Apprentissage de ma vie sexuelle

- Par l'auteur HDS Dine -
Récit érotique écrit par Dine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Apprentissage de ma vie sexuelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Apprentissage de ma vie sexuelle
Je m’appelle Blandine, j’ai 22 ans et je suis d’après ce que mon entourage dit, très belle. Du haut de mes 1m 65 et 56 kg, les hommes se retournent souvent sur moi. Je suis une petite brune, avec de petits seins 80 B et une taille très fine (le 36 me va grand), et de belles petites fesses bombées.
D’après le copain de mon père, mon nouvel amant, et je le reconnais, je suis devenue une petite salope !
J’ai une addiction féroce, pour les queues que j’adore sucer.

A la rentrée scolaire du lycée, je suis parti en pensionnat dans une autre ville pour poursuivre mes études. Le weekend je rentrais chez mes parents et ces 3 années ont étaient très longues car je n’avais plus d’amoureux, à part pour les 3 mois d’été. J’ai juste eu une relation saphique avec ma meilleure copine d’internat, car à force d’être dans la même chambre, d’être toujours à poil l’une à côté » de l’autre, partager la chambre et sa salle de bain, il arriva ce qui devait arriver. Un soir ou on regardait une vidéo sur l’ordi, assise l’une à côté de l’autre, un joli film d’amour féminin : « la vie d’adèle », nous regardions sans faire un bruit, un peu surprises par ce que nous voyons à l’écran, c’était très chaud, j’avoue que mon sexe était trempé, ma copine a mis sa main sur la mienne, puis à commencer à me la caresser, je l’ai regardé, elle s’est approché de moi et m’a embrassé, nos langues se sont mêlées, pour un long et doux baiser. En peu de temps nos mains parcouraient le corps de l’autre, elle avait de gros seins, et ma main n’était pas assez grande pour les couvrir. Puis sa main est descendue sur mon entrejambe que j’ai écarté pour lui laisser le passage, elle me la frottait au-dessus du pantalon de pyjama, et j’attendais qu’une chose c’est quelle passe en-dessous. Je lui prodiguais la même caresse, et je sentais l’humidité de son minou à travers le tissu. J’ai pris les devant et je suis passé sous le pantalon, car j’avais trop envie qu’elle fasse pareil. Je lui branlais son bouton et elle s’empressa de faire la même chose. Nous avons joui côte à côte. Elle m’embrassait et m’a demandé si c’était la première fois, je lui ai répondu avec une fille oui. Elle a commencé à me lécher les seins puis est descendu en direction de mon bas ventre, elle a tiré sur mon pantalon et sa langue est venu me titiller le clito, elle me caressait les seins en même temps, j’ai joui encore une fois tellement c’était bon. Je me suis empressée de lui prodiguer la même caresse pour le même résultat. Nous étions heureuses toute les deux de ce doux moment. Nous avons recommencé plusieurs fois, Il faut dire que rien n’est plus doux que la langue d’une femme sur une autre femme. Nous continuons à nous voir, c’est ma meilleure amie et il nous arrive de faire des soirée pyjama, sans pyjama…Bref un grand moment de douceur qui n’enlève pas la passion que j’ai pour les sexes masculins. L’été arrive enfin, chouette les vacances, les fêtes dans les villages, les bals et les garçons. J’ai eu un été agité, il faut dire que j’avais envie du haut de mes 16 ans de découvrir l’amour avec les garçons et surtout de pouvoir mettre dans ma bouche leur queue.
J’avoue que j’ai toujours eu un faible pour les garçons plus âgés, ceux de mon âge n’avaient pas les mêmes jeux. Le soir du 14 juillet, nous sommes allés dancé au bal du village, j’ai fait la connaissance d’un jeune homme grand et costaud, blond aux yeux bleus, nous avons valsé toute la soirée ensemble et au moment des slows nous nous sommes embrassés.
