Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : l’inconnu du restaurant

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : l’inconnu du restaurant Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : l’inconnu du restaurant
AVERTISSEMENT
Ce texte remonte à une époque heureusement révolue, celle où j’étais, où notre couple, à Philippe et à moi, nous étions sous la coupe de Rachid, incapables de maîtriser mon hypersexualité et le candaulisme de Philippe et nous avions des pratiques incontrôlées et, disons-le, dangereuses. Il faut le rappeler : il est impératif de se protéger en cas de relation avec de parfaits inconnus. Ce récit n’est donc pas à recommander, mais c’est ainsi que les choses se sont passées alors.

SOUVENIR DU BLOG : PROMESSE à ARTHUR
Dans un commentaire publié sous le récit 45 (« Ambre et Renaud », publié le 21 juin 2018) et que je reproduis volontiers, Arthur m’avait ainsi interpellé :
« Cela fait longtemps que je suis vos aventures (j'étais déjà un lecteur assidu de votre ancien blog) et celles-ci me font toujours autant bander! Vous êtes vraiment qu'une vide-couilles que l'on rêve de croiser à l'image de cet inconnu. Vous êtes la plupart du temps complètement inconsciente mais quel pied cela doit être de casser ton petit cul!! Et tout cela avec la bénédiction de ton mari qui a vraiment tiré la reine des salopes. Merci de continuer à nous narrer tes séances de débauche.
J'ai encore en mémoire des récits de ton blog, comme celui où tu sers de vide couille à tout un groupe de pêcheurs ou un autre ou tu lèves un mec dans un restaurant (avec ton mari), tu le suces aux toilettes puis où ton mari vous prend une chambre pour que cet inconnu te baise.
Olga t'es vraiment une championne!!
Pour finir peux-tu nous expliquer pourquoi tu racontes tes exploits? Y trouves tu du plaisir? Ta vie serait peut-être plus simple (et tout aussi dingue et jouissive) si tu gardais cela pour toi.
Arthur (un fan pour qui tes récits sont plus efficaces que le viagra) »
Je lui ai alors répondu ceci :
« Cher Arthur, merci de cette fidélité et ta mémoire. Oui, ce sont des épisodes marquants, que j'ai d'ailleurs reproduits, je le raconterai.

J'ai déjà expliqué pourquoi, alors que nous avons fermé le blog, Philippe a accepté que je raconte ici, avec quelques précautions, mes "exploits". C'est avant tout parce que c'est une façon pour moi de tenter de maîtriser (un peu) mon hypersexualité ».

Il est temps, près d’un an après, de tenir cette promesse vis-à-vis d’Arthur
QUAND PHILIPPE REPRENAIT LA MAIN
Rachid s’était alors absenté pendant quelques jours et je me retrouvais, pour la première fois depuis plusieurs mois, seule avec Philippe. J’étais heureuse de ce répit provisoire, même s’il marquait une rupture brutale avec le rythme intensif de plaisir que j’avais connu depuis que j’étais devenue la maîtresse ou plutôt la femelle de Rachid.

Philippe s’était montré plus amoureux que jamais et particulièrement tendre et attentionné. C’était notre première nuit seuls depuis longtemps et nous avons peu dormi, Philippe remettant le couvert dès qu’il reprenait de la vigueur. Rachid, qui se comportait en tout point comme si j’étais à lui (ce qui, à ce moment-là était vrai) lui avait donné son « accord », sous réserve que je prenne la pilule. Il était évident que Philippe était revigoré par ma transformation et par le fait que tant d’autres profitaient désormais de mes charmes. Je devais aussi remercier pour cette transformation ma rivale Marie C, dont l’objectif était de me séparer de Philippe et qui avait beaucoup contribué à faire de mon mari un amant plus qu’honorable.

Certes Philippe ne pouvait se comparer aux performances de Rachid et n’y prétendait pas, mais il était loin l’éjaculateur précoce qui m’avait tant frustrée. Par contre, ce qui n’avait pas changé et ne changerait pas c’était son candaulisme.

Nous nous étions endormis tard, je me réveillais au milieu de la matinée, Philippe avait déjà quitté le lit, en veillant à ne pas me réveiller.

J’ouvre les yeux, il est là, avec le plateau du petit déjeuner. Il approche une petite table pour que je puisse le prendre au lit. Après m’avoir embrassé tendrement, il positionne des oreillers pour que je sois le plus confortablement installée. Quelle différence avec la brutalité de Rachid : je me suis sentie comme une reine, heureuse, pleine de reconnaissance pour cet homme qui m’adule. Pourquoi alors ne me suis-je contentée de lui ? Pourquoi lui-même ne le voulait-il pas ?

