COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (2/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (2/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (2/13)
Vous me connaissez Anne, la muse de Chris71.
J’habite et je travaille à Besançon dans une entreprise de transports où je suis secrétaire.
J’ai accepté de rejoindre Josyane mon amie qui habite sur la côte méditerranéenne afin de profiter des premiers rayons du soleil en ce mois de février.
J’en ai plus que mare du froid et du brouillard de ma région.
Je sais être économe, je profite du camion de Gaston, l’un de nos chauffeurs, pour descendre jusqu’à Avignon où mon amie viendra me récupérer.
Si ce voyage en camion me permet d’économiser le train, il est long, surtout que la législation impose aux chauffeurs des règles strictes de temps de conduite et de repos.
C’est le cas à Montélimar où nous nous arrêtons et où j’en profite pour aller dans les toilettes me changer et mettre une tenue plus adéquate à la chaleur montante.
En jupe courte et chemisier fin, c'est à l’extérieur sur une terrasse que je profite des premiers rayons du soleil chauffant ma peau, en présence de Joël un jeune homme d’une trentaine d’années qui y est aussi.
J’ai refusé les avances de Gaston, marié à Séréna d’origine sicilienne.
À 58 ans, je m’étonne de l’attention que me porte ce jeune homme pouvant être mon fils.
Mais il est vrai que je suis bien conservée après mon divorce faisant très attention à moi.
J’ai un ami avec qui j’ai des rapports quand il en a envie.
Pierre a presque 70 ans et ceux-ci commencent à s’émousser.

Je vois que ma poitrine intéresse le jeune homme, au regard qu’il lui porte.
Malgré que j’ai prouvé à Gaston ma souplesse il y a quelques minutes en sautant de son camion afin d’éviter qu’il me mette la main aux fesses, je me vois mal baiser dans une voiture si t’entrée qu’il en ait une sur ce parking.
Dans une voiture, je l’ai fait avec mon ex-mari, le soir à la sortie d'une boîte de nuit où nous avions passé notre soirée, mais aujourd'hui, en plein jour sur ce parking, j’ai passé l’âge.
Il existe bien une solution, c’est de l’amener au camion de Gaston, le réveiller et lui demander de descendre afin de nous prêter sa couchette.
Non je fantasme !
Sinon, bonjour la fin du voyage et les risques à mon retour dans ma boîte s’il rapporte à ses copains que la secrétaire qui s’occupe d’eux est une vieille cochonne !
Joël restera un joli fantasme quand je le remercie de sa gentillesse et que, reprenant ma valise à roulette, je rejoins le camion.
Je suis à quelques mètres de la cabine, quand sur la route qui rejoint l’autoroute, une vieille 4L Renault passe près de moi et que j’entends son Klaxon.
Le conducteur, Joël, me fait un signe de la main.
J’aurais dû prendre son numéro de portable ou lui donner le mien, mais comme une cruche j’ai oublié de le lui proposer.
Le plus drôle dans cette brève rencontre et l’intérêt que me portait ce jeune garçon, c’est que c’est dans une 4L que je baisais quand j’étais jeune.
Souvenirs, souvenirs !
J’aurai fait un retour aux sources de mon adolescence !
Gaston est réveillé, le moteur du camion tourne, nous pouvons reprendre la route, Montélimar restera un joli fantasme, à mon retour dans ma froide vallée du Doubs.

- Tu t’es changé je vois !
J’ai simplement enlevé ma chemise.

Ça je le vois, Gaston est en marcel, me montrant les touffes de poils longs sous ses bras de déménageur.
Contrairement à l’arrêt, aucune velléité d’essayer de me mettre la main au panier.
Simplement un regard sur ma culotte quand je me hisse dans la cabine.
C'est sûr j’ai enlevé mon pantalon pour une minijupe sans penser que la cabine est haute.
Le ruban continue à défiler, nous avons devant nous un camion ukrainien, ce matin, c’était un Espagnol que nous avons suivi de Lyon à Montélimar.
Mes paupières se font lourdes.
Je m'assoupis et je dors.
Cinq minutes ?
Trente minutes ?
Je l’ignore, je dors.

Je suis bien au soleil dans ce camion, et dans mon sommeil, bizarrement je sens ma main posée sur une forme dure.
C’est drôle, ma main passe librement entre ce sexe et le volant, alors que tout à l’heure, je voyais le ventre de Gaston le toucher.
Mon chauffeur a changé, c’est Joël qui conduit.
Pourquoi chercher ce qui a permis le changement de chauffeur, on verra ça plus tard, pour le moment je ne comprends rien ?
Il y a peu, j'avais du regret de voir partir ce jeune garçon, maintenant c’est le moment d’en profiter.
Tiens, il était en jean et là, il porte un pantalon de survêtement.
Le même que porte Gaston avec son marcel quand il conduit.
Même tête, même marcel, une musculature aussi massive pour l’un ou pour l’autre mais muscles plus fermes pour celui qui conduit en ce moment.

