COLLECTION LESBIENNES. Pour échapper à mon patron (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNES. Pour échapper à mon patron (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. Pour échapper à mon patron (2/3)
Dans la vie vous prenez des décisions instantanées qui vous propulsent plus loin que vous n’aviez pensé quand vous avez émis cette énormité.
C’est le cas quand pour repousser les avances de monsieur Damien mon patron, je lui avoue le cœur sur la main, que je suis lesbienne et que je vais me marier.
Dans ma précédente place, j’ai cédé aux avances de mon patron jusqu’au moment où sa femme l’a appris et je me suis fait virer.

Cette énormité avancée, il me fait la surprise de vouloir me mettre en avant lors de la fête de fin d’année qu’il organise avec son épouse.
Il veut que dans sa société les couples homos comme le miens trouvent leur place.
Il veut être à la pointe des idées novatrices prônées par la société qui refuse les discriminations.
J’ai beaucoup réfléchi et il faut que je trouve une jeune femme qui accepte de jouer ce rôle pendant cette soirée.
Je me mets en chasse sur Internet de cette perle rare assez bonne actrice pour tenir ce rôle et m’éviter de retourner à la case départ qui serait le lit de monsieur Damien.

C’est dans un bar où se réunissent des lesbiennes comme me l’a apprise la patronne qu’elle me dépanne en appelant une jeune femme qui fréquente occasionnellement son bar.
Madame, comme l’appellent ses clientes l’appelle et en ce moment elle se trouve en face de moi au fond du bar.
Véritable petite poupée blonde, en la voyant je la baptise dans ma tête boucles d’or nom de la jeune héroïne de ma jeunesse avec ses trois ours que maman me lisait.
Je lui exprime ma demande lui expliquant que j’ai dit à mon patron que je vais me marier avec mon amie lesb… cet été.

- Tu veux m’épouser, ne t’en fais pas j’ai compris, tu cherches ce que tu as du mal à dire une lesbienne, une gouine et tu as du mal à prononcer ces mots.
- C’est Madame la patronne qui m’a dit que vous n’aimiez pas que l’on vous appelle des gouines, qu’il fallait dire lesbienne.
- Pour ma part j’aime que l’on me dise que je suis une gouine, ne te formalise pas.

À ce moment, Giselle s’approche de l’appareil à disque oeuvre d’art du bar de Madame.
Elle parlait avec une femme la quarantaine, sorte de dominatrice, elle est entièrement recouverte de cuir noir jusqu’aux bottes et aux gants montant jusqu’au coude.
Il ne lui manque que la cagoule et la cravache pour ressembler à la femme vue lors de ma quette du milieu lesbien sur une vidéo que j’ai vite coupée.
Je me voyais mal débarquer à la fête de mon patron au bras de ce genre de femme ayant un mauvais genre.

- Allez les filles venez danser, il faut profiter de la vie.

Elle s’est collée à cette femme, dansant d’une façon presque honteuse.

- Maryse, elle a raison, j’adore danser.

Nous nous levons, qui enlace l’autre, je l’ignorerais toujours, la sensation est étrange, je n’ai dansé qu’avec des hommes qui rapidement voulaient me faire sentir leur virilité.
Là c’est son ventre plat qui se colle au mien, ses seins, non, nos seins qui se collent les uns aux autres.
Je ne sais pas comment mettre ma tête, je serais obligé de me cambrer, appuyant fortement sur son bassin, pourquoi ne pas le dire, contre sa chatte pour éviter que nos lèvres soient trop proches.
Elle me sauve en posant sa tête sur mon épaule, nous dansons enlacées, ma propre chatte n’étant pas insensible au frottement de celle de Susy.

- Je veux bien t’aider, je vais te dire franchement, tu me plais, même si j’ai compris que tu es hétéro, mais.
- Je me doutais qu’il y avait un mais, lequel est-il !
- Je retourne lundi chez mes parents à Orléans.
- Viens te rasoir, tu vas m’expliquer.

Je casse ce moment d’enchantement, certainement pour éviter de lui donner l’impression que je m’abandonne.
Des années d’éducation puritaine comme m’ont donné mes parents, même si coucher avec son patron n’était pas dans leur éducation, s’efface difficilement.