Il était doux, et un peu emprunté, ses mains sont restées immobiles dans mon dos pendant tout le temps qu’on a dansé. A la fin, il m’a demandé s’il pouvait me raccompagné à la maison, il avait une voiture ! wahou, Mes parents acceptèrent car il n’avait pas bu et avait l’air sérieux. Il faut dire que l’on n’habitait pas très loin. Il m’a raccompagné et devant la maison on s’est encore embrassé, garé à l’abris de la grande haie, personne ne pouvait nous voir et il s’est enfin enhardi, il a commencer à me caresser les seins, au-dessus de ma robe bustier, puis il a tirer sur la robe et mes deux seins nus sont apparus, il les a pris en bouche et me les sucer lécher titiller, pendant ce temps sa main est descendu sur mon entrejambe et à commencer à me caresser au-dessus de ma culotte, puis il a glissé son doigt sous ma culotte pour me branler le clito avec douceur et intensité. J’ai joui rapidement, j’ai même inondé son fauteuil submergé par mon désir. Il s’est reculé, visiblement satisfait de son effet, je lui ai dis que je ne couchais pas, il a eu l’air désabusé, je me suis redressée et je l’ai embrassé, ma main est venue caresser son torse puis est descendu vers son pantalon, je l’ai massé par-dessus le tissu et son engin a rapidement pris une taille très importante. Je lui ai dégrafé la ceinture, et défait les boutons un par un de son pantalon, tout en continuant à lui masser le sexe. Il m’a aidé à descendre son pantalon et il a enlevé en même temps son slip pour laisser apparaitre sa verge droite, plus épaisse que celle de mon premier copain mais de même taille, j’ai commencé à le branlé en lui embrassant le cou, et là déception, il ne s’est pas retenu, il a joui dans ma main. J’étais déçu car c’était trop rapide. (Au fil du temps je me suis aperçu que les hommes jouissent toujours très vite la première fois). Lui avait l’air heureux, malheureusement mon père m’a appelé par la fenêtre, me demandant de rentrer. Je l’ai embrassé une dernière fois et je suis rentré.
Le lendemain il est venu me chercher et m’a proposé d’aller au ciné, comme je n’avis pas d’argent, je refusé au début, puis il m’a dit qu’il m’invité car il se doutait que je n’avais pas les moyens. Nous voilà parti à la ville plus loin pour voir un film, j’avoue que je n’y aller jamais car un peu loin de notre village. Nous sommes rentrés dans une grande salle, il m’a prise par la main et s’est installé au fond dans un coin, je trouvais dommage de ne pas se mettre au milieu, mais je n’avais pas prévu la suite. Dès que l’obscurité est arrivée, il m’a embrassé, tendrement, et a commencer à me caresser les seins, il est rapidement passé sous le tee-shirt pour prendre en main mes seins nus. Sa main est descendue vers mon entrejambe, il a commencé à me caresser par-dessus le jean et à rapidement voulu le défaire, mais je lui ai dit que ce n’étais pas l’endroit pour ça. Il n’avait pas l’air content, il s’est remis au fond de son fauteuil il me semblait qu’il boudait. Je me suis penché vers lui pour l’embrasser, on se roulait des pelles tranquillement, quand il m’a pris la main et la mise sur son sexe qu’il avait sorti ? J’étais surprise, j’ai commencé à le branler doucement, il en a profité pour descendre son pantalon sur les genoux, il ne portait pas de slip, puis il m’a mis la main sur la tête et m’a poussé vers son sexe, j’ai compris ce qu’il voulait, j’ai donc sucé mon unique objet du désir, je l’ai aspiré, l éché, titiller, il m’a enlevé la main qui le branlait car visiblement il ne voulait pas venir trop vite, j’en ai profité pour lui caresser les boules, et il aimé. Il ne lui pas fallut longtemps pour jouir dans ma bouche, et j’ai tout avaler car il y avait peu de liquide. Il a passé la séance avec le sexe à l’air en me disant que si je ne couchais pas je pouvais le sucé quand je voulais. Il faut dire qu’il avait du répondant, car peu de temps après, lors que je le caressais son sexe s’est remis en forme, il bandait à nouveau. Dès que son sexe est devenu raide il m’a mis la main sur la tête et m’a dit recommence tu es trop bonne, tu as un vrai tallent. Le film a duré 2h30 et je l’ai sucé trois fois, il m’a joui trois fois dans la bouche et j’étais fière de mon résultat. En sortant un vieux monsieur qui n’était pas loin de nous n’a pas pu s’empêcher de me dire : il a de la chance ton copain d’avoir une bonne suceuse à sa disposition. J’avoue que je suis devenu toute rouge et je suis sortie rapidement sans me retourner.