• As-tu besoin d’autre chose, Basilissa Moy ?

• Il me manque une chose, tu sais bien ce que je j’aime pour commencer ma journée, mon amour et ce depuis que nous vivons ensemble !

Philippe me sourit, il avait évidemment compris et son érection en témoignait. Je commençais rarement une journée sans prodiguer à mon chéri une fellation. C’était et c’est encore une habitude, à laquelle je n’ai pas dérogé, même lorsque j’étais la « femelle de Rachid » et même lorsque je fus la femme d’Hassan.

Depuis que je me suis éveillée à la sexualité, je suis une fellatrice passionnée.

• Enlève ton pantalon et approche ! Mais dis-moi, tu bandes déjà, cochon ! Je vais te soulager, pendant que tu prépares cette baguette avec du beurre. Moi c’est d’une autre baguette dont j’ai envie !

Je lui ai ce jour-là administré l’une des plus belles pipes de sa vie. Tout en prenant son gland entre mes lèvres, je caressais ses couilles, les soupesant, jouant avec, les malaxant. Son gland coulissait entre mes lèvres, tandis que je tendais de mon autre main la peau de son sexe au maximum. Ma langue descendait le long de sa bite, revenait plus haut, redescendait. Je fis couler un filet de bave sur son gland, que je m’empressais de nettoyer consciencieusement, en avalant sa bite sur toute sa longueur, mon nez venant alors jouer avec les poils de son pubis. Le rituel du matin était pour moi de lui vider les couilles, de le faire mourir de plaisir dans ma bouche, de m’abreuver de son offrande.

Ma main s’aventura alors entre ses fesses. Etant habitué, c’est bien volontiers qu’il me facilitait le passage. Mon doigt jouait à l’entrée de mon anus. Je suçais mon doigt, lui écartais les fesses, et titillais son anus désormais habitué à ce genre de plaisirs. Je me plaçais entre ses cuisses, plaqua d’une main sa bite sur son ventre et me mis à lécher fougueusement son cul, ma langue pénétrant son anus.

Je repris donc ma position initiale, recommençai à le pomper à fond et à rythme régulier, et introduisit sans ménagement un doigt au fond de son cul, décuplant ainsi son érection pourtant déjà bien avancée.

Je le suçais à un rythme soutenu, tout en le branlant d’une main et en lui caressant les couilles et les fesses de l’autre. Je sentais qu’il allait venir.

Je replongeais entre ses jambes, accélérais et, au moment où il criait de plaisir, éjaculant tout ce qu’il pouvait donner, je lui enfonçais mon majeur dans le cul, continuais de le lécher sans faiblir, jusqu’à la dernière goutte, nettoyant son gland de la moindre trace de sperme.

Je me relevais, ouvris la bouche pour montrer que j’avais conservé tout son sperme sur ma langue, avant de l’avaler, en fixant amoureusement Philippe.

• Merci pour ton cadeau mon chéri. C’est ta semence que je préfère, tu bon goût !

• Et toi, mon Olga, tu mérites le surnom qu’on donnait à la reine Cléopâtre : « bouche d’or » ! Mais maintenant, tu dois te préparer. J’ai prévu une table dans un excellent restaurant, à deux heures de route.

Philippe assista à ma préparation, mais en restant sage.

J’ai choisi un chemisier de satin noir tombait impeccablement, que j’ai laissé ouvert jusqu’à la naissance de mes seins. J’avais choisi de ne pas mettre de soutien-gorge. J’aime la liberté que cela me procure.

Ma poitrine était donc totalement libre sous mon chemisier. Cela me faisait un peu drôle de ne porter que la culotte et le porte-jarretelle de ma parure. Mais ce n’était pas désagréable. Le porte-jarretelles était si confortable que je ne le sentais pas, il s’appliquait impeccablement sur mes hanches, tendant parfaitement mes bas en voile noir.

Je me suis maquillée, insistant sur le fard à paupière gris anthracite et le mascara. Mon brushing refait, je me trouvais très belle. Philippe ne manquait pas de me le répéter, plus amoureux que jamais.

J’avais hésité sur les chaussures, entre une paire de vernies noires à talons hauts simples mais dans lesquelles je suis très bien, et une d’autres qui ont un nœud mauve sur le dessus mais celles-ci beaucoup plus hautes, avec un talon aiguille de 16cm. Je ne les avais encore jamais portées.