- J’ignore si Madame te l’a dit, j’avais rencontré une jeune femme ici.
Elle m’a quitté me retrouvant à la rue, je suis dans un hôtel jusqu’à ce que je rentre chez mes parents.
- Il y a une autre solution si tu veux rester à Paris.
Venir vivre chez moi et chercher du travail sur Paris, quelle formation as-tu ?
- J’étais en fac de droit, j’ai arrêté je n’arrivais plus à suivre.
Les nuits parisiennes m’attiraient trop.
Je vais aller à pôle emploi chez moi pour qu’il m’aide.
- Rien de tout ça, tu viens chez moi, tu m’aides à embobiner mon patron et c’est à Paris que tu t’inscris pour trouver un emploi.
- Oh ! merci, dans ma vie, j’ai toujours eu de la chance, je croyais qu’elle m’avait abandonné, j’accepte, revenir chez mes parents serait reconnaître l'échec de ma vie.
De plus, si nous vivons même chastement chez toi, à la fin d’année, nous montrerons à ton patron un couple car si nous étions restés chacun chez soi, cette approche ne serait pas la même.
- Viens, je t’emmène dès ce soir, je te prêterais un tee-shirt pour la nuit, demain on ira chercher tes affaires.
- J’espère ne pas te choquer, je suis naturiste, je dors nue et je circule nue dans les maisons où j’habite.
- Nous nous arrangerons, la nudité ne me choque pas.

Nous saluons Madame, Giselle continue à danser avec sa dominatrice, cette dernière la tire par les cheveux en arrière et lui parle presque bouche-à-bouche.
J’ai appelé un taxi qui me pose à 15 minutes de chez moi.

- Voilà mes deux pièces, le loyer est supportable, excuse ce bordel, je travaille et je suis très peu ménagère.
- Tu n’as qu’un lit, je vais dormir sur le canapé.
- Depuis ce soir, nous sommes un couple, j’ai un grand lit, j’espérais qu’un jour un beau gosse viendrait le partager, ce sera une belle gosse.
- Merci Maryse, je peux me déshabiller, c’est plus fort que moi, dès que je suis entre quatre mûrs mes vêtements ont envie de s’envoler tout seul.

Sans aucune pudeur mal placée, Susy se met nue.
J’essaye de tourner mon regard, mais c’est plus fort que moi, je mate.
Ses seins ont de belles fraises, je les avais sentis quand nous avons dansé.
Ce que je découvre, c’est sa chatte, autant en tant que brune, je suis rasée chaque mois dans mon institut de beauté.
Elle est simplement proprement taillée sur les bords me montrant un triangle pubien très bien entretenu.

- Viens allons prendre un bain, je veux te faire voir ma détermination à ce que nous arrivions à tromper mon patron comme tu me le propose.

Le bain se passe bien, je suis face à elle, au début l’eau est claire et je vois nettement le rose de l’intérieur de sa chatte dans la position où sont ses jambes comme moi.
Voit-elle ce que je vois, mais nous en restons là, je pense qu’elle ne veut pas me choquer simplement en me savonnant le dos et m’essuyant avec la serviette ?
Nous rejoignons mon lit, pardon, notre lit, il faut que je m’habitue à parler pour deux.
La lumière éteinte, dans la nuit, je sens un bras passé le long de mon corps.
C’est dans un demi-sommeil que je sens cette main remonter facilement sur mon corps jusqu’à mon sein le plus proche.
Mon tee-shirt tire-bouchonné comme chaque nuit car j’ai tendance à bouger lui laisse la possibilité de se laisser attraper.
Sait-elle ce qu’elle fait, sa respiration est normale, pas l’ombre d’une retenue me montrant qu’elle aussi est réveillée.
Je me rendors, j’aime cette main, mon sein est au chaud.
Quand je me réveille, c’est l’odeur du café qui me fait ouvrir les yeux.

- Voilà ton petit déjeuner, j’ai vu que tu n’avais que du café, je suis descendu chercher des croissants, ils sont tous chauds.
- Merci, revient à mon côté, dis-moi, cette nuit tu dormais où c’est volontairement que ta main est venue sur mon sein.
- Tu n’as pas aimé !
- Si c’est pour cela que je t’ai laissé faire.

Susy de retour de la boulangerie est de nouveau dans le plus simple appareil.
Elle se couche à mon côté manquant de renverser le plateau.
Nous faisons la dînette mettant des miettes partout.
Quand nous avons fini ayant tout nettoyé, je le pose au sol.
C’est ma main qui empoigne le sein le plus proche alors que nos bouches se rejoigne.
Sa main vient sur ma fourche et commence à me caresser le clitoris.
Je m’enflamme.
J’ignorais qu’une gouine pouvait donner autant de plaisir à une autre gouine.

Mon mensonge envers mon patron à partir de ce jour devient réalité, je tombe littéralement amoureuse de cette fée du logis.
Je retourne à mon travail le lundi après la veille avoir été chercher ses affaires et clore sa chambre d’hôtel.

Susy m’apprend tout le Kama-Sutra des amours féminins basé sur la douceur comparé à mon ancien patron et amant qui me prenait comme une bête.
Décembre arrive, les invitations sont lancées et à la date prévue nous arrivons toutes les deux…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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