Mon premier voyage de femme « libre »… 13° partie

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Récit libertin : Mon premier voyage de femme « libre »… 13° partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2019 dans la catégorie Plus on est
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Mon premier voyage de femme « libre »… 13° partie
ÉvaAu petit matin, je me réveille, je suis coincée entre Claudia et Yves.
Par réflexe, je me love contre Yves qui m'entoure de ses bras.
Nous restons un petit moment jusqu'à ce que Claudia se réveille et "sonne" le lever !!
Je dois avouer que je suis fourbue. "Ce n'est plus de ton âge", me dirait Paul. J'ai le cul cassé. Je ne sens plus mes seins. J'ai le sexe irrité.
Je me lève délicatement pour aller aux toilettes.
A ma sortie du "petit coin", encore endormie, je bute contre Yves qui me prend dans ses bras et me glisse à l'oreille. Ma petite Éva, tu as été merveilleuse. Je te remercie pour cette nuit de plaisir.
Je t'ai préparé un bain bien chaud. Vas t'y glisser, je vais t'amener deux à trois choses à grignoter et un café. Ça te va, ma belle ? ajouta-t-il en déposant un léger baiser sur mes lèvres.
Bien sur que cela m'allait. J'étais touchée par cette délicate attention de mon cochon dont je sentais le sexe se raidir de nouveau.….

Ce bain était bienvenu. La porte s'entrouvrit et j'eus la surprise de voir la tête de Claudia. C'est elle qui m'apportait mon petit déjeuner. Elle portait juste un petit tee-shirt.
Elle s'assit sur le rebord de la baignoire. Voici de quoi reprendre des forces ma petite Éva. Tu as été super. Je te remercie. La proximité d'Éva me troublait. Elle me forçait du coup à revenir sur des instants que je pensais enfouis dans ma mémoire. Je ne suis pas bi, mais j'avoue que j'ai pris également beaucoup de plaisir avec Claudia, mais ma pudeur m'empêchait encore de lui avouer.
Je me redressais pour prendra la tasse de café. Claudia sourit lorsque mes seins dépassèrent de la mousse du bain. Elle posa délicatement sa main sur mon sein pour venir caresser mon mamelon tout dressé. Ce qui m'inquiétait, c'est ce n'était pas le froid qui me le faisait ainsi durcir …Je me sentis lui sourire en retour.
J'étais bien.
Ne voulant pas rompre ce charme, je pris tout mon temps pour déjeuner.
Ses caresses étaient douces. Je sentais mon vagin se contracter. J'avais honte de ce plaisir. Je me sentais rouge-pivoine !!!
Une fois mon café fini. Claudia prit ma tasse et s'accroupit pour me donner un baiser doux sur les lèvres.
Elle se releva prestement et fit demi-tour.
Je me surpris à lui mater les fesses ….

Les bonnes choses ont une fin.
Après le bain, j'ai retrouvé mes affaires qui étaient délicatement pliées sur le lit et je me suis habillée.
Un petit café et me voila dehors. Quelle nuit. Mon petit cul me faisait moins mal, mais ce cochon d'Yves y avait été un peu fort !!! Le bain m'avait fait beaucoup de bien, l'air frais du matin également.

