TED 07 LE PREMIER JOUR 3

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : TED 07 LE PREMIER JOUR 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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TED 07 LE PREMIER JOUR 3
TED 07LE PREMIER JOUR 3

J'avais joui comme jamais, mais ce qui est marrant c'est qu'avec un truc aussi gros dans mon cul, je ne jutais pas. J'avais l'impression d'éjaculer mais rien ne venait. C'est seulement au moment ou il se retirait que je jutais mais la je ne jouissais pas, je jutais seulement. C'est aussi à ce moment que ce bien être envahissait tout mon corps, pas parce que je jutais mais parce qu'il se retirait.

Un grand vide suivait, un grand bien être aussi. Je m'effondrais sur le sofa, je ne bougeais plus, je tremblais pourtant il faisait chaud.

Ted était alors pris d'un élan de tendresse, il me caressait doucement le dos, les épaules, les fesses mais là il savait rester très sage. Je récupérais, je reprenais mon souffle. Au bout d'un moment je me retournais sur le dos. Il continuait à me caresser.

Il glissait une main dans mon jock-strap, je ne bandais plus, il remettais ma queue bien place, comme elle devait être. Toute molle, toute docile, elle ne résistait pas et formait une bosse régulière.

Ted : Voilà ! C'est comme ça que ça doit être !

Je baissais les yeux, je souriais, j'étais amusé par la situation. Je passais ma main sur mon sexe, la queue en position repos était rabattue vers le bas, sur les couilles. C'est vrai que le jock-strap qu'il m'avait donné était bien serré, un tissus très élastique. Il n'y a pas que le plastique qui est fantastique, le lycra aussi c'est génial. C'était finalement très confortable...

Ted : Tu … Ça te dérange pas de le porter à chaque fois qu'on se retrouve ?


Ted : On se reverra j'espère !

Je faisais oui de la tête. On restait encore un long moment à se toucher, se caresser, se sourire … Bein oui après une baise virile à faire peur on partageait enfin un moment de grande tendresse, un câlin, un peu de romantisme dans un monde de brutes !

Ted : Tu verras, si tu le met bien comme il faut quand tu ne bandes pas encore, tu verras, ça contient bien l'érection. J'aime bien moi comme ça !
Moi : Cool !

Pendant un long moment on ne bougeait pas, on se regardait dans les yeux. J'aime bien son côté nounours, j'ai une belle fourrure moi aussi. Il finissait par se relever brusquement, je sursautais.

Ted : On bouge, je t'invite à manger quelque chose quelque part !

On s'habillait rapidement, Ted est d'un naturel prévoyant il a tout ce qu'il faut pas s'habiller dans sa voiture. Il ne nous fallait pas bien longtemps pour être prêt à sortir.

Dans ces villes au bord de la mer il y a toujours un port, un remblais ou une promenade qui surplombe une plage. Des crêperies, des restaurants, des pizzerias … On choisissait finalement une pizzeria … Une bouteille de vin italien plus tard … On était devenu un couple.

Ted, je l'avais trouvé beau comme un dieu à poil et je l'appréciais autant bien habillé, sa chemise ne cachait pas sa poitrine poilue, sa veste légère ne cachait pas sa carrure, son pantalon de toile légère ne cachait pas … Ouai, on devinait facilement qu'il y avait du monde là !

Je bandais mais il avait raison, son truc retenait bien les érections, rien ne dépassait, mais si je passais ma main sur ma braguette je sentais que c'était bien dur, je bandais, je me sentais bien …
Peu à peu dans la soirée, le ciel s'était couvert, on ne voyait plus les étoiles mais la températures restait douce. Ted me ramenait chez moi. Dans la voiture, avant de le quitter, on se faisait un dernier câlin, je ne résistais pas à l'envie de le peloter un peu et pressais doucement sur son sexe à travers son pantalon. Il en faisait de même.

Ted : Tu vois, ça contient bien l'érection mon truc !

En effet je bandais, mais ça c'était à cause de Ted ! Depuis ce jour il m'a toujours fait cet effet !

Je me couchais, je me sentais bien, un peu seul dans mon grand lit mais bien. J'avais toujours l'impression d'avoir quelque chose de gros et de doux dans mon cul, c'était bon. Je bandais ferme, bein oui je ne vais pas dormir avec le jock-strap, je dors toujours à poil moi. Brusquement je me redressais dans mon lit …
'' Mais je ne sais pas ou il habite moi Ted, j'ai pas son téléphone, je ne connais même pas son nom … ''
'' C'est pas grave, je lui demanderai demain à la plage ! … ''
Je me rendormais.

