J’ai besoin de sentir une queue dans mon cul

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J’ai besoin de sentir une queue dans mon cul Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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J’ai besoin de sentir une queue dans mon cul
C’est l’année de mes 40 ans. Marie et moi venons de rompre, même si nous nous entendons toujours bien et qu’au lit c’est toujours le pied, nous voulons des vies trop différentes. J’ai quand même du mal à m’éloigner d’elle alors pour me forcer à l’oublier, j’enchaîne les déplacements. Mon patron m’envoie pour 10 jours dans le sud ouest pour y consolider la relation avec nos clients un peu trop fuyant en ce moment.

J’organise mon séjour pour passer le week end à Montpellier. J’ai plein d’excellent souvenirs dans cette région et plus particulièrement d’une plage naturiste sauvage réservée aux hommes. Même si Marie me bouffer le cul et me doigter, je n’ai jamais réussi à lui parler de ma bisexualité. Pourtant elle est devenue bisexuelle grâce à un couple de voisin à nous. Mais je sentais que deux femmes c’était normal pour elle mais pas deux hommes, alors j’ai pas voulu tout gâcher.

Le problème c’est que pendant deux ans je n’ai pas eu le bonheur de sentir une queue venir me visiter. Je n’ai pas senti une bouche, qui connait très bien le sexe masculin, s’occuper de ma tige et mes couilles, ni sentir une bite coulisser entre mes lèvres. Alors certes c’est dur de ne plus partager son quotidien et ses folies mais ça aussi des avantages.

Le vendredi, une fois tous mes rendez vous fini, je suis trop crevé pour faire toute cette route pour seulement quelques minutes de soleil. Je décide de me coucher tôt pour y passer la journée complète du lendemain. Mais avec toute la fatigue que j’ai accumulé je ne me réveille pas avant 10 heures et je prends la route seulement un peu avant midi.

Le parking de la plage à une bonne dizaine de voiture qui l’occupe déjà, c’est un bon signe. J’attrape un sac dans lequel j’ai rangé serviette, bouteille d’eau, un livre.. et je me dirige vers la plage. Je descends les grandes falaises et vois déjà sur le sable plusieurs silhouettes plus ou moins poilues. J’installe mes affaires au pied du rocher et après avoir étendu ma serviette, je m’allonge complètement nu dessus.

Je réchauffe bien mon dos et mes jambes puis je m’assois pour un peu observer qui partage cette étendue de sable avec moi. Je vois, à quelques dizaines de mètres, deux hommes nus me tournant le dos. Le côté de leur corps sont collé l’un à l’autre. Je les imagines en train de se caresser mutuellement alors que ma bite commence à se soulever.

Un peu plus sur le côté je vois un autre couple de mec, allongés en cuillère. Encore une fois je ne les vois pas distinctement mais vu les mouvements de bras de celui de derrière j’ai aucun problème à l’imaginant masturbant son compagnon. J’espere aussi qu’il est en train de se frotter contre ses fesses. A force je suis raide comme un piquet, je m’allonge un moment sur le ventre pour cacher mon érection.

Quand je me relève, je suis redevenu flasque, mais je dégouline de transpiration. Pour me rafraichir, je décide d’aller me baigner. Plus j’avance vers la mer, plus je bande. Je ne sais pas si c’est le petit vent qui en caressant mon corps me fait cet effet ou si c’est le fait de m’exhiber compliment à poil devant tous ces hommes. J’accélère pour dépasser tout le monde et cacher ma bite raide et exhiber mon cul à la place.

