COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (10/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (10/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (10/13)
Dans cette collection qui m’est dédiée, vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.

Je viens d’accepter de suivre Paul le mari de Betty qui m’explique le souci de son couple.
Comment arrêter sa contraception pour avoir leurs enfants alors qu’il lui faut de multiples bites par journée ?
Ils ont trouvé la solution, ils vont être enfermés dans une résidence en Suisse et n’en ressortiront qu’une fois que Betty saura qu’elle est enceinte de son mari.
La maternité doit lui apporter l’apaisement de ses sens et régler son addiction au sexe.

Je l’espère de tout cœur, mais en attendant, moi qui croyais qu’il était candauliste, il me montre par son sexe durci de taille tout à fait normal que je lui fais de l’effet.
Quand je le prends en bouche, pour lui apporter ma science de la fellation, je prends conscience que depuis que j’ai été prise par Joël, mon fantasme s'est enfui.
Sa bite m’a plu comme celle de Noël, je dois prendre la place de Betty, je suis boulimique de sexe depuis le début de mes vacances.

- Toutes les fois que je vais avec une autre femme que la mienne, j’adore les baiser en levrette.
- Y vois-tu un inconvénient ?
- Si tu savais ce que j’ai accepté depuis que je suis ici, en levrette, je vais en tirer un immense plaisir.
De plus, je vais pouvoir me cacher la tête dans mes bras et ignorer les yeux qui nous observent.
- Il est vrai que si l’on veut baiser une amie comme toi Anne, c’est loin de ce club qu’il faut aller.
C’est ce qui me fait peur en Suisse, Betty se contentera-t-elle de ma seule queue et serais-je à la hauteur pour l’honorer pendant des jours ?
- À ce que tu me montres, soit un mâle dominant, le mâle dominant, tu verras quand vous aurez votre fils, tout ce que tu as fait pour elle sera ta récompense.

Je me retourne lui présentant ma face arrière, j’ai la tête tournée, je veux voir ce qu’il fait.
Il avance sa langue et sans hésiter me fait une feuille de rose.
Il redescend ma vallée pour rejoindre mes lèvres vaginales avant d’attaquer mon clitoris.
Pendant la double pénétration dans la cage, il était compressé par les deux bites en moi.
Là, il peut s’épanouir en toute quiétude, Paul semble un amant que j’aurais regretté si nous ne nous étions pas rencontrés.
Betty va passer du bon temps dans cette chambre, j’espère qu’elle en sortira pour rejoindre une maternité pour après neuf mois mettre au monde un joli poupon.
M’ayant bien préparée, il se met à genoux derrière moi et le cri que je pousse quand il me pénètre est un cri de plaisir.
Nous forniquons sans plus nous inquiéter de ceux qui nous regardent.

- Paul, fais-moi plaisir, tu m’as fait jouir deux fois, sors de moi, retrouve ta femme Betty et rentrez chez vous.
Fais-lui l’amour et donne-lui sa première rasade de sperme, ce coup sera le dernier de votre ancienne vie, avant de lui donner le prochain de votre nouvelle vie.

Paul m’écoute, je pourrais être frustrée mais non, je sais faire de bonnes actions surtout que pour ce soir, pardon cette nuit, la femme d’âge mur, a eu son compte de sexe.
Quand nous sortons pour rejoindre le groupe, je suis heureuse, j’ai oublié les trous dans les murs et j’ai l’impression d’avoir fait une bonne affaire.
Paul connaît très bien le club, nous longeons une piscine, des couples de toute nature trempent, certains forniquent même dans l’eau.

Dans la salle contiguë, ils sont tous là semblant nous attendre, Josyane me voit.

- Anne rejoint-nous regarde une autre nouveauté cette année, le matelas d’eau gonflé transparent qui est un aquarium, regarde tous ces poissons exotiques qui s’ébattent sous nous !
- Merci Josyane, j’ai le mal de mer simplement à vous regarder osciller dessus, je crois que je vais rentrer.
- Attends, regarde Noël s’occupe de Betty pendant que tu étais avec son mari, laisse-le terminer, nous rentrerons après.
Je suis comme toi, une soirée de rêve, mais une soirée épuisante.

Je suis heureuse pour Paul, le dernier amant de sa femme avant la conception de son enfant ça aura été mon neveu.
Ouiii Ouiii, c’est elle qui pousse ces cris.

- On vous emmène boire un dernier verre.
- Je me sens en pleine forme, ça serait avec plaisir, mais demain avec Paul, nous partons en Suisse, c’est lui qui conduit, ça serait dommage d’avoir un accident.

Nous nous faisons la bise à la sortie du vestiaire et encore au parking.
La nuit est fraîche, nous sommes toujours en hiver même si dans la journée on se croirait en août.

- Salut Anne, demain je suis de service le midi et le soir, le club est ouvert le dimanche, as-tu un stylo que je te note mon numéro de portable tu pourras m’appeler quand tu le voudras.
- L’un de vous a un papier et un stylo !