Le lendemain il pleuvait, le ciel s'était couvert pendant la nuit, il pleuvait à verse. J'allais tout de même à la plage, pas pour me faire bronzer, pas pour me baigner non plus. Il n'y avait personne, le parking était presque vide, sa voiture n'était pas là. J'ai passé l'après midi à me morfondre. J'avais mis le jock-strap … Au cas ou ! Je me promenais un long moment, j'espérais apercevoir Ted à chaque instant mais … Rien !

Le jour suivant, la température avait chuté, il faisait presque froid et il y avait de l'orage. Je passais à la plage, mais le parking était totalement vide, je n'insistais pas.

Plusieurs jours avaient passé, l'automne s'annonçait et le soleil semblait ne plus vouloir revenir. Le jock-strap que je portais me rappelait cette dernière rencontre à la plage, les vacances allaient se terminer, j'avais rencontré Ted un week-end et la semaine suivante allait se terminer. On sonnait à la porte. C'était Ted !

C'est avec un grand sourire que je l'accueillais. Il était bien habillé, comme pour sortir. Je lui offrais un verre.

Ted : Ça va toi ?
Moi : Et toi ?
Ted : Ça va !
Moi : Moi aussi ça va !


Ted : Tu as fait quoi cette semaine ?
Moi : Rien il ne faisait pas beau … Et toi ?

Imperceptiblement on s'était rapproché l'un de l'autre.

Ted : J'ai travaillé, j'étais en déplacement !
Moi : Tu as pensé à moi ?

Il m'attrapait les couilles au travers de mon pantalon.

Ted : Tout le temps ! Tu portes toujours le truc que je t'ai donné ?
Moi : C'est très confortable !
Ted : Fais voir !

Je me déshabillais entièrement, il me regardait, ce truc c'est pas mal, c'est confortable et ça contient bien l'érection, j'avais une belle bosse, très élégante, tout a fait à son goût, je bandais mais ma queue ne se relevait pas. Il baissait son pantalon et la sienne se relevait tout de suite.

Je me penchais dessus sans attendre et lui suçais le gland, il est gros mais j'aime bien ça moi les grosse queue, je parvenais à prendre la moitié de sa bitte dans la bouche au moment ou il retirait sa chemise. Il se relevait alors pour retirer le reste de ses vêtements. Je reprenais …
Avec douceur il me caressait les cheveux, il ne me forçais pas à avaler sa queue en entier, j'aime bien ça chez Ted, il sait que ça ne rentre pas en entier. Il me laissait faire et il en profitait.

Au bout d'un long moment il me disait simplement : '' Retourne toi je vais t'enculer !'' . Il est directe, et au moins on sait ce qu'il veut. J'aime bien ça chez Ted !

Je prenais position un peu la boule au ventre, il est trop bien monté, je sais qu'il peut faire mal si il veut, il peut même faire très mal. Mais Ted il est aussi très doux, il me préparait le cul comme il convient avant de s'introduire doucement. Toujours cette impression que mon ventre va exploser, cette dilatation à l’extrême de ma rondelle, il prenait son temps mais il prenait aussi position … Bien à fond, son ventre écrasé contre mes fesses.

Cette fois ci il me serrait dans ses bras en me caressant partout. Il ne se privait pas de me tâter la bitte et les couilles au travers du jock-strap. Au début la bosse était un peu molle mais elle durcissait, ma queue pressait contre le tissus, elle voulait se redresser avec de plus en plus de force mais le vêtement est solide, et ses efforts ne servaient à rien. J'avais une bosse au niveau de l'entre jambe, une belle bosse mais rien de plus. Ted s'amusait à me la tripoter avec fermeté, avec force, il me la cramponnait bien et tout en me limant le cul, il serrait bien fort ma bitte et mes couilles dans sa main. C'était à la limite de la douleur, mais c'était tellement bon.

Mon cul allait exploser, mon anus se déchirer, et mon sexe était écrasé dans sa main. Je jouissais, toujours sans juter mais je jouissais. Il finissait aussi par jouir dans mon cul, là je l'ai senti passé, il a eu un réflexe très violent, et comme vous le savez il peut faire mal. Là il m'a fait mal ! Il s'est retiré et c'est alors que j'ai juté, mon sperme suintait à travers le tissus. Son sperme coulait de mon anus.

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