Je rentre rapidement dans l’eau qui est plutôt fraiche, surtout comparé à la température extérieur. Du coup j’en débande, mais je peux me retourner et regarder encore tous ces mecs nus devant moi. Je suis interrompu dans mes rêveries de mon corps se mélangeant avec certains des bronzeurs, par une voix derrière moi:
« C’est vrai qu’elle est fraiche mais une fois dedans elle sera plus agréable. »

Je me retourne et je vois sortir de l’eau un homme d’environ mon âge. Il est plus petit que moi et légèrement bedonnant mais son corps est recouvert d’un foret de poils. Même si je ne vois pas son sexe qui est toujours sous l’eau, je devine qu’il est nu. Il me sourit, je lui souris à mon tour et il ajoute:
« Si tu veux on plonge ensemble. »
Je lui réponds « pourquoi pas » et avant que je me remette trop à bander, je plonge.

Nous nageons jusqu’à une zone où j’ai tout juste pied. Lui remue les jambes pour flotter alors que je sautille pour pas avaler la tasse. Il me demande si je suis de la région alors je lui raconte un peu mon histoire, c'est un local. Il me demande si je suis seul, alors je lui réponds:
« Je me remets de ma dernière rupture. »

Il me pose pas d’autres questions à ce sujet et c’est tant mieux. Malgré tous nos efforts, peut être pas assez convaincants, pour ne pas nous toucher, nos corps s’effleurent. Alors qu’il passe devant moi, sa queue cogne la mienne. J’ai l’impression que tout comme moi, il bande. Après un petit silence, la discussion reprend normalement.

Trop attirés l’un par l’autre, nous nous rapprochons lentement. Son visage se penche vers le mieux, je suis légèrement tétaniser. Dès que ses lèvres rentrent en contact avec les miennes nos corps sont comme aimantés. Mes mains parcourent son dos, ses fesses, son torse, son visage… tout comme les siennes. Nous nous cajolons l’un l’autre alors que nos langues dansent ensemble, pendant un bonne dizaine de minutes, quand il me propose de continuer sur nos serviettes.

Nous sortons de l’eau avec nos deux tiges fièrement dressé, il est un peu moins bien monté que moi mais son gland décalotté est énorme. Alors que nous remontons sur toute la longueur du sable, plusieurs visages se tournent vers nous. En chemin il attrape sa serviette et ses affaires mais sa main reste dans la mienne. Quand nous voyons un couple se tripoter ou se sucer, nous ralentissons le pas.

Il installe sa serviette à côte de la mienne, nous nous allongeons, et nos corps se rapprochent doucement. Comme dans l’eau, une fois que nous nous embrassons nous nous déchaînons. Sa main descend rapidement sur mon sexe pour me branler. J’ai trop envie de décalotté son énorme gland alors je me retourne en chien de fusil. Mes doigts touchent son champignon sous le prépuce avant de tirer le morceau de peau pour faire sortir l’objet de ma convoitise. En voyant son gros gland bien violacé, je peux m’empêcher de passer un premier coup de langue. Puis un deuxième et je les enchaine jusqu’à le prendre en bouche. Il se laisse sucer alors qu’il me caresse toujours, ses mains me font énormément de bien.

Qu’est ce que c’est bon de s’occuper de nouveau d’une belle queue de la sentir venir taper mon palet ou ma glotte, de la faire vibrer entre mes lèvres… Je ne sais pas si c’est le manque d’un autre pendant plus de deux ans où juste le fait que je me suis pas vider les couilles depuis presque une semaine mais j’éjacule avant que ses lèvres goutent à ma bite.

Je me regarde asperger son torse et mon sperme se prendre dans ses poils. Une fois vidé, je me jette sur sa bite et le suce jusqu’à ce qu’il se vide directement dans ma gorge. Une fois nos étreintes finies, il se lève pour aller se rincer dans l’eau alors que je reste sur ma serviette et plonge, rapidement, dans les bras de Morphée.

