Mon premier voyage de femme « libre »… 19° partie

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Récit libertin : Mon premier voyage de femme « libre »… 19° partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2019 dans la catégorie Plus on est
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Mon premier voyage de femme « libre »… 19° partie
VendrediAu matin, je sentis Jeff qui se levait, ce qui me réveilla. J’avais les cheveux en bataille. Une grosse journée m’attendait. Je devais récupérer les affaires de Paul, visiter un magasin de meubles près du Chatelet, ranger l’appartement de mon fils, et toutes les surprises que Paris pouvait m’offrir avant mon départ.

Jeff s’était déjà rasé et douché. Il me proposa d’aller dans la salle de bains avant de prendre le petit déjeuner qui nous serait servi dans la chambre.

Quand je sortis en peignoir de la salle d’eau, je trouvais le petit déjeuner servi et ma robe nettoyée sur le lit.
Tandis que nous préparions nos tartines, Jeff me parla d’un rêve érotique qu’il avait fait cette nuit. J’attendis qu’il ait fini de parler pour lui avouer ma petite gâterie, et comment j’avais abusé de lui pendant son sommeil.

Jeff éclata de rire. Tu es impayable ma jolie Éva. Quelle chance j’ai eu de te trouver sur mon chemin. J’espère que nous aurons l’occasion de nous retrouver régulièrement à Montpellier. Tu es faite pour aimer !!!
Il m’avoua avoir posé son téléphone pour filmer nos ébats hier soir et qu’il enverrait le film à Paul.

Nous descendîmes ensemble et nous nous séparâmes au pied de l’hôtel. Jeff était trop pressé pour me déposer chez mon fils. Je pris un taxi.

J’envoyais un sms à Paul pour le prévenir et pour lui dire que je l’appellerais dès que je serai à l’appartement.

Aussitôt arrivée, j’enlevais ma robe Kenzo et me préparais un café que je pris sur le balcon ensoleillé. La température était déjà douce. Je fis quelques selfies que j’envoyais à Paul avant de l’appeler en FaceTime.

Paul était très content de mon appel et de me voir nue sur le balcon. Il était ravi pour ce qui m’arrivait. Il avait hâte de me retrouver. Il n’arrêtait pas de me dire que je lui manquais et qu’il m’aimait.

Il se calma aussitôt que je lui fis les confidences de mes aventures de la veille. Il me laissait parler. J’appris à mon retour qu’il enregistrait nos conversations le coquin.

Tandis que je racontais l’épisode dans le restaurant avec Jeff, j’aperçus un voisin qui m’observait. Il avait des jumelles et semblait se caresser… Je le dis à Paul tout en retournant mon téléphone vers l’immeuble d’en face. Mon mari m’encouragea à m’exhiber et à poursuivre la suite de mon récit.

Tout cela m’émoustillait. Je pensais aux derniers moments passés avec Jeff. Je fermais les yeux et me caressais en parlant. J’avais mes doigts et mon sexe trempés. Le carillon de la porte d’entrée sonna et me sortit de ma torpeur. Qui pouvait venir ? Yves ? Il m’aurait prévenue. J’attrapais une serviette de bain avant d’aller ouvrir.

Je ne reconnus pas de suite l’homme qui se trouvait devant moi. Il se présentait avec des croissants. « Je vous ai vue à la fenêtre prendre votre café. J’habite en face. Je me suis que cela pouvait être sympa de prendre une tasse ensemble et j’ai pris quelques viennoiseries avant de monter. »
Me voyant sans réaction. Il ajouta « Je peux entrer ? »
Il était plutôt mignon. Une trentaine d’années. Un brun tout bouclé. Son sourire me fit craquer et je le laissais entrer.

Je lui proposais de s’asseoir sur le balcon pendant que je préparerais le café. J’ajoutais que je devais mettre quelque chose de plus décent pour recevoir convenablement mon invité.
« Oh, ce n’est pas nécessaire. Vous savez, votre corps ne m’est pas inconnu. Vous êtes trop belle. C’est pour cela que je suis venu. Je tenais absolument à vous voir plus près et je ne suis pas déçu. »
Il était craquant.

Ma serviette ne cachait pas grand-chose, mais je ne pouvais pas reculer.

« Je m’appelle Alain et vous, quel est votre prénom ? »
« Éva ? Ce prénom espagnol vous va à merveille. Vous avez des origines ibériques ? »
Pendant que nous dégustions, nous parlions de tout et de rien. Une tension sexuelle se mettait en place. Je voyais Alain qui se trémoussait sur sa chaise, à l’étroit dans son pantalon. Il est vrai qu’une fois assise, il avait une vue directe sur ma vulve. Je m’en amusais. Nous bûmes un second café.

