Toute les femmes s'appellent Marie : Au sauna

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Toute les femmes s'appellent Marie : Au sauna Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Toute les femmes s'appellent Marie : Au sauna
Le jour dit, je retrouve Marie dans la ville où elle habite durant la semaine. La maline a été repérer l’établissement dans la semaine et s’est renseignée. Avant d’aller au sauna, je lui propose de dîner dans un petit restaurant. Marie est inquiète. Va-t-elle rencontrer des personnes connues ? Comment faut-il se tenir ? Quelle tenue mettre ?
Je la rassure. Le monde libertin est tout de même très confidentiel. Si par hasard elle rencontrait quelqu’un de connu, il faut savoir qu’il ou elle, se trouve là pour la même raison que nous et n’ira pas crier sur les toits cette rencontre. Au contraire, cela peut être une bonne surprise ! Elle pourrait découvrir qu’une connaissance peut être plus intéressante que prévu. Ensuite, elle doit rester naturelle et décontractée. Enfin pour la tenue, peu importe, puisque de toutes façons, on se déshabille.
Sur place on trouve dans chaque casier personnel du vestiaire, serviette, pagne pour les hommes, ou paréo pour les dames.
« Rien d’autre ?
Il y a aussi des capotes. Je te rappelle qu’il s’agit d’un sauna libertin, donc la nudité est la règle ou le but, au moins dans le jacuzzi, le hammam ou le sauna. En général, ceux qui sont en maillot, ce qui n’est pas interdit, sont les plus gênés mais c’est rare, je ne l’ai vu qu’une fois et peu de temps. Tout le monde vient là aussi pour s’exhiber »Un peu rassurée mais stressée tout de même, il est un peu plus de vingt et une heures lorsque nous rejoignons l’établissement à pied. J’avais choisi le restaurant à côté pour ce côté pratique.
Je sonne pour qu’on nous ouvre. Marie est surprise car nous entrons dans un sex-shop. L’établissement a en effet deux activités. Elle avait vu le site sur Internet mais n’avais pas pensé à cette organisation. Je paye l’entrée, le patron nous donne un bracelet avec une clé et une petite poche dans laquelle on glisse préservatif et gel si besoin. Je guide alors ma cavalière vers la partie sauna.
Derrière la porte de séparation, un comptoir ou l’on peut trouver des rafraîchissements. En face, une glace qui est en fait sans tain et permet depuis le fumoir qui se trouve derrière, de voir ceux qui entrent. Le sauna se trouve au sous-sol. On descend l’escalier au pied duquel se trouve une douche collective. Plus loin, on entre dans le vestiaire.
Deuxième surprise pour Marie, ce vestiaire est mixte, sans aucune séparation entre les hommes et les femmes. Même si celles-ci ne se trouvent pas directement sur le passage, il n’y a pas d’intimité pour le déshabillage. Considéré comme couple, nous sommes dans la même zone, à quelques pas l’un de l’autre et pouvons nous voir. J’aborde la chose en riant de façon à la décontracter et me déshabille rapidement l’air de rien, sans trop regarder vers elle. Mon attitude décontractée (en apparence car je la surveille du coin de l’œil) l’encourage à se dévêtir à son tour.
Ayant commencé le premier, je suis rapidement prêt. Je ferme mon casier, attache le bracelet à la cheville, claquettes aux pieds et pagne à la taille je m’approche d’elle.
« J’ai déjà le privilège de te découvrir dis-je en riant, et ce que je vois est particulièrement joli !
Arrête ! Déjà que je ne suis pas très à l’aise. Ne te fous pas de moi !
Pas du tout ! Au contraire ! Je découvre que tu as de très jolies formes alors que tu es toujours habillée avec des vêtements qui cachent tout !
J’ai pas de seins, ni de fesses.
Détrompe-toi ! Tes seins sont moins ronds que chez certaines mais ils sont très jolis et semblent ferme. Ta silhouette est très harmonieuse et franchement tu es vachement plus belle nue ! Si j’avais sû ! Mais, s’il te plaît, mets ton paréo, ou je ne réponds de rien.
Tu vas me sauter dessus ? rigole-t-elle.
Non, mais mon pagne va me trahir !
Quoi ? Tu bandes déjà ? Salaud !
