Un beau réveil 5

- Par l'auteur HDS Mysterious1991 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un beau réveil 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un beau réveil 5
La sucette préférée de Constance

Ce sont des coups de langue, de nouveau, qu’elle me donne. Mais, ceux-là sont différents des léchouilles auxquelles mon pénis avait droit jusqu’à présent. Alors que sa langue me léchait et me cajolait, là, mon pénis se heurte à elle. Néanmoins, ça n’en est pas moins agréable. C’était… différent, mais ça me plaisait. Ce contact me pousse, de plus en plus, inexorablement vers le bord du précipice : ce délicieux précipice auquel on veut s’abandonner quand on a franchi le point de non-retour et qu’on appelle… le plaisir, et, plus tard, la jouissance.
– Hmmm… Hmmm…
Constance m’étonnera toujours. Elle n’est plus tout à fait la même Constance, mais elle n’est et ne sera jamais une autre. Je n’avais pas idée de ses talents, de ses dons de suceuse. Je… l’aime.
– Mon chéri… S’il te plaît ! Abandonne-toi ! Laisse le plaisir prendre possession de toi… Oh… Tu m’excites !
Elle gémit. Je sais que Constance aime faire des bruits de plaisir, dans l’intimité. Elle le fait parce qu’elle est excitée, pour m’exciter. Cependant, il ne s’agit plus là de tout petits bruits. Là, ça ressemble davantage à des gémissements, comme si… elle prenait son pied alors que je ne lui fais plus rien parce qu’elle a pris les devants et qu’elle me pompe goulûment.
– Si tu savais comme tu m’excites, Lucas! Tu me donnes envie ! Tu m’as donnée du plaisir toute à l’heure. Et là…
Elle gémit de nouveau. Encore… Et encore… Et encore… Constance hoquette de plaisir. Et, après le son, elle me montre l’image, si je puis dire : elle interrompt momentanément la pipe qu’elle me faisait, et me laisse un aperçu de ses doigts s’agitant tout doucement sur son minou. Constance m’étonnera toujours.
– Tu confirmes ce pourquoi je te surnomme «ma petite coquine», Constance. Tu aimes ça, quand je t’appelle ainsi ? Tu aimes ? Avoue !
Elle glousse, mais n’en pense pas moins. Elle ne perd pas le fil de sa masturbation, et sa main retrouve sa minette. De son main, elle me reprend. Ma queue est toujours autant en verve, et MA Constance me reprend, d’abord légèrement, puis plus profondément, dans sa calanque vanillée. Sa tête s’agite sur mon membre, et je plonge ma main dans ses cheveux pour la guider. Je veux qu’elle me prenne profondément, et qu’elle aille plus vite. Elle me regarde… Elle se doute de ce que je suis en train de faire. Son regard pour moi en dit long : elle a compris que je veux qu’elle me fasse jouir, et que je veux jouir dans sa bouche. Ce n’est plus qu’une question de temps… Ma queue est définitivement la sucette préférée de Constance. Notre beau réveil m’en donne la preuve irréfutable par a+b. Je sais que je n’oublierai jamais ce «beau réveil» pour le restant de mes jours. Jamais.
–Laisse-toi aller, mon Lucas…
C’est ce que me dit Constance, entre deux séquences de caresses buccales où elle enrobe mon gland de sa belle «petite» langue rose. Constance est une suceuse de première, et je n’imaginais pas une seconde, auparavant, que la fellation lui plairait… l’exciterait à ce point. Là, le fait qu’elle en soit à l’initiative, qui plus est, y confère une importance, une valeur toute particulière.
– Laisse-toi aller…
(…)
– Je vais, je viens… Je vais, je viens… Je…vais, et je… viens. Oh !
Je ne sais pas combien de temps, ni combien de fois cette séquence se répète, mais j’y prends goût, j’aime et… je sens que je suis de plus en plus en train de perdre pied. Constance est belle quand elle se fait jouisseuse et qu’elle est à deux doigts de me mener au septième ciel. Constance est belle quand elle se laisse aussi aller aux caresses qu’elle se prodigue parce que me donner du plaisir l’excite beaucoup et l’incite à se masturber. Me faire jouir et pouvoir goûter à ma jouissance la transcende. Constance est belle, et je l’aime. Elle retire ma verge de sa bouche, et me regarde, songeuse.