Ce jeune homme avait bien compris le principe, dès qu’on sortait il m’embrassait, me caresser les seins et se faisait sucer. J’avoue que pour mon plus grand plaisir, cela me convenait parfaitement, et je me branlais en rentrant pour satisfaire encore mon plaisir. Plusieurs semaines après, nous nous sommes retrouvés avec un groupe de copains et de copines dans une vieille masure, on y mettait des disques, on picolait des bières et on rigolait. Après quelques cannettes absorbées, j’avais un peu la tête qui tournait, je suis sortie prendre l’air, et me mettre à l’abri derrière les arbres. Mon copain et deux de ses potes sont sortis prendre de mes nouvelles. Je trouvais ça gentil au début. Puis mon copain, m’a embrassé, il a passé la main sous mon chemisier, et me caressait les seins, il m’a dégrafé les boutons du chemisier et me l’a ôté, je pensais que l’on était seuls mais ces potos étaient restés là à nous regarder. Je lui fis la remarque en me couvrant les seins avec mes bras et il me répondit, ils n’ont jamais vue de belle fille en vrai, laisse faire ils regardent c’est tout. Je ne sais pas si c’est les vapeurs d’alcool ou le doux baiser qui a suivi mais je me suis laissé aller à descendre mes bras. Mon copain me titiller les bouts de seins, il m’a pris la main et la poser sur son pantalon, il voulait que je le branle. J’ai regardé du coin de l’œil et ses copains étaient toujours là ! ça m’excité grave. Je lui ai défait son bouton et sa braguette, je lui ai sorti son engin et j’ai commencer à l’astiquer. Il essayait de tripoter mon entrejambe, mais je là gardais bien serré. Il s’est soulevé pour enlever son pantalon et son slip, il s’est mis debout et a approché son sexe de ma bouche en me disant, suce-moi ! avec l’euphorie de l’alcool, j’avais envie de ça. Je l’ai pris en bouche tout en le branlant avec ma main, je me suis agenouillé pour être plus en phase avec ma succion et pour le dominé. Alors que j’aspirais le bâton plein de vigueur, j’ai senti que ses potes s’étaient rapprochés de nous. J’ouvris les yeux et là surprise, les deux copains avaient enlevé leurs pantalons et venaient se branler tout proche de moi. Un avait une petite queue même en érection cependant l’autre avait un monstre de chair, long et épais. Je n’arrivais pas à détourner mon regard. Joignant le geste à la parole, j’ai saisi le membre devant moi et j’ai remplacé sa main pour commencer à le branler. Mon copain, a joui tout de suite en me voyant attraper l’autre queue. Je me suis reculé pour le laissez jouir sur le sol, j’en ai profité pour me rapproché de cette sublime queue et la mettre en bouche. J’avoue que j’ai eu un peu de mal à la mettre dans ma petite bouche en entier tellement elle était énorme. J’ai sucé le gland, et mis des petits coups de langue à ce pieux merveilleux. Lorsque je l’ai mis dans ma bouche, je le branlais avec deux mains et il en restait encore pour le mettre en bouche. Il a joui rapidement et abondamment, tellement abondamment que je l’ai laissé jouir en dehors de ma bouche, il m’a noyé les seins. Il a marmonné mon dieu que c’est bon. Le troisième larron et sa petite queue est venu devant moi en me disant suce moi je n’en peux plus. Je lui ai attrapé sa queue, je l’ai sucé, léché branlé et malgré tout c’était le plus long à venir. Enfin il a joui. Mon copain avait repris de la vigueur et m’a dit tu es tellement bonne que tu vas recommencer ! Il était devant moi le sexe droit comme un i, la main sur ma tête pour la dirigé vers sa queue. J’étais tellement excitée par la situation, que sans rien dire je l’ai pris en bouche pour le sucé une nouvelle fois et le faire jouir sur mes seins. Je suis rentrée à la maison et je me suis branlée toute la nuit en pensant à ces queues.