Je me réveille en attendant des voix autour de moi. Mon compagnon de baignade et de cochonneries, discute avec un couple de mecs d’une dizaine d’année de moi que nous. Un est tout fin, totalement imberbe avec des cheveux décolorer en blond tandis que l’autre et brun au yeux bleus, la peau halée, son torse poilu me fait déjà frémir. En m’entendant bouger, celui que j’ai sucé se retourne et me lance:
« Tu as bien dormi? »

Il caresse mes fesses nues et rajoute:
« Apparement tu en avais besoin. »
Nous nous sourions avant qu’il enchaine:
« Pendant que tu ronflais, j’ai fait la connaissance de Marc (le brun) et Thomas (le blond). »
Il veut me présente mais réalise qu’il ne connait pas mon prénom alors je me présente.

Mon compagnon de baignade me regarde avec un grand sourire et avant de me rouler une pelle, me dit:
« Enchanté Romain, moi c’est Philippe. »
Puis leur discussion reprend et je m’en mêle. Evidement ça parle de cul, j’en profite pour regarder les différents sexes qui commencent à se dresser. Thomas est monté à peu près comme moi alors que son compagnon en a une bien longue mais plutôt fine.

Je peux m’empêcher d’empoigner la bite de Philippe et le masturber pour continuer à le faire grandir. Il se laisse complètement faire surtout que les deux autres mecs se rapproche de nous. Le blond s’occupe de mon costume 3 pièces alors que le sien est entre les mains de Marc qui se fait branler par Philippe. Nous faisons un quatuor de branlette en plein milieu de la plage. Je suis tellement hypnotiser par cette bite que j’oublie le monde autour.

Au bout de quelques minutes, Marc rond le cercle et se lève. En voyant des gouttes perler de son méat, je me redresse pour les lécher. Une fois que j’ai avalé son pré-sperme, je le prends de plus en plus en bouche alors qu’il s’allonge pour que nous soyons un peu plus discret. Son sexe est super doux, j’adore sentir son gland frapper le fond de ma bouche, je suis tellement excité que j’ai peur de jouir aussi rapidement que tout à l’heure.

Je ressors doucement ma bouche pour ne garder que son gland, ma langue tournoie autour. Je le lèche puis descends mes lèvres sous sa tige pour atteindre ses couilles complètement lisses. Quand je les gobe, je sens des lèvres enfermer ma bite et d’autres ouvrir mon petit trou. Avant de nouveau avaler Marc, je jette un coup d’oeil. C’est Philippe qui me bouffe le cul et le blond qui me suce.

Je vis un moment divin, pendant que deux bouches s’occupent de mon entrejambe au grand complet, je me délecte d’un très longue bite que j’avale presque entièrement. Au moment où je sens les doigts de Philippe entre mes fesses la température grimpe encore plus. Je ne sais pas combien de doigts, il essaye de rentrer mais ça me fait un peu mal.

Je recrache Marc pour voir que se ne sont pas des doigts qui essayent de me sodomiser mais une queue, qu’il a pris soin de plastifier. Comme on m’a pas baiser depuis plus de deux ans et que son gland est énorme, je change de position. Je me mets à 4 pattes, Tomas se glisse sous moi pour continuer à me sucer et Marc se lève pour que je m’occupe de lui. Je sens déjà le gros champignon de mon compagnon de baignade forcer mon anus.

Il se retire, écarte bien mes fesses pour cracher sur mon petit trou et vient étaler le tout avec son gland. Il s’enfonce d’un coup sec en moi, j’ai l’impression que mon cul va se déchirer sous le passage de son énorme champignon. Pour ne pas crier je m’empale sur la tige devant moi qui étouffe tout. Une fois que les couilles de Philippe tapent mes fesses, il s’immobilise en moi.

Thomas continue de s’exciter sous moi, bien que ma bite ait rétrécie par la douleur, je ne bouge plus. Même si j’ai encore un peu mal, je me remets à sucer Marc, mon compagnon de baignade doit prendre ça comme un signale et commence de lents vas et viens. La douleur se mélange à un excellent plaisir oublié qui m’électrise tout le corps, j’en ai la chair de poule.

