Joyeux samedi

- Par l'auteur HDS Etienneguy -
Récit érotique écrit par Etienneguy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Joyeux samedi Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Joyeux samedi
Il y a deux mois, j’ai rencontré un mec superbe. Vous me connaissez, je ne suis pas trop monogamique, appréciant trop ma liberté pourtant, avec Samuel, je me suis permis d’entraver cette liberté. Après quelques rencontres, je me suis dit que peut-être, ce mec avait été mis sur mon chemin pour quelque chose.

Il m’a été présenté par des amis, un soir que nous soupions tous au restaurant pour l’anniversaire d’un ami. Étant plus jeune que moi, je ne pensais nullement qu’il pouvait s’intéressé à moi jusqu’au moment où, me souriant, il me dit qu’il apprécierait grandement me revoir alors que moi, en le regardant, mes pensées se concentraient plus sur son corps musclé que j’aurais baisé sur le champ. J’acceptai donc son invitation à souper chez lui le lendemain soir, sachant fort bien que là, je pourrais le baiser bien à fond.

Lorsque j’entrai chez lui et que j’aperçu toutes les chandelles et entendu un fond de musique romantique, je me dis que ce mec désirait autre chose qu’une simple baise. J’étais quelque peu déçu, surtout en regardant son cul bombé sous son jeans et son torse musclé sous son t-shirt. Mais je dois avouer que je passai une excellente soirée. Ce mec est charmant, drôle, intelligent et ça me changeait des soirées passées en compagnie d’hommes qui me complimentaient en guise de drague, espérant me coucher dans leur lit. Au dessert, il m’avoua ne plus vouloir des baises d’un soir, me demandant s’il pouvait y avoir une possibilité qu’on se revoit pour apprendre à se connaître davantage. Je répondis par l’affirmative, surpris de mes paroles.

Ça fait donc deux mois que nous sommes un couple, monogame et heureux de l’être. Du moins, nous l’étions jusqu’à samedi passé, ce jour où nous nous sommes rendus chez l’un de ses couples d’amis qui venaient d’acquérir une maison. C’est là que l’histoire commence réellement…

Samuel m’avait déjà présenté Alain et Stéphane et nous nous entendions très bien. Nous avions donc accepté d’aller les aider à aménager leur nouvelle maison. A notre arrivée, d’autres amis étaient déjà présents, amis que ni Samuel, ni moi, ne connaissions. Tous sympathiques les uns autant que les autres, l’ambiance était plutôt agréable. Rien ne présageait ce qui allait se passer surtout que la maison était sens dessus dessous et que le travail ne manquait pas. Alain nous suggéra d’aménager le bureau qui se trouvait à l’autre bout de la maison et nous acceptâmes sans rouspéter. Une pièce ou une autre nous importait peu, du moins je le croyais aussi de la part de Samuel qui, dès qu’il ferma la porte, s’approcha de moi et m’embrassa en me tripotant la queue. Aussitôt, ma verge prit de l’ampleur et il déboutonna mon jeans, l’avalant entièrement. Je savais que les autres se trouvaient à l’autre bout de la maison alors, je n’étais pas pour refuser de me faire sucer jusqu’à ce que Samuel se lève et baisse mon jeans, me retournant pour glisser sa langue sur ma rosette. Je savais où il voulait en venir et je ne dus pas attendre trop longtemps pour sentir son gland exercer une pression contre ma rondelle humide. Je me penchai, les coudes appuyés sur le bureau d’acajou et il me pénétra lentement, glissant sa queue doucement pour commencer, augmentant graduellement la cadence, sachant que j’adore me faire empaler avec force. Après quelques minutes, il m’invita à me coucher sur le bureau, les jambes relevées et écartées, me plantant à nouveau son poireau bien à fond jusqu’à ce qu’il cesse, se retirant en me disant : « Il faudrait peut-être penser à travailler un peu », refermant son jeans en me laissant là, nu sur le bureau, la pastille toujours aussi humide, ne demandant qu’à être encore défoncé. Je me relevai, remettant mon jeans en place tout en le regardant, ne comprenant pas trop son agissement. J’étais quelque peu frustré mais ne dis rien, ne désirant pas commencer une discussion qui pourrait mal de terminer. Nous nous mîmes alors au travail, prenant soin d’ouvrir la porte. Plusieurs minutes se passèrent, chacun de notre côté plaçant objets ici et là jusqu’à ce que Stéphane nous rejoigne, me demandant si je pouvais aller aider dans le garage. Il fallait placer des items assez pesants dans une étagère. J’acceptai, presque heureux de ne plus me retrouver dans la même pièce que Samuel.