Arrivée chez mon fils, j'ai pris une douche et je me suis changée.
J'ai appelé Paul que devait être inquiet et également accro dans l'attente du récit de mes dévergondages et j'en avais encore à lui raconter.
Il m'a demande force détails. Il se masturbait en m'écoutant…Je suis coquine. Je n'ai pas osé lui avouer mon émoi face à Claudia dans la salle de bains.
Après de nombreux je t'aime, nous avons fini par raccrocher. C'est toujours le moment le plus difficile pour moi. De me retrouver seule éloignée de mon Paul.
Mais bon Éva, reprends toi. Ta semaine de petite parisienne n'est pas encore terminée…Je me suis fait un petit café que je dégustais sur son balcon en parcourant le dernier livre de John Irving. Soudain, mon téléphone se mit à vibrer. Un message de Jeff : "j'ai trouvé une super affaire pour toi : une mini d'exception avec une surprise. Si ça t'intéresse… tu me fais signes. Bisous coquins sur tes tétons. Jeff"
Oui, une mini, j'en rêve, mais, cela reste cher…Une surprise ? De quoi pouvait s'agir ?
Je suis curieuse et craintive à la fois. (Mal)heureusement pour moi, je suis davantage curieuse que craintive. Jeff est un homme gentil et j'avais confiance en lui. En revanche, je voulais le faire patienter un peu. Je ne voulais pas avoir l'air de répondre à son sifflet comme un petit chien !!!
Et puis, après ma nuit avec Yves et Claudia, je voulais un peu respirer et me faire un ciné.
J'ai repris mon livre, mais le cœur n'y était plus. Je n'étais plus attentive à ma lecture. Mon esprit repassait les événements d'hier avec Yves et Claudia. Quand je pense que j'ai attendu si longtemps pour m'abandonner au plaisir. Quelle idiote j'ai été !!! En repensant à mes jouissances de la nuit dernière, mon ventre, mon vagin se crispèrent. Je posai mon livre et ma main ainsi libérée se posa sur ma cuisse pour remonter inconsciemment vers mon bouton gonflé.
Mon sexe si brutalisé avait retrouvé sa sensibilité. Mes lèvres avaient une extrême sensibilité. Les effleurer, me suffisait à me mettre dans tous mes états. J'étais tendue. Je mordis mes lèvres au sang !! et d'un coup un engourdissement total me remplit le corps et je me suis surprise à jouir sur mon balcon sans me préoccuper de qui que se soit…Cette jouissance était si forte, si intense que je mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits.
C'est mon téléphone à nouveau qui se mit à vibre : un texto de Paul : "je t'aime".
Pour le remercier. Je pris une photo de mon sexe découvert, indécent, exposé au soleil pour lui envoyer.
Ah mon Paul. Il aurait tant aimé me voir jouir ainsi….

Je me permets de faire une digression pour que Paul puisse s’exprimer. C’est à la demande d’un de mes tops fans candaulistes que j’ai rédigé cette partiePaulÉva me rend fou. Sa semaine coquine sur Paris est du pain béni pour moi. Je crois ne pas avoir été aussi excité depuis l’âge de mes premiers émois d’adolescent. Je ne quitte pas mon téléphone. Ma boite mail est ouverte en permanence. Je compile les photos d’Éva et les images que m’a envoyées Yves. J’enregistre Éva quand elle me raconte ses frasques sexuelles. Je ne peux même pas m’imaginer qu’elle ait été aussi loin. Je me demande encore ce qui a pu ouvrir son verrou fermé à triple tour par son éducation et sa vie jusqu’à ces jours-ci.

Je revis avec Éva chaque moment de ses aventures. C’est comme si j’étais à ses côtés. Nous pourrions fréquenter des clubs libertins. Je pourrais rester à ses côtés, mais ce n’est pas la même chose. Actuellement, elle vit sa vie de femme libre.

Je visionne les images en boucle et me masturbe à tout va. Je m’étonne également moi-même de ma capacité à bander et jouir autant. Quel beau cadeau m’offre Éva, ma petite salope bien aimée. Quelles conneries toutes ces histoires de jalousie et de propriété réciproque. Éva jouit de son corps et moi, je jouis par procuration. Je n’ai qu’une hâte, c’est de la retrouver sur le quai de la gare au pied de son TGV pour la ramener à la maison et pour lui faire l’amour toute la nuit. J’ai envie qu’elle me raconte tout, qu’elle se masturbe devant moi, tout en me racontant ses aventures… Je suis trop excité.

C’est vrai que notre fonctionnement peut être difficile à croire et à accepter. Je me vois mal raconter ces moments libertins et de liberté à mes amis qui me rétorqueraient que seul un homme qui n’éprouve rien pour sa femme peut accepter ces débordements sexuels…
Eh bien moi, je les revendique hauts et forts, et je remercie ma belle Éva de se livrer ainsi pour son bien, celui de ses amants et amantes et, pour le mien. Vive le candaulisme.




Chapitre 5Le temps passe. Vite. Tout d'abord, je vais quand même répondre à Jeff qui doit se lamenter de mon silence. Que vais-je lui écrire ?
"Coucou Jeff, J'ai hâte de découvrir ta surprise !! Je peux me libérer demain à partir de 16 h. Ça te va ? Bisous. Éva"Je glisse mon téléphone dans mon sac. Je claque la porte pour aller faire le tour des cinémas.
Je profite d'un kiosque à journaux pour acheter le programme des spectacles de la semaine et je m'installe à la terrasse d'un café pour étudier les films à l'affiche.