Comme mes sphincters se détendent, Philippe me ramone de plus en plus vigoureusement. Dieu que c’est bon, mais pourquoi j’en ai pas parlé à Marie pendant tout ce temps! Ses coups de reins deviennent de plus en plus violent, du coup Thomas préfère me recracher et se relever pour venir sucer avec moi Marc. Ca tombe bien j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur sa queue.

Mon compagnon de baignade se déchaîne totalement dans mes entrailles, il me fesse de plus en plus fort. J’adore sentir mon cul sous sa main qui me claque mais aussi le bruit que fait chaque fessée que je reçois. Je sens sa bite sursauter en moi, je contracter mes muscles du périnée mais il décule complètement.

Alors que je ressens un grand vide en moi, il vient devant Thomas et moi en retirant sa capote. Nous ouvrons en grand la bouche et il s’enfonce entre les lèvres du blond, ressort pour venir entre les miennes. Au même moment où son gros gland vient taper ma glotte, je sens Marc me sodomiser. Comme je suis déjà bien ouvert et que sa queue est fine, je ressens que du plaisir. Je gémis comme un fou en me sentant pris en sandwich par deux hommes bien viriles.

Philippe se branle devant nous et repartie équitablement son jus dans nos bouches alors que je continue de me faire ramoner. Thomas et moi partageons notre récompense dans une belle pelle bien baveuse pendant je me fais marteler les entrailles. J’avais déjà gouté à la semence de mon compagnon de baignade qui est toujours aussi douce et agréable à déguster mais encore meilleur de cette façons.

Nous nous embrassons pendant de nos longues. En fait nos lèvres se désolidarisent quand je sens Marc quitter mes fesses. Il vient face à nous et tout comme Philipe avant lui retires préservatif et profite de nos 2 bouches côte à côte. Quand il est sur le point de jouir, il rentre son gland entre mes lèvres et se vide entièrement en moi. J’ai l’impression qu’il n’arrête pas de juter, que si j’en avale pas ça va déborder pourtant ce n’est pas le cas et encore moi quand il quitte mes lèvres.

Tomas vient face à moi, il prend mon visage entre ses mains et sa langue rentre dans ma bouche récupérer sa part du butin. Le sperme que nous partageons semble plus gluant que celui de Philippe, mais surtout il a un goût acide pourtant nous nous délectons à tout avaler. Quand notre baiser s’arrête je prends un moment avant de me relever mais le blond est déjà derrière moi prêt à m’enculer.

Je sens mon petit trou, pourtant déjà bien dilaté, encore plus s’ouvrir sous la pression de son gland. Lui que je prenais pour une grande folle est non seulement, aussi, actif mais en plus c’est le mieux monté de nous quatre. Je profite de chaque centimètre de ce membre qui plonge en moi, je partage mon plaisir avec Marc et Philippe qui me regarde me faire sodomiser par cette magnifique tige qui ressemble plus à un tronc.

Une fois qu’il est planté en moi, je sens immédiatement sa bite aller et venir, il me pilonne le cul et j’en redemande. Je couine comme jamais sous les coups de rein et de mains que je reçois. De temps, il ralentit et me prend tout doucement sur toute sa belle longueur. A d’autres moments il décule complètement et me repossède plus ou moins énergiquement.

Phillipe glisse sous moi et avale ma queue qui arrête pas de cogner mon ventre et mes cuisses. Alors qu’il me suce avec passion je sens la main de Marc venir me malaxer les couilles. Je suis ivre de bonheur, 3 autres qui me donnent du plaisir, mais à ce rythme je risque de gicler d’un instant à l’autre. Je contracte mon périnée pour essayer de retarder le moment fatidique et ça fais encore plus gémir Thomas derrière moi.

