Le peintre et sa muse chapitre 9 troisième partie

- Par l'auteur HDS Le relieur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le peintre et sa muse chapitre 9 troisième partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le peintre et sa muse chapitre 9 troisième partie
Le peintre et sa museChapitre 9 troisième partieWeek-end de charme


Une douche, une remise en beauté, coiffage, un peu de fond de teint, de rouge à lèvres et de parfum et je suis prête.
Prête à une bonne nuit.
Mais avec lequel des deux ?
Installée dans le lit de la première chambre, avec la télé, je les entends revenir, ils parlent fort, ils rient, ils plaisantent et viennent me voir.
Ils retirent leur peignoir et se mettent assis sur le lit.
- Alors Annie, ce sauna ?
- Bien et j'ai même sympathisé avec le vieil homme qui séjourne aussi ici pour le week-end.
- Bien, nous nous avons fait la connaissance du jeune couple. Ils sont jeunes mariés et ont 25 et 23 ans.
- Et ils ont dû se demander ce que font deux vieux dans un hammam !
- Pas du tout, ils semblaient contents de bavarder un peu et nous, nous étions contents d'admirer de jeunes corps.
- Vous êtes des vicieux et des voyeurs, je ne veux pas en savoir plus.
- On te racontera une autre fois, et toi comment ce fut avec " l'ancien" ?
- Je vous raconterai aussi plus tard. Et si nous faisions dodo ? Qui dort avec moi ?
Moi dit François, moi dit Bernard.
J'ai dû les calmer et je leur ai dit que ce soir je ne voulais pas que nous dormions à trois dans le même lit.
Ils semblaient déçu, avant que je ne leur dise : "Je commence la nuit avec Bernard et je la termine avec François". Et c'est ainsi que François a rejoint la chambre voisine et que Bernard s'est collé à moi.
Nous avons éteint les lumières.
Tout était calme.
Mais bientôt le lit s'est animé car Bernard avait envie de me faire des folies. Et il a commencé par me caresser sur tout le corps.
J'ai eu des frissons partout. Il passait ses mains douces sur les bras, les jambes, dans le dos, sur le ventre. Il me faisait tourner et retourner avant de me dire de lever et d'écarter mes jambes. Il est entré en moi comme il le fait souvent, en missionnaire, et s'est mis à me travailler jusqu'à ce que par un grand cri j'ais senti qu'il avait éjaculé.
Heureusement que je me pinçais mes gros seins car cela m'a permis d'avoir un orgasme en même temps que lui.
Mon homme est super mais il est vrai qu'à son âge, il est très classique et rapide.
Depuis que je connais François, cela ne me dérange plus. Avec lui la diversité sexuelle a commencé pour moi.
Donc je sens que Bernard commence à avoir une respiration régulière. Après l'effort, le repos bien mérité ! Je me glisse hors du lit, franchis la porte entre les deux chambres, elle était restée ouverte... il a dû tout entendre.... J'entrebâille la porte et je me glisse dans les bras de mon amant. Il me serre contre lui, il est réveillé. "Tu as bien joui" me dit-il et il ajoute "mais c'est pas fini".
Et ce n'était pas fini car durant plus de deux heures, il a pris tout son temps pour faire de moi non seulement une femelle mais aussi, oui j'ose le dire, une folle de sexe.
Contrairement à Bernard et aussi à l'homme du sauna, François a un sexe terriblement long et épais. Quand il entre en moi, mes lèvres s'ouvrent, mon vagin se dilate et quand je contracte mes muscles vaginaux, je le sens bien et arrive parfois à jouir ainsi. Cette nuit j'ai subi ses assauts, sur le dos, à quatre pattes, puis moi sur lui, assise afin qu'il me malaxe les gros seins et joue avec mes tétons.
J'ai sucé, pompé, masturbé. Ma bouche me faisait mal, ma langue était toute irritée et mes doigts aussi étaient de la partie pour explorer ma fente, tourner autour de mon clicli. J'ai crié plusieurs fois, j'ai hurlé, j'ai griffé les draps et même le dos de François. J'haletais, j'étais en sueur, je dégoulinais, lui aussi. Nos transpirations se sont mélangées.
