la lumière, la voici gênée : laisser ainsi sa vulve aux larges lèvres aux yeux d’un amant n’est pas dans ses habitudes, aussi, elle opte pour un châle à poser sur ses yeux et se cacher au moins le visage.
Elle s’installe sur le lit, jambes tendues, il s’approche, et commence doucement à couper grâce à de petits ciseaux les boucles noires et drues en partant du bas du ventre vers sa grotte. Elle est contrainte malgré tout d’écarter ses cuisses et pour cela, elle plie les jambes, remontant ses petits pieds sur la couverture. Lui contemple les plus grandes lèvres vaginales qu’il lui ait été donné de contempler, le clitoris qu’il sentait sous sa langue est actuellement bien recroquevillé sous son capuchon.
Doucement, il pose les mains bien à plat sur l’intérieur des cuisses afin de les faire s’écarter encore, elle résiste un peu, mais le jeu est désormais allé trop loin pour qu’elle résiste. Elle pose donc les bras au-dessus de sa tête, tente de se détendre et attend la suite.
Il prend le bol de crème à raser, trempe le blaireau dans la masse blanche pour bien assouplir les longs poils soyeux. Il promène ses doigts sur le pourtour de la peau à raser et commence à y apposer la crème.
Elle sent les poils du blaireau se promener sur son ventre, il prend soin de passer et passer encore au même endroit pour bien préparer les poils restants à recevoir le rasoir.
Il glisse l’objet le long des cuisses, juste au bord de son sexe, des poils viennent chatouiller les lèvres pendantes, Elle tressaille, son ventre se crispe.
Il pose la lame du rasoir et la fait aller sur sa peau, coupant de près ce qui dépasse, faisant de ce sexe de femme un sexe de jeune fille, imberbe et nu comme au premier jour.
A ce petit jeu, le clitoris ne veut pas être en reste, il se dresse doucement, il sort de sa couverture de fine peau, il se lève de toute la hauteur donc il est capable, il est douloureux du désir à venir. Elle ne bouge pas.
Lui, termine enfin ce travail d’orfèvre, il presse le flacon de crème apaisante sur la paume de sa main et l’étale sur la coupe fraîche. Ses doigts insistent d’autant plus qu’il a bien remarqué le fier clitoris qui lui fait de l’œil !
Il joue avec les lèvres, les étirant, les écartant, les refermant, les remontant, les baissant, son pouce vient caresser l’entrée du vagin, remontant petit à petit vers le clitoris désormais aussi rouge que possible. L’odeur désormais connue des sécrétions du vagin heureux lui montent aux narines. Il persiste, ses doigts qui s’agitent font maintenant un léger clapotis, il sent le moment venu de leur faire parcourir l’intérieur de ce sexe avide.

Deux de ses doigts entrent facilement, se frayant un chemin entre les plis et le replis, glissant dans le jus extrait de ce fruit noir et rose.
Elle pisse sa cyprine en un flot continu et léger, de façon bien différente de sa première jouissance, elle sent le liquide couler d’un trou à un autre, venant inonder son anus, une falque se formerait si elle n’avait prévu la serviette épaisse.
Lui fait durer ce moment, il va et vient de plus en plus profondément, de son auriculaire, il va même jusqu’à titiller le petit trou tout plissé qui se trouve maintenant sous l’eau. Elle a un léger sursaut, peu habituée à cette pratique, ne l’ayant pour ainsi dire toujours considérée comme trop sale, mais la douceur du doigt qui masse cette petite entrée et le plaisir éprouvé juste au-dessus, le châle qui lui cache sa honte, tout cela fait qu’elle accepte l’intrusion.
Ce petit doigt entre timidement à force d’insistance il passe le barrage des muscles qui se sont contractés, il va et vient, les muscles se relâchent et Elle sent en son tréfond les doigts de son amant se rejoindre à travers ses muqueuses.
Il sent que le moment est propice pour aller plus loin, mais il n’est pas temps encore de conclure.
Alors il s’avance à genoux vers son torse, effectue un demi-tour et, positionné en 69, il aborde la seconde partie de son plan : présentant ses parties intimes au visage de sa belle et, repoussant ses cuisses sous ses bras, il accède au sexe sans défense nouvellement rasé. Il lèche de nouveau, il plante sa langue dans un trou puis dans l’autre, il renifle le clitoris, il boit enfin directement à la source.
Elle, se trouve avec une paire de testicules à portée de la bouche et sans plus attendre s’en empare, une à une, elle les aspire dans sa bouche, jouant de ses lèvres avec leur rondeur, faisant attention de ne pas les brusquer. Elle avance une main vers ses fesses, l’autre agrippe la verge tendue. Elle aspire le gland, le suçote, lèche la branche sur sa longueur, joue de son nez contre les billes tendres.
Puis elle remonte vers le périnée et à son tour elle ose caresser la rondelle de son amant, écartant toute pudeur, elle ne va pas jusqu’à y poser ses lèvres comme il le fait mais de son index elle le pénètre à petits coups.
Tant d’impudeur, tant de caresses lui font perdre la notion du temps, elle chavire et jouit de nouveau dans un gémissement aigu.
C’est le signal qu’il attendait, il se redresse, se lève devant le lit et amène celle qui succombe à se positionner à 4 pattes sur le matelas, Elle pose son buste sur un oreiller et présente sa croupe et lui, tel un taureau la monte, son pénis frappe à la porte de la grotte, il tape le clitoris qui l’a tout à l’heure nargué, il plonge dans la piscine offerte, il entre, va et vient, ressort, frappe de nouveau la vulve comme s’il voulait la punir de son humiliation de tout à l’heure quand il n’avait su se retenir,Et Elle jouit, son visage se crispe comme de douleur, elle meugle, elle râle, elle gémit, elle ouvre ses fesses de ses deux mains pour que la pénétration soit plus profonde, Lui en profite pour lancer son majeur dans le trou qui reste libre et ce dernier affront à la pudeur le fait à son tour gémir.
Elle sent le moment venu, agrippe les couilles qui battent contre son con, les enserre dans sa main, Lui jouit intensément, surpris d’une telle audace, il se retire et lance sa semence sur le dos, sur les fesses, sur les draps qui l’ont accueilli.
Il s’abat enfin, comme un arbre tombe sous les coups des bûcherons, aux côtés de cette femme. Ils s’endorment….

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