COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma femme est sexologue (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma femme est sexologue (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma femme est sexologue (1/1)
Quand on épouse une femme plus jeune que soit, souvent on se retrouve à la retraite avant elle.

- Tu as beaucoup de clients aujourd’hui.
- Quatre femmes et deux hommes.
Deux femmes et un homme ce matin et un couple et une femme cette après-midi.
Et toi que vas-tu faire Christian !
- Comme d’hab vu le temps, je vais travailler sur ma collection de timbres.
- Passe une bonne matinée, tient j’entends ma première cliente sonner et entrer dans la salle d’attente.
Les clients sont contents de ton travail, c’est sympa d’avoir donné un coup de jeune.

Dans les premiers temps de ma retraite, j’ai comme cela refait une partie de l’appartement sauf son bureau, les clients étant si nombreux que dégagé trois jours semblaient impossibles.
Nous avons convenu de faire intervenir son frère lui aussi très bricoleur bien que moins méticuleux que moi lors de nos prochaines vacances.
J’étais Cadre commercial et moi aussi très pris.
Quand Chantal a voulu ouvrir son cabinet et que nous avons pris cet appartement propriété d’un médecin parti lui aussi en retraite, nous nous sommes imposé une ligne rouge à ne pas franchir.
Trois semaines de vacances en Août.
Trois semaines à nous-même si à tout moment de liberté nous aimons baiser avec Chantal.
Il nous arrive de le faire entre deux clients, entendre parler des problèmes de queues de certains mecs, est du genre à lui échauffer la chatte.
Quand je suis dans l’appartement et que mon portable sonne avec un appel de « Chantal » je sais qu’elle est chaude comme la braise et que ses dossiers risquent de se casser la figure au sol lorsque je la prendrais sur son bureau.
C’est pendant la rénovation de la salle d’attente que ma découverte devait changer ma vie.
Les patients étaient dans l’entrée pendant que je travaillais, j’avais placé le nécessaire pour peindre et pour poser les tentures dans le cagibi donnant sur le couloir.
Le bureau est insonorisé de toutes les autres pièces, permettant à Chantal de poser des questions très intimes et recevoir des conseils sans que personne n’entende.
Je suis dans le cagibi à mélanger mes peintures quand j’ai entendu clairement des voix.

- Vous avez fait l’amour depuis votre dernière visite.

J’avais vu sur l’un des sièges dans le couloir un couple qui attendait.
La femme semblait nerveuse se triturant les mains.

- Oui, deux fois.
- Avez-vous suivi mon conseil ?

Je quitte le local sans me faire remarquer.
Quand d’un commun accord on a débarrassé la salle d’attente, j’ai été obligé de vider ce cagibi ou nos prédécesseurs avaient laissé un capharnaüm impossible.
J’ai fait venir un dépôt vente qui a tout emmené sans que ça nous coûte les moindres sous.
De nombreuses affaires comme ce lit pliant étant revendables.
C’est quand Chantal est partie chez sa coiffeuse au coin de notre rue, que j’ai pu sodé pourquoi j’entendais nettement ma femme et ses clients parler.
Le cagibi avait été rapporté et ceux qui ont fait ce travail n’ont pas eux la pensée que quelqu’un pourrait entendre ce qui se passait dans le bureau du médecin avant et de ma sexologue de femme maintenant.
Les deux cloisons rapportées sont en Isorels laissant passer les sons comme si j’étais dans le bureau.
Le papier peint que nous devons changer nous a empêchés de nous inquiéter de ce problème n le connaissant pas.
Dans les jours qui ont suivi ma découverte, les travaux ont pris du retard.
Voyant qui rentrait dans son cabinet, je choisissais mes cibles en fonction de mes envies.
C’est le cas de ce jeune couple, elle jolie petite blonde.

- Où en êtes-vous, vous avez suivi mon conseil.
- J’ai essayé, nous étions nus dans notre salon.
Julien a eu du mal au début de se promener dans le plus simple appareil.
- Mais je m’y suis fait, j’ai même réussi à me rendre sur notre balcon.
- Quelqu’un vous a vu.
- Je l’ignore mais je dois dire que de penser que dans la rue ou dans l’immeuble d’en face on pouvait me voir, j’avais peur mais ça m’excitait.
- Et vous Julie, vous me disiez que vous étiez nus dans votre salon.
- Oui, j’ai avancé ma bouche mais je n’ai pas eu le courage de le prends dans ma bouche.
Nous avons déjà parlé de mon éducation très rigoriste et ce que vous appeler des fellations ça me donne envie de gerber.
- Essayez encore, vous allez y arriver.