A ton avis ? Allez dépêche ! »Je l’aide à attacher le paréo, puis m’agenouille pour lui passer le bracelet à la cheville. Ce bref instant me permet de respirer son parfum de femme, ma foi, très agréable. Marie est une fausse maigre. Au contraire. Ses formes sont très jolies, elle est musclée et elle porte allègrement ses quarante cinq ans. Ma déclaration n’était pas feinte et je bande vraiment !
- « On prendra un douche après, - il faut que je débande un peu - pour l’instant, je te fais visiter. » Un simple rideau de perle sépare le vestiaire de l’entrée vers les salles. A gauche, un passage vers celle du jacuzzi. Un grand bassin d’eau bouillonnante avec une plage autour et des transats. Dans l’eau, plusieurs hommes et deux couples. Un distributeur de café nous permet de regarder négligemment ce qui se passe, sans en avoir l’air. Je décide de nous y tremper plus tard et pour l’instant, de terminer le tour du propriétaire. Nous poursuivons la visite. Une salle avec un immense matelas, lieu parfois d’exhibition. Des rideaux ajourés permettent un semblant d’intimité. A gauche et à droite de cette estrade, un couloir avec dans chacun, des cabines dont quasiment toute la surface est prise par une sorte de plancher assez haut – une hauteur calculée - recouvert d’un matelas plastique.
Les cabines ont des portes dont on peut fermer le verrou pour ne pas être dérangé. Au fond du couloir, en revanche, une alcôve un peu plus grande qui elle n’a pas de porte. Là, les occupants s’exhibent comme dans la grande salle et parfois sont rejoints par d’autres partenaires l’ouverture de la pièce invitant à la pluralité et l’échange.
Nous revenons vers l’entrée et je remarque au passage les coups d’œil vers ma cavalière qui a l’air au goût de certains. En effet, les couples qui fréquentent ce genre d’endroit sont généralement libertins et donc une ouverture est toujours possible et les amateurs à l'affût. Personne cependant ne tente quoi que ce soit pour l’instant.
Je termine la visite de cette partie en désignant le sauna dans lequel il doit y avoir du monde car des serviettes sont présentes sur les patères. Je demande à Marie si elle ne préfère pas commencer plutôt par le hammam. Je lui précise qu’il a l’avantage d’être peu éclairé voire dans la pénombre et avec la vapeur il y est difficile de voir les visages. Pour une première, c’est peut-être mieux.
Devant la porte du hammam, j’enlève mon pagne pour l’accrocher au porte-manteau. Elle se rend compte qu’il faut qu’elle se mette nue devant les autres. Je lis la panique dans ses yeux. C’est le moment redouté ! Je l’encourage et le lui conseille fortement, car après le passage dans le hammam, elle va avoir son paréo et la serviette trempés.
Les gens respectent, surtout lorsqu’il y a un paréo et donc une femme. Pour les hommes il arrive parfois qu’il y est des échanges, mais c’est rare.
Nous entrons rapidement. Marie reste presque collée contre moi, ce qui n’est pas pour me déplaire. On s’assoit sur la banquette carrelée, à mi-chemin entre la partie éclairée et la partie plus obscure.
« Finalement tu profites de ça pour me voir à poil ! » Dit-elle en chuchotant penchée vers moi.
« Cela fait partie du plaisir de l’endroit, voir et être vu et puis je dois dire que tu es superbe !
Je te plais un peu ?
Il faudrait être difficile !
Ça t’excite ?
Oui ! Je peux te caresser la jambe ?
Oui, j’ai envie et moi, je peux aussi ?
Cà ne se refuse pas. Tu as la peau douce en plus dans le hammam, ça glisse ! »Nous nous caressons un moment en silence, une main entre le genou et le haut de la cuisse. Je sens assez vite que mon sexe se redresse peu à peu. La coquine remonte de plus en plus et s’en approche.
Pendant ce temps deux ou trois hommes sont entrés et assis en face de nous, regardent. Cela ne semble pas gêner ma cavalière qui n’a pas retiré sa main.
Deux hommes entrent et se dirigent directement vers le fond, s’asseyant plus loin dans l’ombre. Tout en continuant nos caresses, nous pouvons les observer. Ils se caressent et s’embrassent. Marie se penche vers moi et me chuchote :« Je croyais être choquée de voir deux hommes ensemble, mais je ne sais pas si c’est ta main, ou de les regarder, mais ça me plais.» Touchant alors ma bite elle ajoute : « Mais il me semble ça te plait aussi ! Tu bandes mon salaud, et plutôt bien si j’en juge ce que je touche.
