COLLECTION HOMME FEMME. En Famille (2/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. En Famille (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. En Famille (2/5)
Je viens d’arriver chez mes beaux-parents et ma belle-mère m’accueille très bien.
C’est après manger que fatigué, je me réfugie au fond de mon lit après avoir profité de la salle de bains aussi impressionnante de son appartement.
Elle a souhaité me le faire visiter me tenant par le bras.
Comme une bonne copine, la main très près d’un de mes seins semblant par moments me donner l’impression de le caresser.
Paul souhaite me faire sentir son amour et en bonne future épouse, j’écarte les cuisses le laissant me pénétrer sans pour autant en mettre du mien.
Quoique nous soyons dans le péché, Paul souhaite avoir rapidement une descendance, aussi les spermatozoïdes qu’il m’injecte peuvent dès ce soir me féconder, car j’ai arrêté la pilule.

Dans la nuit alors que Paul dort, je me réveille ayant soif.
Je me lève et ayant remis ma petite nuisette, je vais aux toilettes, après je me dirige vers la cuisine dans le noir et j’arrive devant le réfrigérateur que j’ouvre pour prendre une bouteille d’eau.
C’est à ce moment que je sens un bras m’entouré à hauteur de la poitrine et une main se poser sur un de mes seins pour me pincer le téton qui forme comme une petite tétine de biberon pour mon futur bébé et qui bande immédiatement de plaisir.

Je suis chez mes beaux-parents lorsqu’après mettre laisser baiser par mon fiancé dans la nuit cette envie de boire un verre d’eau me prend.
Je vais pour me retourner lorsque l’on me lâche et que mon agresseur s’échappe.

Je retourne me coucher sans savoir qui m’a maltraité tout en me donnant un plaisir fugace et intense.
Si c’est Paul qui m’a suivi dans la cuisine et qui s’est dépêché de revenir se coucher, il joue très bien à l’homme qui dort.
Sa respiration est d’une grande régularité.
Mon beau-père, pourquoi pas mais à aucun moment il m’a donné l’impression de s’intéresser à moi.
De plus la main qui m’a saisi, il avait trop de douceur pour lui appartenir et pourquoi ce serait-il sauvé.
Reste ma belle-mère, c’est bizarre, mais en évoquant cette possibilité ma main se retrouve sur mon sexe et trois doigts dans le vagin m’apportent la paix pour dormir jusqu’au matin.
Au petit déjeuner, toute la famille est là et j’ai beau regarder aucun des trois ne me montre la moindre preuve que l’un d’eux est un rôdeur de cuisine de nuit.
Paul et son père regardent chacun le même journal que la femme de service leur a apporté.

- Bonne journée ?

C’est Paul qui interpelle son père.

- Plats, les plus et les moins doivent s’équilibrer et toi.
- Une petite plus-valus sur un titre acheté, il y a huit jours, j’avais un tuyau.
Il est plus faible que ce que l’on m’en avait dit.

Ayant bu notre thé avec une biscotte légèrement beurrée Isabelle et moi retournons à nos toilettes.

- Julie, prépare-toi, on va passer la journée ensemble, nous allons aller faire un premier choix pour ta robe, je souhaite que nous allions au restaurant pour commencer à parler du repas.
Robert, tu as bien réservé comme je te l’avais dit avant que j’aille faire les choix des différents plats.
- Oui, et comme prévu j’ai signalé que nous serions environ, 300 au lunch et 150 personnes au repas.
- Tu aurais dû dire 180 car cette nuit dans ma chambre, j’ai regardé la liste et il m’est apparu que nous avions oublié quelques relations que nous allons être obligés d’inviter.
Il est impossible de ne les inviter que pour le lunch.

Ce que vient de dire Isabelle m’interpelle, il semble qu’elle fasse chambre à part avec Robert et cette nuit elle travaillait sa liste d’invités.
Par compte pour le nombre de ses invités, s’il le fallait encore une preuve que je vais faire le mariage parisien sinon du siècle au moins de l’année.
Qui peut se permettre d’inviter 300 personnes à un apéritif et 180 au restaurant surtout du niveau de leur standing de vie.
Une heure après nous sommes prêtes à sortir, nous descendons, un taxi est là.

- J’ai téléphoné pour que la compagnie qui me transporte régulièrement me fasse venir un véhicule.
Monte, chauffeur conduisez-nous à la boutique de robe de mariée rue Laugier, nous avons rendez-vous.

C’est dans le monde du luxe qu’elle me fait pénétrer.
La responsable du magasin s’empresse de venir vers nous et nous confie à Adeline sa meilleure vendeuse.
Rapidement dans un salon d’essayage, je passe plusieurs robes.

- Que nous conseillez-vous suivant les tendances du moment ?
- J’aurais tendance à dire toute vue la beauté de la jeune mariée, mais si je devais faire un choix, je choisirais entre la 2 la 4 la 8 et la 13.
- Vous voulez leur porter malheur.
- Excusez-moi, je me suis mariée un 13 et cela va faire 13 ans et je suis heureuse en mariage.
Remplaçons là par la 10, elle est très tendance, mais personnellement elle est loin de me plaire.