Ma réputation dans le village de suceuse de queue, est venu de là. Mais ça ne me gène pas car j’adore ça, surtout après quand le mec tout penaud rentre sa queue et baisse la tête, comme s’il avait fait une bêtise, surtout les hommes mariés.
Le copain au gros sexe est venu le lendemain à la maison pour m’inviter à sa piscine, je le trouvais téméraire, car si mon copain apprenait ça il le tuerait. Il faisait beau, mon copain était au boulot, j’ai accepté volontiers. Nous voilà partis à vélo, en chemin il me demande si on peut recommencer ce qu’on a fait la veille ; Je lui demande si ça lui a plût ? Et il me répond que oui, qu’il est prêt à tout pour recommencer. Je l’ai pris au mot, et je lui ai dit pas cap de t’arrêter là et de baisser ton pantalon. Il s’est jeté du vélo, s’est mis sous un arbre et ôté son pantalon. Sa queue prenait déjà de belle proportion. Je lui ai demandé de se branler devant moi. Il a pris sa queue dans sa main et s’est masturbé. Je le regardais dans les yeux, en me caressant les seins à travers ma robe, il rougissait a vu d’œil. N’en pouvant plus il a joui sur l’herbe, l’air béta. Je lui ai souris et je lui ai dis on verra plus tard pour la pipe. Nous avons repris le chemin, nous sommes arrivés à sa grande maison, nous avons posés les vélos et nous nous sommes dirigés vers la piscine. Sa mère était là, elle est venue nous saluer, en me demandant si j’étais la petite copine de son fils et je lui répondu non juste une copine ; Je me suis déshabillé langoureusement en le regardant, en passant le bout de ma langue sur mes lèvres. Il était à deux pas de mois et j’ai vu une grosse bosse qui prenait forme dans son maillot. En lui souriant je lui ai dit ça ne va pas être facile avec ta mère à côté. Il a bougonné et à plongé dans la piscine, surement pour se calmer. J’ai attendu qu’il me regarde, j’ai enlevé ma robe et je l’ai rejoint dans la piscine. Un vrai régal. Plus tard je suis sortie m’allonger sur un relax pour me faire bronzer. Sa mère est sortie me proposer de la crème pour me protéger, ce que j’ai accepté. Elle m’a même proposé de me la passer dans le dos pour éviter à son fils la corvée. Adorable. Son fils n’était pas du même avis, bien sûr. Le reste de l’après-midi a était calme, même si chaque fois que je me tournais, je dévoilais un bout de sein ou une partie de mes fesses, je regardais mon beau playboy qui n’arrêtait pas de me fixer du regard. A ce rythme-là je pense qu’il va jouir dans son maillot de bain sans se toucher. Ca me faisait rire intimement.