Je pris donc le pas vers le garage, laissant Stéphane avec Samuel dans le bureau. Trois amis du couple s’y trouvaient, heureux d’avoir de l’aide. Une dizaine de boîtes de carton se trouvaient sur le sol et je ne sais ce qu’elles contenaient mais elles étaient plutôt lourdes. J’en pris donc une et la plaçai sur le haut de l’étagère, ne remarquant pas que ma verge n’avait pas retrouvé sa taille normale. Ne portant pas de sous-vêtement, l’un des amis, penché devant moi, avait bien remarqué la prépondérance sous mon jeans, son regard bien pointé dessus. Je pris donc une autre boîte, feignant d’avoir remarqué le mec qui salivait en observant ma queue tandis que les autres remplissaient leur occupation. Le fait de savoir que le mec fixait mon paquet n’aidait pas à perdre mon érection, bien au contraire. J’étais encore excité de m’être fait enculer par Samuel et si je ne m’étais pas retenu, j’aurais ouvert mon jeans pour la lui donner volontiers. Mais je décidai tout de même de m’amuser un peu en me tripotant, discrètement, juste assez pour exciter le mec qui se releva, jetant un œil à son conjoint en me pointant du doigt. Ce dernier se rapprocha de moi, un large sourire aux lèvres. « Joli spectacle. Je peux toucher », me dit-il en me regardant droit dans les yeux. Je n’eu pas à répondre, ses doigts caressant déjà mon gourdin pendant que son copain s’était placé derrière moi, se pressant contre mon cul en m’embrassant dans le cou. C’est alors que le troisième s’approcha aussi, désirant, lui aussi, tâter mon organe de sa large main. Les trois mecs m’entouraient et moi, de les savoir si proches, l’excitation montait en flèche. L’un d’eux déboutonna mon jeans, m’embrassant goulûment, un autre me retirant mon t-shirt et le dernier faufilant sa main pour me caresser le cul. Je savais que Samuel pouvait entrer n’importe quand mais j’étais trop excité pour tout cesser. Je m’agenouillai et dégrafai le pantalon de celui qui m’avait embrassé et j’ouvris toute grande la bouche pour prendre sa queue en entier, son gros dard bien dur tandis que les deux autres me montraient leurs cierges, me les offrant gratuitement. Trois beaux anchois que je suçais l’un après l’autre, ma bouche les avalant avec entrain. Je ne savais plus où donner de la tête de voir ses belles grosses bites juste pour moi qui s’enfonçaient dans ma gorge et mes pensées se concentraient non pas sur Samuel mais bien sur mon popotas qui, bien humidifié, ne rêvait que de se faire bourrer bien à fond. Je me levai donc dans l’intention de me débarrasser de mon jeans mais je n’eu pas à le faire car, deux mecs venant de nous rejoindre, se firent un plaisir de baisser mon jeans tout en me caressant sur tout le corps. Sans que je ne demande quoi que ce soit, l’un d’eux me força à me pencher, m’écartant les fesses pour y enfouir sa langue chaude et mouillée tandis que ma bouche reprenait du service. Les mecs étaient tous concentrés sur moi, me mangeant le troufion à tour de rôle jusqu’à ce que l’un d’eux me l’ouvre tranquillement de son majeur. S’en était fait, mon cul demandait plus et le mec le comprit parfaitement, m’incitant à lever une jambe pour la déposer sur la table, lui offrant gratuitement le plaisir auquel il s’attendait. Sans attendre, il m’enfonça son mandrin, d’un seul coup, bien à fond, comme j’aime, et se mit à bouger, me faisant sentir sa queue à chaque mouvement de va-et-vient. Ce mec savait jouer au bilboquet, croyez-moi. Je dois avouer que mon