« Moi, Julien… » SAISON 1 EPISODE 2 : A voile et à vapeur

- Par l'auteur HDS Castor99 -
Récit érotique écrit par Castor99 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : « Moi, Julien… » SAISON 1 EPISODE 2 : A voile et à vapeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Moi, Julien… » SAISON 1 EPISODE 2 : A voile et à vapeur
LUNDI 30 JUILLET

Le sommeil fut agité de rêves érotiques. Faut aussi dire que c’était la canicule sur toute la France et que la chaleur de la nuit n’arrangeait pas la situation. Elle sonna à ma porte à 10H30. Retour du petit short en jean d’hier et arrivée d’un petit tee-shirt blanc ravissant et échancré. On descendit sur la plage en bas de la résidence. Nous continuâmes la discussion comme si nous nous n’étions pas quittés la veille. Elle aperçut mon regard indiscret lorsqu’elle se dévêtit mais ne semblât pas s’en formaliser. Son bikini lui allait très bien. J’avais beaucoup de mal à résister à ne pas tirer sur les deux nœuds qui tenaient en place sa culotte mais elle ne perdait rien pour attendre. Serviettes accolées, crème solaire, discussion animée, on n’a pas vu passer la première heure.


Prétextant la chaleur qui montait je lui proposais de remonter pour aller boire quelque chose de frais. Elle m’a répondu qu’elle devait récupérer les enfants à 12H30. Un peu moins d’une heure, cela devrait faire l’affaire me dis-je.

L’ascenseur se trainait toujours autant mais cette fois-ci dans le silence. Pas un silence pesant comme cela peut parfois exister mais un silence de connivence entre deux adultes qui savaient ce qui allaient se passer. Ce fut là que j’attaquais en m’approchant d’elle. Nos lèvres se soudèrent dans un baiser endiablé, nos langues virevoltaient, nos corps se collaient l’un à l’autre. Le bruit des portes qui s’ouvrent nous a rappelé qu’ils nous restaient encore quelques mètres à parcourir.


Ma clé trouva fébrilement la serrure de la porte du studio, et celle-ci à peine refermée, nous reprenions notre bouche à bouche. Je la plaquais contre le mur de l’entrée, son short et son tee-shirt volèrent dans la pièce, bientôt rejoint par son soutien-gorge me permettant enfin de découvrir ses deux petites pommes affublées de deux tétons déjà bien érigés, manifestement très sensibles à mes caresses et à ma langue. Enfin je pus jouer avec les deux nœuds de son bas de bikini qui ne manqua pas de tomber par terre, laissant apparaitre une toison brune taillée court. Mes doigts parcoururent sa fente déjà humide et ouverte et trouvèrent facilement son clitoris. A peine effleuré et un gémissement sortit de sa bouche. Bingo. Ses mains sur mes cheveux m’indiquaient le chemin à prendre. Direction en bas avec étapes obligatoires sur ses seins et son ventre légèrement arrondi. Sa chatte sentait bon le sexe. Plus ma langue la dévorait plus elle écartait ses jambes, ses mains crispées dans mes cheveux. Elle ne résista pas longtemps à ce traitement, jouissant en tremblant sur ses jambes. Pas peu fier de moi, je me suis relevé et je l’ai embrassé à pleine bouche, histoire de lui faire partager le gout de sa cyprine. Elle ne se défila pas. Gourmande avec ça.

Faut pas que je tombe amoureux…

Elle me prit la main et me tira vers le lit. Elle me débarrassa de mon short de bain et de mon tee-shirt et me poussa sur le lit. Moi sur le dos, elle dessus. Elle me branla doucement en regardant ma bite, sa main était délicate et douce. Elle voulait me rendre la pareille. Elle se pencha et prit ma bite dans sa bouche, un peu maladroitement et en s’arrêtant à mon gland. Je la laissais faire même si parfois je sentais ses dents. On voyait qu’elle voulait bien faire et j’appréciais le geste plus que la technique.


Elle se releva et vint s’emmancher sur ma queue, non sans avoir au préalable mis un préservatif sorti de je ne sais où. Apparemment c’est une habitude à Hossegor de chevaucher les queues. Je n’allais pas m’en plaindre et en plus généralement je dure plus longtemps comme ça. Elle ondulait sur ma bite, les yeux mi-clos, la bouche légèrement entrouverte, le corps arqué. Mes mains hésitaient entre ses seins et ses fesses.

Mais je voulais passer à la vitesse supérieure. Je la décrochais et la retournais sur le ventre. Elle comprit toute seule et releva son cul, la tête posée sur le lit. Belle vue, deux beaux globes bien ouverts et une cambrure à damner. Ma bite rentra comme dans du beurre. De là j’avais une vue sur ton petit trou qui palpitait. Je me suis dit que celui-là il ne payait rien pour attendre et que je m’en occuperai une prochaine fois. J’ai placé mes mains sur ses hanches et j’ai accéléré, mon pubis tapant sur ses fesses. On serait mieux connu, je lui aurais dit des mots bien crus du genre « tu la sens bien ? T’aimes ça ? » mais là j’avais peur de la refroidir.

Ses halètements m’indiquaient que j’allais dans la bonne direction. J’ai continué à la baiser, une main accrochée à sa fesse, l’autre lui caressant la nuque ou lui tenant une épaule ou appuyer sur son dos pour bien la forcer à se cambrer. Nous avons joui ensemble et bruyamment, le cœur battant la chamade et nous nous sommes écroulés sur le lit en sueur.

