Dominique, mon professeur d'art culinaire.

- Par l'auteur HDS Cassou57 -
Récit érotique écrit par Cassou57 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Dominique, mon professeur d'art culinaire. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dominique, mon professeur d'art culinaire.
Je m'appelle Cassandre, j'ai 22 ans à présent et j'ai mis pas mal de temps avant de me décider à écrire et publier ce que vous allez lire ici.

Ce n'est pas que j'ai honte mais j'avais encore  jusqu'à il y a peu du mal à assumer le fait que durant plusieurs mois, je me suis livrée comme une délurée à un homme plus âgé que moi.. Même si c'était voulu, j'ai vécu à ses côtés tellement de choses cochonnes que parfois j'ai encore du mal à me regarder dans un miroir.

Je viens me libérer en quelque sorte d'un poid sur ma conscience en vous livrant ce récit assez toride je dois dire.

Il s'appelait Dominique, originaire de la Réunion, c'était un très bel homme, costaud comme un rock ! À 43 ans, ce métisse m'a mis le diable au corps durant des moments intimes dans un premier temps avant de me faire connaître les parties fines où la pluralité masculine m''a exacerbée les sens.

Dominique travaillait comme intervenant en application culinaire dans le lycée où j'étudiais.

Je ne l'ai pas remarqué lors de sa première intervention. Ni celles qui suivirent d'ailleurs. J'étais à l'époque en pleine rupture amoureuse et poser à nouveau les yeux sur un garçon me paraissait impossible. Mais j'avais tout de même songé à me donner à un homme plus âgé pour parfaire certaines connaissances.

Je n'ai commencé à avoir un soupçon d'attirance pour lui qu'un soir où je suis restée seule à ses côtés après avoir travaillé au restaurant applicatif. Je lui ai prêté main forte pour ranger la vaisselle, les ustensiles et les casserole et ce soir là, il m'a beaucoup faite rire ! Passant par des moments de morosité, ça m'a fait un bien fou..

Je le sentais fort, tournant autour de moi, son parfum, sa carrure imposante et mâture m'a impressionnée, d'autant qu'il était un vrais meneur d'homme.

Les fois suivantes où j'ai eu cour avec lui, j'ai commencé réellement à mieux le regarder. J'étais en même temps loin de m'imaginer que j'allais mettre le doigt dans un engrenage adictif. Je me disais : comment un homme comme lui pourrait s'intéresser à une petit bout de femme comme moi.

Je ne fais qu'un mètre 60 pour 48 kilos, j'ai un joli minoi certe mais je ne suis pas un super canon. J'ai pour moi des fesses bien galbées, une poitrine généreuse pour mon gabari (bonnet D) et à force de pratiquer la natation, je me suis sculptées de belles formes fermes.

Plus le temps passait et plus Dominique m'attirait.. Si bien qu'un soir je me suis caressé en pensant à lui, prise par une irrépressible envie de me masturber dans mon bain.. Je fantasmais sur lui et les jours suivant, ma libido allait croissante rien qu'à le regarder ou à penser à lui.

Et puis lors d'une soirée à travailler ensemble, bien plus tard dans mon année scolaire, nous avons à nouveau été seul au restaurant du lycée et je me suis rapprocher de lui pour tenter de voir sa réaction.. Mon cœur s'est emballé en constatant que je ne le laissais pas de marbre et nous avons entamer une longue conversation sur bien des points.. Dominique me fit comprendre qu'il ne voulait pas d'ennui et qu'il essayait depuis quelques temps déjà d'éviter mes regards insistants, refusant de se laisser emporter par la fougue qui lentement s'emparait de lui. Il me mit mal allaise en me confiant qu'il me trouvait très jolie et en même temps il attisa mon appétit.

Au final, il m'a embrassé avec douceur mais l'étreinte qui suivi fut brève..

Nous nous sommes séparé comme deux aimants qui se repoussent, apeuré par ce que nous venions de tenter. Mais la fièvre s'est rapidement glissée dans mon bas ventre et la suite fut brûlante.. Je me suis accroché à son cou sans que cette fois nous puissions nous détacher.

