Enfin seuls...

- Par l'auteur HDS Mazout -
Récit érotique écrit par Mazout [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Enfin seuls... Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
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Enfin seuls...
Enfin un WE tous les 2 ! Nos enfants ont été invités chez une amie pour…le WE ! Oui, le WE, de samedi matin à dimanche soir. Hors de question de rester ici !
Où aller… tiens, Bordeaux. Nouvelle ville depuis quelques années, retour en grâce pour la belle endormie.
Hôtel réservé, un petit nid douillet, qui a l’air super cosi près du grand théâtre. Parfait pour une nuit et pour se sentir bien, se sentir chouchouté.
Nous ne perdons pas de temps. Une fois les enfants déposés, les valises dans le coffre, 180 Km et nous voilà. Le temps est radieux, frais, mais radieux. Un beau soleil d’hivers nous accompagne et réchauffe l’intérieur de la voiture. Nous prenons ces 24h comme une bénédiction et comptons bien en profiter. Au programme, visite des quais de Bordeaux, repas au restaurant gastronomique de la cité du vin, visite et dégustations, retour par la rue Ste Catherine pour un peu de shopping, petit musée d’art moderne puis…séance SPA en toute fin d’ap-midi à l’hôtel avant de repartir pour un repas « Sardaignais » dans un resto qu’on m’a recommandé. Après… ce sera selon l’envie, bar, boite de nuit, flânerie dans les rues, retour direct à l’hôtel, etc. On verra, pas de plan, pas de stress !

C’etait un délice, nous sommes sortis du musée du vin enjoué à la fois par le restaurant, mais également par la visite et la petite dégustation en haut de la carafe, l’autre petit nom du musée. Le temps est toujours au beau fixe. Nous reprenons la voiture, direction la porte Dijeau et le départ de la rue Ste Catherine pour attaquer les boutiques ! Pas mal d’enseignes nationales, mais encore quelques enseignes plus locales où l’on trouve des choses originales, et non 1000 fois vues. Bien évidemment, comme à mon habitude, j’ai repéré pas loin un magasin de lingerie, et compte bien enrichir la collection !
Après quelques emplettes, nous y voilà. Enseigne proposant de la lingerie de qualité, de luxe même on peut dire, mais… particulièrement coquine… a priori pas pour du quotidien, en tout cas… pas si je ne suis pas là !
Je repère vite une tenue super affriolante…un ensemble en dentelle blanc fort transparent, avec des bretelles extrêmement fines, croisées dans le dos, et un string superbement dessiné avec une petite ouverture entre les jambes, des fois que… Rien qu’à regarder et à l’imaginer sur ma femme, je frémis. La voilà qui l’essaye et qui m’appelle de la cabine. Je m’approche. Cet ensemble lui va à ravir. J’en profite pour tester l’utilisé de la petite ouverture, passe un doigt qui trouve immédiatement l’entrée du sous vêtement, mais également de me femme. Je l’avoue, j’ai été bien aidé par une légère lubrification… tiens, tiens, si ça m’excite de la voir essayer, il semblerait bien que ça l’excite également d’essayer. Je ne m’attarde pas au risque de trop avoir envie et d’être frustré… je pense qu’il serait un peu risqué de s’abandonner dans cette cabine d’essayage.
Nous repartons vers le petit musée d’art moderne, dont il est mentionné son originalité. Ma femme adore l’art, les musées. Celui-ci est original, mêlant des toiles, des sculptures mais également des œuvres digitales. Très bien fait. Nous y restons un bon moment, étonné de certains regards sur nous. Je ne réalise plus tard que ce doit être la poche du précédent magasin que j’ai à la main. L’enseigne doit être connue dans le coin, on doit faire ou des jaloux, ou des envieux, voire des envieux-jaloux !

