COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (21/30)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (21/30) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(21.0 / 10)

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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (21/30)
Dans la saison I, je suis venue de France avec maman qui a voulu refaire sa vie à Los Angeles avec le frère de mon père qui m’a toujours été inconnu.
C’est dans la saison II que je découvre l’histoire de ma vie en même temps que j’hérite de plusieurs millions de dollars.
Dans la saison I, je passe des minis miss au monde des prostitués à Vegas dans cette saison et en Californie dès mes 18 ans dans la saison II.
J’ai hérité après que Bob mon beau-père eut fait volontairement le saut de l’ange depuis la terrasse du sénateur, 10 étages étant durs à digérer.
Quand cette saison III démarre, mon cerveau a fini par se convaincre que ce que l’inspecteur à coucher sur son rapport « suicide » est l’exacte vérité.
Dans le même temps, je cherchais des subterfuges pour que vole le code du coffre au sénateur, c’est lui qui me le donne à ma simple demande.

Eh oui, ça y est ce con de sénateur m’a donné la combinaison d’ouverture du coffre 24-8-11-13-10-26.
24-11-13-10-26, 24-11-13-10-26, je le répète plusieurs fois dans ma tête pour éviter de l’oublier.
Impossible de le noter quelque part car le sénateur pourrait changer le code par sécurité de risque que je le perde.
Depuis que je le connais il semble avoir une haute opinion des femmes qui pour lui sont nunuches et simplement bonnes à écarter les cuisses.
Du moins avant qu’il ne me connaisse.

- C’est bien, je suis rassurée, je te ramène au lit.
Une fois couché je vais te donner tes médicaments.
Il va falloir que tu revoies le médecin tu as beau dire, j’ai peur que tu n’aies des vertiges par moments.
C’est bien, tu les as tous avalés, je te prépare tes gouttes pour dormir.

1, 2, 3 il faut que je sois raisonnable, 20, c’est bon je dois en compter 20, oui pourquoi pas 23, 24, 25, hier il les a bien prise sans problème, 26, 27, 28, 29 et 30.
J’ai un moment un scrupule à l’assommer comme cela, si son cœur flanchait et que Tex ordonne une autopsie, lui serait-il possible de prouver que je l’ai assassiné alors que je veux simplement qu’il dorme le mieux possible et si notre mariage était compromis.
Je vois défiler les dollars hérités grâce au sauteur dans le vide, mais comme pour les gouttes, mon cerveau en veut plus, plus et plus.
Mais les paquets de dollars se terminent par la vision d’une paire de menottes.
Je prends le verre remet des gouttes dans le flacon de toute manière, je lui ai dit que j’allais chez Abby.
Je le vois mal débarquer chez elle, même s’il y a quelques étages, il marche mais sur des courtes distances.
Là prendre l’ascenseur il en est bien incapable surtout seul.

Je vais dans la salle de bains, je me baigne afin d’être à l’heure chez mon amie, tenue sexy violine sortie de ma valise avec chaussures à lanières de même couleur.
Le short est si court que j’oublie de mettre une petite culotte.

Le sénateur s’est endormi, je regrette d’avoir réduit les gouttes car son sommeil semble agité.
Je suis prête, je prends le Marocain sans faire de bruit de peur qu’il ne se réveille.
Je me pose des questions et lumières éteintes je quitte l’appartement la boule au ventre comme une midinette que j’ai arrêté d’être depuis bien longtemps afin de rejoindre ma jolie maîtresse.

- Je suis contente, tu as 10 minutes d’avance, je m’étais dit que si tu m’aimais tu me ferais le plaisir de venir en avance.
Entre un voisin pourrais nous voir et le dire à ton mec en haut.

J’entre et elle referme la porte, je me jette dans ses bras.

- Je suis plus intelligente, j’ai dit à Miguel que j’avais rencontré une amie dans l’immeuble et que je passais la soirée chez elle.
Je lui ai donné ses gouttes pour l’aider à dormir comme chaque soir et me voilà, la nuit est à nous.
Oui, j’oubliais, le sénateur s’appelle en réalité Miguel mais il préfère qu’on l’appelle par son surnom sénateur.
Embrasse-moi, on perd du temps à papoter.

Le baiser que nous nous échangeons me bouleverse.
On m’aurait dit, il y a quelques mois que ce serait une fille même très jolie qui ferait battre mon cœur comme il bat en ce moment, j’aurais traité la personne de fou ou de folles ?

- Tu me fais mal avec ton machin qui m’écrase les seins.

Elle s’écarte me montrant ce que ma vision trouble quand je suis entré tellement j’avais envie de la prendre dans mes bras m’avait caché.
Elle porte une robe-fourreau blanche si serrée autour de son corps qu’il est certain qu’elle est nue.
Sa chatte il pourrait y avoir un doute bien qu’aucune trace de string ne marque sa taille de guêpe mais ses seins la façon dont le tissu les dessine me montrent bien la liberté de ses fraises que j’aime gober et mordiller.
Elle pivote sur elle-même faisant soulever sa robe me montrant une de ces cuisses par la fente montant presque jusqu’à son intimité.