Mon Lucas… ? Tu ne peux pas t’empêcher de penser à nous deux ? C’est à ça que tu penses ?
Je la regarde intensément, et acquiesce d’un hochement de tête : Constance est comme le vin. Elle se bonifie avec les années. Elle s’embellit au fur et à mesure que les années passent. Je me souviens de la Constance froide et taciturne de la licence pro. Je me souviens de la Constance qui n’aimait pas son corps et dont la seule et simple vue de celui-ci lui faisait honte. Je me souviens de la Constance que j’ai initiée, avec patience. Je me souviens de la Constance qui s’est épanouie, petit à petit. La chrysalide est devenue chenille. La chenille… papillon. En occurrence, un très joli papillon sexy aux cheveux blonds coupés courts, aux yeux chocolat, à la poitrine menue mais irrésistible.
– Jouis, Lucas… Je veux que tu te laisses aller, et que tu te laisses jouir…
Son amour pour moi ne s’est jamais tari. Son appétit sexuel est devenu insatiable. Elle a désormais une sensualité épanouie. Je la regarde, intensément, de mes yeux d’homme amoureux, et je me dis que Constance est tout ce dont j’avais toujours eu envie, tout ce dont j’avais toujours rêvé, et depuis qu’elle est dans ma vie, dans mes bras… Je me dis que ce beau réveil est, au final, une belle idée, venant d’elle. Et, au moment où je le pense, je sens comme un courant descendre progressivement ma colonne vertébrale. Une sensation étrange mais agréable… Une sensation à laquelle on ne peut pas résister. On ne veut pas. Oh… ! Je vais… Je le sens…
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Les seins de Constance

– Oh mon chéri… C’est si beau de te regarder prendre du plaisir parce que c’est moi qui te le donnes. C’est si beau de te regarder rendre les armes. Ma langue sur ton gland… Constance lui donne un petit coup de langue.
– Mes lèvres autour de ton gland…
Elle l’enrobe de sa bouche.
– Tu es si beau, mon Lucas.
Elle pousse un soupir.
– Laisse-toi aller… au rythme du plaisir que je te donne, mon chéri… Laisse-toi aller… au rythme de ma bouche qui te lèche et qui te suce…
Elle a mon membre en bouche, et sa bouche coulisse, va et vient sur mon membre.
– Laisse-toi aller… au rythme de ma main qui te caresse les bourses…
Elle a pris mes bourses dans la paume chaude de sa main. Elle les caresse, délicatement. Elle les masse. Je geins. Je gémis. Des petits cris. Je… lâche… prise.
– C’est ça, mon amour… C’est ça ! Prends du plaisir. Lâche prise. Pour moi… Jouis… Je veux que tu jouisses ! Je veux te faire jouir. Je veux que tu jouisses dans ma bouche. Je veux sentir ton sperme chaud dans ma bouche, sur ma langue. S’il te plaît… ! Pour t’aider, je pose… une main sur tes bourses, et je les réchauffe. Et je te prends dans ma bouche… profondément. Je te veux… jusqu’à ma gorge. Et je vais, je viens… Je vais, je viens… Je vais et je viens…
Son désir pour moi… J’ai envie de lâcher prise. De jouir pour elle. D’ailleurs… je n’en suis plus très loin du tout, hmmm… il me semble. Sa respiration s’est accélérée au fur et à mesure que l’idée de me faire jouir, de me sentir et de me voir éjaculer sur elle est de plus en plus une réalité et qu’elle l’excite. Elle respire rapidement, beaucoup plus rapidement. Elle halète.
