Mon cul
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Mon cul
- Tu veux me montrer ton cul ?
Je me retourne et je vois un type d'une cinquantaine d'années. Ma première réaction fut :
- Ici ?
J'aurais peut-être dû répondre qu'il était cinglé ou pédé ou je ne sais quoi d'autre, que j'étais outré ou en colère, mais non. Ma réponse fut :
- Ici ?
J'avais 19 ans et je sortais du lycée. Le vieux me dit que si je ne voulais pas lui montrer mon cul maintenant, que je lui laisse au moins le toucher.
- Mais pourquoi ? demandais-je.
- Ca fait des jours que je te suis. Tu as le plus beau cul de tous les gosses de l'école. Aujourd'hui que je peux te rencontrer seul, je tente ma chance.
- Et si je vais me plaindre au lycée ou aux flics ?
- Je ne crois pas que tu le fasses.
- Pourquoi ?
- Parce que quand on s'habille comme ça et qu'on a ta démarche, c'est une invitation.
- Qu'est-ce que vous voulez dire ?
- Tu vas pas me dire que tu ne le fais pas exprès. Tu portes toujours des pantalons moulants qui font ressortir ton cul. Tout ce que tu portes en haut est court de façon à ce qu'on le voit. Et quand tu marches, tu bouges ton cul de manière à ce qu'on ne voit que ça. Maintenant, si je me suis trompé....
Pendant son discours, il s'était sensiblement rapproché de moi et, au moment de sa dernière phrase, sa main était sur mes fesses. Je fis un petit écart et il se rapprocha.
Cette fois, je ne me dérobais pas. Il me fit face et posa ses deux mains sur mes fesses. Il me pressa contre lui et sentant mon sexe dressé, il dit :
- Tu vois, tu aimes qu'on te caresse le cul !
Il lâcha mes fesses et s'attaqua à ma ceinture. J'essayai de l'en empêcher mais il saisit mes mains et les posa sur mes fesses. Il glissa les siennes dans l'élastique de mon slip et les posa à même la peau de mes fesses. J'eus un mouvement de recul et puis lui offrit mes rondeurs. Il m'entraîna derrière un mur, et baissa mes vêtements. Je sentais la fraîcheur sur mes fesses nues. Il se mit à genoux, posa de nouveau ses mains sur mes fesses et prit mon sexe dans sa bouche. Après l'éjaculation, il me retourna, écarta mes fesses et glissa sa langue sur le petit trou.
- Demain c'est mercredi, dit-il. L'après-midi tu n'as pas cours. Je t'attendrais ici. On ira chez moi et je m'enfoncerai dans ton joli cul. Tu verras, tu aimeras. Moins que moi, mais tu aimeras.
Effectivement, le lendemain il était là. Nous sommes allés chez lui et il m'a déshabillé entièrement. Il a enduit mon corps tout entier avec un liquide agréablement parfumé.
Il m'a demandé de déambuler plusieurs minutes en tenue d'Adam. Il était émerveillé par la vue de mon corps nu. Tout habillé, il s'approcha de moi. Il me retourna, sortit son sexe et, d'un coup de reins me pénêtra. L'anus enduit du liquide huileux laissa glisser, sans peine, son sexe tout entier au fond de moi. Il se retira et me prenant par la main, il m'enmena dans sa chambre. Il me fit m'agenouiller contre son lit et s'enfonçant à nouveau dans mon cul, il me pilonna avec force jusqu'à léjaculation.
Je me retourne et je vois un type d'une cinquantaine d'années. Ma première réaction fut :
- Ici ?
J'aurais peut-être dû répondre qu'il était cinglé ou pédé ou je ne sais quoi d'autre, que j'étais outré ou en colère, mais non. Ma réponse fut :
- Ici ?
J'avais 19 ans et je sortais du lycée. Le vieux me dit que si je ne voulais pas lui montrer mon cul maintenant, que je lui laisse au moins le toucher.
- Mais pourquoi ? demandais-je.
- Ca fait des jours que je te suis. Tu as le plus beau cul de tous les gosses de l'école. Aujourd'hui que je peux te rencontrer seul, je tente ma chance.
- Et si je vais me plaindre au lycée ou aux flics ?
- Je ne crois pas que tu le fasses.
- Pourquoi ?
- Parce que quand on s'habille comme ça et qu'on a ta démarche, c'est une invitation.
- Qu'est-ce que vous voulez dire ?
- Tu vas pas me dire que tu ne le fais pas exprès. Tu portes toujours des pantalons moulants qui font ressortir ton cul. Tout ce que tu portes en haut est court de façon à ce qu'on le voit. Et quand tu marches, tu bouges ton cul de manière à ce qu'on ne voit que ça. Maintenant, si je me suis trompé....
Pendant son discours, il s'était sensiblement rapproché de moi et, au moment de sa dernière phrase, sa main était sur mes fesses. Je fis un petit écart et il se rapprocha.
Cette fois, je ne me dérobais pas. Il me fit face et posa ses deux mains sur mes fesses. Il me pressa contre lui et sentant mon sexe dressé, il dit :
- Tu vois, tu aimes qu'on te caresse le cul !
Il lâcha mes fesses et s'attaqua à ma ceinture. J'essayai de l'en empêcher mais il saisit mes mains et les posa sur mes fesses. Il glissa les siennes dans l'élastique de mon slip et les posa à même la peau de mes fesses. J'eus un mouvement de recul et puis lui offrit mes rondeurs. Il m'entraîna derrière un mur, et baissa mes vêtements. Je sentais la fraîcheur sur mes fesses nues. Il se mit à genoux, posa de nouveau ses mains sur mes fesses et prit mon sexe dans sa bouche. Après l'éjaculation, il me retourna, écarta mes fesses et glissa sa langue sur le petit trou.
- Demain c'est mercredi, dit-il. L'après-midi tu n'as pas cours. Je t'attendrais ici. On ira chez moi et je m'enfoncerai dans ton joli cul. Tu verras, tu aimeras. Moins que moi, mais tu aimeras.
Effectivement, le lendemain il était là. Nous sommes allés chez lui et il m'a déshabillé entièrement. Il a enduit mon corps tout entier avec un liquide agréablement parfumé.
Il m'a demandé de déambuler plusieurs minutes en tenue d'Adam. Il était émerveillé par la vue de mon corps nu. Tout habillé, il s'approcha de moi. Il me retourna, sortit son sexe et, d'un coup de reins me pénêtra. L'anus enduit du liquide huileux laissa glisser, sans peine, son sexe tout entier au fond de moi. Il se retira et me prenant par la main, il m'enmena dans sa chambre. Il me fit m'agenouiller contre son lit et s'enfonçant à nouveau dans mon cul, il me pilonna avec force jusqu'à léjaculation.
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