Oui j’aime bien, mais ta main et ton corps y sont pour beaucoup, Je peux ?
Ne te gênes pas fait-elle en écartant sensiblement ses jambes, moi aussi je suis excitée ! »Pour l’instant, seules nos mains sont en contact étroit avec nos sexes. Nous sommes serrés l’un contre l’autre. Alors que mes doigts s’agitent à l’entrée de sa chatte, je sens Marie se raidir.
« Je t’ai fais mal ?
Non, non ! Quelqu’un me touche les fesses de l’autre côté !
Je sais. C’est un homme qui est là depuis un moment, il tente sa chance.
Qu’est ce que je dois faire ?
Ce que tu veux. Soit tu le laisses faire et il va prendre ça pour un encouragement, soit tu repousses sa main. Si tu veux, tu le regardes, ou pas.
Je… Je ne sais pas. J’ai pas trop envie… pour l’instant. Je ne suis pas rassurée, c’est trop tôt !
Alors, gentiment tu écartes sa main.
Il ne dira rien ?
Non, ici, comme je t’ai dis, rien ne doit être imposé. »Elle tourne la tête, doit sourire à l’homme, lui fait non de la tête. L’homme retire sa main, se lève et sort. Ceux qui mataient à proximité le suivent, voyant que la femme ne veut pas s’amuser.
L’épisode a un peu refroidit nos ardeurs. En face de nous, les deux hommes, indifférents à ce qui se passe autour d’eux, continuent leur jeu. L’un s’est penché et suce maintenant son partenaire.
« C’est génial ! Dit Marie. Je n’aurais jamais pensé voir ça en direct ! » Elle paraît fascinée par le spectacle qui nous est offert. Elle a inconsciemment pris ma bite à pleine main et me caresse tout en regardant fixement les deux hommes. Je laisse faire un moment tout en continuant à la caresser puis j’interviens.
On pourrait peut-être sortir. Cà fait un moment qu’on est là, il ne faut pas rester trop longtemps. »Ma remarque fait sortir Marie de sa bulle. Remarque alors sa main sur ma queue. Elle me sourit et nous sortons de l’atmosphère embuée.
L’air frais nous fait du bien et sous l’œil goguenard de quelques hommes à la vue de mon érection, nous nous rhabillons. Je propose, avant d’aller au jacuzzi, de prendre une douche. Les douches aussi sont communes, ce qui me procure à nouveau le plaisir de voir le corps de Marie de près en pleine lumière. Nous commençons à nous savonner chacun de notre côté et comme nous discutons, sans réfléchir, je savonne le dos de ma cavalière, qui se laisse faire en riant. Mieux même, elle se retourne, m’offrant sa poitrine et tout son côté face et me savonne à son tour.
La toilette vire peu à peu à un échange de caresses, qui continuent pendant le rinçage. Un homme est entré sans que nous y prêtions attention, puis Marie se soulève sur la pointe des pieds, me prend la tête et m’embrasse à pleine bouche, enlacée tout contre moi. Bien évidemment je réponds à son baiser, je l’enlace et ma queue se manifeste entre nous. Je me rends compte que c’est notre premier baiser, alors que nous connaissons nos corps et nous sommes caressés intimement.
Après un essuyage rapide et commun, nous rejoignons le jacuzzi. Marie n’hésite déjà plus à se mettre nue devant les autres en pleine lumière. Nous prenons place sur la banquette dans l’eau chaude et bouillonnante, serrés l’un contre l’autre. Il y a du monde ce soir. Trois autres couples et quelques hommes qui barbotent en matant à l’autre bout, les deux hommes qui étaient dans le hammam, arrivent à leur tour.
Deux des couples sont ensemble et s’amusent, manifestement il y a eu échange de partenaires car l’homme le plus âgé est avec la jeune femme et le jeune avec une femme mûre. Je le fais remarquer à Marie qui s’en amuse. Elle semble tout à fait épanouie dans ce milieu.
Comme c’est le cas, lorsqu’il y a un peu de monde dans le bain, ça s’anime. Le troisième couple, dont la femme était à cheval sur l’homme, décide de passer à l’étape supérieure. L’homme se hisse sur le bord, la femme se glisse entre les jambes et entreprend une superbe fellation. La température monte dans le jacuzzi !
« Je peux venir sur toi ? J’ai envie. Me glisse Marie.