– Oh… Oh… Oh ! Je t’ai dans ma main… et dans ma bouche, et je vais… je viens. Je vais… je viens. Oh mon chéri…
Et moi… Je continue de sentir descendre cette boule délicieuse de plaisir le long de ma colonne vertébrale. C’est très agréable de la sentir en moi, cette boule de feu du plaisir. Constance agite sa tête pour me prendre encore et encore, profondément… toujours plus profondément dans sa bouche.
–Mon chéri…
Elle halète alors que moi aussi je halète. Je gémis. C’est tout simplement… exquis. Constance est une déesse du sexe.
– Tu la sens ma bouche sur toi, en toi ? Tu l’aimes ? Et tu aimes ma main qui caresse tes bourses ?
Ses mains caressent idéalement mes bourses dans leur paume, et c’est un délice de sentir à la fois leur chaleur et leur confort sur la peau de mes testicules, et sa bouche qui va et qui vient sur mon membre. Elle me prend, et je ne peux rien y faire. Je n’ai juste qu’à savourer et à me laisser aller…
– J’ai tant envie… de te faire jouir. J’aime te faire jouir. J’aime… sentir ton sperme… chaud… sur ma main… dans ma bouche… descendre dans ma gorge… sur mes seins… sur mon ventre… en moi, quand tu me fais l’amour. Oh oui… J’aimerais bien que tu jouisses sur moi. S’il te plaît…
Sa voix a baissé d’une octave. A la limite du murmure. C’est intime. Elle me supplie de jouir pour elle, sur elle. J’en ai envie. Je le veux, moi aussi. Un coup, elle est préoccupée à continuer de me prendre dans sa bouche, encore et toujours, et de me donner du plaisir, encore et toujours. Un coup, elle aime regarder dans ma direction, et y trouver mes yeux. Elle est fascinée par les expressions de mon visage alors que je prends du plaisir, encore et toujours. Ça la fascine, et, à mon avis, ça la transcende. Constance a besoin de mettre en scène le plaisir qu’elle ressent. Par des sons. Par des mots. Par des regards. Ça lui tient à coeur de me donner du plaisir. Je le sais parce que ça revient souvent dans nos discussions sur l’oreiller, post-sexe. Elle est beaucoup attachée à me donner du plaisir. La perspective de me faire jouir revêt une importance toute particulière à ses yeux. Elle me regarde, ses yeux braqués sur les miens.
Elle me regarde, sans dire un mot, attendrie. La petite coquine a fait place à ma petite amie : une jeune femme follement amoureuse dont mon plaisir est la priorité.
La boule de feu du plaisir continue de descendre.
Le plaisir a pris possession de moi.
Le plaisir est en moi.
Le plaisir fait partie intégrante de moi.
Je ne vais plus pouvoir me retenir.
Je gémis.
Je ne boude pas mon plaisir.
Je crie mon plaisir.
Ça pousse Constance à ne plus me prendre dans sa bouche. Elle sait que je suis sur le point de jouir.
Elle a un sixième sens, un cinquième as. Elle me connaît bien.
(…)
D’une main, elle me masturbe. De l’autre, elle se caresse un sein. Elle se lèche les lèvres. Elle a envie que je jouisse… Constance m’a repris dans sa main. Elle tient fermement, maintenant, ma queue autour de sa poigne. Elle me branle plutôt énergiquement à présent.
– Tu aimes quand je te branle comme ça, Lucas? Tu as envie de jouir ? Tu en meurs d’envie, de jouir ?
Constance sait parfaitement qu’il s’en faut, maintenant, de très peu, pour que je jouisse. Elle seule sait y faire pour me faire jouir.
– Tu aimes que je me touche et que je me caresse les seins pendant que je te tiens fermement dans ma main et que je m’apprête à te faire jouir ?
Sur ces mots, je lâche prise. Je ne pense à rien d’autre. Constance m’excite tellement. Énormément.
Je ne demande que ça… ! Jouir… pour… elle.
– Ça t’excite que je me donne du plaisir alors que je te masturbe et que je ne demande que ton sperme sur moi ? Petit coquin! Lucas… Jouis ! Oh… S’il te plaît… ! Tu… m’excites, mon chéri !
