Cours de piano (2)

- Par l'auteur HDS Chrisjean -
Récit érotique écrit par Chrisjean [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 10 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de Chrisjean ont reçu un total de 90 329 visites.
Récit libertin : Cours de piano (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 662 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Cours de piano (2)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Leçon 2 - Un cours très particulier
André a eu beaucoup de mal à reprendre sa vie comme si rien ne s'était passé, certain qu'il est inscrit sur son front qu'il s'est fait mettre par son prof de piano. Le premier jour, il a passé sa journée à s'exciter en rougissant, courant aux toilettes pour se masturber encore et encore. Ses camarades de classe se sont moqués de lui, ne comprenant pas ce qui lui arrivait. Du coup, il n'est pas retourné en cours les jours suivants. Il a passé trois jours à se caresser, sans se laisser jouir, ni dormir ou manger. Au début, il a tenté de s'enfoncer toutes sortes d'objets dans son anus car il avait tellement envie qu'il soit bien dilaté pour que son Maître puisse la lui mettre bien profond. Puis il a trouvé que c'était stupide: ce dernier préfère certainement défoncer un trou bien étroit, forcer le passage à le faire hurler. Alors il s'est abstenu d'exercer son trou et est retourné en cours. Chaque soir, à peine rentré, il s'attachait deux pinces sur ses tétons afin de les étirer pour que son Maître ait moins de peine pour les prendre et les torturer.

Enfin le jour de la leçon de piano suivante arriva. Il se fit beau, poussa le vice à se faire un lavement afin que le mandrin de son Maître reste propre puis il prépara l'argent pour le paiement de sa leçon. En choisissant ses vêtement, il tâcha d'avoir l'air aussi pute que possible. Il fallait que Max comprenne du premier coup qu'André était définitivement sa chose et qu'il ne devait avoir aucune hésitation à en profiter. Il rougit en se disant que c'était complètement ridicule, Max le savait déjà certainement. Comme il avait hâte de se faire violenter, de se faire pénétrer brutalement! Avant qu'il ne comprenne ce qui se passe, il s'est retrouvé à quatre pattes, se doigtant l'anus. Il se figea et les sortis rapidement, se rappelant que son petit trou devait être le plus étroit possible pour son Maître. Il se suça les doigts, savourant le goût de son cul... son Maître devait se dépêcher sinon il s'enfoncerait le premier objet qu'il trouverait dans son cul! Il finissait de s'habiller lorsque la sonnette retentit et il courut ouvrir.

André accueillit Max d'un sonore "Bonjour, Maître!" mais se figea en voyant un grand homme noir dans l'encadrement de la porte qui lui caressa la joue et dit:
— Bonjour, petit chien!

Puis il entra, suivi de son Maître. André se mit à trembler de plaisir, il avait une folle envie de se jeter aux pieds de son Maître et des les embrasser avant de sortir son sexe et le sucer. Max sourit et annonce:
— C'est un ami pour le cours d'aujourd'hui: la double pénétration!

— Bien, Maître.

L'ami en question avait déjà sorti sa queue et André la regardait avec gourmandise: elle était grosse, longue, épaisse; plus grosse, plus épaisse et plus longue que celle de son Maître. Max lui frotta la tête en demandant:
— Il a une grosse bite, n'est-ce pas?

— Oui, Maître.

— Tu aimerais la sucer?

André hocha la tête puis baissa les yeux en rougissant. Max dit en riant:
— Je suis jaloux!

André tenta de se rattraper en bafouillant:
— Vo... Votre queue m'attire beaucoup plus!

Il paniquait, conscient d'avoir fait une erreur, et s'agenouilla:
— Laissez-moi vous montrer à quel point je désire vous sucer!

Max sourit:
— Ne t'inquiète pas. C'est normal qu'une telle hampe t'excite: tu es une salope.

— Oui, Maître, désolé...

— C'est très bien. Moi ça me plaît.

André leva les yeux, pleine d'espoir:
— C'est vrai?

Max gronda:
— Tu doutes de ma parole?

— Non, Maître, bien sûr!

— Tant mieux.

Puis il se fit plus jovial:
— Tu sais, tu vas pouvoir bien la sucer... Quand il t'aura défoncé le cul!

André fit la moue:
— Ah...

Max fronça les sourcils:
— Tu as l'air déçu...

