J'ai pervertie ma collègue - le déménagement

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'ai pervertie ma collègue - le déménagement Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2019 dans la catégorie Plus on est
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J'ai pervertie ma collègue - le déménagement
Un changement important vient bousculer nos jeux. Ma société m’a proposé une mission de deux ans minimum au Japon. La raison pour laquelle toute notre vie a été bouleversée. J’ai dû négocier un poste pour Fannie, situation pas très simple. Mais j’ai obtenu un poste de chargé de mission pour ma soumise, un poste en lien direct avec mes responsabilités. J’ai quitté la France un mois avant Fanny, qui s’est occupé du déménagement avant de me rejoindre. Nous ne parlons pas le Japonais, mais très bien l’anglais, suffisant pour nous intégrer dans ce pays.
Je vous passe des semaines de découverte et d’intégration, mais surtout de recherche pour reconduire nos jeux. Nous résidons non loin de Nagoya, une des villes importantes du pays. Mes recherches ont été fructueuses. Même si nous pouvons lire que la sexualité au Japon est sur le déclin, il existe des réseaux qui nous permettent de réaliser des rencontres pour vivre nos moments de jeux. Nous avons donc rencontrés des Français, des anglais, mais aussi des Japonais qui nous ont orientés sur les lieux de découverte, les sites de rencontre, etc…
Notre première sortie avec Fannie.
Nous avons sympathisé avec un couple d’anglais très libertin, Adrian et Abi. Fanny, habillée très légèrement, nous rejoignons nos amis en bas de notre appartement. Nous prenons la direction d’un restaurant Irlandais. Abi est une femme avec un corps sec, peu de seins et une chevelure rousse, coupé au carré. Je ne suis pas vraiment attiré par les femmes rousse, mais Abi dégage un charme particulier, j’adhère. Avec tous ces changements, Fannie a retrouvé une tête à la chevelure plus garnie, pas vraiment le temps de gérer sa coiffure. Ces piercings sont toujours et biens présent, son sexe lui est toujours lisse.
Après un repas plutôt bien arrosé, nos amis nous proposent un lieu qu’il souhaite nous faire découvrir. Non loin du restaurant, dans une petite rue, nous pénétrons dans une sorte de hangar, dans lequel il a été aménagé une salle de danse, un bar et des salons privés, c’est un karaoké. Abi et Adrian s’occupe de tout gérer. Rapidement nous entrons dans un salon privé.
-nous allons donc chanter mes amis, ce n’est pas vraiment notre prédilection.
-non, nous venons ici pour être au calme, Adrian connait très bien le patron.
La porte à peine fermé, Abi se dirige vers Fannie et lui prend la main.
-à nous deux ma chérie, tu m’as fait baver en parlant de ton état de soumise, en parlant de tes piercings, déshabille toi et montre nous.
Fannie étant nue sous sa robe, Adrian et Abi découvre rapidement le corps de ma soumise.
-je vois que vous nous aviez pas mentis, je pense que nous allons pouvoir explorer bien des choses ensemble. Je meurs d’envie de sentir ta langue entre mes cuisses Fanny, alors viens.
Abi, s’allonge sur la banquette, retire sa petite culotte, relève sa robe. Nous découvrons un sexe roux, au poils taillés, mais bien avec des poils. Fannie l’aide à retirer sa robe et nous découvrons de petits seins avec des petits tétons.
-viens me sucer les seins, ils sont peut-être petits, mais très sensibles.
Fannie lèche, suce les seins d’Abi qui très vite soupir face au plaisir apporté par cette langue. La tête de Fannie est maintenant poussée vers le bas ventre de notre anglaise. Les jambes écartées, elle offre son intimité à la bouche de Fannie. Cette dernière offre un cunnilingus qui met Abi dans un plaisir important.
-hum ! Fred tu as dit vrai, elle est excellente pour manger une femme. Oui….si le reste est aussi juste, elle deviendra également ma chienne fred, à moi, à Adrian aussi, à trois ce sera génial.
Avec ce spectacle, nous sommes tous nus. Adrain présente son sexe couvert devant l’entrée intime de ma soumise et la pénètre. Il prend, non il baise Fannie, c’est le mot juste, il là baise. Quel plaisir de retrouver ces moments. La queue irlandaise besogne Fannie, qui, elle, a toujours la tête dans ce triangle roux. Fannie, comme la plupart du temps, mouille abondamment, surtout que nous reprenons nos jeux. Elle m’a avoué que ça commençait vraiment à lui manquer.
-Adrian , c’est à moi maintenant, n’oublie pas, Fannie est une chienne soumise, la chienne de Fred, alors viens t’occuper de moi.
Fannie est repoussée et Abi est besogné par son mari, mari qui a retiré la capote. Moi je m’introduits dans ma salope de bourgeoise.
