Weekend à la montagne - Épisode 1 - Le jeu

- Par l'auteur HDS Primaq69 -
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Weekend à la montagne - Épisode 1 - Le jeu Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Weekend à la montagne - Épisode 1 - Le jeu
Weekend à la montagne - Épisode 1 - Le jeuSuite de "Domination de couple"
Je me réveille avec la boule au ventre : ce weekend, c’est mon tour. La semaine dernière c’était celui de Pauline et je dois avouer que Léa et moi avons été particulièrement sadique. Elle risque de vouloir se venger… La dernière fois qu’on avait été l’un après l’autre, elle ne m’avait pas laissé jouir avant la toute dernière minute du chrono !

Depuis notre premier weekend complet de folie, notre relation avait un peu évolué. Nous avions à peu près une séance de jeu par weekend. A la fin de la session, la ou les soumis(e)(s) de l’occasion tirait au hasard plusieurs règles pour la fois suivante : quelle combinaison dominant(e)(s) / dominé(e)(s), quelle durée, quel lieu, et toute autres restrictions qui visaient à pimenter le jeu…
Et ce weekend, c’était une première, et il avait fallu que ça tombe sur moi.

D’abord, parce que c’était un weekend justement. Jusque-là, les séances de jeu avaient duré entre 30min pour la plus courte et une demi-journée pour la plus longue... Aujourd’hui, j’étais l’esclave de leurs caprices de 19h30 le vendredi à 7h le lundi. D’où le trac et la peur qui me collaient depuis le début de la semaine.
Ensuite, pour le où : cette semaine on allait passer le weekend dans un chalet à la montagne à quelques heures de Lyon. Entre le trajet, la nature, le froid… je savais qu’elles avaient de quoi se surpasser côté sadisme !
Pour corser le tout, j’avais l’obligation de porter une cage de chasteté suite au tirage au sort des conditions spéciales. Elles me l’avaient enfilé le samedi juste après la fin de notre jeu et je la portais depuis. Pauline s’était fait un malin plaisir toute la semaine d’en jouer et cherchant à m’exciter. Mardi en rentrant du travail, j’étais tombé sur elle dans le canapé en train de se servir de son rabbit. Elle m’avait fixé droit dans les yeux avec un sourire sadique sur le visage jusqu’à l’orgasme. Le jeudi, je m’étais réveillé au son de la vidéo de notre session de la semaine passée. J’avais eu la bonne idée de filmer certains de nos ébats pour les projeter lors d’une séance de jeu suivante… une belle idée de torture en théorie mais qui s’était vite retournée contre moi. Pauline s’était retournée, m’avait lancé un « décidément vous vous êtes pas retenu samedi dernier… je comprends mieux pourquoi j’ai encore mal quand je m’assois ! » avant de partir au boulot sans éteindre la télé.

Et aujourd’hui, vendredi matin, je me réveillais en sachant que ça allait être mon tour. Je me réveillais aussi avec une belle douleur à la bite qui tentait tant bien que mal de s’échapper de sa prison, en vain.

Je parti au travail rapidement, le plus tôt j’y serais le plus tôt je pourrais partir.

Je ne vais pas vous mentir, les aléas du quotidien me sont un peu « passés au-dessus » ce jour-là. Je gardais le regard vissé sur la pendule, en transe, concentré sur son tic-tac annonciateur de souffrance et de plaisir à venir.

A 17h, je me barrais sans demander mon reste. Je rentrais à l’appartement, encore vide. Pauline ne rentrerait pas avant une bonne heure. Léa devait arriver aux alentours de 19h30, pour un départ à 20h30. Précis tout ça. Je n’avais pas manqué de noter qu’il leur faudrait 1h entre le début du jeu et le départ. Sans savoir que ça voulait dire, je savais que ce n’étais pas le temps d’un café.

Je décidais de prendre un bain pour faire redescendre un peu la pression. Il fallait juste que je le limite à 1/2h pour avoir le temps de me préparer avant l’arrivée de Pauline. Je me fis couler de l’eau bouillante, m’installais au fond de la baignoire et allait même jusqu’à mettre quelques sels de bain pour pousser le vice. L’eau chaude s’immisçait dans ma cage métallique et me caressait le sexe meurtri, ce qui me fit un bien fou et me mis dans un état de relaxation intense.

Tellement intense, d’ailleurs, que je m’endormis.

Pour ma défense, ça faisait une semaine que je dormais mal avec cette cage et ce n’était surement pas avec le weekend que les filles m’ont prévues que j’allais me reposer !

Je fus sorti de ma transe par un jeu d’eau glacé orienté vers mon visage. Je grognais (enfin c’est ce que j’aime à penser, concrètement c’était probablement un couinement pas excessivement viril), toussais et m’apprêtais à me plaindre… avant d’ouvrir de grands yeux abasourdis.

A côté de la baignoire se tenaient Pauline et Léa. Toutes les deux avaient revétu leurs tenues de domina. Je me tournais vers l’horloge murale : 19h31. Merde. Comment est-ce que je me débrouillais pour les énerver à chaque fois dans les premières minutes du jeu ?