D’ailleurs à un moment où il était dans la piscine avec vue sur mon entrejambe, je pense qu’il s’est astiqué et a joui dans l’eau. Son père est revenu du travail, celui-ci n’a pas manqué de me complimenté sur ma plastique, et de me détaillé de haut en bas, c’était très agréable, il a fallu que sa femme l’appelle pour qu’il entre en bougonnant dans sa maison. L’heure du retour est arrivée, nous repartons en vélo. Mon beau jeune homme me complimente sans arrêt et me demande si on va pouvoir refaire ce qu’on a fait la veille, ça le tracasse. Je lui dis d’accord, mais tu ne me pénètre pas. Il secoue la tête et arrête son vélo, il me dit viens on va là derrière la cabane de mon père. J’acquiesce de la tête et lui sourit, je pose mon vélo et l’accompagne derrière la cabane. Je l’embrasse sur la bouche et j’enlève ma robe, il ne faut pas la tâcher. Il me dégrafe mon haut de maillot de bain, et me caresse la poitrine, il me dit que j’ai la peau douce, je lui dégrafe son short, il ne porte pas de slip, et son sexe raide jaillit tel un poteau sur un champ. Je lui embrasse les seins et je descends petit à petit vers son sexe, je le prends en main et commence-les va et viens, il est vraiment énorme et j’en rêve de ce pieux majestueux. Je suis agenouillée et je le regarde droit dans les yeux quand ma langue vient lécher son bout. Il jette sa tête en arrière et me prends la mienne avec ses deux mains, il met son sexe dans ma bouche et commence à faire des va et viens comme s’il me baisait. J’éprouve beaucoup de plaisirs avec cette position et c’est dans un râle triomphant qu’il me joui dedans, il y a peu de sperme, je pense que sa suractivité lui à fait perdre du liquide. Il s’agenouille et me fait un baiser sur la bouche, nos langues se mélange et le goût de son sperme n’a pas l’air de le gêner. Après ce doux baiser, il se recule et me dit, je voudrais te voir nue car je n’ai jamais vue de femme nue. Il me complimente tellement que j’accepte. Je me relève et j’enlève mon slip de bain, il écarquille les yeux devant ma chatte !
Il me demande s’il peut la caresser, je lui prends la main et je l’approche de mon sexe, il me caresse les poils, et se glisse entre mes jambes. Je me couche devant lui et j’écarte les jambes. Je lui prends la main et je lui montre mon petit bouton en lui disant que c’est là qu’il faut me caresser. Il est doux. Au bout d’un moment c’est moi qui jouis, fière d’avoir appris a ce grand béta comment caresser une femme et lui donner du plaisir.
J’ai vraiment passé un super été.
Pendant plusieurs semaines je me suis amusée avec mes deux copains, ils étaient gentils et avaient chacun leur personnalité. Fin août mon copain numéro 1 me propose de retourner au cinéma, j’ai bien sur accepté. Je me suis préparée et faite toute belle, il m’avait plusieurs fois reproché ma touffe entre les jambes, alors pour lui faire plaisir et pour qu’il me caresse, je me suis rasée entièrement entre les jambes, je n’ai laissé qu’un ticket de métro. J’ai mis ma petite robe bustier, sans soutif, courte au raz des fesses et pour la première fois un string blanc que j’avais acheté sur le marché, ma mère ne voulant pas m’en prendre. J’étais à tomber, devant le miroir j’admirais ma plastique et j’étais très fière de moi ! Quand il est arrivé il m’a klaxonner et je suis descendu, m’arrosant du parfum de ma mère. Elle m’a complimenté sur ma beauté en me disant de faire attention aux garçons. Lorsque je suis arrivée à la voiture, j’ai vu que ces deux copains étaient à l’arrière et j’étais très déçu. Ca devait se lire sur mon visage car il m’a demandé ce qui n’allait pas, et je ne pouvais pas sérieusement lui répondre que je m’étais préparé pour lui. Les deux autres à l’arrière non pas arrêter de me complimenté, de me dire que j’étais belle, un vrai rayon de soleil. Tous ces compliments m’ont redonné le sourire. Dans la file d’attente du cinéma les deux copains étaient derrière moi et n’arrêter pas de me dire que j’avais de belles jambes et un beau croupion. Mon copain numéro deux profité toujours lorsque nous avancions pour me caresser les fesses, il me chuchotait à l’oreille, mais tu n’as pas de culotte. Nous sommes montés en dernière rangée du cinéma, il y avait peu de monde, par rapport à la file d’attente.
Mes deux copains se sont mis chacun d’un côté, c’était troublant. Pendant la diffusion des pubs et des extraits des prochains films, sans se concerter, ils m’ont tous les deux caresser les seins, d’abord avec le coude, l’aire de rien, puis leur main sont arrivées pour me tripoter le mamelon, ils ont baissé le bustier de ma robe, j’étais maintenant à demi nue, leurs mains s’emparant chacun d’un de mes seins. C’était agréable d’avoir toutes ses mains sur moi.