arrière train ne s’était pas fait labourer de la sorte depuis un certain temps, Samuel n’usant point de cette force. J’étais aux anges, sachant surtout que tous les autres attendaient leur tour pour y enfouir leur virilité. Cinq belles grosses queues juste pour mon cul en chaleur, que pouvais-je demander de mieux? Et moi qui avais été ambigu à accepter cette invitation, ne sachant trop si j’avais le désir de passer un samedi à placer des objets dans une maison pour des gens que je connaissais à peine. Samuel avait insisté alors j’avais dis oui et dieu que je le remerciais pendant que les gars me défonçaient bien profondément. Je ne savais même plus qui m’enculait tellement ils interchangeaient sans arrêt. Cinq à six coups de l’un, une dizaine d’un autre jusqu’à ce que l’un d’eux ne veule pas cesser. Je me retournai et ce fut la surprise de constater que Samuel se tenait derrière moi, son panais en moi. Je ne l’avais pas vu entrer dans le garage et, discrètement, il avait pris place. Je ne savais pas comment réagir mais lorsqu’il me sourit, je compris que ça allait, qu’il était enclin à ce genre de chose, du moins sur le moment présent. Il me demanda de me coucher sur le dos et me releva les jambes, deux mecs me les écartant, offrant ma rondelle à tous. Je croyais que Samuel reprendrait sa place mais non, il s’écarta légèrement et fit signe aux mecs de se servir. Pendant que je me faisais empaler, il me regardait et son léger sourire me disait bien que de me voir me faire défoncer le cul par tous ces mecs l’excitait au plus haut point. A croire qu’il savait déjà ce qui allait se passer, avant même qu’on arrive plus tôt. Il baissa son jeans, l’enlevant complètement avant de placer à nouveau sa queue contre mon trou de balle qu’il défonça comme jamais encore il ne l’avait fait. Et Alain, soi disant ami, se plaça derrière, son dard bien droit pour le lui enfoncer. Jamais encore je n’avais vu Samuel s’amuser autant sexuellement et je compris alors que sa monogamie ne tiendrait plus, me demandant même s’il ne s’était pas permis des extravagances dans mon dos. Mais bon, ce n’était pas le temps de penser à cela alors que je prenais un si grand plaisir, surtout que je me retrouvais avec un trèfle à manger, un mec s’étant accroupi sur mon visage. Quel cul… Comme je les aime, sans poil, bombé et son anneau goûtait si bon. Et Samuel obligea Alain à se retirer avant de le faire aussi, me dictant de me lever pour prendre place sur un escabeau, un jambe surélevée, faisant signe à Stéphane de se placer derrière moi. J’avoue qu’il y avait un bout que j’attendais que Stéphane me fourre car ce mec, ouf… Un vrai dur à cuir avec ses tatouages et sa gueule de bûcheron. Je me penchai vers l’avant, pour lui offrir ma chevalière qu’il prit sans se faire prier. Je crois que de son côté, je lui plaisais et par la force qu’il y mettait, je sentais bien toute son excitation. Merci, merci Samuel d’avoir insisté pour cette journée, surtout que je sentais si bien la verge de Stéphane en moi pendant que mon compagnon grimpa sur l’escabeau, à quatre marches, juste assez pour que je puisse assister à ce qu’il allait me donner en spectacle. Un mec le rejoignit et le pénétra. Samuel s’était placé exactement là où je pouvais observer le dard lui défoncer le cul. Je le voyais entrer et sortir alors que j’entendais les gémissements de Samuel qui s’entremêlaient aux miens car Stéphane poursuivait ses mouvements en moi, me prenant le cul comme