Le temps de reprendre nos esprits, elle a posé la tête sur mon torse pendant que je lui caressais tendrement les cheveux. Ce fût le moment de quelques confidences sur l’oreiller. Ce n’était pas dans ses habitudes de se donner comme ça au premier venu et elle ne se reconnaissait pas. En me disant cela, je sentais qu’elle voulait se donner bonne figure. Elle n’avait pas fait l’amour depuis des mois. Elle n’avait rencontré qu’un mec depuis son divorce et en plus ça n’avait pas été terrible. Bref elle en avait très envie et j’étais là. Moi ça me convenait très bien.


En voyant l’heure, elle cria « merde, les enfants ». Elle me claqua une bise sur la bouche, remis ses fringues à toute vitesse et sortit en trombe en me disant « à plus ».

Faut pas que je tombe amoureux…


Une douche, un déjeuner léger, une sieste bien méritée. J’avais besoin de recharger mes batteries. Je suis parti pour la plage naturiste vers 16H dans l’idée de me reposer et pas forcément dans l’idée de faire une rencontre. Il faisait toujours aussi chaud. Je m’étais placé à la limite entre la plage et la dune, allongé nu sur ma serviette et badigeonné de crème solaire. Aux alentours quelques hommes seuls et des couples hétéros. Rien de folichon.

Vers 17H sont arrivés deux mecs que j’estimais dans la catégorie des jeunes cinquantenaires prenant soin d’eux. Pas de doute, ils étaient en couple. Et à la vue de leur bronzage ils avaient l’habitude de venir ici. Le plus petit, enfin aussi petit que moi en réalité, c’est-à-dire 1m70, était assez fin, petit cul rebondi, quelques poils par ci par là, un sexe au repos tout mignon. Le plus grand, plus costaud, cheveux bruns grisonnant, était plus poilu et un sexe plus épais. Ils m’ont dévisagé à passant à côté de moi, échangé quelques mots et se sont posés à 5 mètres alors qu’ils avaient toute la plage pour eux. Pas besoin d’être devin, je n’avais pas attendu 15 minutes que « petit » venait me demander du feu, me taper la discussion et m’inviter à les rejoindre à côté d’eux. Au moins ils savaient ce qu’ils voulaient les deux lascars et je me suis laissé faire.


Petit s’appelait Franck. Grand Olivier. Les deux très sympas et avenants. En couple depuis 10 ans. Propriétaire d’un restaurant à la mode à Hossegor à côté de l’avenue Lahary. Ils m’ont proposé d’aller dans un coin plus tranquille. J’ai fait « pourquoi pas » en souriant. 2 minutes de marche et ils ont installé ma serviette entre les leurs. Je me suis allongé sur le dos. Et ils ont démarré les hostilités Je dois dire que j’ai toujours apprécié les plans à trois, c’est même comme ça que je me suis fait mon premier mec, enfin mes deux premiers mecs je devrais dire. J’ai retrouvé ce mélange des corps, ces mains qui passent et repassent sur ma peau, ces bouches et ces langues qui se partagent ma queue et mes couilles. Ils étaient bons et bien synchrones ces deux-là. Manifestement je n’étais pas leur premier gouter.


A mon tour maintenant. Je me suis relevé et je les ai fait s’allonger l’un à côté de l’autre. Leurs sexes étaient fièrement tendus, je passais ma bouche de l’un à l’autre, m’appliquant à leur procurer un maximum de plaisir en les prenant aussi loin que je le pouvais. J’alternais bouche et mains sur les deux queues pendant que Franck et Olivier s’embrassaient. La bite de Franck était fine et délicate, une petite merveille à sucer, celle d’Olivier très épaisse et plus courte, m’obligeant à ouvrir grand la bouche mais j’arrivais avec fierté à presque la prendre en entier, mon nez lui touchant alors son pubis brun. Dans ma tête je me disais que quitte à choisir, je me ferais plutôt baiser par celle de Franck car celle d’Olivier devait bien déchirer un cul presque vierge comme le mien.

Mais le moment d’aujourd’hui n’était pas à la baise, il était aux baisers, à la branlette et à la pipe. On a fini par jouir et comme le premier à venir fut Olivier, Franck et moi nous nous sommes finis également sur son ventre. La quantité de sperme collé à son duvet nous a bien fait rire et a obligé Olivier à courir jusqu’à la mer pour se laver un minimum. Pendant ce temps-là, Franck m’a dit qu’ils avaient tous les deux beaucoup appréciés ce moment et m’a proposé de passer ce soir diner à leur restaurant.


Je suis resté somnoler quelques instants sur la plage tandis qu’ils rentraient surveiller l’ouverture de leur restaurant. Puis retour au studio. J’y ai croisé Marion en coup de vent qui partait diner chez des copains avec ses enfants. Soirée tranquille en perspective. J’en ai profité pour aller diner au fameux restaurant de Franck et Olivier, en espérant ne pas paraître trop collant. Mais bien au contraire, les deux m’ont accueilli chaleureusement avec forces clins d’œil. Ils m’ont même présenté à leur bande : quelques homos, seul ou en couple et quelques couples hétéros. Aux sourires goguenards de la bande, je crois que les deux ont dû leur raconter notre petite aventure de l’après-midi. L’un des copains homo, Alexandre, me faisait du pied. Pourquoi pas, il était pas mal, mais là j’étais crevé et la journée avait été longue et fatigante. Je me suis finalement éclipsé pas trop tard et je suis rentré au studio.

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