J'étais tellement concentrée à lire les résumés des films proposés que je n'ai pas vu un jeune homme s'installer près de moi.
J'ai fait un bond, quand il m'a touché le bras pour m'apostropher : "Madame…""Oui…"Je vois que vous regardez les films à l'affiche. Je me permets de vous aborder pour vous conseiller un film qui est une vraie pépite : "le soleil d'Andalousie". Il a été réalisé par un jeune espagnol. C'est son premier film et c'est une pure merveille. Je vous laisse regarder le résumé…"
Qu'est-ce qu'il me veut ce type ! De quoi il se mêle. Quel âge peut-il avoir 35 ans ? D'un autre côté. Il a un joli sourire et des yeux…. D'un bleu profond. Je ne vais pas oser le regarder à nouveau. Il pourrait percevoir mon trouble. Je suis folle !!! Je pourrais être presque sa mère !!!

Voyons, voilà le résumé de ce film. C'est sur déjà le nom, l'Andalousie, ça me parle !!! C'est vrai que j'avais un peu zappé ce film. L'histoire a l'air sympa : un mélange de mélo et d'intrigue policière. Pourquoi pas ?

Voyant que j'avais fini de lire le résumé, le jeune homme revint à la charge.
"Alors qu'en pensez-vous ?" J'étais un peu perdue. Je n'ai pas l'habitude de parler ainsi avec un inconnu qui m'aborde. Mon trouble face à son regard bleu profond. Je ne pus que balbutier : "ben… je ne sais pas".
Mon voisin prit l'initiative de s'approcher de moi. Me regardant dans les yeux, il posa un doigt sur mon genou, en me glissant à voix basse : je peux m'approcher de votre table ?"Son geste à peine appuyé sur ma peau nue m'avait électrisé.
A nouveau, je balbutiais "euh.. oui.. je vous en prie…".

"Voila. Merci. Je m'appelle John …." Il laissa sa phrase en suspension, certainement pour que je me présente à mon tour.
J'étais tellement sotte. J'ai laissé passer quelques secondes qui m'ont paru une éternité avant de lâcher "Éva…, oui…, moi, c'est Éva".
John reprit "Merci Éva".

Et il m'expliqua pourquoi il avait eu ce coup de cœur pour ce film et que me voyant chercher un film à voir, il n'avait pas hésité à m'en parler.
Je continuais à bredouiller que je n'étais pas encore décidée à aller au cinéma, que ce film n'était peut-être pas projeté dans le coin…Et John avait la réponse à tout… Il m'ensorcelait avec son sourire, sa délicatesse, ses yeux, le timbre de sa voix.
D'un seul coup il me sortit de ma léthargie en montant un peu le ton de sa voix.
"Éva, c'est maintenant que le film va commencer. Vous venez dit-il" en se levant et me prenant la main.

"Le cinéma qui projette ce film n'est pas très loin. A 10 minutes à peine. Cela va nous permettre de faire davantage connaissance car je m'aperçois qu'il n'y a que moi qui ait parlé… Éva parlez-moi de vous ? Que fait cette jolie femme, seule à Paris, en cette belle journée de printemps ?"
Un peu perturbée, je fis mine de m'intéresser à mon sac, histoire de lui lâcher la main. Je pus ainsi croiser mes bras en tenant mon sac contre moi, avant de parler à mon tour.
L'histoire que je lui racontais fut très banale. Il n'était pas question que je me dévoile devant cet inconnu. Cependant, petit à petit, je reprenais confiance et le jeu m'amusait.

Et c'est moi qui revins vers lui en lui prenant le bras. Je profitais de ma hardiesse pour le taquiner à son tour. "Que fait un jeune homme, seul à Paris, en cette belle journée de printemps ?"Il se contenta de sourire… Nous arrivions déjà devant le cinéma. Il était assez tôt et il n'y avait pas grand monde à cette heure là en semaine.
John nous positionna au dernier rang, au milieu des sièges.

Nous discutons tranquillement comme si nous étions des vieux amis. La lumière s'éteint, je m'étale sur mon siège pour regarder confortablement le film.
John avait raison, ce film me plait. Il comporte parfois des scènes difficiles.

Surprise par une scène violent, je m'accroche à John, qui surpris par mon geste me prit dans ses bras pour me rassurer.
- "N'aie pas peur. Ce n'est rien…" me murmura-t-il en me serrant contre lui.
Il me serrait si fort que je n'osais bouger. Je me sentis me relâcher, l'esprit davantage tranquille.
Rassuré par mon mouvement, John se fit plus entreprenant.

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