Voyage a cuba, partie 2
Récit érotique écrit par Gigi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Voyage a cuba, partie 2
Mon voyage de rêve se poursuivait avec ma copine Sara et c'était toujours aussi agréable et merveilleux. On se baignait, on allait se balader et on faisait l'amour toute la journée. Vers la fin de notre séjour, nous avons été invitées à un souper dansant dans un hôtel voisin par une dame rencontrée sur la plage. Elle s’appelait Nathalie, était franchement attirante et n'importe qui aurait pu deviner que Sara lui plaisait énormément...et que c'était réciproque.
Nous avons commencé à choisir nos tenues pour la soirée et Sara a finalement opté pour une robe noire très courte et surtout très facile à enlever. Moi je portais une robe verte, qui descendait aux genoux, avec un petit col rond au cou mais long décolleté dans le dos. Le tout était sage et discret mais à regarder Sara agir en me voyant, je compris que j'avais quand même une touche allumante et désirable. Disons que nos ébats sexuels dans la douche y étaient sûrement pour quelque chose...avec le temps nous devenions de vraies acrobates!
Sur place, Sara fut littéralement capturée par Nathalie qui la guida vers un endroit plus reculé pour discuter et je me retrouvai seule au milieu de la foule d'étrangers, essentiellement des anglais et des américains. Séduisant. J'adore les accents, ça me fait craquer. J’ai dansé avec quelques hommes puis j'ai exploré l'hôtel, remarquant au passage un couple en pleins ébats dans presque chaque repli de rideau. Je trouvai finalement un petit coin sombre et tranquille, caché derrière des rideaux, une sorte de fenêtre avec un rebord assez grand pour s'asseoir confortablement, avec des tonnes de coussins moelleux. J'ai enlevé mes souliers qui me torturaient et j’ai repensé à la soirée et aux regards flatteurs que j’avais reçus. J'ai entendu quelqu'un s'approcher tout doucement et écarter le rideau lentement. Je ne voyais que son ombre dans la lumière de la lune et je ne parvenais pas à distinguer ses traits. Il s'approcha de moi et murmura à mon oreille:
-Vous êtes splendide, laissez moi faire vous ne le regretterez pas ma chère...
À son accent je devinai qu'il était sûrement anglophone et je ne saurais dire si c'est cela, ou bien son parfum ou encore ses baisers brûlants et insistant qui eurent raisons de mes défenses et bientôt je m'abandonnais totalement au plaisir de l'imprévu et du non-sens. L'inconnu fit tomber mes bretelles et m'embrassa le dos, le cou et la gorge à m'en faire frissonner et je me retrouvais bientôt nue, conservant mes bas jarretelles et mes chaussures. J'entrepris également de le déshabiller et je découvris avec bonheur un corps de rêve, parfaitement sculpté dont chaque muscle tressaillait au contact de ma bouche. Nos baisers étaient doux, aventuriers mais ils se transformèrent bientôt en passion fougueuse et impérieuse et je ressentis le besoin douloureux d'être possédé par cet homme. Je le voulais, le désirais, mon corps l'appelait à me pénétrer et à me donner le plaisir que j’attendais tant. Il ne me fit pas languir très longtemps, il m'empala d'un coup de rein sec et énergique et je sentis son sexe dur et plein de désir remuer en moi. Il commença à faire des va et viens rapides et si délicieux. Je ne pus m'empêcher de laisser échapper un petit cri de plaisir à chaque fois que je sentais ses testicules cogner contre mes fesses et que je ressentais son sexe sonder effrontément mon sexe. Il finit par jouir d'un orgasme intense et poussa de longs râles qui me firent rougir de satisfaction. Je ne tardais pas à atteindre l'orgasme moi aussi et je fus envahi d'une sourde chaleur qui investi mes jambes, mon bassin puis le reste de mon corps. Jamais orgasme n’avait été aussi puissant et délicieux. L'inconnu se retira doucement de mon vagin, s'essuya rapidement, et en sortant, il me murmura un ravissant:
-À la prochaine fois ma chère, pour encore plus de plaisir...
