OLIVIER 03 FIN DU WEEK END

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : OLIVIER 03 FIN DU WEEK END Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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OLIVIER 03 FIN DU WEEK END
OLIVIER 03FIN DU WEEK END

Olivier était blotti contre moi. Ce garçon semble aimer le contact physique, c'est pas désagréable surtout qu'il est très câlin.

Il n'avait pas ouvert les yeux que déjà je sentais sa main se promener sur mon corps, mon torse, mon ventre … Quand il arrivait à mon dispositif de chasteté je sentais ma queue qui manifestait à l'intérieur de sa cage. Il faut dire que si elle est habituée à être enfermée, elle n'est pas habituée à se faire réveiller de cette manière.

Je sentais aussi la queue d'Olivier qui se réveillait à son tour. L'enfoiré, il n'avait pas de cage à bite lui. Il me semblait évident qu'il allait en profiter. C'est ce que j'aurais fait à sa place.

J'avais aussi envie d'en profiter. C'était la première que je me réveillais à côté d'un mec alors que je portais un dispositif de chasteté. J'avais envie de m'abandonner dans ses bras, de m'offrir à lui.

Il n'ouvrais toujours pas les yeux et redoublait ses caresses. Il gardait toujours une main sur mon dispositif de chasteté ou sur mes couilles. Ma bite se sentais à l'étroit dans sa cage, c'en était presque désagréable. Surtout juste en dessous des testicules, au niveau du cock-ring. J'étais obligé de réajuster l'ensemble plusieurs fois.

Olivier plongeait la tête sous la couette et je ressentais aussitôt les caresses de sa langue sur mes couilles. Je le laissais faire, elles pendaient sous l'effet de la douce chaleur du lit. Il en gobait une, je sursautais. Il gobait l'autre je tressaillais. Il gobait les deux je me contractais, ma bite protestait et des bourrelets de peau se formaient aux ouvertures d'aération tant la pression devenait forte.

Olivier remontait la tête en m'embrassant et en me mordillant doucement. J'étais sur le dos, les jambes écartées et les bras en croix, je m'abandonnais totalement à son plaisir, à ses désirs et au plaisir qu'il me donnait.

Il était lourdement allongé sur moi, on se donnait des baisers sur la bouche, je refermais mes bras sur lui.

C'était une sensation inconnue que je ressentais, une frustration peut être. Ça se manifestait par ce qui ressemblait à une petite angoisse, là au niveau de mon cœur. J’oscillais entre un léger mal hêtre et l'extase. Sans m'en rendre compte je respirais fort, et ce n'était pas son cœur que je sentais battre si fort, c'était bien le mien.

D'un mouvement vif je basculais Olivier sur le dos, je m'allongeais sur lui. Il ne résistait pas, il ne résistait pas non plus quand je le couvrais de baisers.

Ma bouche parcourait tout son corps, mes mains lui massaient déjà les couilles et je le masturbais avec douceur. Mes lèvres arrivaient à son sexe et c'est sans aucune hésitation que je prenais sa queue dans ma bouche. Ma bite protestait, je ne m'en occupais pas.

Ce n'était peut être pas de l'angoisse que je ressentais en fait, c'était de la frustration, une douce et délicieuse frustration. C'était nouveau pour moi et c'était peut être un peu normal car même si ce n'était pas le première fois que je portais mon dispositif, c'était la première fois que je faisais l'amour avec un mec en le portant ! Et en plus lui n'en portait pas !

Un court instant je me disais que je pourrais le garder jusqu'au soir et enchaîner sur une autre période, une longue période deux fois plus longue que la dernière. Seize semaine, si je compte du Dimanche soir à Dimanche soir, j'avais encore la possibilité de me lâcher dans la journée, de me faire sucer, de me faire branler, de défoncer le cul d'Olivier … A cette idée ma queue pressait de toutes ses forces contre les parois de ma cage …
J'avais aussi la possibilité de me priver de ce plaisir …
Je suçais goulûment la queue d'Olivier, je lui suçais les couilles en tirant doucement dessus, il gémissait de plaisir puis je revenais à sa bite que j'avalais avec plaisir. Plaisir oui, pour moi c'était évident mais pour lui les gémissements qu'il poussait montraient que pour lui aussi. Il prenait son pied.

On roulait l'un sur l'autre. Je me retrouvais sur le dos, Olivier sur moi. On roulait encore Olivier sur le dos et moi sur lui.

Olivier : Allonge toi sur le ventre.

Je m’exécutais. Je ne m'étais jamais senti autant passif qu'à cet instant.

Olivier : Écarte les jambes.

Je commençais déjà à gémir de plaisir rien qu'à l'idée de ce qui allait se passer. J'espère que vous voyez de quoi je parle.

