Le gang des souleveuses 3/3

- Par l'auteur HDS Bgp -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le gang des souleveuses 3/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le gang des souleveuses 3/3
Elle tend ses bras devant elle et Lidia m’y dépose précautionneusement. D’une puissante impulsion, Véronique me replace plus confortablement dans ses bras et est surprise du peu d’effort que ça lui coûte.



— C’est vrai qu’il n’est pas plus lourd qu’une poupée !



Elle se met alors à me jeter en l’air. Elle est si puissante que mon corps monte facilement au dessus de sa tête. Je perds le sens de l’orientation jusqu’à ce que la brute plus expérimentée me laisse retomber une dernière fois dans ses bras musclés. Elle soutient mon corps chétif et quasi nu comme si je ne pesais rien, et se met à me bercer. Quand elle me lançait comme une crêpe, un de ses énormes seins en a profité pour sortir de son soutien gorge, laissant apparaître un téton large et pointu. Déplaçant sa main qui est derrière mon dos sous ma tête, elle me force doucement à téter cette énorme mamelle de ma petit bouche. Cette une sensation totalement nouvelle pour moi. Je le sens durcir sous les caresses de ma langue et il a un goût à la fois sucré et salé. Je sens Véronique frémir de plaisir et mon sexe durcit à nouveau de pouvoir jouer avec ce joyau si lourd. Gloria s’en rend compte et prend part au jeu.



— Regarde ! ça l’excite de téter ta grosse mamelle. Je vais le soulager de ça.



La géante qui m’a maintenu si longtemps en l’air par la simple force de ses deux bras saisit délicatement mon sexe entre son pouce et son index, comme le lui a montré Véronique. Appliquant une pression calculée, elle stimule adroitement mon pénis qui frotte contre l’autre sein de Véronique. Je me laisse aller à cette douce sensation qui se transforme rapidement en un plaisir plus puissant qui force mon corps à se cabrer dans les bras de l’amazone. Je jouis sur le sein titanesque de la belle Véronique qui me regarde d’un sourire bienveillant.



C’est à ce moment que je perçois un claquement de talon familier. Tournant la tête, je vois en contre jour la haute et large silhouette de Mme Stein, notre prof. Elle fronce les sourcils devant le spectacle qui s’offre à elle: trois pulpeuses et jeunes amazones, dont une porte dans ses bras le petit corps chétif de leur camarade qui a son short et son slip sur les chevilles.



— Mais qu’est ce qui se passe ici ! Que fais tu les seins nus en portant ton petit camarade avec le pubis à l’air ? Mais je rêve ! Tu as du sperme sur ton visage et sur ta poitrine !



Véronique passa rapidement sa langue sur ses lèvres pour tenter d’enlever un peu de la substance. Elle fait moins la maline maintenant.



— Mais que lui avez vous fait ? Ses fesses sont rouges comme des écrevisses ? Vous l’avez fessé ? Ce n’est pas bien du tout de s’en prendre à plus faible que soi. Vous êtes deux fois plus lourdes que lui et vous voyez bien que maigre comme il est, il n’a pas le quart de votre force. Donne le moi !



Mme Stein est une femme au physique impressionnant. D’origine allemande, c’est une immense blonde qui dépasse largement les 1m90 perchée sur ses talons. Même mes trois tortionnaires paraissent petites à côté de cette déesse nordique aux larges épaules. Se baissant légèrement, elle passe ses bras sous mon dos et mes genoux et dérobent mon corps chétif à Véronique. Me voilà à nouveau porté comme un enfant. Mme Stein me tient précautionneusement contre sa forte poitrine et invective les trois amazones.



— Regardez dans quel état vous l’avez mis ! Partez, je ne veux plus vous voir !



Lidia, Véronique et Gloria ne demande pas leur reste et déguerpissent avant qu’une punition ne leur tombe dessus. Mme Stein fait pivoter mon corps pour que tout mon poids repose sur un seul de ses avant-bras. Le contact de ses muscles sur mes petites fesse meurtries est douloureux au début puis anesthésiant tant elle dégage de chaleur. Mon corps repose confortablement contre son énorme sein gauche qui s’étale sur tout mon torse .Sa main libérée, elle s’en sert pour ouvrir la porte et elle me porte délicatement dans la salle de cours. Une fois la porte refermée, elle saisit mon short et mon slip et alors que je crois qu’elle va me rhabiller, elle finit de faire tomber mes vêtements au sol, enlevant mes chaussures dans le même mouvement, rapide et puissant. Je me redresse un peu pour la regarder et essayer de comprendre ce qu’il se passe.



— Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te faire de mal, mais ils va falloir me faire du bien !



Elle prend alors mon tee-shirt et le tire vers la tête pour me l’enlever. Je me retrouve totalement nu contre le corps spectaculaire de la valkyrie qui soutient tout mon poids d’une seule main. Elle en profite pour caresser mon torse fin et imberbe de ses larges mains parfaitement manucurées.



— Tu es si doux et si mince ! Je comprends qu’elles ont eu envie de te déshabiller. C’est clair que tu n’étais pas de taille à te défendre face à ces trois jeunes brutes, c’est à peine si je sens ton poids. Tu es une plume pour moi !



Je ne comprends pas où elle veut en venir et cherche une réponse dans les immenses yeux bleus clairs de ma sauveuse. C’est à ce moment qu’elle déboutonne son chemisier, laissant apparaître une poitrine opulente comprimée dans un soutien gorge qui est pourtant d’un bonnet plus que respectable. Je n’avais vu un décolleté aussi généreux et mon sexe, déjà excité par le contact à la fois ferme et généreux de son sein gauche se dresse vers le ciel.



— Je vois que je te plais beaucoup. Vous êtes tous pareil les petits français. Vous vous pissez dans l’ œil dès qu’une belle et grande blonde vous soulève et vous montre ses gros seins.



Je n’en reviens pas. On dirait que c’est dans ces habitudes de manipuler des hommes comme elle le fait avec moi en ce moment. Elle me porte alors jusqu’ à son bureau, soulève légèrement mes jambes, s’assoit, puis me pose sur ses larges cuisses dont la fermeté me surprennent. Une de ses mains pénètre dans son soutien gorge et en sort la plus énorme mamelle que j’ai jamais vue. Elle est plus grosse que ma tête !



— Vas y ! Prends ce téton en bouche !



Je m’exécute avec attention. Je passe mes deux petites mains sous ce sein titanesque et le soulève avec difficulté pour porter le téton à ma bouche. Je sens Mme Stein vibrer dès que ma petite langue titille ses sombres aréoles. La géante blonde laisse remonter une de ses énormes mains sur mes jambes de gazelle jusqu’à ce qu’elle se retrouve sous mes petites fesses, légèrement décollées pour mieux jouer avec l’immense masse de son sein. Je sens un des ses doigts s’insinuer dans ma raie et commencer à chatouiller ma rondelle. Je frissonne de plaisir à ce contact si nouveau et arrête de lécher l’énorme téton de la belle.



— Continue, ne t’inquiète pas, je ne te veux pas de mal.



Je continue donc à titiller cette poitrine si opulente et Mme Stein semble prendre de plus en plus de plaisir. Son doigt s’agite de plus en plus fort et de plus en plus rapidement sur mon anus, qu’il finit par le pénétrer. Je vibre de plaisir de la sentir en moi. Le géante commence à gémir de plaisir alors qu’une chaleur croissante rayonne depuis son doigt et finit par m’envahir tout le corps. Je suis secoué d’un plaisir dont je ne soupçonnais même pas l’intensité et qui augmente au fur et à mesure que le gros doigt de ma prof me pénètre plus profondément. Je jouis sur le sein de la géante qui est entrain de mouiller sa culotte sous mes coups de langue. Mon corps se relâche et si je n’étais pas soutenue fermement par Mme Stein qui a toujours un doigt dans mon fondement, je glisserais vers le sol.



— Tu as été parfait ! Ta petite langue est si douce.



Je me suis jamais senti aussi bien. Mon corps repose contre la plantureuse poitrine de ma géante de prof qui me tient toujours empalé. Je suis si épuisé d’avoir été le jouet de toutes ces amazones. Mes yeux se ferment de sommeil et je m’endors, serein, mon petit corps pelotonné dans le giron de ma sauveuse.



FIN

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