• Dis-moi, chéri, quelles chaussures préfères tu, celles avec le nœud ou celles-ci ?

Il avait opté sans hésiter pour les secondes, ajoutant :
• Elles mettent ton joli cul en valeur !

J’avais passé une minijupe en laine fine fuchsia, elle m’arrivait juste sous les fesses. J’avais choisi la combinaison explosive et qu’on déconseille en principe : j’étais habillée très court et j’avais un décolleté absolument ravageur et totalement profond. Philippe avait ce qu’il avait demandé : il serait accompagné par une véritable professionnelle ! J’enfilais la veste en cuir rouge qui allait avec la jupe. J’étais montée sur des talons si hauts que je prenais quelques précautions dans ma démarche.

SURPRISE
Nous sommes donc allés déjeuner dans ce nouveau restaurant que je ne connaissais pas. J’avais remarqué que c’était aussi un hôtel.

Dès ma descente de voiture, j’ai croisé le regard de deux hommes qui me fixèrent avec insistance, comme si j’étais toute nue ! Il est vrai que ma veste courte ne fermait pas. Ma poitrine nue sous mon chemisier se voyait-elle tant que ça ?

Je fis sensation, les hommes présents dans la restaurant ne sachant plus où poser les yeux, sur mes jambes, mes hanches, ma poitrine, mes lèvres, mes cheveux.

Le déjeuner fut parfait mais aussi bien arrosé. J’étais totalement désinhibée.

• Chéri, le type de la table en face. Il n’arrête pas de me mater !

C’était un bel homme, trente ans environ. Il dégageait de lui une impression de virilité. Il déjeunait seul. Manifestement mon décolleté l’intéressait davantage que son assiette.

• C’est normal, ma chérie. Tu fais envie à tous les hommes de ce restaurant et les femmes te fusillent du regard. On va voir jusqu’où il est prêt à aller. Fixe le, fais lui un grand sourire et ouvre un bouton supplémentaire de ton chemisier.

Ainsi fut fait. Quelques instants plus tard, un serveur vint déposer à notre table une enveloppe, avec un billet du type :
• Si tu n’es pas une allumeuse, envoie moi un SMS. Mon numéro 06….

Je montre le billet à Philippe.

• Réponds-lui !

• Tu es certain ?

• Fais ce que je te dis !

Je réponds, sur la dictée de Philippe :
• Je ne suis pas une allumeuse. Je suis une hypersexuelle.

• Une nympho, quoi !

• Non, une libertine, qui a de gros besoins sexuels.

• Et le type avec toi, c’est ton mari ?

• Oui
• Il est consentant ?

• Non seulement, il est d’accord, mais en plus il aime ça. Il est candauliste.

• C’est quoi ça ?

• Un homme qui aime mater sa femme en train de baiser avec un autre type.

• J’avoue que je ne comprends pas. Mais s’il aime être cocu, tant mieux pour les hommes qui en profitent. En attendant, depuis le temps que tu m’excites, j’en peux plus. Il faut que tu me soulages.

• Je suis à votre disposition, Monsieur
• J’y compte bien, petite putain. Tu mouilles ?

• Oui, je suis très excitée !

• Enlève ta culotte et donne-la à ton mari. Pas sous la table, donne lui par au-dessus, que les gens voient ce que tu fais !

Je lui obéis sans discuter. Je sens que les regards, réprobateurs pour les uns, excités pour les autres, sont tournés vers moi.

• Tout à l’heure, ton mari va nous prendre une chambre à l’hôtel. Mais d’abord, j’ai envie que tu me tailles une pipe ! Tu vas descendre aux toilettes. Je te retrouverai aux toilettes des hommes.

• Oui, Monsieur
Je pris naturellement mon sac pour passer aux toilettes.

• tu retires ta veste pour y aller !

J’ai regardé Philippe, interloquée et ennuyée, car soudain je réalisais que je perdais ce qui cachait un peu la nudité de ma poitrine, certes sous mon chemisier de satin.

• Fais ce qu’il te demande !

FELLATION DANS LES TOILETTES
Je décidais de jouer le jeu, je m’exécutais, et retirais ma veste. Prenant mon sac à la main, me levant je réalisais que les toilettes étaient au sous-sol près de l’entrée, donc, il me fallait traverser toute la salle de restaurant, ainsi juchée sur mes talons vraiment hauts, ma poitrine totalement libre sous mon chemisier. Je me disais alors que l’on n’allait certainement voir que cela.