- « Ça va on te dérange pas trop ?
- On voudrait pas t’embêter plus que ça hein…- Pardon maitresses… » pas la peine d’en rajouter plus, je savais que ça ne servait à rien.
- « Tant pis pour toi, on avait l’intention de commencer en douceur, va falloir attaquer cash » me dit Léa, rassurante comme tout.
- « Sors du bain ! »
L’ordre de Pauline claque comme un coup de fouet dans l’air. Je remarque d’ailleurs que Pauline porte justement à sa ceinture un jouet en cuir assez terrifiant. Je préfère espérer qu’il ne s’agisse là que d’un accessoire esthétique pour sa tenue, mais le doute reste. Elle est habillée d’un pantalon en cuir et de bottine en fourrure. Son corset, lui-même composé de fourrure pour contenir ses seins et de cuir pour le reste, est à moitié recouvert par un long manteau. Léa porte une tenue similaire, la fourrure en moins sur le corset mais en plus sur le manteau.

Je sors de la baignoire et tend le bras pour attraper la serviette, mais Léa l’attrape au vol et me le bloque dans le dos.

- « On va pas attendre 15min encore que tu te prépares. Tu as eu le temps, tu l’as pas pris, maintenant tu assumes ! »
Elle me prend l’autre bras et me l’amène dans le dos. J’entends alors un « clic » caractéristiques et mes poignets sont soudains écrasé dans des menottes métalliques.
Je n’aime pas les menottes métalliques. C’est froid, ça serre toujours trop et c’est quand même bien moins agréable que du cuir ou de la corde.

Elles le savent très bien tous les deux.

Pauline me penche en avant et commence à m’enfoncer de force la tête dans une cagoule en cuir. Pendant qu’elle s’attèle à m’enserrer le crâne dans cette gaine, je sens un doigt de Léa s’enfoncer dans mon cul sans aucune forme de délicatesse. Je gémis.

- « Ah tu vas pas commencer direct hein ?! » me lance Pauline. Elle me lance aussi deux-trois claques bien appuyées sur le cul pour me débarrasser de l’envie de continuer.

Une fois mon visage complètement immobiliser, je sens un bâillon s’enfoncer jusqu’au fond de ma bouche. C’est une sensation extrêmement difficile à tenir que d’avoir ce type de bâillon jusque dans la gorge. C’est un effort constant de chaque seconde de se concentrer pour limiter au maximum son reflexe de déglutition, pour empêcher sa gorge d’essayer de se contracter. Lorsque l’on oublie, cette présence hostile déclenche une forme de panique aussi difficile à décrire qu’à surmonter.

Malheureusement, difficile de me concentrer avec Léa qui me malmenait le cul.

Elle était passé d’un doigt à deux, puis elle cherchait maintenant à me faire passer plug de taille respectable. Heureusement, je commençais à avoir un peu l’habitude avec ces deux sadiques. Mes yeux furent ensuite bandés, des pinces vinrent orner mes tétons, et des menottes reliées par une chaine furent installés sur mes chevilles. Pour finir, notre collier de soumis et la laisse associée vinrent compléter le tableau.

- « Allé c’est parti ! »
Attendez quoi ? Elle ne voulait quand même pas que je fasse le trajet comme ça ? Et surtout : elles ne voulaient quand même pas que je descende de l’appartement à la voiture comme ça quand même ??!

Les filles me tirèrent par ma laisse en papotant. J’essayais de les alerter mais tout ce que je réussis à faire, c’est m’étouffer avec mon bâillon.

J’entendis la porte s’ouvrir, et nous fûmes dehors.

J’étais terrifié, toujours trempé de mon bain, nu, plein de honte… mais terriblement à l’étroit dans ma cage.

Elles m’expliquèrent plus tard que la désinvolture avec laquelle elles m’avaient mené à la voiture n’était qu’une façade. Elles avaient en réalité parfaitement timé le trajet, l’une faisait le guet en permanence, je n’avais en réalité quasiment aucune chance de croiser qui que ce soit.

Mais moi, cette information bin je l’avais pas.

Après un temps qui me paraissait être des jours j’entendis une porte s’ouvrir. Mais à ma grande surprise, le bruit n’était pas celui de ma voiture mais d’une porte latérale de camionnette.

Je fus projeté à l’intérieur du véhicule, j’entendis la porte avant s’ouvrir et claquer mais pas la porte passagère. Le moteur démarra dans un vrombissement et je sentis le véhicule entrer en mouvement. Après quelques secondes, nous avions quitté le garage et rejoins la route.

J’étais recroquevillé, je n’osais pas bouger de peur de trop faire bouger mon plug, j’avais une flaque de bave qui me coulait sur le menton.

Après 5 min de ça, je sentis tout d’un coup une main me serrer les bourses et entendis la voix de Pauline me chuchoter à l’oreille.

- « Ces deux heures de route vont être les plus longues de ta vie mon amour… »
Puis le son fut remplacé par un enregistrement que je reconnus immédiatement : elle m’avait fait une « mixtape » des vidéos de leurs jouissances et de leurs gémissements de douleur des sessions précédentes.

Et lorsque je sentis mon plug m’envoyer de courtes décharges électriques à intervalle régulier pendant qu’une main gantées de latex me malaxait les boules, je poussais un interminable cri silencieux…
A suivre...

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