Je suis sorti de mon placard, afin d’éviter de commencer à me masturber.
J’ai perdu mes vingt ans et si je veux pouvoir baiser Chantal si elle m’appelle je dois rester raisonnable.
« Hello le soleil brille. »Je sais je voudrais changer cette sonnerie de mon portable mais je n’y pense que lorsqu’il sonne.
Le couple doit être parti et madame à des besoins que je vais m’empresser de concrétiser.

- Baise-moi, vite tout de suite.
- Non avant suce-moi, tu le faisais dans les premiers jours de notre vie sexuelle commune.
- Tu as raison donne-moi ta queue.

Depuis combien de temps, Chantal ne m’a tel pas pris en bouche, surtout qu’elle sait y faire, mais l’habitude à faite que nous avons pris l’habitude de bâcler les préliminaires.
Ce qui est bon, c’est qu'elle ne fait pas le lien avec le couple qui vient de partir et pour lequel elle leur a donné le conseil de faire des fellations.
Je fais attention, mais je retourne naturellement chercher un pinceau pour le bord des moulures de plafond.
J’ai loupé le début de l’entretien et j’ignore une fraction de seconde qui est dans le bureau.
Je me rends compte que c’est un homme.

- J’aimerais sodomiser ma femme, mais j’ai peur qu’elle ne le prenne mal.
- Pourquoi voulez-vous la sodomiser, ça fait partie de vos fantasmes.
- Oui, j’ai vu ma mère un jour tendre son cul pour que mon père la prenne comme une chienne, ce sont les mots qu’ils employaient.
Depuis ma puberté venue, j’ai su ce que tout cela voulait dire et j’ai une furieuse envie de le faire à ma femme Julie.

Encore une Julie qui devrait passer à la casserole, je comprends que c’est un coup de chance que ces deux femmes aient le même nom car la voix de l’homme est différente de celle du couple.

- Avez-vous essayé de mettre un doigt dans le rectum de votre conjointe, elle vous en demanderait peut-être un peu plus et vous pourrez la sodomiser afin de réaliser votre fantasme ?
Vous savez, il n’est nul besoin de réaliser tous ces fantasmes, souvent après on est déçu.
- Vous dite ça comme si vous parlez d’expérience, vous faite vous sodomiser par votre mari
Je sens comme un flou de la part de Chantal, est-elle troublée.
Comme pour les fellations on la fait il y a bien longtemps mais sans nous concerter nous avons arrêté.
C’est le soir alors que nous faisons l’amour, quand elle se met en levrette que je vois sa rosette à portée de main, plutôt de doigt.
J’y introduis mon majeur de ma main gauche.

- Christian que fais-tu c’est une nouveauté de me mettre un doigt dans le cul.
- Un doigt dans le cul, tu parles comme ça avec tes clients quand ils évoquent la sodomie.
- Non, je parle de rectum, mais continu, j’aime énormément.

Au gré de mes écoutes, je sexe Chantal souvent a contresens de ce qu’elle préconise à ses clients.
Je cache mon jeu pour éviter qu’elle comprenne que j’entends une grande partie de ses conversations de travail.
Ceci jusqu’au jour de notre départ pour Tahiti.
J’y suis allé quand j’étais jeune et dans la marine.
J’avais jeté mon collier de fleurs à la mer et comme veut la tradition, quand l’avion atterri je sais qu’il était revenu à la cote.

- Oui, Louis, je t’entends.
Vingt heures en France, ici il est huit heures nous dormions encore mais qui y a-t-il.
En enlevant le papier peint tu as vu que le cagibi accolé à mon bureau était fait de plaques d’Isorel.
Tu veux tous faire en carreaux de plâtre l’insonorisant.
Oui c’est une bonne idée.

Elle me regarde.

- Non, attend pourquoi faire de gros frais, pose simplement une serrure ?
Seul Christian et moi en auront la clef et l’intimité avec mes clients sera préservée.

En prononçant ces mots, elle raccroche et vient dans mes bras.
Je sens que lorsque nous serons rentrés, de bons moments seront à nous après avoir écouté les confidences de ses clients.
Surtout que je pourrais fermer la porte à clef.

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