Tant pis, je n’allais pas renoncer. Je sentais le balancement de mes seins, comme nue, totalement exposée aux regards braqués sur moi, ma poitrine totalement libre sans un soutien-gorge qui m’aurait tant rassurée.

Je suis passée à hauteur de la table de l’homme. Tout en affichant un grand sourire, il m’a mis ostensiblement la main sur les fesses, affirmant ainsi publiquement qu’il allait posséder la femme d’un autre.

Je suis enfin arrivée à l’escalier menant aux toilettes, me tenant à la rampe de la main droite, je descendis les marches délicatement.

J’entrais dans les toilettes des hommes. Heureusement, elles étaient vides.

L’homme ne tarda pas à me rejoindre. Il restait là un instant, immobile, me dévorant du regard, contemplant sa proie.

Il s’approcha et sans un mot me serra contre lui en agrippant mon cul de ses mains fermes.

Il me colla sauvagement contre le mur et m’embrassa avec autant de fougue, ses mains toujours sur mon cul, le pressant fermement puis l’écartant. Je sentis un de ses doigts titiller mon intimité et se diriger jusqu’à ma chatte déjà toute humide. Son visage s’embellit alors d’un sourire coquin. D’un geste, il introduisit en moi son doigt tout entier dans ma chatte et commença à imprimer de légers cercles.

Il enfonce trois doigts dans ma chatte et me masturbe à grand coup.

• suce bien ma queue tu vas l'avoir dans ta chatte.T'aime çà salope. !

• Oh oui, Monsieur
• T’as une chatte qui appelle la bite, je vais m’en occuper tout à l’heure, il y a certainement des chambres de libres ici ! Déboutonne ton chemisier !

Sa bouche descendit vers mes seins et, après quelques baisers sur mes tétons, il commença à les mordiller suffisamment pour que quelques gémissements étouffés sortent de ma bouche.

Je salivais d’excitation et, sans y prêter attention, mes mains déboutonnaient déjà son pantalon. J’avais rapidement entre mes mains son énorme sexe, droit comme un « i » et très dur. S’il l’avait voulu, j’aurais aimé qu’il me prenne immédiatement.

Je savais ce qu’il voulait. Ce fut donc sans attendre son invitation que je me penchais en avant pour goûter son chibre si gros. Tellement gros que c’était avec difficulté que je l’enfonçais au fond de ma bouche. Après quelques va-et-vient, il s’appuya sur le lavabo. À genoux devant lui, je le suçais encore et encore plus profondément, goulument. J’en avais plein la bouche. Ma chatte était trempée par l’envie. Tout en le regardant, je continuais à le sucer.

• Que c’est bon ! T’es vraiment une chienne. Vas-y, continue à pomper, salope !

Je sentais sa bite se gonfler et ses va-et-vient ralentir, il allait jouir, alors je m’agenouillais devant lui.

D’une main je prenais ses couilles, de l’autre sa bite pour la branler. J’alternais entre branlette rapide et pipe profonde, ma langue le dégustait…
Après 5 bonnes minutes de pipe profonde alternée avec une branlette vigoureuse, sa bite commença sa danse, se contracta. Il allait gicler et je voulais sentir son sperme sur mes seins, le sentir dégouliner jusqu’aux tétons.

Je le branlais toujours plus vite, toujours plus vigoureusement, il finit logiquement par s’épandre sur mes seins, son sperme bien blanc, bien épais. Il dégoulina jusqu’à mes tétons encore rougis par ses assauts.

• Tu es une fellatrice exceptionnelle ! Tu m’avais tellement excité, il était temps que tu fasses quelque chose pour me soulager ! Maintenant, je vais m’occuper de toi, nous avons toute l’après-midi devant nous.

Il refusa que je m’essuie, me demandant de remettre mon chemisier, sans qu’il soit boutonné correctement et qui allait inévitablement être taché par la semence que cet homme avait répandu sur ma poitrine.

Je réajustais tant bien que mal ma tenue. Mon chemisier taché ne laissait guère de doute sur ce que nous venions de faire. Je remontais les escaliers devant lui et je sentais son désir sur moi.

PHILIPPE NOUS PREND UNE CHAMBRE
Arrivés dans la salle de restaurant, cet homme dont je ne connaissais alors même pas le prénom, posa ostensiblement une main sur mes fesses, me prit la main et me raccompagna à notre table.