De retour à l’hôtel, nous partons immédiatement profiter du SPA comprenant un sauna & un jacuzzi. Le SPA est totalement vide ! Je prends le savon noir, et savonne les bras, jambes, dos de ma femme. Je profite de cette quiétude pour glisser mes mains dans son soutien-gorge, savonner ses seins, que je sens durcir, puis glisser mes mains sous le bas du maillot…prétextant tout savonner, mais surtout pour en profiter et la caresser. C’est malheureusement le moment que choisi un couple pour entrer dans le SPA. Je retire rapidement mes mains, un peu honteux – la je ne rougi pas plus que ce que je ne suis déjà pour cause de chaleur ambiante. Joli couple. Ils ont je pense le même âge que nous, et ont l’air presque un peu gênés. Je pense, à la réflexion, qu’ils sont plus déçus que gênés, se voyant profiter seuls du SPA comme nous nous imaginions le faire. Tiens, mais il me semble bien que c’est un des couples qie nous a regardé au musée.
L’homme caresse de savon, oui caresse plus que savonne, sa femme qui semble particulièrement réceptive, ses jambes avec la chair de poules l’attestant.
Nous partons dans le jacuzzi attenant pour trouver et laisse un peu de tranquillité et nous plongeons dans l’eau chaude. Dans l’angle de la porte, nous voyons l’homme et la femme entrés se frotter le corps, et profitant d’être seuls pour ne rien oublier l’un de l’autre. C’est très excitant. Alors que nous sommes côte à côte, j’en profite pour caresser ma femme par-dessus son maillot, puis l’écarter légèrement pour y glisser un doigt, puis deux. Je n’ai pas vu la porte s’ouvrir, tant et si bien que je sursaute quand je vois le couple entrer dans le jacuzzi. Je retire ma main, comme un enfant pris avec le pot de Nutella (remplace le miel aujourd’hui !) et me replace de la manière la plus naturelle possible près de ma femme…. J’ai l’impression d’être écarlate ! Ma femme n’a pas bronché, aucune gêne ne transparait.