Je suis retournée dans la salle où avait lieu la soirée et j’ai retrouvé Sara qui se roulait une pelle avec Nathalie dans un coin. Je me suis éloigné tranquillement sur la plage, bercée par le rythme des vagues, mes orteils s'enfonçant doucement dans le sable et le corps si parfaitement repu de cette sensation enivrante qu'est la jouissance sexuelle...
Nous avons commencé à choisir nos tenues pour la soirée et Sara a finalement opté pour une robe noire très courte et surtout très facile à enlever. Moi je portais une robe verte, qui descendait aux genoux, avec un petit col rond au cou mais long décolleté dans le dos. Le tout était sage et discret mais à regarder Sara agir en me voyant, je compris que j'avais quand même une touche allumante et désirable. Disons que nos ébats sexuels dans la douche y étaient sûrement pour quelque chose...avec le temps nous devenions de vraies acrobates!
Sur place, Sara fut littéralement capturée par Nathalie qui la guida vers un endroit plus reculé pour discuter et je me retrouvai seule au milieu de la foule d'étrangers, essentiellement des anglais et des américains. Séduisant. J'adore les accents, ça me fait craquer. J’ai dansé avec quelques hommes puis j'ai exploré l'hôtel, remarquant au passage un couple en pleins ébats dans presque chaque repli de rideau. Je trouvai finalement un petit coin sombre et tranquille, caché derrière des rideaux, une sorte de fenêtre avec un rebord assez grand pour s'asseoir confortablement, avec des tonnes de coussins moelleux. J'ai enlevé mes souliers qui me torturaient et j’ai repensé à la soirée et aux regards flatteurs que j’avais reçus. J'ai entendu quelqu'un s'approcher tout doucement et écarter le rideau lentement. Je ne voyais que son ombre dans la lumière de la lune et je ne parvenais pas à distinguer ses traits. Il s'approcha de moi et murmura à mon oreille:
-Vous êtes splendide, laissez moi faire vous ne le regretterez pas ma chère...
À son accent je devinai qu'il était sûrement anglophone et je ne saurais dire si c'est cela, ou bien son parfum ou encore ses baisers brûlants et insistant qui eurent raisons de mes défenses et bientôt je m'abandonnais totalement au plaisir de l'imprévu et du non-sens. L'inconnu fit tomber mes bretelles et m'embrassa le dos, le cou et la gorge à m'en faire frissonner et je me retrouvais bientôt nue, conservant mes bas jarretelles et mes chaussures. J'entrepris également de le déshabiller et je découvris avec bonheur un corps de rêve, parfaitement sculpté dont chaque muscle tressaillait au contact de ma bouche. Nos baisers étaient doux, aventuriers mais ils se transformèrent bientôt en passion fougueuse et impérieuse et je ressentis le besoin douloureux d'être possédé par cet homme. Je le voulais, le désirais, mon corps l'appelait à me pénétrer et à me donner le plaisir que j’attendais tant. Il ne me fit pas languir très longtemps, il m'empala d'un coup de rein sec et énergique et je sentis son sexe dur et plein de désir remuer en moi. Il commença à faire des va et viens rapides et si délicieux. Je ne pus m'empêcher de laisser échapper un petit cri de plaisir à chaque fois que je sentais ses testicules cogner contre mes fesses et que je ressentais son sexe sonder effrontément mon sexe. Il finit par jouir d'un orgasme intense et poussa de longs râles qui me firent rougir de satisfaction. Je ne tardais pas à atteindre l'orgasme moi aussi et je fus envahi d'une sourde chaleur qui investi mes jambes, mon bassin puis le reste de mon corps. Jamais orgasme n’avait été aussi puissant et délicieux. L'inconnu se retira doucement de mon vagin, s'essuya rapidement, et en sortant, il me murmura un ravissant:
-À la prochaine fois ma chère, pour encore plus de plaisir...
Je suis retournée dans la salle où avait lieu la soirée et j’ai retrouvé Sara qui se roulait une pelle avec Nathalie dans un coin. Je me suis éloigné tranquillement sur la plage, bercée par le rythme des vagues, mes orteils s'enfonçant doucement dans le sable et le corps si parfaitement repu de cette sensation enivrante qu'est la jouissance sexuelle...
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