Si tu savais à quel point tu m’excites aussi, Constance… Je ne demande que ça, tu sais ! Jouir sur ton corps… en guise de remerciement… de cadeau.
– Tu les aimes, mes petits seins ?
Elle continue de se caresser le sein qu’elle avait pris dans sa main, toute à l’heure, au moment où elle avait arrêté de me sucer et qu’elle avait recommencé à me branler. Elle en pince doucement le téton. Toujours et encore…
– Mes petits seins tout mignons… Tu aimes les caresser ? Les toucher ? Les embrasser ? Les téter ? Les lécher ? Moi… je le sais…
Tout en me branlant énergiquement mais tendrement, tout en se caressant les seins de son autre main, elle me regarde droit dans les yeux et elle se lèche les lèvres. Elle tire la langue à d’autres moments aussi. Elle y tapote mon gland. Que… c’est… bon… Elle me signifie que ça l’excite, elle aussi, et qu’elle me désire… Je suis tout ému ! Cette émotion me fait rapprocher, encore plus, non seulement du précipice, mais aussi et surtout, de ma Constance. Je suis un homme à la mer. Un homme perdu. Il ne me reste plus qu’à céder… et à me laisser jouir.
– Je les aime, mes seins, vois-tu… Mais… C’est quand même dommage, à certains égards… Si j’avais eu des gros seins… Je veux dire… Des seins un peu plus gros… Tu aurais pu… y glisser ta belle queue entre eux deux et qu’elle y soit bien au chaud… Tu t’y serais… masturbé… Tu… aurais coulissé entre eux, et ça aurait été agréable. J’aurais… humidifié le clivage de mes gros seins avec ma salive et… ça aurait été… jouissif, non seulement pour toi mais aussi… pour moi… Je t’aurais aidé à jouir, ça, tu le sais. Tu peux me croire !
Et, tu… aurais éjaculé sur mes seins.
Hmmm…
Constance fait un bruit de plaisir. Un bruit sexy. Constance m’excite encore plus, surtout après qu’elle ait dit ça. Même si l’imaginer avec des seins plus généreux m’excite, j’aime et je désire Constance telle qu’elle est.
– Constance chérie… Amour… Tes seins sont beaux comme ils sont, tu sais ! Je t’assure ! Et bien qu’ils soient petits, je te l’accorde… Je les adore et ils me plaisent ainsi. Ils m’excitent. Oh… oui ! Si ça ne tenait qu’à moi, j’y déposerais volontiers… ma semence d’amour… avec amour.
– Mon Lucas…
– Tes seins sont beaux comme ils sont, Constance. Petits mais très mignons. Tu es belle comme tu es, Constance Moreau ! Quand vas-tu le réaliser ? Quand tu n’es pas là, je pense à toi et… je pense à ces deux petits seins. Cachés sous ta tenue soi-disant sage de professeur documentaliste, là-bas, au collège où tu bosses. Je t’aime, Constance Moreau. Je suis encore si fou de toi, même avec les années.
Constance braque ses yeux dans les miens. Elle me fixe. Ses yeux sont brillants. Ils semblent lui piquer, comme elle dit, quand elle est émue. Et là… l’émotion prend possession d’elle. Elle est toute émue ! Constance Moreau est émue ! Eh bien… ! Je… l’aime.
– J’ai bien aimé ce que tu viens de me dire là. Moi aussi, je t’aime, Lucas Monnet. Amour… Je me sens belle à travers tes yeux. Je me sens belle, adulte et sexy, dans mon corps et dans ma tête.
Elle se caresse son autre sein, sous mes yeux. Constance s’exhibe devant moi, et je l’aime. Elle sait qu’elle m’excite, la petite coquine, et elle en joue ! Elle s’en amuse… Elle en attrape le téton de ses doigts. Elle le pince. Mon dieu… cette femme est juste… sexy. Vraiment. Vous pouvez dire ce que vous voulez. Constance Moreau est la femme la plus sexy de la Terre. Du moins… elle l’est à mes yeux.

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