Bien sûr ma belle ! Tout le plaisir est pour moi ! »Elle s’avance dans le bassin puis en reculant, m’enjambe et s’installe sur mes jambes, collant son dos contre moi afin de voir le spectacle face à nous. Pour la taquiner, alors que je l’enlace, je lui indique que sa position veut dire qu’elle autorise quelqu’un à se joindre à nous. Elle va pour se retourner, mais je lui rappelle aussi, qu’elle n’est pas obligée d’accepter les demandes et que si elle ne regarde pas fixement les autres ils n’approcheront pas.
Placée comme elle est, devant moi, ses jambes sont largement ouvertes. Captivée par les couples qui s’ébattent, elle se laisse aller, aussi je glisse une main vers sa fente et l’autre sur ses petits seins. Là, c’est une découverte ! A peine ai-je commencé à caresser l’un de ses tétons, qu’elle se penche en arrière, ouvre encore plus ses jambes et pose sa tête sur mon épaule. En quelques instants, elle soupire et tournant sa bouche vers la mienne, étouffe son spasme dans un baiser.
« Eh bien dis-donc ! Fais-je lorsqu’elle reprend ses esprits. Si tu pars toujours aussi vite quand on s’occupe de tes seins, qu’est-ce que ça doit donner quand on les suce ?
Oh alors là c’est immédiat !
Eh bien comme ça je pourrai te faire jouir à la demande.
Salaud ! Tu vas me crever à ce rythme !
Enfin, si tu veux qu’un vieux te baise.
Ouiii ! Je veux que tu me baises ! Tu te rends compte, depuis le temps qu’on se connaît sans jamais penser être ensemble ? On se retrouve en trois jours, sans rien préméditer, en train de se branler à poil tous les deux dans un sauna libertin. On ne parle pas d’amour juste de baiser, d’ailleurs, tu ne l’as toujours pas fait, qu’est-ce qu’on attend ?
Tu ne veux pas continuer à regarder ?
Pour le moment, on va baiser. J’ai envie ! »Nous sortons de l’eau, personne n’est étonné de la gaule que j’ai. Ils doivent être tous dans le même état, entre les deux couples collés les uns aux autres, celui qui se fait sucer à la vue de tous et les deux hommes qui eux aussi s’amusent ensemble, le spectacle est excitant.
Sans remettre nos serviettes, Marie plaque juste son paréo devant elle laissant à ma vue son dos et ses fesses coquines, nous filons vers les cabines. Un homme nous suit mais je ne le laisse pas entrer, lui disant que pour l’instant nous préférons être seuls.
Une fois enfermés, on grimpe sur le matelas en skaï, et reprenons nos jeux. Marie est une sacrée coquine. Contrairement aux femmes en général, elle n’est pas passive et n’attend pas les initiatives de son partenaire. Elle « joue » en permanence, cherche ce qui plaît, parle, bouge. Le sexe avec elle est gai et surtout pas monotone.
« Le cadre n’est pas très romantique, dis-jeC’est un baisodrome. Cà tombe bien j’avais envie de baiser !
Toi au moins, tu dis ce que tu penses !
Cà te choque ? J’appelle un chat un chat ! Franchement je suis très contente d’être ici, avec toi.
Avec moi ? C’est trop d’honneur !
Pas du tout ! Tu es un sacré numéro ! et je sens que tu dois être un bon amant vicieux. Je regrette de n’avoir pas essayé avant avec toi.
Je n’étais pas venu ici pour cela mais moi aussi, je regrette de ne pas avoir essayé avant. Surtout de n’avoir pas compris que sous tes habits amples, il y avait un si joli corps, en plus, très réactif !
N’en fais pas trop tout de même ! Je sais comment je suis.
Je t’assure ! A poil tu es canon ! – nous rions de ma sortie - Pas seulement parce que tu es nue, mais parce que tes formes sont harmonieuses, tes petits seins très mignons et sensibles. Ton cul attire les caresses. Tes jambes galbées sont très belles. Cà je le savais ! Ton ticket de métro met bien en valeur ta chatte. Viens ici d’ailleurs, que je te bouffe la chatte ! J’adore lécher et je crois que je vais me régaler !
Oh là ! Tu vas me faire rougir ! Eh bien toi aussi j’aime te voir à poil ! J’aime ta bite rasé, elle est belle et de bonnes dimensions ! Il me tarde d’y goûter moi aussi et de la sentir en moi. Tu sais ce que j’aime ? C’est me faire baiser en levrette. J’espère que tu vas aussi m’enculer !
