Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 4

- Par l'auteur HDS Itacoatiara -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 4
La suite...
Ses parents repartent, sa mère n'est pas contente, toute une éducation à refaire.
Elle est assez vieille France et l'histoire veut qu'elle a rencontré son mari dans un Bal de débutantes à Vienne. Sandrine, c'était encore plus simple, dans un rallye de bonne famille...

En se rhabillant, Sandrine me dit alors qu'il faut trouver un stratagème pour éviter qu'ils ne sachent, et que par extension, son cher et tendre toujours en vadrouille, aussi...

Je lui dis que de mon côté, je ne vois pas trop ce que cela peut faire, vu les relations qu'elle entretient avec son mec... Mais visiblement ça compte beaucoup pour elle.
Elle va y réfléchir...

Le déjeuner se passe, nous nous y embêtons pas mal, au moins la matinée avait été agréable...
Rentrées à la propriété des parents, il ne se passe plus rien, la mère nous surveille.
La nuit passe, je me lève assez tard et en descendant pour prendre le petit dej, j'entends Sandrine parler de moi, et n'ayant pas eu le début de la conversation, je ne percute pas.
À ce moment, la mère de Sandrine me dit "Vous savez, même si nous sommes très croyants, nous sommes aussi tolérants."Moi, la tête dans le cul "Ah, euh, oui"Elle enchaîne", d'ailleurs, mon mari à un cousin comme vous, de loin, on ne dirait pas, mais c'est un être très agréable et sensible"Je regarde vers Sandrine que sa mère ne voit pas, elle me fait un geste avec ses mains voulant dire "désolé", puis "chut".
Sa mère finie par "Mais je suis heureuse, comme ça ma fille à un chaperon sérieux"
Bref, Sandrine venait de lui dire que j'étais homosexuel, ce qui a l'époque était assez mal vu, et tout ça, pour protéger nos étreintes.
Tordu et un bon moyen pour que tout se termine en catastrophe.

Sur ce j'enchaîne en disant "Du coup, on peut partager nos lits?"Sa mère se retourne et me décoche un "Ne rêvez pas jeune homme, elle pourrait virer votre cuti"Afin de ne pas prendre de risques supplémentaires, nous décidons d'éviter tout contact pendant le week-end
Quelques semaines plus tard, Sandrine me proposa de retourner au château de Chasse, cette fois-ci, sans ses parents, en voyages à l'étranger.
Charge à moi de nous conduire.
Sur le chemin, elle s'amusait à approcher sa main de mon sexe, dès que je voulais aller plus loin, elle s'arrêtait. Je n'avais qu'une envie, la baiser. Le week-end était là pour ça visiblement.

Elle me parlait de ses heures de conduite qu'elle suivait, qu'il fallait qu'elle s'entraîne. N'étant plus très loin et sur des chemins vicinaux, je lui proposais de prendre le volant.

Elle accepta et j'en profitai pour proposer un jeu: "Si tu cales 1 fois, tu enlèves ta culotte, si tu cales 2 fois jusqu'au château, j'ai le droit de jouir ou je veux, si c'est trois fois, tu avales, et si c'est plus de 3 fois, j'ai le droit de m'occuper de tes fesses".

Elle "Tu rêves, je conduit très bien, mais OK, sauf que si je ne cale pas, vu que tu es maintenant mon "pd" officiel", tu devras te mettre un des godes de mon cousin et tu ne dis rien parce que l'autre fois, tu m'as bien eu, je n’étais pas d'accord pour ton doigt inquisiteur".

Ça devenait compliqué pour tous les deux, je n'avais pas prévu d'aller si loin. J'avais connu une expérience assez poussée avec un ami de classe quand j'avais 15 ans, mais j'avais mis ça dans un coin de ma tête, dans la rubrique "c'était pas mal, mais pas ma préférence"...
Bref, j'accepte, prévoyant d'être sournois tout en étant surpris de la tournure de nos discussions.