-oh oui Adrian, c’est bon, tu vas me faire partir, tu le fais si bien-et toi ma salope soumise, tu aimes te faire prendre devant nos amis ? Je n’entends rien-oui oui, j’adore, je veux qu’on me voit, qu’on m’entende, je suis à toiNous prenons réciproquement nos femmes. Abi, regarde Fannie, souriant et retombant dans le plaisir. Fannie n’arrête pas de grogner son plaisir, réclamant la jouissance. Je stoppe mes vas et vient par moment, pour laisser Abi jouir avant la soumise. Abi part dans son plaisir, accrochant les fesses de son mari pour qu’il là remplisse profondément. Je reprends mes vas et viens dans l’intimité de Fannie. Très vite je sens qu’elle va prendre son plaisir, alors j’arrête tout, lui présente ma queue à sucer.
-si tu veux jouir, ce soir cela sera avec tes doigts, par contre avale moi ce jusMon liquide se déverse dans la bouche et sur la langue de Fannie, qui de ses doigts obtient un plaisir solitaire. Adrian, prend Fannie par la nuque et lui demande de nettoyer sa femme, le sexe rempli au jus par son mari. Ma chienne réalise une parfaite toilette de l’intimité d’Abi, prenant le temps de nettoyer toutes traces de jus. Pour terminer, ma soumise doit également nettoyer le sexe d’Adrian. Tout le monde se rhabille. Nos amis ont décidés de nous faire visiter un autre lieu. Avant de quitter le lieu, Abi impose à Fannie de sortir sans robe, uniquement vêtue de son imperméable, je valide forcément cet ordre.
Nous entrons dans un café pour prendre un énième verre de la soirée. Ce lieu est basique, sans être particulier, un lieu où il est possible de boire un verre, simple. Nous nous nous attablons et commandons un verre de vin. Abi est assise à côté de Fannie. Je constate qu’une de ses mains se promène sous l’imperméable, ouvrant les boutons de ce dernier, laissant le champ libre à cette main qui caresse les seins. Ce lieu est fréquenté par la jeunesse Japonaise. Une jeune femme s’approche de nous et s’installe à la table. Elle s’exprime en anglais et directement à Abi.
-je vous vois toucher cette femme devant nous tous et elle se laisse faire, alors je suppose que je peux toucher également.
-si tu peux toucher, il faut demander à son homme.
Je valide la demande d’un regard acquiescent.
Sans perdre de temps, la femme japonaise introduit une de ses mains sous l’imperméable de Fannie. Au vu du regard de cette dernière, la main semble être concentrée sur son bas ventre. Abi, nous informe que nous sommes dans un bar qui est un endroit de prédilection des lesbiennes japonaise, un lieu de rencontre. Moi je me régale de voir ma soumise dans un lieu public subir les assauts d’une japonaise et d’une anglaise, même si ces attouchements sont réalisés assez discrètement, juste de quoi exciter la soumise. Une vingtaine de minutes plus tard, la japonaise se lève et quitte la table.
-merci, mon mari me demande de revenir à lui.
Nous voyons l’homme nous faire un signe de la main, comme pour nous remercier d’avoir laissé sa femme toucher Fannie. Nous terminons nos verres et Adrian nous demande de les suivre. Nous marchons dans la rue jusqu’à une enseigne ou nous pénétrons.
Surprise, nous entrons dans un sexshop, un vaste lieu, impressionnant. A l’entrée, un homme souhaite la bienvenue et nous informe qu’il est déconseillé aux femmes d’aller dans le rayon homme. Nous pouvons donc ne pas faire ce bon nous semble, comme nous le souhaitons. Adrian échange avec cet homme et obtenons la possibilité de traverser le rayon homme pour nous rendre au sous-sol. Au sous-sol, nous découvrons un espace plus petit, avec des cabines pour vidéo et des articles qui ne se retrouvent pas à l’étage. Adrian nous fait visiter les rayons. Divers articles BDSM, diverses vidéo BDSM et les cabines. Nous pénétrons dans une cabine faite pour accueillir plusieurs personnes, un couple est déjà présent, nous ne distinguons que leurs ombres. Le film sélectionné est évidemment en japonais et les images des sexes sont brouillées, loi oblige. Cela nous semble un peu fade, habitué à mieux. Un nouveau film apparait à l’écran, à ce moment le couple quitte la pièce, nous laissant tous les quatre. Nous envisageons également de quitter cette pièce, quand Abi nous dit d’attendre, et a juste raison. Je ne vous donnerais pas de détail sur ce film, volontairement, pour ne pas vous dévoiler ce qui se passera dans les prochains récits. Durant la projection, chacun à donner son avis. Nous sortons de cette pièce et décidons de sortir du sex-shop. Au moment de sortir, nous croisons la femme du café, seule qui entre dans le magasin. Les regards des trois femmes se croisent.
-vous quittez déjà ce bel endroit, rester encore un peu, venez, suivez-moi.
Nous hésitons.
-venez tous, vous aussi messieurs.