C’est Betty qui nous dépanne, elle a une carte de visite qu’un de ses galants lui a donnée en début de soirée et un gros feutre.
Pourquoi a-t-elle ce genre d’objet dans son sac ?
Inutile de me poser des questions, je note le plus possible que je le peux 06 06.
Les six chiffres du numéro.
Je suis un peu triste, j’ai deux choix possibles, revenir demain par la porte des gens sans restaurant ou attendre une autre occasion.
Un dernier baiser au coin des lèvres à Paul.

- Bonne chance.
- Merci Anne, tu auras été un rayon de soleil dans ma vie, tu es énormément humaine.
- Avec tout ce qu’il faut pour satisfaire ma libido, je viens de m’en rendre compte, même si ta verge va en satisfaire une autre.

Chaque voiture démarre, Joël s’éloigne, encore une journée de vacances à profiter du soleil et lundi retour vers Avignon où je dois retrouver Gaston.
J’ai vu Josyane parler avec Lucie, au volant elle suit leur voiture, il est vrai que nous sommes voisins.

- Suis-nous Anne, ton neveu et Lucie veulent nous faire profiter e la vue de la terrasse et le lever du soleil d’où ils habitent.

C’est tout Josyane, toujours prête à en faire plus, elle retarde toujours le moment de rentrer.
Même ascenseur mais nous nous arrêtons un étage plus haut.
Un palier une seule porte, les parents de Lucie possèdent toute la surface alors que mon amie partage la même surface en deux appartements.
Une partie de l’appartement est une grande véranda, elle comprend la salle de séjour salon donnant sur la terrasse et la mer que vous pouvez entendre en contrebas de la plage.
Cuisine à l’américaine, assises sur les tabourets à haut pied, en dînant nous voyons les derniers voiliers rentrants au port.
La chambre de mes parents, vous voyez, on appuie ici et un store se replie permettant de faire entrer le soleil.
Ce que je remarque, c’est le lit, au moins deux mètres sur deux, un vrai terrain de jeu.

- Anne, Cyril mon père et Béatrice ma mère sont aussi des libertins, leur week-end à la montagne va être pour eux un moment de détente, ski et baise, ceux qui les ont invités sont souvent ici.
D’où le lit, il est fréquent qu’ils finissent à plusieurs couples dans leur chambre.

Lucie ouvre la baie vitrée, la terrasse domine un cadre idyllique, surtout que les immeubles ont été construits pour que ceux du dernier étage, des richards, aient un maximum de soleil toute la journée.

- Dire que lorsque j’ai acheté les appartements donnant sur la plage était tout pris.
- Je te comprends Josyane, tu dois voir juste un peu de ce joli cadre.
- Mais dis-moi, aurais-tu les moyens d’investir si tu revends ton appartement ?
- J’ai quelques recettes cette année, j’ai un portefeuille d’action qui m’a très bien rapporté.
Je peux dégager quelques milliers d’euros.
- L’appartement à l’étage au-dessous va être à vendre.
J’ai eu mon père sur mon portable avant d’aller au Copacabana, Christophe et Sophie les propriétaires divorcent.
C’était un couple échangiste depuis leur mariage, c’est Sophie qui a entraîné Christophe dans l’échangiste.
L’été dernier, ils ont rencontré un couple, la femme s’appelle Cyl et son mari Tichris et tout libertins qu’ils sont, Christophe est tombé amoureux de Cyl qui lui a bien rendu.
Sophie l’a appris et les deux couples divorcent.
Pour le jugement de séparation, tous les biens du couple ont été répertoriés dont cet appartement.
Christophe a demandé à mon père de l’aider à vendre, si tu veux demain je l’appelle et tu essayes de récupérer l’appartement.
- Avec Anne qui a appris à se dévergonder, c’est une bonne nouvelle, je vais mordre si je le loupe.
- Et si vous dormiez ici, je laisse le store ouvert, il annonce la plus belle journée de la semaine demain, vous verrez comme c’est agréable de se faire réveiller par le soleil.
Allons à la douche, je pense que vous dormez nus, c’est le cas pour nous.
Avez-vous déjà dormi avec une magnifique nuit étoilée au-dessus de vos têtes ?
Je suis à deux doigts de fermer l’oeil repue de soleil et de sexe.
J’étais venue pour le soleil, le sexe c’était la cerise sur le gâteau.

Dormir, pas tout à fait, je sens la main de mon neveu mon voisin qui vient me caresser les seins avant de descendre vers ma fourche.
À part la double avec Joël, j’ai un peu négligé mon Noël de mon cœur, c’est naturellement que lorsqu’il pivote sur moi que je le reçois en moi.
Depuis les vacances où je l’ai dépucelé, je retrouve l’amant que j’ai façonné avant que Lucie achève notre œuvre.
J’ai un dernier orgasme et mon partenaire jouit lui aussi.
Il me quitte, et va se blottir dans les bras de Lucie.

Je dors enfin du sommeil du juste ou du soleil du juste…
Corrigée par Anne.

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