Je ne sais combien de fois j'ai eu un orgasme, à un moment donné j'ai même dis : "Arrête, arrête." Et puis je me suis retrouvée dans les bras d'Orphée sans m'en rendre compte. Ce n'est qu' aux premières lueurs de l'aube que je me suis réveillée car je sentais, oui je sentais un doigt qui cherchait à entrer dans mon sexe. Instinctivement j'ai écarté mes jambes pour faciliter le passage et j'ai senti comme il coulissait en moi mais j'ai aussi entendu comme ce doigt baignait dans du foutre, celui de mes deux hommes qui m'avaient rempli cette nuit. Glou Glou glou.... et François continuait et me murmurait à l'oreille "Tu es bien lubrifiée alors tu ne peux pas refuser, vite à quatre pattes."Et c'est ainsi qu'a commencé mon dimanche, avec un sexe dans mon sexe, une queue qui cognait mes fesses, des couilles qui cognaient mes cuisses et moi voyant mes mamelles qui pendaient sous moi, des mamelles qui ne demandaient qu'à être traites mais il n'y avait personne pour le faire, pas encore. Quand nous sommes sortis de la chambre, Bernard était déjà dans la salle de bain, à se raser.
- Annie, alors la nuit fut agitée ?
- Sans plus pourquoi ?
- J'ai dû rêver mais il me semble avoir entendu des gémissements, des cris.
- Des cris de plaisir, des gémissements de bonheur, oui.
- Alors super, je suis content qu'enfin tu puisses satisfaire tes envies de femelle.
J'ai donné un baiser à Bernard, un autre à François. Pas de jaloux ! Nous nous sommes sagement douchés nous nous sommes habillés pour prendre un petit déjeuner bien mérité. Dans la salle étaient déjà attablés le jeune couple et le vieil homme. Ce dernier, galant, s'est levé et est venu me saluer. Il a dit, s'adressant aux hommes : "J'ai rarement rencontré une dame qui a le charme de Madame. Je me permets de lui donner mes coordonnées car je serais ravi de la retrouver, ici ou ailleurs, seule ou avec vous". Mes deux "machos" étaient sans voix, moi je buvais du "petit lait". Et il a quitté la salle.
Nous avons pris le petit déjeuner puis nous nous sommes levés. Bernard et François sont allés vers le jeune couple, ils ont bavardé comme de vieux amis. Et puis ils se sont faits la bise avant de me rejoindre. Je fixais la jeune femme qui semblait gênée face à moi. Pourquoi ? Je la trouvais belle avec sa petite robe très courte décolleté profondément en v. Sa poitrine était belle et arrogante. "De belles pommes à croquer" me suis-je dit. Et elle était fine, avec des cheveux très longs et aussi pieds nus. Ah cette jeunesse !
Nous sommes remontés dans la chambre pour faire nos bagages et enfin avons réglé la note. Le propriétaire me semblait avoir un regard coquin et la conversation s'est engagée entre lui et moi :- Alors Madame, ce séjour vous a plu ?
- Très, oui, votre hôtel est au calme, les espaces bien-être sont super et la piscine, la terrasse sont à l'abri des regards, c'est parfait.
- Enfin pas à l'abri de tous les regards, car les fenêtres de certaines chambres donnent sur le solarium !
- Ah bon (en rougissant et sentant mes seins qui gonflent).
- Mais si vous revenez, vous pourrez avoir d'autres occupations encore.
- Ah, lesquelles ?
- Déjà des promenades dans la forêt proche où vous trouverez des aires de pique-nique, des chalets forestiers, des clairières, des étangs.
- Très bonnes suggestions et quoi encore ?
- Je pourrais aussi proposer des soirées......
- Des soirées ? Expliquez.
- Par exemple des soirées jeu comme du poker ou encore des soirées dansantes, même costumées, cela est très apprécié vous savez.
- Je ne connais pas mais vous me tentez. Merci pour ces propositions. A bientôt.
Et nous nous éloignons. Je sens dans mon dos qu'il me suit du regard. Cela ne m'étonne pas, vu ma tenue. Ah j'oubliais de dire que je portais des escarpins à talons hauts, un short jaune fluo qui moulait parfaitement mes fesses, rentrant même dans le creux et un top d'été à bretelles fines, sans soutien-gorge qui lui moulait mes seins. Alors que mes fesses sont rondes, pas trop grosses, mes seins, eux sont des poires denses et un peu lourdes. Mais je suis une femme mature !

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