• Je ne pensais pas qu’un mari comme toi, ça pouvait exister, mais si ça te plait, tant mieux pour ceux qui en profitent ! Tu règles l’addition de ta table et de la mienne, puis on va aller ensemble réserver une chambre dans cet hôtel. J’ai de nouveau envie, et je pense qu’elle n’en peut plus d’attendre !

• Je suis moi aussi impatient d’assister, Monsieur ? Je suis Philippe et mon épouse s’appelle Olga.

• Moi c’est Nicolas. On y va ?

Nicolas m’imposa à nouveau de ne pas remettre ma veste en cuir. Je traversais à nouveau ainsi la salle de restaurant, mais je ne pensais qu’à ce que nous allions faire maintenant.

Nicolas continuait à se comporter en macho, me tenant par la main, affichant devant les autres convives sa possession.

Philippe l’avait compris et allait au-devant de ses désirs.

• Bonjour, je voudrai la plus grande chambre de votre hôtel. C’est pour ma femme et ce Monsieur.

Le réceptionniste, estomaqué, ne savait quelle attitude adopter.

• Ne regarde pas comme ça mon gars, je vais baiser cette femme devant son mari. C’est ce qu’ils veulent tous les deux
• Euh bien Monsieur, voici la clé. C’est une suite, au 5ème étage.

• Vous nous monterez une bouteille de champagne et trois coupes.

Au moment de prendre l’ascenseur, Nicolas commanda :
• Retire ta jupe !

Je défis le bouton et le zip arrière, et la fis glisser le long de mes cuisses, passant un pied et l’autre. Je tendis la jupe à Philippe.

• c’est bien, maintenant déboutonnes ton chemisier !

J’étais à présent le chemisier ouvert, la poitrine franchement visible, la bande sombre de mes bas soulignant le haut clair de mes cuisses. La scène était torride : j’étais juchée sur mes talons hauts, en bas et porte-jarretelles, le chemiser totalement ouvert, ma poitrine totalement libre et exposée. Mes tétons étaient durs, témoignant de mon excitation, de mon désir, de mon appel du mâle.

Sans se soucier de Philippe ou qu’on puisse nous surprendre, Nicolas détaillait ma poitrine totalement offerte. Il me serra dans ses bras, me faisant sentir son désir animal et prit mes lèvres, m’embrassant jusqu’à ce que nous perdions le souffle. Je caressais son sexe à travers son pantalon.

Sentant que je n’en pouvais plus d’attendre, mon amant comprit qu’il fallait enfin rejoindre la chambre qui serait le théâtre de nos jeux érotiques.

Ce fut Philippe qui ouvrit la porte. Il avait choisi une suite, la plus belle de l’hôtel. Je pris le temps de déposer un baiser sur les lèvres de mon mari candauliste, pour le remercier de m’offrir une après-midi de plaisir.

Je me débarrassais de mes escarpins, Nicolas me porta jusqu’au lit, sans cesser de m’embrasser. Il me déposa sur le grand lit, alors que Philippe positionnait un fauteuil pour ne rien manquer de ce qu’il avait voulu, une scène dont il ne se lassait pas et dont il ne s’est jamais lassé.

Il tendit un préservatif à Nicolas :
• Tu as peur que je l’engrosse ?

Philippe lui avoua que j’étais à ce moment-là à un autre.

• Je suis le mari d’Olga mais son amant Rachid se réserve le droit de jouir en elle.

• Vous êtes vraiment un couple spécial ! T’inquiètes, faut assumer mon gars, je suis sûr qu’elle aime se faire remplir !

Nicolas, impatient, se débarrassa de son pantalon et de son slip et se positionna au bord du lit. Comprenant ce qu’il voulait, je me mis devant lui, en levrette sur le lit, le cul bien tendu, les jambes écartées, la chatte béante. D’un coup et sans ménagement il claqua mon cul puis il s’enfonça en moi. Surprise par tant de fougue, je lâchais un gémissement avant de l’encourager à me prendre sauvagement.

Ses mains agrippaient mes hanches et il commença à pilonner ma chatte. Sa grosse bite sortait puis s’enfonçait à nouveau en moi, ses va-et-vient tantôt lents tantôt rapides me faisaient perdre la tête.

• Ca te plait, comme je nique ta femme ?

• Oui, beaucoup ! Vas-y, fais la jouir !

• T’as épousé une sacrée salope, une chienne en chaleur !

Je gémissais de plus en plus, l’invectivant de continuer encore et encore… Je gémissais de plus en plus fort. À chaque fois qu’il claquait mon cul, je gémissais un peu plus et, à chaque fois, il me défonçait encore un peu plus.