Il était chaud et je ne parle pas seulement de la chaleur de son corps. Je passais ma main, il bandait ferme. Il me lubrifiait l'anus, ça se précisait cette affaire. Il s'allongeait sur moi de tout son poids, je ne résistais pas. Je sentais la pression de sa bite contre mon cul. Là encore je ne résistais pas, j'en voulais.

Il poussait et mon anus s'ouvrait pour le laisser passer. C'était terriblement bon, j'ai adoré. Ensuite je le sentais s'enfoncer, me remplir. Je savais bien que sa queue n'était pas si petite que ça. Je la sentais bien, c'était vraiment bon. Je gémissais pour l'encourager, il poussait plus fort. Finalement je râlais de plaisir au moment ou il appuyait son ventre contre mes fesses, je me sentais bien.

Mon cœur battait fort, ma queue se contractait à chacun de ses battements. Elle protestait, elle voulait sortir. Je m'était déjà godé avec ce dispositif sur moi mais ce n'était pas la même chose. Ce n'était pas du tout la même chose. Là je ne contrôlais plus rien, c'était tellement mieux.

J'ai senti le plaisir monter en moi, j'ai senti le plaisir m'envahir tout le corps. Je sentais la chaleur de son corps, son poids, ses muscles et ce va et vient dans mon cul … J'ai joui, à ce moment j'ai joui et cette jouissance a continué encore et encore.

J'avais l'impression d'éjaculer, de juter, de pisser peut être, je ne savais plus trop. J'ai tremblé de plaisir mais je n'ai rien lâché. Pas une goutte de sperme. Décidément il n'y a rien à faire je ne parviens pas à éjaculer quand je suis stimulé par le cul uniquement ! Mais c'est bon, vraiment bon malgré tout.

Je tremblais de plaisir quand j'ai senti son corps s'écrouler sur moi, son visage à côté du mien, son menton sur mon épaule, je sentais son souffle, il respirait fort. Et ce cœur qui battait si fort, si vite, ce n'était pas que le mien.

Il restait dans mon cul, on se calmait, il m'embrassait.

Il se relevait et je sentais sa bite se retirer, là encore c'était bon. Je me sentais vidé, comblé, mais je sentais encore en moi sa présence. Il s’allongeait à côté de moi et me regardait, je lui souriais.

Olivier : C'était quelque chose !
Moi : Terrible !
Olivier : Tu as aimé ?
Moi : On recommence quand tu veux.
Olivier : Pas maintenant, là je peux pas !

Il avait complètement débandé. Je m'amusais à tripoter sa queue, il me laissait faire, en effet il avait totalement débandé. Ce n'était pas mon cas, je bandais encore, moins fort mais je bandais encore. Ma queue remplissait encore bien la cage à bite. Lui aussi il s'amusait à me tripoter ma bite en cage, il s'amusait aussi avec mes couilles.

Olivier : Tu me le fait quand le truc ?
Moi : Tu veux vraiment le même dispositif que moi ?
Olivier : Plus que jamais !
Moi : Moi j'aimerais bien te garder comme ça !
Olivier : Moi aussi je suis passif ! En fait je suis surtout passif !
Moi : Comme moi ! Mais on peut aussi être actif !
Olivier : C'était pour te faire plaisir !
Moi : Juste pour me faire plaisir, et bien tu as réussi !
Olivier : Cool.
Moi : On recommence quand tu veux … Pour me faire plaisir …
Il rigolait.

Olivier : Et toi quand tu m'as enculé, c'était pas pour me faire plaisir ?
Moi : Si, parfaitement, juste pour te faire plaisir !
Olivier : Tu as le sent du sacrifice.
Moi : Tu peux parler.

On rigolait, on se prenait dans les bras et on se faisait un gros câlin.

Olivier : Ça aussi c'est ton sens du sacrifice.

Je le repoussais en riant. Il se levait, me prenait la main et en me tirant vers lui …
Olivier : Allez on passe à la douche, tu vas te sacrifier pour me frotter le dos.

On était dans les sacrifices aussi il s'est sacrifié pour me faire visiter sa ville. J'avais gardé mon dispositif, en fait on n'avait même pas abordé le sujet, je l'avais gardé c'est tout. Il est vrai qu'après l'avoir gardé sur moi pendant huit semaines entières soit soixante trois jours j'avais l'habitude de le porter et l'excitation sexuelle retombée je n'y faisais plus attention.

Mais bien plus tard dans la journée, Olivier m'en parlait.

Olivier : Tu comptes la durée des périodes ou tu portes en semaines complètes du Dimanche soir au Dimanche soir ?
Moi : Exact !
Olivier : On est presque Dimanche soir ! Tu penses entamer une autre période.
Moi : Je l'ai retiré vendredi soir, et je l'ai déjà depuis hier soir.
Olivier : Et alors ?
Moi : Je n'aurais été libre qu'une journée entière …Olivier : Oui mais c'était quelque chose. J'aimerais bien te suivre mais je n'ai pas de dispositif qui marche sur moi.
Moi : Tu n'as pas envie que je t'encule ?
Olivier : Si mais je ne voulais pas te demander autant de sacrifice …Moi : Tu es un marrant toi !

