Il n'y a qu'un pas du fantasme à la réalité

- Par l'auteur HDS ALLUMAGE -
Récit érotique écrit par ALLUMAGE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Il n'y a qu'un pas du fantasme à la réalité Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il n'y a qu'un pas du fantasme à la réalité
Je tenais la boutique d’articles de mode de mes parents pendant leurs congés d’été. Comme les horaires étaient adaptés aux fortes chaleurs, j’avais coutume de faire une petite sieste en début d’après-midi dans la chambre attenante au commerce. J’aimais par-dessous tout m’endormir nue en sentant le souffle léger d’un courant d’air parcourir mon corps. Je m’allongeais toujours sur le ventre à même la jetée de lit pour ressentir de délicieux petits frissons du haut de mes épaules à l’échancrure des fesses. Pour faciliter l’endormissement, je me touchais distraitement, tournant lentement autour de mon bouton, vérifiant à deux doigts l’humidité grandissante de ma chatte rasée. Mes cuisses s’entrouvraient mécaniquement sous la caresse de ce doigté expert. Je ne pouvais rien faire que d’offrir dans ce mouvement irrésistible le plus rose de ma chair que j’avais initialement tenté de cacher en me couchant sur le ventre. Je savais en effet qu’il existait un risque, faible il est vrai, qu’un homme ou pourquoi pas une femme, me surprenne. Il suffisait que cette personne se hisse à hauteur d’une petite fenêtre entre-ouverte donnant sur l’arrière de la boutique. Cette idée loin de m’effrayer constituait une source d’excitation supplémentaire. Et je dois dire que parfois je laisser libre cours à des masturbations peuplées d’images licencieuses. J’étais alors loin de me douter que parfois peu de chose séparent le fantasme de la réalité. A l’heure de fermer le commerce je constatais qu’un homme d’une cinquantaine d’année assez bien de sa personne demeurait seul à examiner les maillots de bain féminins. En m’approchant, je reconnu Jean-Pierre B., un professeur de mathématiques de mon ancien lycée.
« Bonjour Jean-Pierre, c’est gentil de venir nous voir, mes parents m’ont dit que vous étiez un fidèle client ».
« Bonjour Stéphanie, c’est vrai je viens régulièrement accompagnée de Sonia mon épouse ou de mes filles, mais ce soir c’est pour te voir que je suis là »« Vraiment ? » dit Stéphanie intriguée.
« Oui, écoute c’est un peu gênant à dire mais je me souviens que tu étais plutôt maline au lycée, tu devrais comprendre que je n’ai pas le choix. »« … »« Voilà deux semaines que mon épouse Sonia passe dans le quartier, elle travaille à la Pharmacie des Plantes, et elle t’épie par la fenêtre, elle a pris au moins 3 vidéos et une quinzaine de photos qui ne laissent pas indifférent. » Joignant le geste à la parole, Jean-Pierre me montra l’une des vidéos sur son téléphone portable. Une catastrophe : je donnais un rythme endiablé à mes fesses charnues, en m’introduisant des doigts alternativement dans le vagin et dans le rectum. On me reconnaissait parfaitement malgré la posture, d’autant plus que je montrais plusieurs fois mon visage à la caméra pour récolter de la salive sur mes doigts que je mélangeais à ma mouille.
Je pleurais de honte. « Je ferais ce que vous voudrez… ne montrez cette vidéo à personne, je vous en supplie. » Sans réfléchir davantage, je descendais le short puis le boxer de mon ancien professeur et je le pompais avec des efforts de sportive de haut niveau pour lui faire exploser son sperme dans ma bouche. Jean-Pierre en décida autrement, il m’entraîna vers l’arrière-boutique et demanda à voir mon cul.
Mes fesses nues pleines et charnues étaient si belles et attirantes selon lui que l’homme mûr ne résista pas à l’envie de prendre vigoureusement mon arrière-boutique. Mes cris l’excitaient, je ne feignais pas de jouir, le cul tremblant sous les coups de butoir tendus de sa chair rouge naturellement lubrifiée de ma mouille. A un moment, il sortit sa bite de mon cul et m’invita à le branler et à le sucer. Je lui caressais les fesses et je le doigtais cherchant sa prostate. Au rythme de son souffle il était évident que l’homme allait bientôt gicler. Ma bouche chaude en ventouse autour de sa bite, il jouit plus fort que jamais dans ma gorge. Je me rendis compte trop tard que j’avais avait oublié de fermer la porte de la boutique à clé. En me retournant, je vis Sonia la voyeuse qui était restée en retrait pour savourer toute la scène.

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