un vrai mec qui veut démontrer toute sa force. Sa respiration parvenait à mes oreilles et je l’entendais de plus en plus vite, comme quelqu’un qui est sur le point de se laisser aller au plaisir. Et c’est alors que je sentis son foutre me remplir, ses mouvements étant encore plus féroces, plus profonds tandis qu’il criait sa jouissance. Je savais que si je touchais mon asperge, j’éjaculerais tout de suite mais je ne voulais nullement que le tout se termine. Il y avait d’autres mecs qui attendaient aussi de me remplir le panier de leur yaourt bien chaud. Stéphane se retira, se pencha et glissa sa langue entre mes miches, léchant sa sauce tandis que moi, de mon côté, je poussais légèrement pour lui donner le plus de son nectar. Il se releva, s’éloigna un peu et un autre pris aussitôt sa place, tout cela pendant que Samuel continuait à recevoir l’anchois du mec. De regarder cela, de voir la bite d’un autre mec dans le cul de mon compagnon m’excitait bien et de l’entendre gémir de la sorte et tout cela, pendant que ma tirelire en prenait pour son argent. Et encore, mon garde-manger se vit remplir de béchamel.
Tout à coup, Samuel obligea le mec à se retirer et descendre de l’escabeau, le suivant de près pour se retrouver à mes côtés. Son regard pointait la bite du mec qui prenait plaisir en moi avant de s’agenouiller, prenant le machin graisseux dans sa bouche avant de l’inciter à me pénétrer à nouveau. Ce scénario dura quelques minutes, la bouche de Samuel goûtant avec entrain mon cul par le biais de ce sucre d’orge jusqu’à ce qu’il l’incite à se laisser aller en moi avant de le sucer bien avidement, léchant toute cette liqueur bien épaisse. Et un autre, un autre et un autre firent de même, Samuel s’amusant à les nettoyer de sa langue chaque fois qu’ils déchargeaient dans mon vase. Et moi, qui n’en pouvait plus, espérait toujours en recevoir davantage mais le seul qui n’était pas encore venu était Samuel qui, s’étant relevé, ordonnait à Stéphane de reprendre place pour mon grand bonheur. Wow… Il était encore plein d’entrain. Et Samuel pris place de sorte à ce que je puisse très bien le voir avant d’enfiler sa bite dans le cul d’Alain, se dégorgeant le poireau en quelques secondes. Je ne comprenais pas trop pourquoi il n’était pas venu en moi, comme les autres mais bon, l’essentiel était que Stéphane bougeait encore en moi. Moi qui sentais bien que j’étais sur le point de jouir. Je ne pouvais plus me retenir et surtout, je voulais avoir ce grand plaisir en sentant la queue de Stéphane. Je me mis donc à me masturber et mon élixir jaillit à grands jets, mes cris se faisant entendre dans le garage comme une ode à l’extase. Tous mon corps suait à grosses gouttes, Stéphane ne cessant toujours pas de m’empaler, comme s’il ne désirait point que le tout se termine. Il était encore bien bandé et comptait bien en venir à bout pour une deuxième fois. Par chance, j’ai toujours été très tolérant côté cul alors je parvenais toujours à prendre du plaisir, sachant surtout que ce serait sans doute la seule fois que ce mec m’enculerait. Je bougeais le popotin pour qu’il sente que je le voulais bien à fond et il ne se faisait pas prier pour m’enfourner avec vivacité. Ce mec était un amant du tonnerre et je craignais bien qu’après lui, Samuel m’apparaîtrait morne mais pour l’instant, tout ce que je voulais c’était de sentir chacun de ses mouvements et vint le temps où il laissa sortir son bouillon qu’il lécha encore une fois.