Nous sommes allé dans la remise où nous avons fait l'amour, nous enfermant à clef pour assouvir notre soif soudaine de sexe. Il a prit ma nature avec grande attention, léchant mon minou trempé avant de s'y introduire.

Tout se passa tellement naturellement que je n'ai pas eu le temps de voir son membre.. En revanche, lorsqu'il m'a pénétré, j'ai été stupéfaite de constater l'élasticité de ma petite chatte.. Mon dieu, quelle grosse bite !! Jamais des vas et viens ne m'ont faite autant procurer de plaisir! Je me savais clitoridienne mais je me decouvrait vaginale, me delectant orgasme après orgasme de ses puissants coïts. Le contact de son corps massif me laissa une incroyable emprunte.. Nous étions hors du temps, uniquement préoccuper de nous donner l'un à l'autre, comme si le lendemain tout serais devenu impossible.

Il y eu ce soir là puis il y eu le lendemain et le surlendemain à son appartement. Toutes les positions y passaient et je le laissais me prendre comme une marionnettes de chiffon. Tantôt à quatre pattes, tantôt en missionnaire.. debout, accrochée à son cou et fermement aggrippée avec mes jambes autour de son bassin.. sous la douche ou à califourchons sur le siège de sa voiture, loin des regards indiscrets. Tout pour lui était bon pour me faire jouir de manière insatiable.

Ma vulve toute entière était fréquemment brûlante d'envie, élargie par sa verge longue et massive, émasculée par son sperme de façon quotidienne, parfois même plusieurs fois par jour. J'adorais cette sensation. Même en marchant, plusieurs heures après un rapport, je pouvais sentir encore le feulement de nos sexes qui s'entrechoquaient. Physiquement, je me sentais bien et certaines parties de mon anatomie avaient changées. Comme pour me préparer à me faire féconder, mes seins avaient étrangement pris du volume.

Je me mettais le plus souvent en petites jupes, uniforme du lycée que j'avais faites un peu raccourci pour l'exciter.

Notre relation était des plus discrète et lorsque nous ne pouvions nous abandonner par faute de temps, c'est ma bouche qui servait à lui procurer du plaisir.

J'aimais cette pratique tout autant que lui et mes felations finissaient invariablement de la même manière : langue pendante, lèvres larges ouvertes, fixant ses yeux, attendant qu'il se termine en se masturbant jusqu'à le laisser se regarder gicler. Il se voyait répendre son jus dans ma gorge déployée et cela décuplait son désir, l'abondance de sa semence régalait mes papilles.. Les toilettes ou l'arrière du réfectoire étaient les témoins de mes profondes succions.

J'adorais ça, j'adore toujours le sperme et avec lui, j'étais servi. J'ai le souvenir d'un après midi chez ma mère (qui était absente bien sur..), où après l'avoir laissé prendre une douche et prise d'une grosse envie de le croquer, je lui ai littéralement dévoré sa grosse queue dans la salle de bain. Léchant son gland, le gobant sur toute la longueur.. le branlant entre mes seins, jusqu'à obtenir son extase qui a emasculée ma poitrine.. après quoi je l'ai laissé se servir de son membre pour ramener ses chaudes giclures à ma bouche
Quelques temps plus tard, après avoir regardé des vidéos pornographiques, j'ai voulu qu'il m'ejacule dessus, sur le visage. Sentir son foutre tiède s'éparpiller sur mes pommettes, mes lèvres à demie ouverte, sur mon nez et mon front fut un plaisir de soumission. Le laisser étaler le tout avec sa verge en le fixant dans le yeux tout sourire en fut un autre..

Quelques semaines avaient passés depuis notre première fois et l'envie de l'un et de l'autre allait crescendo. Lorsque je n'avalais pas son jus d'homme, j'en prenais plein le visage ou plein la chatte.

Dominique semblait de plus en plus s'intéresser à la partie la plus intime de mon anatomie. Il n'était pas rare lors d'un rapport que je reçoive la visite d'un doigt dans mon anus et je ne désaprouvait pas cette intromition. Lors de cunilingus, il s'egarait également sur ma rosette, léchant l'endroit délicat, y faisant même parfois rentrer sa langue.