— C'est que...

André rougit de plus belle et son Maître demanda:
— Oui?

— J'aurais voulu... Enfin...

Max rit aux éclats:
— Tu voulais que je t'éclate le cul le premier, c'est ça?

André hocha la tête en fixant le sol, puis étendit sa main et joua machinalement avec les boutons de sa chemisette. Une soudaine envie lui prit et il se jeta sur ses lèvres pour l'embrasser. Max le serra contre lui et palpa son cul. Puis ses mains passèrent sous son pantalon et caressèrent son anus. André recula un peu et murmura:
— Non, non...

Max dit d'un ton courroucé:
— Tu te refuses à moi?

— Non! C'est juste que... J'ai laissé mon anus se refermer ces derniers jours... Il vaudrait mieux que votre ami se charge de l'ouvrir.

Max reste silencieux en caressant la rondelle de son élève. Enfin il soupira:
— En effet...

Puis demanda alors qu'André regardait avec appréhension l'énorme sexe que l'autre homme branlait:
— Tu penses que ça va rentrer?

— Je... Je ne pense pas.

Alors comment on va faire?

— Il faudra forcer.

— Tu vas avoir très mal, tu sais?

— Bien sur. Mais c'est nécessaire.

— Comment ça?

— Eh bien... Il faut qu'il prenne son plaisir. Je n'ai pas d'autre utilité, après tout!

— C'est vrai. Tu es juste un chien.

Il caressa le corps de son élève sans vraiment y prêter attention. Puis il dit distraitement:
— Rends-toi utile, veux-tu?

André ne répondit pas mais glissa le long de son corps, ouvrit son pantalon et sortit sa verge. Il l'admira quelques instants en la caressant puis commença à la lécher. Enfin il l'avala alors que Max discutait avec son ami.

Il se contenta de sucer toujours plus fort, attendant que Max daigne lui remplir la gorge de son foutre chaud à défaut de pouvoir le sentir lui forcer sa rosette. Juste avant de juter Max força l'entrée de sa gorge. Il se contenta alors d'avaler son gland puis le jus qui gicla au fond de sa gorge. Quand Max eut fini, il continua malgré l'air qui commençait à manquer, attendant que le membre lui obstruant la gorge daigne se retirer. André fut surpris par un liquide gluant lui coulant dans son dos... Max le libéra et il se retourna pour se trouver nez à nez avec l'énorme verge qui finissait de se vider sur son cou. Il voulut la sucer mais l'homme lui saisit violemment les cheveux avant de dire:
— Ne suce pas, petit con! Tu vas la lubrifier sinon!

André eut un rictus de douleur et bafouilla:
— Par... Pardon. Je suis stupide, Monsieur.

Il le relâcha mais André n'eut pas le temps de se remettre car ce fut son Maître qui lui fit plier le cou cette fois-ci. Il le força à regarder en haut et demanda:
— Tu as de quoi le payer?

— N... Non. Je... Je ne pouvais pas deviner qu...

Max lui cracha au visage:
— Ta gueule, sale morveux! Je n'ai que faire de tes pitoyables excuses!

Puis il le fit se relever, le tenant toujours par les cheveux. Il ajouta plus calmement:
— Bon ben tu vas aller retirer de l'argent.

— Bien, Maître.

André partit chercher sa carte de crédit puis s'apprêta à partir. Il l'interpella:
— Tu n'oublies rien?

— Euh...

Il soupira:
— T'es trop habillé, imbécile!

— Ah oui, désolée, Maître. Je suis vraiment stupide.

— Ça c'est vrai.

André ôta son pantalon et son slip puis il demanda d'une petite voix:
— Vous ne préférez pas que j'y aille nu?

— Non. Tu pourrais te faire violer ou te faire embarquer par les flics. Mets ce mini-short.

— Il suffirait que je leur propose mes services et ils me laisseraient partir...

Il soupira à nouveau:
— Qu'est-ce que tu peux être débile... Tu crois vraiment que les flics laisseraient ton anus intact?

André rougit en baissant les yeux:
— Non, en effet, Maître.

— Donc tu gardes tes habits.

André fit la moue mais ne répondit pas. Max s'approcha alors et lui fixa un collier de chien autour du cou avant d'y attacher une laisse. Il dit en lui flattant la tête:
— Par contre je t'accompagne jusqu'en bas...

