Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1266) -
Demande au Seigneur :
Kate avait répété encore et encore dans sa tête ce qu’elle prévoyait de dire au Seigneur d’Evans, c’est-à-dire sa demande que ce soit Lui qui la conduise à l’autel le jour de son mariage. Elle avait demandé à Messire Léon s’Il pourrait la recevoir. Messire Léon alla quémander un entretien pour elle auprès du puissant Seigneur. Il revient un moment après et alla informer Kate de la réponse du Noble. Alors il frappa à la porte de la chambre de la belle, et ce fut Antonin qui ouvrit la porte.

- Monsieur le Duc, pardonnez-moi de vous déranger, le Seigneur d’Evans recevra Kate ce soir après le souper, auquel vous êtes convié vous et votre future femme.
- Bien, je lui transmettrai le message, merci Léon.

Après le repas qui se passa agréablement si ce n’est que Kate n’avait pratiquement pas touché à son assiette, les futurs époux se rendirent dans ce qui faisait guise de bureau du Châtelain. Après avoir frappé et entré une fois autorisés, ils furent reçu par le Noble qui constatait que le visage de Kate était un peu soucieux :
- Seriez-vous souffrante ?, s’inquiéta le Noble - Non mon Seigneur, je vous présente mes excuses, je n’ai guère d’appétit ce soir - Que diriez-vous de finir cette soirée dans mon salon privé ?
- Volontiers Charles, nous te suivons, répliqua Antonin.
- Je vous en prie, prenez place, souhaitez vous une infusion?
- Oui volontiers merci mon ami.

Le Maître appela alors :
- Lucie, aux pieds…va nous chercher trois infusions - Tout de suite, Seigneur Vénéré - Kate, Messire Léon m’a averti que tu souhaitais t’entretenir avec Moi, je t’écoute.

Kate n’avait pas prévu la présence d’Antonin mais finalement comme celui-ci était au courant, ce n’était pas trop gênant. Mais Kate perdit complètement ses moyens car elle était très intimidée d’exprimer sa requête de peur que celle-ci ne soit pas acceptée. Il lui fallut donc quelques minutes et avec le retour de Lucie et le regard encourageant d’Antonin, elle osa enfin demander :
- Sire, j’ai en effet une demande à Vous faire qui est, je l’avoue, un peu délicate.
- Faites ma chère, faites…- Vous savez bien sûr que mes parents ne sont plus de ce monde, de plus je n’ai ni frères, ni oncles ou cousins.
- Oui Kate, je le sais.
- Alors voila … Je … Vous … Heu … Accepteriez-vous de me conduire à l’autel le jour de mon mariage ?
- Kate, ce serait un honneur, mais je ne suis point ton père, répondit le Seigneur arborant un large sourire.
- Sire, quand mon cher Antonin est parti, c’est à Vous qu’il m’a confié, Vous m'avez gardé ici au Château, sous Votre protection. Après mon regretté père, c’est Vous mon protecteur. Je vous en supplie d’accéder à mon humble requête, je vous en supplie, s’il Vous plait … - Je t’adore ma belle petite Kate, tu es la fille que je n’ai jamais eu, je te mènerais à l’autel, je te le promets sur mon épée.

C’est très émue que Kate ne put retenir des larmes de remerciements sincères et c’est le cœur empli de gratitude :
- Merci Sire, mille mercis… grâce à vous, ce jour sera le plus beau de ma vie.
- Votre vie va vraiment changer, il est de coutume qu’une jeune fille qui va se marier change de nom car en épousant Antonin vous serez Duchesse - Charles, tu es sûr ? J’aime le prénom de ma douce promise.
- Certes Antonin, mais réfléchissez-y ensemble et choisissez le nom qu’il vous plaira. En ma qualité de chef suprême de la Seigneurie de Beaujeu, j’ai le pouvoir uniquement sur Mes Terres, de valider et officialiser ce changement de nom et d’anoblir Kate au titre de duchesse de… du nom que vous aurez choisi… - Merci Sire, nous y réfléchirons, n’est-ce pas Antonin ?
- Oui on y réfléchira tous les deux. Charles, j’ai moi aussi une demande à te faire.
- Je sais laquelle Antonin. Il est évident que j’accepte d’être ton témoin, et vous Kate qui voulez-vous comme témoin ?
- Sire, je souhaiterais que Clémence soit ma témoin et Lucie, Marion et Alix mes demoiselles d’honneur … (voyant le regard interrogatif du Seigneur d’Evans elle ajouta) Sire ce sont mes amies et je ne saurais me marier sans elles auprès de moi.
- Pour vous plaire, mademoiselle, j’accepte uniquement parce que vous serez la reine de la journée et je ferais venir mes servantes du village pour le service.
- Merci Sire, merci, répondit Kate en faisant la plus sincère des révérences...

Le jugement et la préparation du grand jour :
Un matin tous étaient réunis dans la grande salle pour entendre la décision du Seigneur d'Evans concernant les sanctions envers Amélie accusée et prise en flagrant délit de trahison. Elle fut menée à Lui, entravée et bâillonnée. Il se leva face à elle.

