Hébergement d'urgence (25)

- Par l'auteur HDS Exorium -
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 180 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Exorium ont reçu un total de 586 676 visites.
Récit libertin : Hébergement d'urgence (25) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 703 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Hébergement d'urgence (25)
Il y avait pas trop de monde. Une quinzaine de types, tout au plus. La plupart entre deux âges. Tous à poil.
Alexis s’est déshabillé. Moi aussi. Et j’ai pris place dans la file la plus proche, la queue gonflée et palpitante.
Quelqu’un, à côté, m’a poussé du coude.
– T’es musicien, mec ?
– Non. Pourquoi ?
– Parce qu’elle bat la mesure, ta bite.
Il m’a fait un clin d’œil. Et il a claironné.
– Il y a pas quelqu’un qui voudrait céder sa place, là ? C’est pour une urgence.
Il y avait, si ! Un grand blond. Qui s’est montré compréhensif. Qui m’a fait signe d’approcher. Qui s’est écarté.
– Vas-y ! Vas-y ! À charge de revanche.
– Merci.
Je me suis précipité. J’ai enfoui ma queue dans l’orifice. Une main s’en est tout aussitôt emparée. Une main qui n’a pas eu le temps de quoi que ce soit. J’ai aussitôt déchargé dessus.
Sa propriétaire s’est bruyamment scandalisée.
– Oh, l’autre ! C’est pas de jeu. Je l’ai à peine touchée. Oui, non, mais attendez, je reste. C’est encore à moi du coup.
J’ai repris ma place initiale.
– Alors ? Ça va mieux ?
Il m’a jeté un coup d’œil dessus.
– Oui. On dirait. Je sais ce que c’est, va ! Ça m’est arrivé à moi aussi un jour. Et j’ai giclé sur les reins du mec qu’était devant. La honte !
Une femme, de l’autre côté de la cloison, a proclamé haut et fort son plaisir. Des queues, tout autour, se sont redressées à l’unisson. Et un type, tout près, a fièrement annoncé.
– C’est la voix de ma copine !
Il s’est penché vers nous.
– En rentrant va falloir que je lui raconte, bien en détail, comment ça a réagi. Elle adore. Et alors après je vous dis pas le feu d’artifice…
Ça a avancé. Au tour d’Alexis. Qui a bougé des fesses tout du long. Plus vite. Encore plus vite. Qui s’est retiré.
– À toi !
Il n’y a d’abord rien eu. Pendant un long moment. Avant qu’une voix ne précise.
– Je te la regarde.
Ça a encore duré. Longtemps. Et puis il y a eu un souffle chaud dessus. Un doigt m’a effleuré les couilles, a creusé un sillon entre elles, s’y est installé.
Il y a eu des mots en cascade que je n’ai pas compris.
Et quelque chose de très léger, m’est tombé dessus. Une chevelure. Sa chevelure. Elle m’y a enroulé la queue, me l’y a emprisonnée dans une forteresse de mèches. Avec lesquelles elle m’a branlé, lentement, très lentement. En s’aidant malgré tout, de temps à autre, de la main.
Ça a été un plaisir tout en douceur.

* **
– Alors, les filles ?
On s’est engouffrés dans la voiture.
– Alors ?
Emma s’est aussitôt tounée vers Alexis.
– Elle est pas sûre à cent pour cent, Coralie, parce qu’elle était un peu loin quand ça s’est fait, mais elle pense que c’est moi qui me suis occupée de toi tout-à-l’heure, là-bas.
– Ah, oui ?
– Ben, sors-là ! Que je voie si je la reconnais.
Elle l’a éclairée avec son portable.
– Fais-la grimper, si tu peux. Là ! Génial. Décalotte ! Oh, oui, c’est elle. Oui, il y a pas de doute. C’est bien celle que j’ai branlée. C’est un signe du destin, ça ! Tu vois bien qu’on est faits l’un pour l’autre. Qu’est-ce tu préfères ? Une cage avec une clef, comme ton copain, ou une cage à cadenas ?
Il préférait… pas de cage du tout.
– Oui, oh, ben alors ça, on en reparlera. Je suis loin d’avoir dit mon dernier mot. En attendant, cette ambiance là-dedans ! Tout le monde se lâchait. Je sais pas vous, les mecs, mais de notre côté à nous, comment elles en étaient de la comédie, les nanas…Coralie a eu un petit rire.
– Tu vas pas t’en plaindre !
– Oh, non, non !
– Parce que tu y as trouvé allègrement ton compte, avoue !
– Et pas toi, peut-être ?
– Chuuut !
Elles ont échangé un rapide baiser sur les lèvres.