Lorsque la lumière c’est rallumé à l’entracte, j’ai vite remonté la robe et le troisième copain a demandé ce qui se passé. Rien, on répondit en cœur mes deux amants. Dès que la pénombre est revenue, ils ont recommencé là où ils s’étaient arrêtés. Mon copain numéro un, étant plus hardi, il a sorti sa queue et a pris ma main pour que je le masturbe, l’autre devant le spectacle a fait pareil. Je branlais ces deux queues en érection pendant qu’ils me caressaient les seins, c’était bon. Mon copain numéro un a lâché mon sein et est descendu vers mon entrejambe, comme j’écartée les cuisses il a compris que le passage était ouvert. Lorsqu’il est arrivé sur mon string, il a souri, et il m’a dit enfin tu t’es rasée, je lui ai répondu, oui c’était pour toi. Il a écarté le string, il a commencé à me titiller mon bouton, j’étais trempée de bonheur. J’ai ressenti une violente secousse, je n’ai pas mis longtemps à jouir devant une telle situation. Mon copain numéro un m’a glissé à l’oreille, viens me sucer, t’es qu’une salope. J’avoue que j’étais un peu fière de la situation, je me suis penché et je l’ai pris en bouche. Mon deuxième copain a profiter de la situation pour glissé sa main entre mes jambes, il m’a fait décollé un peu les fesses et il est passé par en dessous pour me caresser le clito. Mon copain numéro, comme d’habitude, a joui très rapidement, cette fois je n’ai pas avalé et il s’est retrouvé ave tout le sperme sur son jean. Je me suis retournée pour m’occuper de mon copain numéro deux, et je me suis aperçu qu’en fait c’était le troisième larron qui avait sa main entre mes cuisses, il m’a souri en me demandant si c’était bon. Surprise, je lui ai dit oui en hochant de la tête, mon deuxième copain a glissé sa main derrière ma tête et m’a dit à mon tour maintenant. Sa grosse queue attendait que je le prenne en bouche, il m’a poussé la tête vers son membre et je me suis exécuté. Ce sexe immense me donne toujours beaucoup de plaisir à le lapé, le sucer, l’aspirer, le tété, bref que du bonheur. Le troisième larron en a profité pour défaire son pantalon et me prendre la main pour que je le branle. La position n’étant pas des plus agréable, je me suis mise à genou sur mon fauteuil, c’était beaucoup mieux. Devant le spectacle de mon arrière-train, remuant avec vigueur, mon copain numéro un, m’a soulevé la robe, m’a arraché mon string et s’est mis à me lécher la chatte, avec tendresse et douceur, sa langue me titillait le clito et quelquefois pénétrée on vagin comme un petit sexe. Je n’ai pas mis longtemps pour lui jouir dans la bouche, presque en même temps que le troisième larron qui a inondé ma main et son jean. Mon deuxième copain est venu plus tard, très fier de durer autant de temps. Le film est passé très vite et on a tout juste eu le temps de se rajuster lorsque la lumière est revenue. Les trois garçons avaient leurs pantalons tachés et j’étais très amusée de la situation. J’avoue que de déambulé dans les rues sans culottes, m’a procuré un nouveau plaisir que j’ignorais, et d’dorénavant j’ai décidé de ne plus en mettre lorsque je serais en robe. L’air venant entre mes cuisses, à tout moment, est un plaisir rare.