Alain se leva pour s’approcher de la rambarde. Croyant que je ne l’avais pas vu il me montra la fenêtre de son appartement. Je me levais pour regarder. Il y avait une superbe verrière sur le côté.

« Oui, c’est mon atelier. Je suis peintre. Cette verrière m’offre une superbe lumière pour travailler. »
Je lui parlais de Paul, mon mari photographe qui aurait adoré avoir un tel atelier pour ses photos.

« Éva, il faudra absolument que vous veniez voir mon atelier d’artiste. J’adorerais vous peindre. Vous êtes si sexy. »
Tout en parlant, Alain s’approcha de moi et vint se positionner derrière. Il posa ses mains sur mes épaules. Un frisson me traversa tout le corps. Malgré la douceur de la température, j’avais la chair de poule. Je pouvais sentir son souffle dans le cou.

Ses mains descendirent jusqu’à mes hanches. Mon sexe était déjà trempé de désir. Voyant mon absence de réaction, il s’aventura davantage. Il m’embrassa dans le cou. Ses mains descendirent pour atteindre ma peau nue qu’il caressa. Sa peau était douce. Je me surpris à me cambrer tout en écartant les cuisses.

Alain s’en aperçut et je sentis ses doigts écarter mes fesses pour atteindre ma vulve trempée. Il me poussa à me cambrer davantage pour que ses doigts puissent s’occuper de mon bouton gonflé de désir. Il ne fallut que quelques pressions pour que jouisse une première fois. Je serrais fort les cuisses et emprisonnais fermement sa main pour garder ma jouissance encore quelques secondes.

Alain se servit de son autre main pour venir empaumer mon sein gauche et titiller mon téton gonflé et durci par le désir.
La serviette tomba. J’étais nue sur le balcon avec un coquin très excité derrière moi. Je sentais sa respiration s’accélérer. Il dégagea sa main, défit son pantalon et je le sentis sortir son sexe pour le positionner contre ma vulve.

« Oh Éva… » Il me pénétra d’un coup. J’étais surprise sous l’assaut. Son pieu était large. Il me détendait la chatte. Il resta ainsi un moment. Il était bien en moi. Il savait que j’avais besoin de temps pour m’adapter à sa queue hors norme. Sa main, me caressait toujours le clito. Mes jambes flageolaient.

Mon amant le comprit et resserra son étreinte. Ce qui eut pour effet de faire pénétrer son engin encore de quelques centimètres.

« Oh Alain… Doucement. Oui, c’est bon. Prends-moi maintenant. » M’entendis-je dire en ondulant sensiblement des hanches.

Mon invité répondit aussitôt à mon invitation et commença à bouger dans mon étui serré et dilaté par son pieu. Peu à peu, ses va et vient se firent rapides et puissants ; violents même. Un vrai bucheron. Je n’en pouvais plus. Ma tête partait dans tous les sens. Mes seins étaient meurtris par ses mains et ses doigts. Alain était endiablé, excité par la situation certainement : faire l’amour sur le balcon.

Épuisée, je lui fis signe de calmer ses ardeurs. Je lui demandais de s’asseoir. Son sexe toujours plongé dans mon vagin. Ce fut à mon tour de prendre l’initiative. Je montais et glissais sur son pal épais. Mes muqueuses le caressaient dans un va et vient moins violent, mais tout aussi excitant. J’étais maitre du jeu et cela me plaisait. Je faisais l’amour à mon rythme et je pouvais sentir mon vagin se contracter et ma jouissance arriver lentement, mais sûrement. La chair de poule couvrait tout mon corps. Ma tête basculait de gauche à droite comme une possédée.

Enfin, le tsunami salvateur arriva. Je me raidis et me contractai pour atteindre la jouissance ultime qui me tétanisa violemment.

Alain prit dans la tourmente ne put résister et je sentis des jets libérateurs m’inonder le vagin.

Je repris mes esprits. Alain toujours en moi. J’attrapai mon téléphone pour faire quelques selfies.

Je vis la mine surprise de mon amant.
« C’est pour mon mari Paul. Je ne lui cache rien. Je te le présenterai un jour quand on viendra visiter ton atelier. »
Je basculai en arrière pour m’allonger contre Alain et reprendre mes esprits. Son pieu toujours en place. Alain ma caressa tendrement, puis tourna autour de mon bouton pour voir s’il était toujours aussi sensible. Ses doigts agiles m’envoûtaient. Je me sentis bouger les hanches pour profiter encore un peu de la queue de mon invité. Je sentis celle-ci reprendre de la vigueur.

