COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison I (2/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison I (2/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison I (2/10)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le début de ma vie a été très chaotique, ma maman étant persuadée depuis mon plus jeune âge, je serais la nouvelle Claudia Schiffer.
Les restrictions en France sur les minis défilés, la contrainte à nous expatrier aux États-Unis plus exactement à Los Angeles.
Elle s’est mise en ménage avec Bob producteur de nombreux défilés de mode du moins, c’est ce qu’il disait.
Rapidement son but m’est apparu au fil du temps où je prenais de l’âge.
Son but était de me baiser dès le jour de ma majorité sexuelle au Nevada, état où la majorité sexuelle est permise à partir de cet âge.
Pour éviter qu’il ne soit le premier, je me suis fait dépuceler chatte et anus par un copain d’école entraînant une rage folle quand Bob s’en aperçoit dans l’hôtel miteux où il m’a emmené.
De rage, nous sommes rentrés dès le lendemain.

Mon cul un mois après s’en souvient encore depuis cette première fois.
Mon but étant qu’il fasse l’imper de me sauter dans notre logement de Los Angeles, la loi dans cet état me permettant de l’envoyer au trou pour de longues années.
Je l’allumais en me promenant nue dès que maman était partie à son travail et que je sentais qu’il avait trop but.
J’espérerais qu’il me baise comme il l’avait fait à Las Vegas, afin d’aller porter plainte, prouvant son indélicatesse.

Mais mon plan avait une faille, quand un homme enlève son hymen à une fille, elle saigne comme j’avais saigné quand Bill m’avait défloré.
Il y avait bien la période de mes règles ; mais j’avais peur que tout ne tombe à l’eau en cas d’examen par un médecin.

Un jour, il prévient maman qu’un nouveau défilé va avoir lieu à Las Vegas.
Nous devons partir le lendemain matin, les plus grands mannequins seront là et il vend à maman qu’elle va atteindre son rêve.

• Cela tombe bien, j’ai trois jours de repos, je pars avec vous, voir Poupette défiler avec les tops de la profession.
Je l’espérais depuis que nous avons fait notre premier défilé aux mini-miss en France.

Un peu plus tard son portable sonne, il décroche.

• Mince, le défilé est annulé, les robes du créateur qui devait les présenter sont toutes brûlées.
Bien, il recommence tout son travail, dommage, je vais perdre un max.

Il coupe son portable et se tourne vers nous.

• Poupette, le défilé est annulé, demain tu es libre, dommage, j’aurais aimé aller là-bas avec toi, c’est reculé pour mieux sauter.
Lorette, j’aurais tellement voulu que tu vois ta fille récolter les fruits de ton abnégation à faire de ta fille une vedette des défilés.

Le salopard, il a dû attendre un appel pour faire croire à maman que tout était annulé et évité qu’elle ne découvre le pot aux roses.

Maman ayant repris son travail c’est quinze jours plus tard que nous sommes revenues au Nevada.
Après nous être installés dans la chambre du même hôtel minable, il m’entraîne dans une boîte où les gens jouent au bandit manchot.
Il m’installe au bar avec un whisky, je savais pourquoi j’étais là, du moins je m’en doutais.
Quelques minutes après, un homme s’approche de moi.

• Suis-moi.

Je l’ai suivi, nous avons pris l’ascenseur, l’homme bedonnant s’est approché de moi.

• Ton Mac avait raison, tu es bandante.
J’espère que tu sais tortiller du cul, ma régulière écarte les cuisses et reste à attendre que j’ai fini de la baiser.

Il passe sa main sous ma mini jusqu’à ce que l’ascenseur s’arrête.
Arrivé dans sa chambre, il sort de sa poche un maxi paquet de billets vert de grosses coupures, qu’il jette sur le lit.

• Ton homme avait raison, je sens que te baiser sur ce lit de billets sera bandant surtout avec ton joli petit cul.
Attention interdit de les toucher et si tu es coopérative, je t’en donnerais un.

Vu de près ce sont des billets de 100 qu’il a balancé.
Je décide de le choyer pour en gagner un, après une fellation, il me prend en levrette.
Rapidement, il décharge son sperme dans ma chatte et quand je me rhabille, satisfait de s’être fait une jeunette, il me donne deux de ces beaux billets verts.
De retours au bar, Bob a pris ma place devant mon verre qu’il sirote.

• Il t’a donné du fric.
• Oui, 200 $.
• Donne cela paiera nos frais.
• Il m’a dit qu’il t’avait payé 500 $ pour avoir mon cul.
• Tu veux que nous retournions à notre hôtel et que je te foute une rouste, reprend ta place, je vais chercher un autre pigeon.