Pour la levrette j’adore aussi ! Mais dis-donc toi, tu es toujours aussi directe quand tu parles de cul !
Pourquoi le cacher ? J’ai envie, point. Tu sais comme ça ce que je veux et je suis sûre que tu vas me régaler. »Il est temps de passer aux choses sérieuses, je parcours son corps musclé de la langue et des lèvres. Je sais déjà que Marie est très sensible des seins, aussi j’évite ses fraises dardées. Je descends sur son ventre. On ne dirait pas que cette femme a eu deux enfants ! Son ventre est plat et lui aussi musclé. Je poursuis ma descente et retrouve une toison frisée, bien taillée et douce. Bien sûr les passages au hammam et à la douche ont atténué son parfum intime, mais plus je m'approche de sa fente, plus celui-ci se renforce.
J'atteins enfin son bouton que je taquine du bout de la langue. Comme les seins, il est aussi très sensible et ma cavalière soupire rapidement. Ses mains appuient sur ma tête pour manifester le plaisir qu'elle éprouve à ma caresse. Bien sûr, je me délecte de son suc aux senteurs subtiles.
« Viens ! Prends-moi ! » Supplie-t-elle ». J'attrape la pochette du préservatif, mais elle me souffle « Je suis clean ! Si tu l'es aussi, prends-moi comme ça, je préfère sentir ta bite directement ! »Puisqu'elle aime la levrette, je la positionne alors à genoux face à la glace qui orne le fond de la cabine, admirant encore ses courbes gracieuses et fines. Penchée ainsi, sa croupe ressort bien, ses hanches paraissent plus larges. Cette femme est vraiment très bien faite et c'est un régal de la voir ainsi. Je l'invite à regarder notre couple dans la glace. Son visage s'illumine d'un grand sourire. Ses yeux bleus étincelle- « J'aime ! »Tout au long de notre coït, sauf dans les derniers instants, Marie reste ainsi à fixer le miroir. Quand la buée le recouvre, ces cabines de sont pas très aérées, elle passe la main pour l’enlever.
J'adopte un rythme assez lent pour profiter au maximum de ce moment intense, mais peu à peu, le désir monte dans mes reins. Nous transpirons dans l'étroit volume. Quand je sens mon éjaculation imminente, je vais me retirer pour me finir sur son dos, mais Marie me demande de gicler dans sa chatte. Plutôt, elle crie, car elle aussi part un orgasme intense. Je la re-pénètre alors empaume ses seins pour titiller les tétons hyper sensibles et très vite lâche mon foutre au fond de sa gaine brûlante alors qu’elle crie son plaisir.
L’intensité de notre orgasme nous submerge et toujours emboîtés, nous nous écroulons sur le matelas, lui aussi chaud et humide. Nous restons ainsi un moment à nous câliner et nous bécoter.
« Tu sais que pour un « vieux », tu te débrouilles plutôt bien ! En plus tu es un sacré vicieux, de m’avoir embarquée ici !
Tu le regrettes ? Je te déçois ?
Oh non ! T’es fou ! Je suis surprise, c’est tout ! Je n’avais pas du tout cette image de toi !
Tu n’es pas obligée de le chanter sur les toits non plus.
Cà ne risque pas ! Je n’ai pas envie de me fâcher avec toi, ni d’arrêter ce genre de pratiques que je viens de découvrirTu n’as pas envie qu’on se trouve un partenaire ou un couple pour continuer ?
Tu en as déjà marre de moi ?
Pas du tout, mais si on est venus ici c’est aussi pour « coquiner »Je n’ai vu personne qui me plaisait pour l’instant. Mais si tu veux, on peut y retourner.
Cà te dis que l’on s’amuse avec un autre couple, ou avec un autre mec ? Rien n’est obligé. Dans tous les cas on a trouvé comment s’amuser tous les deux et j’ai envie qu’on recommence aussi. On y va ?
Pourquoi pas ! »Nous quittons la cabine. On constate alors en sortant, que l’atmosphère était bien chaude. On transpire. Cà doit sentir le fauve là dedans ! Direction la douche.
Cette fois, nouvelles caresses sous l’eau qui fait du bien. Marie qui veut tout essayer, s’agenouille pour me « tailler une pipe sous la douche » spectacle qui plaît beaucoup à un homme, qui se branle en la regardant faire, à genoux sous le jet d’eau. Il s’approche lorsque je lui fais signe et je guide la main de Marie sur son chibre tendu. Va-t-elle le sucer ?