- Regarde, je suis allé l’acheter pour toi cette après-midi, je la porterais à ton mariage, je serais ta pute demoiselle d’honneur.

Comment faire autrement que d’échanger de nouveau un gros baiser qui nous plaque l’une contre l’autre ?

- Tu veux vraiment me massacrer les seins, c’est un cadeau pour moi.
- Non, c’est notre avenir, vient je vais te montrer ce que contient ce classeur en cuir.

Je l’ouvre et je sors les feuillets donnés à l’étude par mon notaire et qui font de moi, outre une femme très riche surtout une mère maquerelle car toutes ces maisons, studios, et restaurants ou mes rabatteurs doivent s’occuper de jeunes filles me classent dans cette catégorie.
Abby lit les feuillets avec beaucoup d’attention et me regarde incrédule.

- C’est fou, tu vas me quitter maintenant que tu es riche, tu vas vivre dans le monde du luxe et je vais en être exclu.
Regarde ma robe de demoiselle d’honneur, elle me coûte deux mois du surplus qu’il me reste quand j’ai réglé toutes mes factures.
Je devais partir une semaine vers la côte à El Matador dans l’hôtel le moins cher du site, je vais devoir annuler.
- Stop, tu as tort, je voulais te dire en arrivant que dans ce Marocain il y avait notre avenir.
Je te dis bien notre avenir tu vas m’aider à gérer cette fortune, tu donneras ta démission pour rester avec moi auprès du sénateur.
- Et tu crois qu’il acceptera que sa femme vive avec une autre femme et est des rapports sexuelle avec elle.
- Si je lui impose il le fera, quand on aime quelqu’un on doit tout accepter de lui, regarde.

Je vais vers la table qu’elle a préparée avec amour en m’offrant un repas aux chandelles éteintes certainement à cause de mon avance.
Je prends un couteau effilé.
Je reviens vers elle et me pique le dessous du sein ou une légère goutte de sang perle sur mon chemisier.

- Demande-moi de m’enfoncer cette lame dans le corps pour te prouver que je t’aime.
- Tu es folle, donne-moi cette lame.

Elle me la prend et la met comme je l’ai fait sous son sein.

- Demande-moi de me l’enfoncer dans le cœur pour te prouver que je t’aime.
- Chérie on est folles, si l’une après l’autre on se tue, qui viendra me donner le plaisir que nous allons prendre après ce bon repas que tu sembles m’avoir préparé.
Folle que tu es tu as taché ta belle robe, enlève là que je la nettoie.
- Non, je la porterais comme cela mardi et ainsi tu sauras que j’étais prête à mourir pour toi.
- La robe que tu m’as offerte est-elle ici ?
- Oui dans la chambre sur mon mannequin de travail.
- S’il te plaît va la chercher pendant que je me déshabille.

Elle le fait, virevoltante une fois sur elle-même sa robe s’envolant et sa fente m’apparaissant une fraction de seconde me faisant mouiller.
Trois minutes et elle est là, m’aide à la passer.

- Donne-moi le couteau et demande moi de te prouver que je t’aime.
- Tu es vraiment folle, vient dans la chambre que je repose cette robe à sa place jusqu’au moment où tu la mettras pour aller me tromper.
- Tiens, regarde comme je t’aime.

Je saisis le couteau et je me le plante sous le sein, c’est légèrement plus qu’une goutte de sang qui macule ma robe de mariée.

- Petite folle, je sais bien que tu m’aimes, enlève ta robe avant qu’elle soit fichue.

Je le fais pendant qu’elle enlève la sienne.

- Je vais aller les laver.
- Si tu le fais notre amour seras irrémédiablement terminé.
Aucun des amis du sénateur ne sait que je vais avoir une robe de mariée, la seule chose que j’ai dit à Miguel c’est que tu serais mon témoin, nous serons seules à savoir pourquoi elles sont tachées.

La robe étant enlevée, le sang continue de couler.

- Fait moi voir.
Tu es vraiment folle la coupure est profonde et avec de la chance elle a peu saigné, il va falloir que je fasse un point.
- Tu veux me coudre le sein, pourquoi pas la chatte pour que personne n’entre.
- Je vais chercher mon matériel, il faut vraiment que je te recouse.
- Tu es couturière.
- Non, seulement infirmière, je sais réparer une plaie.
J’ai toujours ce qu’il faut pour faire un point si nécessaire.
Tu vas avoir une petite cicatrice.
- Dans des centaines d’années quand nous la contemplerons, nous serons les deux seules à savoir pourquoi elle est là.

J’ai peur moi qui ai dit redouter les piqûres par notre jeu, je me retrouve avec un point sous le sein.

- Que tu as les mains douces ma belle.
Aie.
- Douillette l’aiguille est à deux centimètres de ta poitrine.
Attention, là cela va faire un petit peu mal, surtout que je fais ton point sans anesthésie.
- Aie, est, c’est fini l’amour entre nous est terminé mais elle va renaître dès que tu m’auras pris dans tes bras.
- Pour te faire pardonné offre-moi un verre.
- Alors passons à table…

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