André sourit et se mit immédiatement à quatre pattes. Puis il le suivit sur le palier et se frotta à sa jambe alors qu'il ouvrait la porte. Une fois dehors, il le détacha et lui dit de sonner dès qu'il serait de retour. Une fois seul, André hésita longtemps entre prendre son temps pour s'exhiber comme l'esclave qu'il était en train de devenir ou se dépêcher pour revoir son Maître au plus vite. Mais la pensée de la grosse queue qui attendait d'ouvrir le trou qu'il avait pris tant de soin à laisser se refermer le convainc d'agir vite... Lorsqu'il retira son argent, il s'aperçut qu'il n'avait nulle part où le mettre, il le glissa alors dans l'élastique de son mini-short. On le prendrait certainement pour une pute mais cela ne l'excitait que plus. Il sonna immédiatement et Max lui dit de se mettre à quatre pattes sur le porche avant d'ouvrir la porte.

— À poil.

André s'exécuta malgré le fait qu'ils soient encore visibles de la rue. Max le fit rentrer et lui tâta la croupe en murmurant:
— T'es sacrément excité, ma salope!

— Oui, Maître.

— Tu as hâte de te faire enculer?

— Oui. Et surtout de sentir votre queue.

Il le doigta distraitement, lui arrachant un petit cri de plaisir:
— Petit salop... Tu l'aimes ma bite, hein?

— Oui. Surtout quand vous êtes violent avec moi.

Max soupira en continuant à le doigter:
— C'est chiant ça... Je serai toujours obligé de te frapper?

André se hâta de se rattraper:
— Non, Maître, bien sûr! Prenez-moi juste sans retenue, c'est ce que je voulais dire!

— Ben fallait le dire comme ça.

— Je... Je suis stupide.

Max soupira:
— Oh que oui.

Puis il le lécha avant qu'il n'ait la possibilité de répondre. L'autre homme le prit par le bras. Il était visiblement impatient et il déchira son mini-short et sa chemisette en le plaquant au sol:
— Qu'est-ce qu'il m'a fait attendre, le petit salop!

Puis il dirigea directement son sexe sur son anus. André se mit à hurler mais son Maître le fit taire avec son sexe. Il se débattait et les deux hommes le bloquaient. L'autre homme dit en serrant les dents:
— Putain, ça entre pas...

— Attends je suis sûr que notre pute à une solution...

Max lui tira violemment la tête en arrière et lui cracha au visage avant de lui demander:
— Comment on fait : ça entre pas...

André pleurait et cherchait son souffle:
— Pou... Poussez plus fort!

— Déjà fait...

Il chercha, en vain. L'autre homme dit alors:
— Lèche-la, j'ai une idée.

Après avoir léché le monstre, André laissa retomber sa tête au sol et observa. L'homme se plaça bien au-dessus de lui, rentra à nouveau le bout de sa queue dans son cul, ressortant presque les quelques centimètres de sexe qui étaient entré pour ne laisser que son gland. Puis il se mit en équilibre sur ses orteils et ses mains. Et il se laissa choir. André poussa un cri déchirant alors qu'il l'écrasait de tout son poids. Son Maître demanda:
— C'est bon?

— Non. Mais si je pousse plus je lui déchire les intestins.

— Ah?

— Oui, regarde.

Il donna un coup sec et André vomit. Puis il commença à lui ravager le cul et l'esclave s'effondra en sanglotant. Le Maître alla chercher une serpillière et essuya le visage de son élève qui était couvert de vomi avec le tissu rêche. André parvint à balbutier un remerciement entre deux vagues cris de douleur. Puis Max lui saisit la mâchoire et demanda:
— Prêt pour ton cours?

André voulut répondre mais ne put que crier alors qu'un coup plus violent le déchirait. Il réprima un nouveau haut-le-coeur et hocha la tête. L'autre homme interrompit ses mouvements, se coucha sur le dos et le fit basculer contre lui. André commença alors à relever la tête et ouvrir sa bouche. Max fronça les sourcils et demanda:
— Qu'est-ce que tu fais ?

— Je... Je me mets en position pour vous accueillir, Maître.

— Que tu es bête! Ce n'est pas un cours de double accueil, mais un cours de double pénétration!