Le couple s’est positionné en face de nous, c’est-à-dire pas très loin vu la taille du jacuzzi. Nous reprenons avec ma femme un semblant de discussion pour nous donner un peu de consistance. Au bout d’un moment, ma femme me lance un regard surpris. Je regarde dans la direction et vois que l’homme fait exactement ce que j’étais en train de faire quelques minutes auparavant. Par transparence de l’eau, et malgré les bulles, je vois qu’il a légèrement écarté le bikini de sa compagne pour y glisser ses doigts. Je ne me suis jamais trouvé dans une telle situation. Pour rire, pour nous émoustiller, nous avons souvent évoqué les plans à 3 mais sans tomber d’accord sur la répartition 2 hommes/1 femme ou 2 femmes/1 homme ! Néanmoins, nous n’avons jamais été aussi près de personnes qui se caressent. Je n’arrive pas à savoir si je dois faire semblant de ne rien voir, si je dois leur montrer que j’ai vu et m’en accommoder, à défaut de m’offusquer, faut pas exagérer. C’est malgré tout très, mais alors, très très excitant, et je dois avouer que, la surprise passée, mon sexe devient extrêmement dur !
Je regarde ma femme qui ne semble pas gênée le moins du monde, même si elle a été la première à les voir et à exprimer sa surprise. Alors que ma main se pose sur la jambe de ma femme, je couple d’en face a visiblement vu que nous avions repérés le petit jeu. Mais de toute manière, vu la taille du jacuzzi où nos jambes se touches presque si on les allonge, comment ne pas voir, regarder et être vu. Après quelques minutes de caresses mutuelles, le couple nous regarde et nous demande sans l’ombre d’une gêne dans la voix si cela nous dérange. Je regarde ma femme qui sourit et bredouille un « pas du tout », n’ayant pas la présence d’esprit d’ajouter, un « au contraire ». La femme enchérie en nous demandant s’ils peuvent retirer leurs vêtements. C’est ma femme qui répond en disant pas du tout, au contraire ! Ce mot ‘au contraire’ me surprend dans sa bouche. J’ai l’impression que cette scénette l’a émoustillée tout autant que moi, si ce n’est plus.
Sans la moindre gêne, le couple retire ses vêtements, les déposes bien rangées sur le rebord. Alors que l’homme se rassoit, la femme vient s’allonger dans le jacuzzi, montrant l’intégralité de son corps nu, sans aucune gêne. C’est fait si naturellement, que cela n’est pas absolument pas malsain. Après s’être plongée la tête en arrière dans l’eau, elle revient vers son mari et s’assoie à califourchon sur lui, les bras autour de son cou. Ils sont manifestement amoureux, très amoureux, et totalement désinhibés. Ce qui pourrait paraitre vulgaire passe ici sans aucun problème, et malgré l’extrême promiscuité, se réalise tout simplement. Alors que le couple s’embrasse, la femme nous tournant le dos, ma main qui n’a pas quitté la cuisse de ma femme se surprend à remonter et à la caresser par-dessus le slip. Elle ne s’en offusque pas. Nous sommes ainsi côte à côte regardant un couple nu s’exciter face à nous, à quelques cm, seul le son est atténué par le bruit des remous. Devant le naturel du couple, la gêne que je ressentais s’estompe, je m’enhardi et me penche pour embrasser à pleine bouche ma femme qui me le rend bien et dont je sens la main me saisir le sexe fermement. C’est assez irréel comme situation, mais, nous nous laissons porter par ce moment un peu hors de toute réalité, très sexy, excitant comme jamais, et totalement nouveau. Alors que nous nous chauffons par intermittence, toujours pas encore totalement libérés, le couple qui l’est lui, libéré, passe la seconde. Les ondulations du corps de la femme ne sont pas uniquement le fruit des bulles du jacuzzi. Après avoir regardé quelques secondes, encore toujours surpris de ce moment, je me tourne vers ma femme qui, je ne l’avais pas vu, a retiré le haut de son maillot et était en train de retirer le bas. Je m’empresse de l’aider. Elle a le sourire aux lèvres, elle profite tout autant que moi de cet instant si étrange, me semblant finalement moins gênée que moi. Son regard me montre que je dois en faire au temps, laissant apparaitre sans équivoque mon érection. Bien que jetant de petits coups d’œil furtifs à l’autre couple, j’ai jeté mon dévolu sur ma femme, ou plutôt ma femme a jeté son dévolu sur moi. Elle est extrêmement entreprenante, prenant les initiatives. Bien que je ne me lâche pas totalement, je suis encore un peu paralysé par la situation, elle laisse par contre éclater une totale désinhibition comme jamais je ne l’ai vue. Elle s’assied à califourchon sur moi, dos à moi, face au couple quelle regarde fixement. Mon sexe dur comme rarement entre en elle avec douceur, va loin, très loin au fond, comme aspiré. Son bassin fait de petits ronds pendant que mes mains autour d’elle caressent ses seins durs.
Le couple d’en face remarque notre soudaine accélération, n’est pas pour autant offusqué, bien au contraire. C’est un moment de partage. Un moment totalement étrange, et pour autant, d’un paisible extrême. La femme réalise une rotation à 180° pour se trouver face à la mienne, dans une position totalement identique. Ce face à face n’est en rien un duel. Le regard des femmes entre elles est sans équivoque. Chacune aime son mari, et le regard qu’elles se portent est encore une fois un regard doux, bienveillant, signifiant que chacune prend du plaisir, en donne, plaisir décuplé se regardant en miroir. Contre toute attente, la femme tend les mains vers le mienne qui les lui prend. C’est le premier contact entre nous. Nos 4 corps bougent à l’unissons. Je vois dans la femme d’en face ce que je ne peux voir sur le visage de la mienne, et devine qu’elle va très vite jouir. Cette fois-ci le bruit du jacuzzi ne suffit pas à masquer les gémissements de nos deux cavalières. Et c’est à l’unissons que chacun d’elle joui, les mains toujours enserrées. Je ne peux me retenir plus et joui également, dans un total relâchement, enserrant le corps de ma femme comme si j’allais tomber. Les mains se sont relâchées. Nos deux femmes ont un sourire doux, comme si elles continuaient à avoir un orgasme, tout léger, mais qui dure, dure, dure. Aucun mot n’est échangé. Je n’ose parler, je ne sais pas quoi dire, je pense que c’est pareil pour ma femme. Le couple sort de l’eau toujours nus et enfilent leur maillot comme si de rien n’était, puis une serviette autour de la taille. En repartant, ils nous regardent et nous remercient poliment pour le moment, comme si c’était nous qui avions initiés les choses.
La pression retombe, je me sens comme vidé. Nous décidons de partir également, non sans avoir attendu quelques secondes pour ne pas tomber sur eux dans le hall ou le couloir de l’hôtel. Sur nos deux serviettes, une carte d’un club, un 06 marqué derrière.

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