Nous suivons la femme. Dans une porte dérobée, nous pénétrons tous dans un couloir, descendons des escaliers, un rideau rouge s’ouvre et nous entrons dans une grande pièce, ou musique, rires, soupirs forment un brouhaha. Nous comprenons vite que nous sommes dans un endroit libertin. La japonaise nous fait assoir dans un coin. Elle ouvre l’imperméable de Fannie, lui retire et commence à caresser son corps. Abi, ne voulant pas rester passive, s’active à déshabiller la japonaise. Nous découvrons le sexe de cette femme poilu. Sans perdre de temps, elle prend Fannie par le bras, l’allonge et vient poser son sexe sur la bouche de ma soumise. Abi, profite pour caresser les seins de cette femme. Nos trois femelles se donnent du plaisir et Abi se retrouve également nue. Certaines personnes passantes, s’arrête et observe la scène. Fannie est clairement utilisée par la femme japonaise qui se gargarise de la langue qui lui lèche l’intimité, tout en massant, tirant les seins se ma soumise qui grogne de plaisir, mais aussi de douleurs. Abi et la japonaise se comprennent. Abi, doigte l’intimité de ma soumise, cherchant à trouver l’ouverture, à savoir combien de doigts elle pourra investir dans ce trou. Mais l’arrivée du mari de notre japonaise stoppe la progression d’Abi. Quelques échanges, et nous voilà tous à copuler. Ma chienne est prise par le japonais, sa femme est prise par Adrian, moi je m’occupe d’Abi, la femme à la toison rousse. Fannie est pénétrée par cet homme qui est simplement là pour utiliser l’intimité d’une européenne, soumise. Elle prend plaisir à chaque pénétration de l’homme, sa voie qui couine à chaque entrée informant sur le plaisir de ma chienne. La japonaise est tout autant expressive, mais plus dans les cris stridents, dû certainement à sa voie. Abi, quant à elle, est la plus silencieuse des trois, son intimité est chaude, par forcément très lubrifiée, mais large, très large ce qui ne pose finalement pas de problème. Ses seins quasi inexistants sont dominés par des tétons qui pointent. Je les touches les pinces.
-encore, salaud, tire bien dessus j’adorrreeeeeFannie est toujours besognée par cet homme, il ne cherche que son plaisir. Ces mains parcours le corps, les seins, le sexe, profitant à ce moment de masturber le bouton de ma soumise, Fannie, qui réclame de jouir. L’homme lui interdit, et pour lui passer l’envie de jouir, le tire les seins fortement à lui, faisant crier Fannie. Par moment il se retire, pose sa bouche sur le sexe et mordille de façon à retirer tout plaisir à la chienne. La japonaise et Adrian ont déjà terminé, elle est allongé, les poils maculé du jus d’Adrian.
Abi retire ma queue de son sexe, me prend en bouche.
-je veux ton jus, ta petite salope ne l’aura pas.
En quelques mouvements, je me déverse dans la bouche de notre anglaise. Le japonais, lui, se retire de Fannie, pénètre sa femme et se vide en elle, en quelques instant. Nous prenons le temps de se rhabiller. Fannie déçu de ne pas avoir pris son plaisir est cajolé par Abi.
-ma chérie, une soumise comme toi n’a pas obligation de se libérer de son plaisir, seul ton maitre décide, c’est ainsi.
Nous retournons prendre un verre dans le bar que nous avons fréquenté avant. Assis sur une banquette, nous échangeons sur ce moment dans le sexshop. Fannie fait comprendre qu’elle regrette de ne pas avoir pu jouir, elle aussi.
-ma chérie, Abi à raison quand elle t’a dit que je suis seul à décider de ton plaisir. C’était déjà comme cela avant, tu le sais bien.
-peut-être, oui, mais là j’avais vraiment envie.
Abi glisse une de ses mains sous l’imperméable de Fannie et me regarde.
-Fred, je peux ?
-oui !
L’imperméable est écarté, et la main commence des mouvements entre les cuisses de la soumise. Fannie se laisse faire et nous regardons ma bourgeoise se faire tripoter, masturber. Abi se fait plaisir, pénétrant l’intimité avec deux doigts.
-aaahhhFannie d’une voie basse, exprime son plaisir montant. Abi retire ses doigts.
-regarder moi, ça, elle mouille, ça coule de partout. Hum ! Joli goût.
Abi porte ses doigts à la bouche et lèche la mouille déposé par l’intimité de Fannie. Ma soumise est de nouveau pénétrée, prise avec ferveur par les doigts de l’anglaise, la pénétration est très active. Les personnes autour de nous se rendent compte de ce qui se passe, certaines se rapprochent pour observer la scène. Une japonaise vient prendre en main un sein pour lui rouler son mamelon entre les doigts. Fannie est dans une excitation, jusqu’au moment ou elle se mord les lèvres pour retenir l’expression de son plaisir.
-eh bien voilà, Fannie, tu l’as eu ton plaisir, avec l’accord de ton homme, c’est simple.
Fannie encore sous le coup de sa jouissance ne répond rien. Nous terminons nos verres et il est l’heure de retrouver respectivement nos appartements.

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