Elle roule, je propose de passer par le raccourci utilisé par "beau papa", elle tient le cap. Je décide alors de poser ma main sur sa cuisse
Elle :"arrête, tu triches".
Moi, "ah bon, y a des règles?". Ma main remonte, je sens la chaleur de son sexe.
Un tournant à angle droit, elle doit redémarrer depuis le point mort.
Au moment de passer la vitesse, je lui mort l'oreille. Elle cale! "Bon, alors, la culotte? Et c'est moi qui l'enlève!", elle faussement furieuse, "bon, vas y!"Elle remonte son corps et me laisse descendre sa culotte que je garde dans ma poche.
Elle repart, passe la seconde, ma main caresse maintenant son clitoris, elle est trempée et du mal à se concentrer, le chemin devient compliqué, je lui conseille de rétrograder. Elle cale à nouveau.

Moi:"bon, et bien je crois que je vais bien m'amuser"Elle "c'était la dernière fois!"
Redémarrage, je ne fais plus semblant, ma main fouille son sexe, je la branle frénétiquement, mon autre main a fait sauter l'attache de son soutien gorge, puis a pris possession de son téton droit. Pas pratique, mais visiblement efficace.
Je l'entends gémir et se mordre la lèvre, elle me regarde puis dit "on s'arrête!", de toute façon, on roulait à 5km/h en faisant n'importe quoi.

Moi, "Non, on n’est pas arrivé et j'ai encore des gages possibles! "Elle" on verra plus tard!"Elle s'arrête au milieu du chemin, les phares allumés et me dit "vient, je veux que tu me prennes sur le capot, j'en ai toujours rêvé".
On se précipite, elle s'allonge sur le capot après que j'y ai mis ma veste pour lui éviter des brûlures sur le capot.
Les jambes écartées, les yeux dilatés. Je baisse mon froc d'un coup et la pénètre sans ménagements. Elle entoure mon torse de ses jambes et me serre fort. Je l'embrasse et l'aide à enlever son top. Elle n'a plus que sa petite jupe.

JE malaxe et lèche ses seins. Elle me demande de la baiser plus fort.Je me recule, "prend de l'élan" pour la pénétrer encore plus loin, elle crie comme un animal blessé, j'ai peur du lui avoir fait mal, elle m'ordonne de continuer.
Je la pilonne de plus en plus fort, puis par peur de jouir avant qu'elle m'ait donner l'autorisation, je ralentit., toujours des allé retour, mais plus doux.

Elle se relève, m'embrasse le cou, "je préfère quand tu me baises, c'est ton rôle, là, tu me fais l'amour".
Je réponds "oui, mais euh, je veux tenir...""Et bien sache mon robot de sexe que là, je veux la super puissance!"Sans que je m'en rende bien compte, elle rapproche ses mains de mes fesses puis immisce un doigt.
Je la regarde dans les yeux, elle sourit "Chacun son tour, tu verras, ça ne fait pas mal!" Et fais un clin d'oeil.
Quelle perversité. Où est la jeune fille de bonne famille?
Le manque d'humidification et la surprise font qu'elle me fait mal. Je recule, lui plaque les mains sur le capot et la pilonne à nouveau. Elle crie, hurle, jouie, je ralentis à nouveauElle:"Tu veux que je remette un doigt?"Moi : "Non, c'est moi qui vais t'enculer maintenant!"Elle "S'il te plaît... ne soit pas vulgaire... tu pourras peut être un jour... mais pas maintenant... prend moi encore"Je reprends mon pilonnage, sentant que cette fois je ne pourrais plus rien tenir, je m'écarte, sort mon sexe , monte n'importe comment sur le parechoc et arrache la capote comme une vieille chaussette et jouis sur son corps.
Je m'écroule ensuite dans ses bras.

Il nous faut plusieurs minutes pour reprendre le dessus.
On s'habille et je reprends le volant.
La belle s'effondre sur son siège, une main reste sur mon entrejambe.

Le lendemain, à la lumière du jour, le capot avait gardé la trace des fesses de Sandrine, heureusement que sa mère n'était pas là

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