Une plantureuse et experte gymnaste - 5

- Par l'auteur HDS Bgp -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une plantureuse et experte gymnaste - 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une plantureuse et experte gymnaste - 5
La belle posa carrément sa bouche sur mon cul et y fit entrer sa langue. Elle savait alterner les caresses de surface et les mouvements plus profonds qui frôlait ma prostate, dont elle connaissait parfaitement l’existence et la position. Quand je fus suffisamment ouvert et lubrifié pas sa salive, elle se redressa, et enserra mes deux chevilles dans une seule de ses grandes mains et continua à pousser pour maintenir l’accès à mes petites fesses à sa main libre. Elle inserra d’abord son index, puis son long majeur. J’avais l’impression que ses deux doigts me remplissaient entièrement, comme si je les sentais au fond de ma gorge. Son index caressait ma prostate avec adresse et elle savait doser la pression pour que ce ne soit pas douloureux. Je sentais la douce chaleur caractéristique des prémices d’un orgasme m’envahir et je ne pouvais rien contrôler tant cette sensation était cette fois totalement dé-corrélée de tout contact avec mon sexe, qui s’étalait comme une limace sur mon pubis. Je ressentais un plaisir exactement similaire à celui que j’avais adolescent quand mes éjaculations nocturnes me faisaient mouiller mon lit. Je pissais littéralement du sperme en gémissant comme une chienne en chaleur pendant que l’amazone sondait mon fondement de ses doigts experts et puissants. Jamais je n’avais joui pendant aussi longtemps.



— Je ne suis pas sûr que tu as résisté plus de 3mn. ça t’a plus au moins ?



Je n’arrivais pas à parler tant j’étais essoufflé.



— Oh oui ! Je ne savais même pas qu’un homme pouvait jouir de cette manière. Tu es si douée ! Comment as tu appris ça ?

— J’ai eu la chance d’avoir un couple d’amis très ouverts. Je leur plaisais beaucoup, aussi bien à l’homme qu’à la femme, qui avait un petit côté légèrement pervers et dominant. Elle m’a laissé m’ entraîner sur son époux, pour leur grand plaisir à tous les deux.



L’amazone avait encore ses doigts dans mes fesses et mes chevilles dans sa main. Elle libéra mon anus et attrapa une serviette de toilette qu’elle laissait dans sa table de chevet. Elle essuya la flaque de sperme qui s’était formée sur mon ventre et qui commençait à couler dans la raie de mes fesses. J’avais parfois l’impression d’être juste une poupée dans ses puissantes mains de sportive. Une fois nettoyé, elle laissa mes jambes prendre un position normale et elle vint lover son grands corps contre le mien, laissant un de ses seins reposer sur mon buste. Elle couvrait ma joue de petits baisers et je souriais béatement, encore sous l’effet du puissant orgasme qui m’avait envahi.



— Je ne pensais pas vivre une telle expérience ce soir ! Tu es une femme si surprenante !

— On tente souvent de me séduire mais c’est rare que je succombe aussi vite. Tu es tellement mignon et je t’ai trouvé si touchant quand tu étais assis blessé dans le sable. Quand je t’ai soulevé et que je t’ai senti si léger dans mes bras, j’ai craqué et j’ai su tout de suite je pourrai aller loin avec toi.

— Quand tu m’as soulevé et que tu m’as senti léger ? C’est si important pour toi ?

— Oui, on ne choisit pas ses orientations et je suis comme ça. ça m’excite terriblement quand je peux manipuler un homme de cette manière.



Je tournai alors mon visage vers le sien et l’embrassai tendrement. Nos ébats nous avaient épuisés et nous nous endormîmes l’un contre l’autre, nus comme des verres.



Je fus réveillé par la lumière du jour. Maryline dormait encore collée à moi. Elle était tellement belle que je ne me lassais pas de la regarder. Elle ouvrit finalement les yeux et me sourit tendrement.



— Bonjour Princesse.

— Bonjour mon blessé. Comment va ton pied ?

— Je ne sens pas de douleur. Je pense que je vais pouvoir marcher. Tu n’auras plus à me porter.

— Oh Non ! S’il te plait. Tu me laisseras un peu quand même ?...Je ne te laisserai pas le choix de toutes façons !



La belle déplia son corps immense et se leva. Même si elle me tournait le dos, je pouvais voir sa plantureuse poitrine dépasser sur les côtés. Elle avait encore ses talons aux pieds et quand elle s’étira, ses mains touchèrent le plafond. Je ne me lassais pas de cette immense silhouette si gracieusement musclée. Elle marcha jusqu’à mon côté du lit, passa un de ses bras sous mes genoux et l’autre sous mon dos, et souleva mon corps nu contre ses seins, comme si je n’étais pas plus lourd qu’un fétu de paille. Elle plia les bras, forçant mon visage à aller contre le sien et je compris intuitivement qu’elle voulait un baiser. Je mis mes bras sur ses épaules et posai mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser tendrement. Elle se promenait dans la chambre tout en me portant et se planta devant le miroir.



— Regarde comme tu es mignon dans mes bras.



Les lourds seins de l’amazone reposaient à nouveau sur mon corps. Je n’avais pas encore eu l’occasion de me rendre compte réellement de notre différence de gabarit. Sa main était si large qu’elle pouvait quasiment contenir mon genoux. Ses cuisses musclées étaient probablement deux fois plus larges que mes jambes squelettiques. Alors que son corps était une symphonie de muscles puissants mais délicats, le mien ressemblait à un assemblage fragile de membres chétifs. Ma taille était si fine, et mes côtes apparentes roulaient sous ma peau à chacune de mes respirations. Elle me faisait sentir si faible et si homme à la fois. Cette vision fellinienne de la géante qui porte un homme enfant eut tôt fait de m’exciter à nouveau et mon sexe se fraya un chemin au milieu des seins de la belle qui me souriait tendrement. Même dressé entièrement, il était loin d’être assez gros et long pour faire surface au milieu de ses énormes joyaux.



— ça a vraiment l’air de te plaire quand je te porte comme ça ?

— Oh oui, je me sens si bien.



Je regardai ensuite par la fenêtre et vis qu’il pleuvait.



— Il n’a pas l’air de faire très beau.

— Non, c’est un journée à rester au lit !



La belle me jeta sur le lit et à peine j’avais atterri sur le ventre qu’elle était déjà sur moi avec sa main dans ma raie.



— Et je sais bien comment on va s’occuper !



FIN

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