L’un conduit, l’autre doit être dans la couchette alors pourquoi hésiter.
J’écarte le devant de ce qui me sépare de mon but.
La verge de ce jeune homme apparaît.
Très bien, pas de sous-vêtement entravant cette verge très tendue.
Je passe ma main libre sous ma jupe, je suis trempée, certainement la chaleur qui me mouille de sueur.
Je me caresse, c’est un peu gluant, loin des gouttes de sueur que je tamponnais à la terrasse du restoroute tout à l’heure avec mon mouchoir en papier.
Je redouble avec mon autre main sur la verge qui m’est proposée ?
Elle est un peu riquiqui pour un jeune homme, mince, je regarde le chauffeur, Gaston a repris le volant.
Encore bizarres, le ventre et le volant me permettent de descendre ma tête jusqu’à elle.
À mesure que ma bouche avance, elle vient à ma rencontre, comment ce phénomène peut se produire ?
Finies les questions, elle entre dans ma bouche et je me pâme.
Masturbation, fellation à part cette sensation étrange de flotter dans l’air mon corps ayant fini de m’appartenir, je suis bien, même très bien.
Mes vacances commencent divinement.
Le soleil, bientôt la mer, et une queue bien rigide que je pompe sans plus me poser de questions.
« Oui. »Mon portable sonne.
Je relève la tête, la bite décharge et me noie de sperme sur la figure, des flots de sperme avant que je reprenne un peu conscience.
Je me suis assoupie et j’ai rêvé que je faisais une fellation et une masturbation à celui qui me conduit.

- Anne, réveille-toi, réponds, on t’appelle.
Après tu m’expliqueras pourquoi tu as crié « oui » !
Tu me diras à quoi tu rêvais.

Je me passe la main sur le visage comme si je voulais enlever le sperme, mais je décroche ayant récupéré mon portable à côté de moi.

- Anne, c’est Josyane, il y a eu un accrochage après Montpellier, j’aurai une demi-heure de retard à la sortie d’Avignon.
- On t’attendra, ça ira pour toi Gaston !
- Sans problème, je suis largement à l’heure pour l’embarquement.
- Josyane, un camion bleu avec les lettres B.R. de couleur blanche dessus.

Ayant raccroché, je repense à ce qui m’est arrivé, et si ce rêve, car je prends conscience que ça a été un rêve, était prémonitoire, en attendant, je vois Gaston qui met son clignotant.
Devant nous le camion de l’Ukraine a changé de route où c’est arrêté, nous suivons un Polonais.
Il gare son camion et coupe le contact.

- Je t’offre un verre au restoroute.

J’ai une autre idée, ma chatte me démange encore.
Mon rêve m'a mis dans une excitation terrible.
Je ferme les rideaux du camion nous isolant.

- Pourquoi fermes-tu ?
- Je nous isole.
Monte dans ta couchette.
- Ma couchette !
- Dépêche, ma copine va arriver et tu mérites une récompense.

Il s’exécute passant par son siège.
Je me place à genoux sur le mien.
Je sors sa verge de son pantalon de survêtement.
Petite, comme dans mon rêve, pantalon et petite verge, Joël a quitté le secteur, mon rêve aurait pu être prémonitoire, hélas !
Je me penche, mais je me redresse.

- Gaston, si tu te vantes que je t’ai sucé pendant notre voyage, je ferais le nécessaire pour que Séréna sache ce que nous avons fait.
Aucune crainte de ta femme de mon côté, mais du tien je pense que tu prendrais d’énormes risques.

Je retourne à mon travail, si pomper un mec même bedonnant est un travail.
Un coup de Klaxon, je me redresse au moment où il décharge, du sperme part dans ma figure.
Par un côté mal fermé ma copine est là qui attend.
Je me rafistole du mieux que je peux, par chance, il y a des Kleenex à portée de ma main.
Sans le savoir, Séréna a pensé à tout pour le bien-être de son chauffeur de mari.
Aucun endroit pour les jeter, je les garde dans ma main, avant d’ouvrir la portière et de sauter à côté de ma copine.
Josyane est toujours jeune, ou semble vouloir donner l’impression d’être jeune.
Des seins aussi gros que les miens, sont-ils aussi fermes ?
Sans penchant lesbien, impossible de les comparer.

- Anne, essuie-toi mieux la figure avant de m’embrasser.
J’aime le sperme mais quand il sort directement de la verge de mon amant du moment.
Tu pourras jeter ton mouchoir dans cette poubelle.

C’est ainsi que ma valise récupérée, Gaston embrassé pour moi et une poignée de main pour elle, les hommes bedonnants et âgés étant loin d’être son style.
Je monte dans sa 306, décapotable et décapotée.
Gaston rejoignant son camion.
Nous reprenons l’autoroute, derrière nous Gaston me fait un signe de la main.
Je le reverrai dans quelques jours, j’espère qu’il aura digéré la fellation que je lui ai faite.
Je suis certaine que c’était le seul écart que j’aurais avec lui.

Nous prenons de la vitesse, Josyane a un pantalon moulant, ses seins débordant de son tee-shirt les mettant en valeur.
Je trouve que si les miens sont en forme de poire, les siens sont plutôt des pommes.
Lunette de soleil que je sors de mon sac moi aussi.
Mes vacances de février au soleil commencent bien…

Anne ma muse a corrigé.

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