Je savais tôt ou tard que je lui offrirait cette dernière porte.


Tant est si bien qu'un soir, alors que j'étais dans mon lit, je me suis masturbée en pensant à lui puis j'ai songé à ce que serait un rapport anal avec Dominique. Mes doigts s'abandonnérent lassivement jusqu'à trouver l'entrée de mon petit anneaux. Ce fut d'abord une découverte avant de devenir une forme de plaisir bien réel: je me mettais plusieurs doigts derrière, je prenais mon pied en le faisant et l'idée de me faire sodomiser me trotta dans la tête durant plusieurs jours.

J'avais posé la question à mes meilleures amies, Valentine et Chloé pour savoir si elles avaient déjà eu des rapports de ce côté et Valou trouva ça répugnant tandis que Chloé, plus en chaire, nous avoua avoir déjà comise l'acte avec un amis de son frère plus âgée qu'elle.

Je voulais que mon premier coït anal soit inoubliable et en même temps offrir ce dernier rempart à Dominique dans un endroit insolite. Et ce fut le cas.

Les beaux jours approchaient et il était fréquent que nous allions nous balader dans les bois derrières son appartement. C'est à cette occasion que je lui ai offert ma virginité anale.

Main dans la main, lui vêtu d'un shorty et d'un t-shirt, moi d'une petite robe à volant qui s'arrêtait mi cuisse nous nous aventurions loin sur un chemin forestier. Je me souviens l'avoir tiré vers une petite clairière ombragée à l'abri des regards et lui avoir dit : "viens, j'ai envie de toi.."
Il ne s'est pas fait prier et je me suis agenouillé pour le sucer, déballant sa bite de son short. Il était parfaitement raide, j'avais le cœur qui battait la chamade et j'étais moite d'excitation à l'idée de ce qui allait suivre. J'ai soulevé ma jupe et j'ai descendu ma culotte jusqu'à mi cuisse pour accéder à mon minou et me caresser.

Il me regarda faire, focalisant son regard sur ma mains et mes doigts qui rentraient dans ma fente tandis que je m'appliquais sur sa vergé, y laissant de grande traces de salives qui tombaient en paquets sur ses bourses ou sur mes gros seins. Je lui ai souri en le gardant en bouche alors que je changeais mes phalanges d'orifices et de sa queue n'arraitait pas de dégouliner de la pine.

Je ne l'ai pas laisser se terminer. Je me suis lever pour l'embrasser et le cœur à 200 à l'heure j'ai été très directe : encule moi.. J'ai envie que tu me prenne par derrière..

J'ai retiré ma culotte et mon petit gilet pour le placer à même les feuilles. M'agenouillant dessus, je me suis mise en position,  offrant ma croupe, le buste posé au sol. J'ai soulevé ma jupe et j'ai attrapé mes globes fessier pour les écarter, exhibant mon étoile.

Dominique m'observait, le regard comme pris d'une forme de rage soudaine il lâchât vulgairement "je vais t'en mettre plein le cul.."
Et qu'est ce qu'il m'a mis!! Il m'a d'abord prise par la chatte pour librifier correctement son membre. D'une main il me tenait fermement par les hanches et de l'autre, il enfoncait vigoureusement son pouce dans mon rectum.

Il s'est retiré et a présenté son gland sur ma petite porte, il a forcé doucement le passage jusqu'à s'introduire progressivement.. Le conduit dilaté, j'avais l'impression qu'un étron énorme rentrait et sortait lentement de mon anus. J'avais mal à cause de la largeur de sa tige mais au fur et à mesure de ses vas et viens, cette douleur s'estompa pour laisser place à un plaisir insoupçonné.. Je me faisais sodomiser et j'adorais ça.