- Après avoir consulté les plaignants et analysé la réalité des faits, j’ai décidé d’annoncer le châtiment que cette traitresse de chienne mérite...

Se tournant face à Amélie tout en la fixant droit dans les yeux et sur un ton autoritaire mais très solennel :
- … Tu as été reconnue coupable de vol, manipulation et trahison envers Moi et tous les personnes vivant dans ce Château. En tant que Seigneur absolu sur Mes Terres, j’ai le pouvoir, seul, de décidé de la suite à donner, alors voilà la sanction : Tu subiras le fouet en place public, puis le temps que j’aurais décidé, tu seras exposée nue au pilori dans la cour du Château jour et nuit et utilisée par qui le voudra dans n’importe lequel de tes orifices de chienne. Après bien sûr, tu seras bannie à vie de Mes terres pour être envoyée au couvent afin de vivre le strict quotidien, cloitrée. Si tu reviens un jour, tu le payeras de ta vie…
Puis s'adressant aux gardes !

- Emmenez la, hors de ma vue et mettez-la au pilori en attendant le fouet pour demain matin avant qu’elle soit de nouveau au pilori… Elle pourra être détachée juste pour se sustenter et se dégourdir les jambes 30 minutes par jour mais tout en étant enchainée aux pieds et aux poignets. Toutes les 2 heures, de jour comme de nuit, vous lui donnerez à boire, au pilori. J’ai dit, exécution…
Les gardes emmenèrent Amélie. On pouvait lire de la haine dans son regard mais étant bâillonnée, elle ne pouvait rien dire… Peu de temps après, le soir même, le Seigneur d'Evans informa Messire Léon :
- Je dois maintenant organiser la cérémonie du changement de nom de Kate, enfin si elle et Antonin finissent par se mettre d'accord sur un nom.

Le lendemain matin Amélie fut fouettée et dans les jours qui suivirent elle fut utilisée de toute les manières possibles et imaginables, notamment enculée à la va vite sans plus de cérémonie, sa bouche était baisée autant que sa chatte par tous ceux qui passait par là et il y en avait du passage. Un matin Ronan alla voir son père :
- Père, je voudrais utiliser le donjon cet après-midi, est-ce possible ?
- Tu es mon fils et donc tu n'as pas à me demander l'autorisation, mais pour qui-est-ce ?
- Amélie, je lui dois encore une punition.
- Eh bien mon fils, je n'ai qu'une chose à dire, ne ménage pas cette renégate et ensuite, tu la feras ramenée à son pilori...

Cet après midi là, Amélie fut donc menée au donjon où Ronan l'attendait en compagnie de Messire Léon. Totalement dénudée, elle fut attachée à une croix de Saint-André, bras et jambes largement écartés mais aussi poignets et chevilles attachés. Ronan la questionna :
- Est-ce vrai, ce que l’on me dit, espèce de chienne ? Plusieurs personnes qui t’ont utilisée au pilori dans cour du Château, m’ont rapporté que tu trouvais tout de même du plaisir à te faire prendre ainsi à chaque fois… Tous furent surpris de trouver ton sexe trempé avant et pendant chaque copulation et t’entendre jouir maintes fois durant des sodomies qualifiées de véritables saillies… - Oui, vous êtes tous des malfaisants… Maintenant que je sais quel sort vous me réservez, je ne vais pas me priver à prendre du plaisir jouissif, lequel me sera interdit dans mon futur couvent… Je ne pense pas que les religieuses voudront me baiser, alors devant cette futur vie de chasteté, d’abstinence qui se dessine pour moi, j’ai décidé, au lieu de souffrir à me faire prendre à ce pilori, d’en prendre un maximum de plaisir … Et je suis bien décidée à profiter de chaque coup de queue que l’on pourrait me donner … Bande de cochons… (une gifle vola pour cette insulte) Oui c’est ça, giflez-moi, faites-moi mal, j’aime ça, bande de salauds, je veux aussi profiter de toute douleur et en trouver de l’excitation… - Mais tu es une véritable salope (et une autre gifle vola). Ah ? Tu veux souffrir ? Eh bien soit, tient voila pour toi, espèce de trainée …
Alors Ronan lui donna des violents coups de martinet qui claquèrent sur ses cuisses et ses seins. Amélie se mit à hurler et visiblement cela l’excitait grandement. Messire Léon, pendant ce temps, lui fouillait sa chatte de ses longs doigts baladeurs et il constata qu’elle était fort humide, ce qui lui prouva que la salope disait vrai. Alors il décida de la fourrer par la chatte avec un olisbos d'une taille imposante et jouait aussi d’un plug de bois lissé parfaitement poli tout aussi imposant dans son cul, ses gémissements étouffés par le bâillon qui lui fut remis démontrèrent encore le plaisir qu’elle prenait de ce traitement d’être à la fois fouettée par le martinet, baisée et enculée par deux sexes factices. Puis Léon demanda alors :
- Messire, me permettez-vous une suggestion?
- Oui, je t'écoute.
- J'ai bien envie de lui fourrer le cul et la chatte de nos queues, mais je vous en prie, prenez-là en premier.
- Bien volontiers, voyez comme mes chausses sont déformées. Sur la table et levrette, tout de suite, salope.