Je me séparai de mon amant pour le prendre en photo. Son sexe bien dur et encore plus large que je l’avais imaginé. Je déclenchais la fonction vidéo avant de me mettre à genoux pour prendre en bouche ce pieu hors norme. Mes mains n’arrivaient pas à en faire le tour. Que dire de ma bouche, face à ce gland disproportionné.

Je m’appliquais à lécher cette tige de chair, de bas en haut, tout en tétant tant bien que mal le gland gonflé de désir sont les effluves me rappelaient le plaisir qui m’avait envahi il y a si peu de temps. Un mélange de ma cyprine et du sperme de mon amant. Ces sensations olfactives m’enivraient. Ma bouche put enfin absorber la tête de cette tige dressée. Je suçais maladroitement, mais amoureusement ce gland qui vibrait sous mes coups de langue.

Ne pouvant pas aller au-delà, Alain, certainement habitué par son « handicap » se branla devant mon visage. J’interrompais parfois ses caresses pour reprendre le gland dans ma bouche. J’en profitais pour renouveler l’expérience vécue avec Jeff. Je glissais un doigt dans son anus pour le stimuler. Ma pénétration déclencha la jouissance de mon amant qui gicla sur mon visage avant de diriger son sexe vers ma bouche pour que je puisse déguster sa crème. Ce que je fis en le regardant droit dans les yeux.

Son gland bien nettoyé par mes soins, je me levais prestement, attrapant la serviette au passage. « Je vais nous refaire un café. Qu’en penses-tu ? »
Alain, encore sous l’effet de son plaisir ne put me répondre.

Quand je revins sur la terrasse, Alain était en train de remettre de l’ordre dans ses vêtements. Je lui fis passer le rouleau de Sopalin pour qu’il évite de tacher son pantalon.

Le second café fut plus tranquille.

Je mis Alain à la porte car je devais m’activer. La journée était chargée. Il m’écrivit son numéro de téléphone sur un papier et m’embrassa passionnément avec un grand « Merci Évita pour ce moment d’amour inopiné. J’espère te revoir très bientôt. N’oublie pas ta promesse de revenir visiter mon atelier. »
« Merci beaucoup Alain à toi aussi. Les choses se font à deux… « « En attendant que je revienne, je te propose de choisir quelques photos avec Paul pour te les envoyer. Elles t’inspireront peut être pour un tableau. »
Après un dernier baiser, je fermai la porte.

Je me servis un verre de jus d’orange avant d’écrire un mot à Paul avec quelques photos pour illustrer mon récit. La vidéo était trop lourde pour l’envoyer. Je la donnerai à Paul à mon retour.

Allez, direction la salle de bains. J’avais du sperme dans les cheveux, ainsi que des coulures entre les cuisses. Quelle quantité de sperme m’avait giclé ce coquin. J’étais impressionnée.

Quand je sortis de la douche, je vis plusieurs sms affichés sur mon téléphone. Yves, Paul et Jeff.
Yves voulait avoir des nouvelles. Il me demandait si on pouvait se voir avant que je reparte.
Je lui répondis que j’étais trop occupée. Que cette semaine était passée trop rapidement, mais que je reviendrais, ou bien viendra-t-il passer quelques jours chez nous à Montpellier.
Pour le faire bisquer, je joignis une photo où j’étais avec Alain dans une position sans équivoque.

Paul me remerciait pour mes messages. Il me rappelait qu’il m’aimait plus que tout et qu’il avait hâte de me retrouver.

Jeff me remercia encore pour cette nuit. Il me confirma que la voiture serait prête ce soir et que nous pourrons descendre ensemble à Montpellier.
Il me proposa de me retrouver demain matin à sept heures en bas de l’immeuble.

Je lui répondu que j’étais folle de joie pour la Mini et que je serai prête demain matin. Je terminais en lui confiant que j’étais contente de passer la journée auprès de lui.

J’avais à peine terminé que je reçus une avalanche de sms d’Yves tout excité et qui me disait que je ne pouvais pas partir sans l’avoir revu.

Je m’habillais d’une petite robe légère. Je ne voulais pas abîmer ma Kenzo. Une petite photo sur le balcon avec ma robe relevée pour Paul. Alain, à sa fenêtre me fit de grands signes. Je lui envoyais des baisers avant de refermer la fenêtre et quitter l’appartement.

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