Mes vocalises ne le trompère pas et naturellement, de ma bouche et sorti des "oui vas y, continue, encule moi bien.. ohh c'est trop bon!" l'incitant à accentuer ses étreintes
Il m'a besogné de plus en plus fort jusqu'à finir par se répendre.. très distinctement j'ai senti ses jets de sperme m'envahir. Je prends depuis ce premier rapport énormément plus de plaisir à sentir un homme éjaculer dans mon petit trou que par devant. Je perçois beaucoup plus les renflements de sa bite de ce côté et je trouve ça très excitant de le savoir dans cet endroit si sale, entrain de prendre du plaisir à y jouir..

Dominique s'est retiré en me demandant au préalable de m'écarter les fesses. J'imagine qu'il avait forré un beau crater et qu'il souhaitait constater mon élargissement..

Je suis restée ainsi, (je me sentais béante) le laissant contempler son œuvre. Il m'a caresser l'entre cuisse et m'a demandé si ça m'avait plu. Ce à quoi j'ai répondu un "mmmh c'était trop bon, ça me donne des envies d'encore .."
Il s'est esclafé "ah oui ? Alors je vais encore te prendre". Et il a recommencé.. s'enfoncant jusqu'à la garde, il m'a arraché un cri de plaisir et durant ce second coït, j'ai ressenti mon premier orgasme anal. Prodigieux !

Il a continué durant un long moment jusqu'à m'honorer à nouveau.. Je fut comblée par ces tout premiers rapports. Me savoir ainsi offerte m'a débridé la libido..

Fatigué par nos batifolages, nous nous sommes ensuite installé au sol pour parler de sexe et de nos rapports basés exclusivement sur le sujet. Aventures stériles mais sulfureuses.

Les jours qui suivirent furent exclusivement dédiés à ma découverte des délices de la sodomie. Nos relations sexuelles finissaient invariablement dans mon anus où les assauts répétés de Dominique n'avaient que pour but d'ecarteler mes chères et de s'y soulager. Il ne me prenait même plus par la chatte, ses pénétrations étant désormais dédiées à l'exploration de mon trou du cul.  J'étais une bonne élève et j'approuvais chacune des positions. Toujours prête à jouir et à le faire jouir par ma petite porte qui, de désir, s'élargissait comme une fleur.

J'étais fréquemment prise de pulsions et avoir cour avec lui était de plus en plus difficile.. Étant toujours au premier rang, à porté directe de son regard, je portais désormais systématiquement des jupes.. je prenais un malin plaisir à écarter de temps à autre mes jambes, révélant dans la pénombre de mes cuisses ma fente sans culotte..

J'avais beaucoup de peine à me concentrer sur autre chose que les flashs brûlant qui trottaient dans ma tête. Je devenais folle par moment, comme drogué par le sexe.. Dominique me faisais visionner des vidéos porno de plus en plus hard où les femmes allaient jusqu'à accepter de se faire uriner dans les orifices..

Je jouais de mes charmes pour lui réclamer toujours plus et je jouais de ma souplesse pour lui prouver que ma profondeur était toujours plus accueillante.. les jambes et les fesses toujours large écartées pour qu'il me besogne. Dans une cabine d'essayage d'un magasin de vêtements, dans une cabine douche à la piscine, à l'arrière de sa voiture dans un parking couvert, nous mettions à l'épreuve nos besoins inaltérable.

Baiser devant les larges miroirs des armoires de sa chambre devenait également un jeu pervers où observer la manière dont il m'enculait contribuait à accroître mon avidité.

Puis est venu le temps où, voulant repousser mes limites et notre soif de sexe, nous avons fait l'amour à trois avec Rachid, un de ses amis qu'il m'a fait rencontrer. Plus jeune que lui mais tout aussi bien monté et très endurant.

Je découvrais sous leurs jougs les plaisirs grisant de la double vaginale et de la double pénétrations, les laissant me sodomiser à la chaîne. Ils se plaisaient à s'épancher dans tout mes orifices mais des trois, c'était souvent le même qui leur servait de réceptacle.. parfois même, ils profitaient de la béatitude de mon postérieur pour en emasculer les pourtours avant de replonger leurs membres au creux de mes reins. De vrais cochons..

Nous avons passé quelques bons après midi à trois mais Rachid étant très occupé de son côté, il était tout de même rare que je puisse m'abandonner entre leurs corps d'ébènes..