Elle fut détachée et menée à la table où Messire Léon lui attacha de nouveau les poignets et les chevilles et Ronan commença à lui labourer ses orifices à grands coups de reins puissants et virils.

- Surtout ne jouit pas salope, sinon je rajoute 10 coups de fouet à ta sanction initiale, suis-je assez clair ?
- Oh, répliqua Messire Léon, 10 coups de fouets, elle en trouverait encore du plaisir, cette salope !

Malgré cette juste réflexion, Amélie fit ‘oui’ de la tête comme pour mieux exciter les deux mâles afin qu’ils la baisent encore et encore, elle qui avait soif de recevoir ces véritables sexes d’homme. Alors ils la besognèrent sans ménagement de nouveau chacun à leur tour durant plus d’une heure. Et après que Messire Léon lui jouit abondamment sur elle mais pas dans sa chatte jugeant qu'elle ne méritait pas pareil honneur, c’est Ronan qui lui éjacula sur le dos dans le creux des reins et sur son fessier. Un quart d’heure après Messire Léon pris sa place pendant que Ronan se faisait nettoyer la verge et lui jouit une nouvelle fois à la figure. Ensuite Amélie fut mise dans une petite cage en fer, ainsi, le corps gluant de sperme, souillée du plaisir des deux dominants, avant d’être de nouveau utilisée durant l’après-midi pour enfin être ramenée au pilori… Un peu plus tard dans le salon du Seigneur d'Evans, ce dernier demanda :
- Bien, avez-vous décidé d'un nouveau nom pour Kate ?
- Charles, nous nous conformerons à la loi de ta Seigneurie des Terres de Beaujeu mais sache que pour moi, elle restera Ma Kate, jusqu'a ce que je m'habitue à son nouveau nom.
- Ca mon ami dans l'intimité libre à toi de la nommer comme tu le veux. Alors ce nom ?
- Nous avons choisis Chloris car elle est la plus belle des fleurs une fleur parmi les fleurs qu'elle recevra. Oui, comme tu le sais, Chloris chez les Grecs c’est Flore chez les Romains, une nymphe attachée au printemps et aux fleurs...
- Magnifique, excellent choix j'approuve. Ce choix vous convient-il ma chère ?
- Oui Sire, mon cher Antonin et moi-même l'avons choisi ensemble.
- Fort bien la cérémonie aura lieu après demain.

Dès le lendemain matin, Amélie fut mise au cachot afin de libérer la cour et de la décorer ainsi que la plupart des pièces du Château pour la cérémonie et en prévision du mariage...

La cérémonie :
Seule la famille et les proches assistaient à cette cérémonie (à notre époque cela pourrait être assimilé au mariage civil). Tous étaient donc installés dans la petite chapelle annexe au Château. Le Seigneur d'Evans présidait la cérémonie, Kate et Antonin de biais par rapport à l'assemblée.

- Mes amis et vous tous serviteurs de Mon Château, les événements récents de ces derniers jours furent désagréables pour tous le monde. Mais aujourd'hui nous célébrons un heureux événement, l'acceptation de Kate dans notre haute société et, de ce fait, elle change de nom. Kate rejoignez-Moi et mettez-vous à genoux sur ce coussin.

Messire Léon arriva avec dans les mains, un petit coussin blanc sur lequel reposait un magnifique diadème, il le tendit au Seigneur d'Evans.

- Aujourd'hui vous devenez Chloris, déesse des fleurs et du printemps. Moi Seigneur Charles d'Evans, je vous offre ce diadème digne de la Duchesse que vous deviendrez. Portez-le avec grâce ce soir et pour le grand jour de votre mariage religieux. Considérez-le comme Mon cadeau de mariage. Il est entièrement en or et serti de véritables pierres précieuses d’une valeur inestimables, des plus beaux rubis…
Et délicatement le Seigneur d'Evans pris le riche diadème et le posa avec douceur sur la tête de la jeune fille à genoux devant Lui. Trop émue elle ne put rien dire. Antonin s'approcha l'aida à se relever et tous deux, parés de leurs plus beaux atours, firent face à l'assemblée qui applaudit vivement. Ensuite, dans la grande salle, un somptueux repas, servit par les domestiques du village. La soirée fut agréable et précéda une longue nuit de festivités à festoyer plus que raison. Et ce n'est qu'au petit matin, épuisés que les dernières personnes regagnèrent leurs appartements afin de se reposer un peu….

Trois jours plus tard, Messire Léon vient chercher Amélie au cachot pour la conduire hors de Terres d'Evans afin de l’emmener au couvent en Bretagne, loin, très loin du Beaujolais. Le Seigneur d'Evans avait écrit une missive à l'attention de la mère supérieure interdisant formellement à Amélie de quitter le couvent et de la contraindre aux plus basses corvées utiles à la communauté…
(A suivre…)

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