Elle lève son regard vers moi, voit mon accord dans mes yeux et tourne alors son visage vers la queue du voisin en attente. Elle alterne ainsi un moment avant de se relever, se coller contre moi et m’embrasser. Ses yeux brillent et elle se serre fort contre mon corps. Quand nos lèvres se séparent, l’eau s’est arrêtée et l’homme est parti sans que nous nous en rendions compte.
- « C’est… la première fois que je suce un inconnu ! En plus devant quelqu’un d’autre ! Tu es fou ! J’adore ça, salaud ! J’étais à deux doigts de jouir ! Putain que c’est bon !»Avant de retourner au jacuzzi, qui est généralement le lieu des rencontres avec le hammam et le sauna, je lui propose de monter à l’étage.
Nous passons rapidement dans les salles de projection homo et hétéro. Il n’y a d’ailleurs personne. Généralement ce sont les visiteurs du sex-shop mais le soir il n’y en a pas. Je lui montre ensuite la cabine du « sling », qu’elle veut immédiatement essayer. Elle fait tomber son paréo, se place dans le siège en cuir suspendu par des chaînes, pose ses jambes sur les étiers et me demande de la prendre ainsi.
Elle se trouve très salope ! Entendant du monde derrière la porte, elle accentue ses gémissements en clignant de l’œil et en riant. Heureusement pour moi, Marie jouit vite, car je sentais monter le sperme dans mes reins et n’aurais pas tenu très longtemps. La soirée n’est pas finie. Nous quittons l’endroit, et nous promettons d’y revenir.
La « backroom , ce lieu complètement noir où on ne sait qui vous touche ne lui plaît guère, en revanche, elle veut essayer aussitôt le « glory hole ». La laissant dans une cabine, je fais le tour pour me placer dans celle qui est vis-à-vis et lui présenter ma bite à travers le trou. Au moment d’entrer, un homme se trouve dans le couloir, je lui propose de prendre ma place, lui précisant que quelqu’un de l’autre côté attend.
L’homme y reste quelques minutes et lorsqu’il sort, je prends sa place et présente ma queue. Une bouche s’en saisit aussitôt et me suce goulument. Je me retire difficilement à la limite de jouir. Je contourne les cabines pour retrouver Marie qui sort de la sienne.
« Salaud ! Dit-elle en riant. Tu as envoyé un autre mec à ta place en premier ! Tu croyais que j’allais me dégonfler ?
Non. Mais quand je l’ai vu devant la porte, je me suis dis que c’était une étape de plus dans ton libertinage. Tu n’as pas aimé ?
Surprise d’abord car il avait une bite plus grosse que toi… et que…celui de la douche, mais elle était plus molle. En plus, il avait plein de poils.
Ça t’a excité ?
Au début, pas trop, ensuite, j’ai pensé que j’étais en train de sucer un inconnu, que je ne voyais pas son visage ni son corps. Le seul truc accessible c’était sa bite et ses couilles et que ça me plaisait. Alors là, j’ai vraiment mouillé.
Je suis sûr que tu t’es branlée petite salope !
Oui ! Je suis une petite salope et je me suis branlée. Quand ta bite est apparue, je l’ai de suite reconnue et alors j’ai jouis en me branlant.
Félicitations ! Je t’adore ! Un baiser scelle notre connivence.
Tu me diras quel homme j’ai sucé ?
Surement pas, tu vas le croiser sans doute, mais je ne dirais rien.»Nous passons enfin dans le fumoir à la vitre sans tain. Marie ne fume pas, mais rigole de voir passer les gens sans qu’ils nous voient. Le temps de griller une cigarette, un couple arrive. Quarante cinq, cinquante ans, la femme pas très grande, un peu ronde avec manifestement une belle poitrine, l’homme plutôt musclé la dépasse de deux bonnes têtes. Marie me regarde. L’œil brillant, je l’interroge :« On dirait qu’ils te plaisent ces deux.
Oui ! Je les trouve pas mal. Tu crois qu’ils…S’ils viennent ici c’est qu’ils sont au moins un peu voyeur et exhibitionnistes, coquins surement. Reste à voir. Ça t’intéresse ?
Pourquoi pas !
Coquine ! »Nous discutons un moment avec un couple et un homme qui sont venus fumer, puis redescendons au sous sol.

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