Superstitieuse la belle-mère moi le 13 comme la serveuse, je m’en fiche, la seule chose que je constate, c’est qu’à aucun moment, elle a regardé ou demandé le prix des robes.

- Nous reviendrons demain la nuit nous portera conseil, ma chérie.

Les choses se resserrent, elle m’appelle chérie, ai-je vue claire ?

- J’appelle un taxi, il faut que je te conduise chez mon coiffeur.
Il va te faire des propositions pour ta coiffure pour le plus beau jour de notre vie.
- Oui, Isabelle, j’ai un peu peur d’avoir du mal à arriver à mériter votre niveau de vie.
- Petite sotte, maman était lavandière, j’ai épousé le prince de mes rêves.
Je rigole, papa travaillait chez Renaud et maman restait à la maison.
Un jour une amie a voulu que je vienne à un vernissage où elle avait reçu des invitations et c’est là que j’ai connu Robert qui était ami du peintre qui exposait.
Tu verras le luxe, tu t’y feras très vite, ne crains rien, je vais te chaperonner pour apprendre leur monde comme j’ai su le faire.

En disant cela, elle se penche vers moi et m’embrasse au coin de mes lèvres.
À l’extérieur un nouveau taxi est à notre disposition.

- Bonjour, conduisez-nous 14 rue Notre-Dame des Victoires !
- Dans le 2e ! Monté c’est parti.

Je suis effaré à la vitesse où grâce aux voies réservées aux taxis, nous arrivons à l’adresse demandée.
Tout le long du chemin Isabelle m’ayant attrapée la main afin de m’aider à monter me la retient sans donner l’impression de s’en apercevoir.
Nous sommes reçus par le patron qui s’occupe de moi avec une voix efféminée tout en me démontrant ce qu’il me propose sur ses catalogues.
Après m’avoir fait laver la tête par une petite shampouineuse me coupe, me brushing et me coiffe.
À la sortie après avoir choisi les accessoires qu’il me mettra dans les cheveux, Isabelle paye et c’est à pied que nous nous dirigeons vers la place Vendôme.
En passant devant une vitrine qui me renvoie mon image une fraction de seconde j’ai du mal à me reconnaître.
Nous entrons chez une modiste et je me trouve en sortant avec plusieurs sacs remplis de vêtements tous plus chers les uns que les autres.
Un nouveau taxi est appelé.

- Bonjour, conduisez-nous devant le restaurant du Pré Catelant.

Retraversés de Paris, arrivé au restaurant où nous mangeons avant d’être reçus par le responsable.
Le premier contact permet de confirmer la retenue de la salle le nombre de 300 pour le lunch passant à 400 et le repas de 180 à 200 personnes, Isabelle semble être assez à l’aise sur le nombre.
On nous donne des choix de menus, mais elle semble vouloir un buffet froid plus souple vue le nombre.

- Question primordiale, mais la plus importante pour la réussite de votre plus belle journée, Mademoiselle, de quel budget disposez-vous ?

Je regarde ma belle-mère en panique, si je dois donner une somme, vu mon compte en banque je lui dis 1 000 € et encore.

- Avec mon mari, nous avons pensé engager, 100 à 150 € pour le lunch et 300 € par personne boissons et champagnes compris pour le repas.
- Bonne base de travail à ce prix, vous aurez du champagne à volonté pour tous vos invités.

Je fais un rapide calcul, mais les 180 personnes qui se retrouvent à être 200 et le 300 qui deviennent 400, je multiplie et je ne retiens rien.
J’ai quitté l’école à 16 ans, mais il m’est impossible de calculer combien ils engagent pour le mariage de leur fils.
La robe, la coiffure, les vêtements, la réservation pour le repas de mariage sans compter les taxis heureusement que la direction du Pré Catelant nous offre notre repas, car si j’avais à payer ce que nous avons dépensé en une journée, je devrais travailler à l’ambassade de France à Rome presque toute ma vie.

- Bonsoir, chérie tu as passé une bonne journée, je suis allée marcher sur les Champs-Élysées.
- Oui, ta maman a été une perle pour moi.
- Mon fils, tu pourrais lui dire qu’elle est bien coiffée.
- Tu sais la tête des femmes, c’est bien, mais je suis sûr qu’avec ce que vous avez dépensé aujourd’hui, nous avons intérêt à ce que la Bourse soit en hausse demain, voire toute la semaine.

Réaliste mon futur époux, il semble bien connaître sa mère et les femmes bien que de mon côté j’aie été raisonnable.
Et dire que l’on y retourne demain, en attendant même si j’ai quelques pistes sur celui ou celle qui m’a caressé ma poitrine, je suis dans le flou le plus complet…

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