Au retour mon copain numéro un, m’a fait une petite scène de jalousie, je lui ai fait comprendre qu’il fallait comprendre que je n’étais pas sa chose et que je pouvais donner du plaisir aux autres. Sur ce, il a pris un petit chemin, il m’a dit puisque tu es une vraie petite salope et que tu aimes sucer, tu vas nous sucer tous les trois. Ils sont sortis tous les trois, ils ont baissé leur pantalon et leur slip, et ils m’attendaient très fier, leurs queues en érection, ils commencés à se branler. Défiant mon copain numéro un je lui dis ok, mais toi vas y mollo car sinon tu ne vas encore pas tenir plus d’une minute, il a rougi et grommelé comme quoi j’étais vraiment une salope. Pour ne pas tacher ma robe, je l’ai enlevé devant eux, ils avaient les yeux qui sortez des orbites, j’étais entièrement nue devant eux. Je me suis approchée et j’ai commencer par passé la main sur leur sexe et ce qui devait arrivé arriva, mon copain numéro un a joui sans plus d’attouchement, quel con j’ai pensé. Je me suis donc agenouillée devant le larron trois et j’ai commencé ma petite pipe, il n’arrêtait pas de dire que c’était bon. Après plusieurs minutes de ce traitement il a joui avec force, mais toujours pas dans ma bouche, il m’a arrosé les seins. Mon deuxième copain qui n’avait pas arrêté de se branler, avait son pieux énorme dans la main et ses deux collègues étaient admiratif de sa grosse queue, moi aussi il faut dire. Non seulement il avait un sexe puissant, gros, long, large mais en plus il était très endurant. Un vrai bonheur pour une femme. Je l’ai donc pris en bouche tout en le masturbant avec mes deux mains, il adorait que je fasse ça.
Heureusement il n’a pas été trop long à venir car ses deux collègues recommençaient à prendre de la vigueur et à m’entourer d’un peu trop pré et je n’avais plus envie qu’ils s’occupent de moi. Je les ai donc rembarrés et nous avons pu rentrer tranquillement et apaisés.
Un des moments le plus agréable de l’été, c’est lorsque j’‘ai sucé le père de mon copain numéro 2. Il faut dire que tout l’été où j’allais à la piscine il était toujours là à me faire des compliments, il n’arrêtait pas de dire que je ressemblais à Adjani dans « l’été meurtrier », j’ai dû allé chercher sur internet pour voir de quel film il me parlait. J’étais heureuse du compliment, et j’ai joué tout l’été à l’allumé, sa femme venant toujours pour lui crier dessus et le faire rentrer à la maison. Nous étions ce jour-là, seul à la piscine, ses parents étant partis faire des courses. Nous étions nus à la piscine en train de se bécoter, j’avais la queue de mon copain dans la main et il avait sa main dans mon entrejambe. Tout ce serait bien passé, si son père nous n’avait pas surpris à ce moment-là. Lui grand idiot devant la colère de son père, il s’est enfui en courant me laissant choir comme un vieux sac poubelle. Je me suis couvert les seins avec mes bras en fermant mes jambes. Il me dit je t’ai regardé depuis tout à l’heure dis donc tu es précoce comme gamine, ton père le sait ? Je lui réponds non en bougeant la tête. Il me tend son téléphone et me montre une photo de moi en train de sucer son fils, et il me dit tu veux que je lui montre ça à ton père. Je le supplie de ne rien faire, et que je ferrais ce qu’il voudra. Il n’a pas attendu longtemps pour baisser son pantalon et me fourrer sa queue dans la bouche. Il me dit ça à l’air de plaire de sucer des queues, tu vas bien me sucer et je vais te filmer pour plus tard. Après quelques minutes de mon savant traitement il s’est reculé et a giclé sur mes seins. Il m’a prise en photo, il m’a fait une bise sur le front et il est parti. J’avoue avoir eu un peu peur sur le coup, mais en fait il voulait juste se faire sucer. Depuis ce jour là, il m’a systématiquement raccompagné chez moi en voiture, il disait a sa femme que c’était plus sûr ! En fait, il voulait que je le suce, que je le pompe que je prenne sa queue dans ma bouche et que je le fasse cracher comme mes copains pré pubère. Ce qu’il aimait c’est que je le suce pendant qu’il conduisait, à peine sorti du chemin, il baissait son pantalon et me demandé de le sucer.
J’ai passé un super été, et j’avoue que je préfère les hommes d’expérience…(à suivre)

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