André resta choqué quelques instants, les mouvements qui avaient repris en lui finirent par le ramener à la réalité. Il bafouilla:
— Ça... ça ne va pas entrer!

— En temps normal, non. C'est pour ça que tu as besoin d'un bon professeur!

— Je... Je...

— Ta gueule maintenant. Et évite de tomber dans les pommes: on serait obligé de tout refaire!

André le regarda Max s'approcher et se mit à trembler et à gémir. Il le suppliait de ne pas faire ça. Il savait que sa place d'esclave lui interdisait de refuser mais il le fit malgré tout. Son corps, cependant, ne lui obéit pas et seuls ses mots s'interposèrent entre lui et son Maître. Et ce dernier n'en tint bien sur pas compte...

Il sentit que la grosse verge ressortait un peu alors que le deuxième gland se posait sur sa rondelle. Max poussa. Il entra mais le membre se courba et glissa. Il réitéra. Une fois, deux fois, trois fois. Chaque fois un peu plus loin, un peu plus fort. Chaque fois avec une douleur plus vive. Il sembla à André de sentit un liquide couler hors de son anus. Ce n'était qu'un peu de gel que Max était forcé de mettre pour avoir une chance d'arriver à ses fins. Enfin il réussit à rentrer. Quelques centimètres d'abord. Mais André savait que maintenant il ne ressortirait plus avant d'avoir éjaculé. Et qu'il n'éjaculerait pas sans l'avoir ramoné. Et qu'il ne le ramonerait pas sans l'avoir profondément pénétré... Il pleura à chaudes larmes en les suppliant. Mais il ne pouvait se refuser à eux. La douleur envahit sa tête. Son anus était si dilaté qu'il avait peur que sa peau ne s'y déchire. Il se demanda si c'était ça l'effet que cela faisait d'être lentement déchiré en deux... Quand ils commencèrent à bouger lui, il n'était déjà presque plus conscient, simple poupée entre leur bras. Les gifles, les insultes, les coups, rien ne pouvaient plus l'atteindre. Il les entendait dire:
— J'aurais pas cru que ça rentrerait...

— Je t'avais dit qu'il était malléable.

— Quand-même...

— Bah, il s'en sera remis d'ici la semaine prochaine!

— Ouais. Tu t'en fous du reste de la semaine!

Puis ils se mirent à rire alors qu'il perdait conscience.

André se réveilla allongé par terre. Son corps n'était que douleur et il gémit. Il sentit des douleurs sur ses côtes, ses cuisses et ses fesses. L'avaient-ils maltraité? Violé? Enfin, violé... Il était consentant après tout! Il voulut se relever mais ne le put. Il se redressa juste sur ses avant bras et vit une grande tache humide au sol. Il la toucha des doigts et la sentit avant de la goûter: de l'urine, et du sperme... Jusque sous lui... Avait-il joui? Était-ce possible lorsqu'on est inconscient? Ou peut-être n'avait-il pas été tout le temps inconscient... Il remarqua un mot sur le lit:
"Tu as été très bien. L'idéal eut été que tu restes t'amuser avec nous mais pour une première fois... On a bien pris notre pied. C'est vraiment génial d'être payé pour violenter un cochon dans ton genre! Suce ma bite, Ton prof préféré PS : N'oublie pas ton nouveau travail! (tu trouveras de quoi faire tes exercices dans la boîte à chaussures sous ton lit) PS 2: La prochaine leçon aura lieu chez moi"
Il sourit, puis se laissa tomber au sol. Il soupira: quelle salop il était devenu. Puis il oublia ses réticences et se masturba en gémissant...

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Cours de piano (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Chrisjean

Cours de piano (3) - Récit érotique publié le 27-12-2020
Cours de piano (2) - Récit érotique publié le 08-05-2019
Cours de piano (1) - Récit érotique publié le 05-05-2019
Buissons Garnis - Récit érotique publié le 31-08-2018
Mon ouvrier - 3 - Récit érotique publié le 14-04-2013
Mon ouvrier - 2 - Récit érotique publié le 11-04-2013
Mon ouvrier - 1 - Récit érotique publié le 09-04-2013
Ouverture 3 - Récit érotique publié le 28-06-2012
Ouverture 2 - Récit érotique publié le 22-10-2010
Titre de l'histoire érotique : Ouverture - Récit érotique publié le 07-03-2010