Dans la soirée jusqu’à plus d’une heure du matin, je monte trois fois vers les chambres.
Quand nous quittons la salle de jeu, il est saoul et je dois le coucher.
Je vais me doucher et surtout mes parties intimes qui en ont ramassé un maximum.
Depuis que je vis dans le milieu du sexe, contrairement à maman, je me lave la chatte sans comme elle, culpabiliser.
Dans sa poche, je trouve une liasse de 2 500 $, j’en soutire 480 que je planque au fond de ma chaussure.

Au matin, il se réveille et me saute me prenant comme il pourrait prendre un vulgaire morceau de viande.
Satisfait d’avoir éjaculé, il part en ville m’obligeant à l’attendre.
En le ramenant la veille j’avais vu une boutique dans une petite rue où il y avait une enseigne avec un dé à coudre.

Je m’y rends, une mémé travaille là, elle comprend rapidement ce que je lui demande et je ressors avec mon short et mon chemisier affublés de deux poches ou je peux cacher l’argent que je compte bien soustaire à Bob.
Quand il revient, j’ai caché les dollars de mes passes sans qu’il s’en aperçoive.
Il part dans la salle de bains avec une sacoche prise dans sa valise.
De retour, il a l’air d’être fiévreux et se couche jusqu’à ce que la réception l’appelle et que je reparte dans un autre hôtel turbiné.

Pendant les deux ans qui m’ont séparé de mes dix-huit ans, il arrivait toujours à savoir quand maman prenait des vacances.
Il devait avoir un comparse à qui il graissait la patte pour l’apprendre avec mon fric gagné à la sueur de ma chatte et de mon cul.
Maman pendant ce temps, a toujours ignoré ou voulut ignorer ce que je faisais à Las Vegas restant toujours à Los Angeles.

Notre affaire est bien rodée et j’ai rapidement fait le tour des nombreux hôtels que la ville possède avec en bas des salles de jeux.
À chacun de nos retours il s’enferme avec maman dans leur chambre et certains jours, elle semblait si mal, qu’il lui était impossible d’aller travailler.

Mon bas de laine grossissait surtout quand je faisais le dernier tour de piste avec mon sexe ou mon cul.
Il était tellement bourré qu’il lui était impossible de savoir le nombre de clients que j’avais fait, j’étais tellement connu comme la pute de Bob que dès que je redescendais d’une passe, je repartais immédiatement ou presque.
Certains soirs ou mes habitués brillaient par leur absence, je cherchais moi-même les gros gagnants pour leur proposer un bon moment dans leur chambre.
C’était le système mis au point par mon mac chaque fois que je redescendais vers lui.
Un homme les poches pleines est très vulnérable quand on lui propose une petite partie de jambes en l’air.
Je faisais comme maman, je me prostituais, mais je le faisais intelligemment, les prélèvements que je pratiquais chaque fois étaient assez conséquents, mais toujours raisonnables pour que Bob dans son délire alcoolique s’en aperçoive.

Le temps a passé, hier, j’ai eu dix-huit ans, maman semble de plus en plus malade et Bob étant de plus en plus dans un état lamentable.
Lors de notre expédition vers Vegas, après qu’il est pris sa sacoche et eu été dans la salle de bains, quand il dormait, j’ai voulu voir ce qu’elle contenait, peine perdue, car un petit cadenas la fermait.
J’ai cherché en vain la clef et j’ai fini par m’en désintéresser, le seul but que j’ai lui piquer de l’argent directement.

• Poupette prépare-toi, nous avons rendez-vous dans un immeuble près d’ici au centre-ville.

Fine mouche, j’ai compris, ayant atteint ma majorité sexuelle en Californie, mes passes de Vegas se retrouvaient l’être à Los Angeles.
C’est le cas car nous sommes dans un ascenseur qui nous dépose au 10e étage d’une tour.

• Bonjour, Bob, enfin, voici ta petite merveille que tu nous promets depuis des mois.
Mademoiselle tournée sur vous-même que nous admirions votre plastique.
Bob tu avais raison « Poupette » comme tu nous as dit qu’elle s’appelait va réveiller ma vieille queue, déshabille-toi et viens me sucer.
Bob prend ma bouteille de whisky et va te rincer le gosier sur ma terrasse.
Je te ferrais cherché quand cette mademoiselle aura fini de m’extraire les dernières gouttes de sperme produit par mon vieux corps.

Je me suis exécuté pensant que le vieil homme, lui a déjà donné le fric.
Je tiens à récupérer une par de mon travail, si je veux m’émanciper dans les mois prochains ayant loupée de faire incarcérer ce fumier de Bob…

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