* **
Une fois à la maison, elles ont été d’avis de poursuivre encore un peu la soirée.
Et même un peu plus qu’un peu.
– On va quand même pas s’arrêter en si bon chemin…– Oui, mais qu’est-ce qu’on fait ?
Emma, elle, elle avait son compte de bites.
– Non, parce que qu’est ce qu’on en a vu défiler ce soir ! Et pas seulement défiler. On a pu déguster. C’est bien. C’est même très bien. Un régal. Mais faut pas abuser non plus. On finirait par se lasser. Ce serait dommage.
– Et tu proposes quoi alors, du coup ?
– Ben, je sais pas toi, mais moi leurs fesses aux mecs, je suis fan. C’est la première chose que je regarde chez eux. Il y a même des fois où je sors exprès dans la rue pour m’en faire une petite provision. Alors t’as qu’à voir !
– T’es pas la seule, va !
– Oh, ça, j’me doute ! Mais ce qu’est quand même dommage, c’est qu’ils les aient pas à découvert.
– Faudrait une loi qui les y oblige.
– Oui, ben ça, c’est pas demain la veille.
– En attendant, on peut toujours profiter de celles qu’on a sous la main, non ? Hein, les garçons ! Vous en pensez quoi, vous ?
On en pensait que… ben que si c’était de ça qu’elles avaient envie.
C’était de ça, oui.
Et on a eu les fesses à l’air.
Et elles ont été derrière nous.
À commenter.
– Celles d’Alexis, elles sont à croquer, avoue !
– Oui, oh, celles de ton patron, elles sont pas mal non plus. Pour dire qu’il a l’âge qu’il a…Et à palper. À tâter. À éprouver. À comparer.
– Elles ont l’air accueillantes…– Celles de mon patron, elles le sont, ça, là-dessus il y a pas de doute. Pour ce qui est d’Alexis, par contre, c’est beaucoup moins sûr.
– Oh, tu crois ?
– Disons que, pour autant que j’aie pu en juger, il prèfère être dedans qu’avoir dedans.
– Parce qu’il a pas eu vraiment l’occasion, le pauvre chéri ! Mais si je m’occupe de lui…Elle lui a glissé une main entre les fesses, s’y est installée. Il a écarté les jambes, renversé la tête en arrière, ondulé de la croupe.
– Tiens, tu vois… T’aurais pas… ?
Elle avait, Coralie, si ! Un gode-ceinture. Qu’elle est allée chercher, qu’elle l’a aidée à ajuster.
Et puis un tube de gel. Qu’elle lui a tendu.
Il s’est, de lui-même, penché, à l’équerre, sur la table toute proche.
Coralie est venue me poser une main sur l’épaule.
– Vous aussi, il y a pas de raison !
Moi aussi.
Elle m’a préparé, pénétré.
Son souffle tiède dans mon cou.
– Dites-le que vous aimez être à moi. Dites-le !
Je l’ai dit. Je l’ai crié. Je l’ai proclamé.
Et j’ai gémi.
Alexis aussi. En écho.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Hébergement d'urgence (25)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Exorium

Les petites stagiaires: Leslie IV, 6 - Récit érotique publié le 03-02-2023
Les punitions d'Olga T. (6) - Récit érotique publié le 24-01-2023
Les petites stagiaires: Leslie IV,5 - Récit érotique publié le 07-01-2023
Les punitions d'Olga T. (5) - Récit érotique publié le 06-01-2023
Les petites stagiaires: Leslie IV,4 - Récit érotique publié le 28-12-2022
Les punitions d'Olga T. (4) - Récit érotique publié le 24-12-2022
Les petites stagiaires: Leslie IV,3 - Récit érotique publié le 20-12-2022
Les punitions d'Olga T. (3) - Récit érotique publié le 13-07-2022
Les petites stagiaires: Leslie IV,2 - Récit érotique publié le 11-07-2022
Les punitions d'Olga T. (2) - Récit érotique publié le 30-06-2022