Il lâcha ensuite mes hanches et tandis qu’une main venait pétrir mon sein droit, l’autre tirait mes cheveux. Sous l’action de cette tension, je me redressai, bouche ouverte, haletante, le cul encre plus cambré. Plus je gémissais plus il se déchainait, plus il claquait mon cul et plus j’adorais ça.

Il se rallonge sur moi il enfonce son gourdin dans ma chatte d'un seul coup et il me baise avec des grands cours de queue.

Mes gémissements devenaient des cris, puis des hurlements de plaisir. Plus rien n’existait, sauf ce plaisir inouï que ce mâle me donnait, témoignant d’une endurance exceptionnelle.

Nous n’avons même pas entendu le serveur venu apporter le champagne qu’avait commandé Philippe.

C’est Philippe qui était allé lui ouvrir, lui demandant de poser le plateau sur la table, non loin du lit, précisant, à voix basse :
• Ma femme est en train de se faire baiser. C’est beau, n’est-ce pas ?

Le serveur ne dit rien, restant un instant, fasciné par ce spectacle torride.

Nicolas voulut en mettre plein les yeux à ce spectateur. Il me démontait littéralement.

A chaque pénétration il me tirait encore plus vers lui, sa main pétrissait encore plus mon sein, puis pinçait mon téton, doucement, puis plus fort. Je me faisais baiser sauvagement comme une bonne salope. C’était ce que j’étais pour lui et qu’est-ce que j’aimais ça, comme j’aimais que ça se passe sous les yeux de Philippe.

Nous changeons de position, j'avais mis aussitôt mes jambes autour de sa taille mes mains, sur ses fesses.

Il a continué à me limer, cette fois plus en douceur :
• oooouuuiiii.....encore ooohhhhooouuuiii........ baise-moi encore !

• Je m’en fous de ton Rachid, je vais de remplir ta chatte ma jolie ! Prends ça !

• oouuuiiii........ Vas-y, remplis-moi ! Je veux ! Viens !

• fais attention je t'envoie le paquet aaaahhhhhoooouuuuiiiii.........

A ce moment précis, je ne pensais plus à Rachid et à ses ordres. Nicolas m’envoie des giclées de sperme, il remplit mon vagin.

• T'aime çà, salope, d'avoir des grosses bites dans ta chatte, tu veux je t'encule ?

• Oui, vas-y, casse-moi le cul !

Il se retire de ma chatte, mais ne débande pas. Il me retourne, il me fait écarter les jambes avec sa main, me caresse et lubrifie mon anus avec son sperme qui coule de mon vagin. Il vient s’allonger sur mon dos, il met sa queue dans le sillon de mes fesses.

Il présente sa queue à l’entrée de mon anus et pousse pour qu’elle rentre. Bien qu’habituée à la sodomie, je pousse un cri, il me fait mal.

• aaaaoooouuuuuuuiiiiiii........ Mets-la dedans, vas-y, salaud !

• Ca y est, elle commence à entrer ! Prends-ça ! Regarde, Philippe, comment je casse le cul de ta femme !

• C’est magnifique ! Vas-y, démonte-la !

• ahahahahah.....ooooouuuuuiiiii elle rentre, vas-y, aaaauuuuooooiiiiii..... Encore !

• T’aime ça, salope !

• Oui, j’adore !

Avec mes deux mains, j’accrochais les draps, la sueur coulait sur mon visage.

• Vas-y, encule-moi à fond, encore ! ohohohohooouuuiiii
Ses couilles tapaient sur mon vagin, je le sentais bien dans mes entrailles. Il m'embrasse dans le cou et me l'enfonce encore plus dans le cul
• ooouuuuiiii......

Je jouis du cul. Il m’envoie au plus profond de mon anus de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Il tombe sur moi en laissant sa queue à l'intérieur de mon anus.

Nous avons poursuivi ainsi toute l’après-midi, avant de nous quitter, repus. Je n’ai plus jamais revu cet homme, avec qui j’avais passé de grands moments et tout ça grâce à Philippe.

A son retour, nous avons dû affronter la colère de Rachid. Etant alors sous sa coupe et encore amoureuse de lui, je crus devoir lui dire la vérité sur mon escapade. C’était en tout cas la première fois que nous nous étions émancipés de ses consignes, prouvant en passant que nous n’avions pas besoin de lui pour assumer candaulisme et hypersexualité.

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Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : l’inconnu du restaurant
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