Après une dernière belle fessée, le blond décule d’un coup sec et se dépêche de mettre sa bite dans ma bouche. Je m’applique à le sucer du mieux possible alors que la main de libre du brun vient combler le vide entre mes fesses avec 3 doigts. Thomas et moi jouissons presque en même temps sauf que lui se vide dans ma bouche et moi dans celle de Philippe.

Mon suceur se dégage de sous moi, tout comme moi il a la bouche pleine, j’attends que nous mélangions nos deux récoltes mais Thomas le stop au passage et récupère ton mon jus dans sa bouche. Il se remet à 4 pattes face à moi, alors que les doigts de Marc sortent un à un de mes entrailles. Nous nous roulons la plus fabuleuse des pelles avec lui mon jus en bouche et moi le sien.

Une fois que nous avons récupérer nos esprits, j’annonce que je vais me rincer dans la mer. Mes 3 compagnons de baise m’accompagnent. Sur le chemin Marc me prend à part pour me dire que je suis un chanceux. Apparement Thomas utilise que très rarement sa magnifique bite mais j’ai du bien l’exciter pour qu’il ait envie de me sodomiser. Je me sens flatté et réalise que j’avais bien jugé le blond.

De retour à nos serviettes, je me sèche au soleil un bon moment alors que nous continuons discuter, évidement de cul. Je leur dis que je vais y aller mais il me propose de rester avec eux que l’on passera la soirée et la nuit ensemble. Ca m’avait vraiment manqué de me faire prendre ainsi par de bonnes queues mais je ne veux pas passer pour un sac à foutre, moi aussi j’ai envie de pénétrer un beau cul alors je les abandonne pour rentrer à mon hôtel. Mais la soirée et tout comme le week end ont loin d’être fini….

Les avis des lecteurs

Merci pour ces beaux messages. Je suis content que cette histoires vous ait plu.
Albert merci pour tes commentaires toujours très personnalisés

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Plus je lis ton histoire plus je bande , Il n'y a que TES histoires qui font bander jusqu'a jouir un vieux de 77 ans . je viens de la relire pour la 3e fois , et je me lasserais jamais de lire tes histoires . Surtout continu de nous exciter .

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Quel beau moment de plaisir, j’ai joui avec toi

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Tu as bien raison, c’est toujours bon de sentir une ou plusieurs cul dans le cul

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Très chaude ton histoire. J’adore.
Je comprends pas pourquoi certains se prennent la tête avec des petits détails de lui, de météos.... ici c’est le plaisir pour le plaisir et comme à chaque fois avec tes histoires il y en a plein.

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pourquoi les avis des lecteurs n'apparaissent pas toujours ????????????????, J'ai laisser deux avis sur cette histoire et aucun n'est publier

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J’adore tes histoires Romainro: c’etait bien hot: a bientôt de te lire et de bien triquer

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wow ,très belle histoire . merci .

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Chapeau l'artiste Plus de 400 lecteurs depuis 15h que tu as exciter dont moi même , vite la suite

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Quelle belles histoire entre mecs et sur une plage de nudistes , j'ai aussi de très bons souvenirs de ces endroits privilégier pour faire des rencontres très excitantes . Moi je préfèrais les dunes au b ord des plages , un peu plus discret .
Vite la suite de ton week-end car je pense que tu t'es pas arrêter après la baise avec tes trois compagnons de rencontre sur la plage

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Je suis resté à Montpellier et sa région jusqu'à mes 24 ans, mais il n'y a pas de falaise, et les seules plages gays/naturistes n'ont pas de rocher (si ce n'est des épis, qui sont créés par la main de l'homme). De Sète jusqu'au Rhône ce ne sont que plages et étangs dus aux rejets du Rhône (c'est ce que j'ai appris à l'école primaire). Je suis désolé de cette réaction, mais j'avais 9 ans environ, quand j'avais entendu dans une pièce à la TV (Au Théâtre ce Soir) qu'on parlait des calanques près de Palavas ! ! !
A part ça, c'est une très bonne histoire … à quand la suite



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