Je me relevai donc, m’apercevant que les autres avaient retrouvé leurs vêtements, Stéphane et moi en faisant de même. C’était bien beau mais maintenant, il fallait reprendre le travail car cette maison n’allait pas se placer toute seule.

Nous passâmes donc le reste de la journée à ranger tous les objets, meubles de sorte à ce que ce soit vivable pour Alain et Stéphane. Et vint le souper avec pizza et bière, tous attablés, riant et se racontant des anecdotes rigolotes pour s’assurer une atmosphère agréable. Mais toute cette bière demande, à un moment donné, de vider sa pauvre vessie et je me levai donc, m’excusant avant de me rendre à la salle de bain. La bite en main, laissant évacuer mon urine, la porte s’ouvrit et, me retournant je fus surpris d’y voir Stéphane qui referma la porte derrière lui. Il s’approcha lentement et m’embrassa avant de me dire : « On doit se revoir. Jamais je n’ai eu autant de plaisir à fourrer un mec ». Je l’examinai quelques secondes, sans rien dire, ne sachant quoi dire au juste. « Si je m’écoutais, je recommencerais tout de suite, là, maintenant ». Et s’il avait su comment je me serais laissé faire mais je ne pouvais pas, du moins pas tant et aussi longtemps que Samuel et moi aurions une bonne discussion. Je le lui expliquai et il comprit, me signalant cependant que pour lui, Alain n’y verrait aucun inconvénient. Nous retournâmes à la salle à manger et lorsque je pris place, Samuel me regarda avant de me chuchoter à l’oreille : « Tu sais, ne te gêne pas pour moi mon amour. Je vois bien que tu bandes sur Stéphane. Si tu as quelque chose à faire, tu le fais aujourd’hui car demain, nous reprenons notre vie à deux ». Je le fixai quelques secondes, surpris un peu de son propos mais allais-je laisser passer une telle occasion? Je lançai un regard à Stéphane, un clin d’œil pour lui faire comprendre de me suivre immédiatement. Je me levai, pris le pas vers l’escalier menant au deuxième et m’arrêtai dans le corridor pour attendre Stéphane qui me suivait de près. Il me prit la main et m’amena dans sa chambre, prenant grand soin de fermer la porte derrière nous. Doucement, avec tendresse, il me prit dans ses bras et m’embrassa avec passion. Je n’aurais pas cru cela de lui tant il donnait l’impression d’une bête féroce. Il me déshabilla et en fit de même avant de me guider vers la salle de bain et nous entrâmes dans la douche. Encore une fois, ce fut un moment de grand plaisir de baiser avec lui, sachant surtout que je l’avais pour moi seul. Il me fourra pendant plusieurs minutes sous les jets d’eau et me remplit encore le panier. Ce mec n’avait aucune limite et je sus que j’accepterais de le revoir et que Samuel deviendrait du passé pour moi. Stéphane était l’homme que j’attendais depuis toujours et je savais fort bien qu’avec lui, le quotidien serait charmant et surtout, amusant. Je savais qu’il ne quitterait pas Alain et c’était bien ce qui m’enchantait car s’en était terminé pour moi de la monogamie.

Ça fait maintenant quatre jours que j’ai vécu ce fameux samedi et depuis, pas une seule journée ne s’est passée sans que je me fasse baiser à fond par Stéphane. Comme je l’avais cru, Samuel a mal pris notre séparation mais il s’en remettra. Je n’y peux rien, Stéphane a cet attrait sur moi et par chance, cet attrait est sexuel alors, je ne crains pas de le revoir car il ne laissera jamais Alain alors…

Les avis des lecteurs

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Très belle histoire excitante. Bravo.

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Histoire bien écrite et très excitante. Bravo

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J'aurais aimé être à la place de l'auteur....



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