Les moments les plus sulfureux et les plus torides de notre relation (mais aussi les derniers) furent nos virées dans un club échangiste réputé et spécialisé pour ses gangbang.

Lors de notre première sortie dans ce lieu dédié à la débauche, Dominique m'a fait connaître le sexe avec une femme plus mûre, Kathy. Cette expérience m'a laissé une trace indélébile car cette nuit là, la douceur de ses caresses et l'expérience de ses cunilingus m'ont fait succomber.. Si on y ajoute le fait que nous avons été rejoints par quatre hommes tous prêt à se donner sans compter.. La poursuite des ébats devint diabolique !

Nous nous sommes laissé complètement abuser et cette femme a faite preuve d'une lubricité incroyable, chauffant à blanc les quatre mâles, les faisant jouïr chacuns leurs tours dans ses trous puis me faisant boire ce qu'il en ressortait avant de les laisser accomplir les mêmes outrage sur mon frêle corps. J'étais remplie de sperme et alors qu'ils n'avaient de cesse de m'ensemencer, Kathy à chaques fins de coits se délectait des émulsions qui s'échappaient de mes méats, lapant le sperme qui s'en echappait en paquets crémeux.. Une vraie gourmande.

Une fois rassasiés, nos compères nous ont abandonné à huit autres hommes qui se masturbaient en nous observant entrain de forniquer comme deux diablesses.. Nous avions eu notre compte mais pour leur faire plaisir, nous les avons inviter à éjaculer dans nos bouches.. large ouverte, j'ai reçu leurs faveurs plus que Kathy. Ils ont du trouver ça plus excitant de se vider dans la gorge d'une petite jeune ou sur son visage et ses seins et c'est dans un bain de foutre que s'est finie ma première expérience bi sexuelle..

La seconde fois que nous sommes retourné dans ce club, je me suis d'abord abandonnée à Dominique accompagné d'un autre homme. Ils m'ont fait l'amour chacun leurs tours puis en double pénétration. jusqu'à me faire boire leurs semences.. Ils ont jouï ensemble et en même temps dans ma bouche à deux reprises..

Mon amant m'a ensuite amené dans une alcôve où j'ai été entreprise par lui et cinq black excités par mon petit corps (ils étaient bâti comme des basquetteurs).

Ils ne m'ont pas démontrer comme vous pourriez le penser. Ils nous ont d'abord regardé faire l'amour avant de se joindre à nous et ils ont été très tendre avec moi.

Cette tendresse était vraiment la bienvenue car ils étaient monstrueusement membré et j'ai prise un plaisir grisant à leur offrir ma nature débridée. Tellement débridée qu'ils sont même parvenu à rentrer à deux dans mon cul.. Leurs salves jouissives se sont toutes échouées dans cet endroit et ce fut comme un jeu pour eux. Ils s'amuserent à celui qui se donnerait le plus et c'était addictif de me sentir inondée.

Orgasme après orgasme, l'abondance de leurs semences s'echouaient sur mes fesses, sur leurs queues en permanence dressées, sur mes cuisses et pendant plus de deux heures, ils m'ont fourrée comme une reine, je débordais de jus.. comme dernier "cadeau", ils m'ont fait un énorme bukkake en m'inondant tout le visage.

De gangbang en gangbang, de baise en sauterie, ravagée par ce monstre qui me dévorait l'entre cuisse, je sombrais progressivement dans les remorts de me laisser corrompre aussi aisément par Dominique et tout ceux à qui il me livrait en pâture..

Je me suis sortie de ses griffes suite à sa mutation dans une autre région.. Même si nous nous sommes revu quelques fois, pour mon salut depuis, j'évite de le recontacter..

Et puis j'ai rencontré Pierre Olivier depuis et même si je ne me donnerai jamais à lui de la même façon, je l'aime de tout mon cœur.

Même si.. Bientôt, Dominique vient pour deux semaines non loin de là où j'habite maintenant..

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Texte coquin : Dominique, mon professeur d'art culinaire.
Histoire sexe : Une rose rouge
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