On se regardait dans les yeux et j'y voyais un petit reflet un peu de malice, un peu de vice, je ne sais pas. Il m'a l'air d'un petit plaisantin cet Olivier.

Moi : Je me déciderai à la maison ! Il est tard et il faut vraiment que je rentre, surtout que j'ai beaucoup de route à faire.

Il m'invitais au restaurant, je ne pouvais pas lui refuser.

Moi : D'accord mais dans ce cas je ne pourrais pas t'enculer. Je prend la route juste en sortant du restaurant.
Olivier : On fait comme ça ! Et quand tu reviens tu m'apportes mon dispositif ?
Moi : Promis !
Olivier : Quand ?
Moi : Je ne sais pas moi, je te téléphone !
Olivier : Tu n'as pas mon numéro !
Moi : Non mais je sais que tu lis mes textes, on peut correspondre sur Twitter .
Olivier : C'est ce qu'on va faire mais on s'échange tout de même nos téléphones.

Il est sympa tout de même Olivier, il choisissait un bon restaurant, pour ce dernier soir du week-end.

Pendant tout le repas je ne pensais qu'à son cul, j'avais envie de le lui défoncer, de le limer longuement, de le faire couiner. Je savais qu'il ne demandait que ça. Je savais que si je le lui proposais il accepterait avec enthousiasme.

En fait, il est comme moi … Passif ! Pour rendre service on est prêt à se sacrifier. Oui je sais j'exagère un peu en parlant de sacrifice mais c'est un peu ça tout de même. Lui comme moi on est mieux dans la position du type que se fait défoncer le cul.

Pendant tout le repas, ma queue protestait, ces idées me faisaient bander. Ma queue poussait contre les parois de sa cage sans avoir aucune chance de s'en sortir. A ce moment de la soirée je ne savais pas encore si j'allais repartir pour une autre période de chasteté tout de suite.

En règle générale quand je retire le dispositif j'en profite pour me donner du plaisir. Au début, les premiers jours, j'ai comme l'impression de me forcer pour me branler, il me faut un peu de temps de remise en route. Mais rapidement au bout de quelques jours je ne me force plus, ça redevient un besoin, pas une envie. Un besoin que j'assouvis le matin, puis le matin et le soir et enfin … Matin , Midi et Soir … Et plus même.

Oui je sais je suis un branleur !

Mais j'ai honte … !

Bon ça va je déconne. En fait j'ai pas honte !

Je me branle donc souvent mais c'est pas pour rattraper le temps perdu, je suis toujours comme ça. C'est juste parce que je suis addict. La privation grâce à un objet mécanique me procure d'autres plaisirs, d'autres sensation. Et ce week-end j'en avais découvert d'autres sensations …
De plus il m'avait bien chauffé les hormones Olivier et je savais qu'il m'avait fait gagné plus d'une semaine de remise en route.

Ce soir de retour à la maison, quelque soit l'heure ou je vais arriver je vais me branler au moins deux fois, demain matin une fois. Je n'aurais pas le temps de remettre ça. Mais je remettrais ça le midi, l'après midi, en début de soirée et en milieux de soirée … Avec des godes dans le cul !

Je bandais encore plus fort en m'imaginant le lendemain. Je faisais mon emploi du temps pour les semaines à venir.

Par la suite je ne prémédite rien. Je ne me dis pas : '' Charly tu es un branleur, il faut que tu arrêtes un peu, que tu te calmes … Il est temps de te remettre en cage … '' . Non je ne me dis jamais ça !

Simplement au bout de quelques semaines j'éprouve le besoin de sentir cette étreinte sévère, dure mais douce autour de ma queue.

J'aime me réveiller et sentir ma queue qui désespérément tente son érection matinale sans y parvenir. Je la contracte alors à l'intérieur de sa cage pendant de longs moments quand je me réveille. J'aime sentir ce manque, ce désir, ce besoin.

J'aime sentir que ce manque n'est pas rempli, que ce besoin n'est pas satisfait.

Ces idées avaient envahi mon esprit au restaurant et continuaient dans la voiture sur la route du retour.

J'aime sentir cette frustration, j'avais hâte d'arriver. J'avais hâte de me branler avec un gros gode dans le cul. Je me sentais fort, motivé, comme je me sent fort, motivé, le jour, l'instant, la seconde ou je referme mon dispositif pour une période que je n'est pas décidé au départ mais qui, quelquefois peut être longue.

J'aime me lancer des défis, une durée de plus en plus longue. Je venais de faire une session de neuf semaines, je sais là je compte les jours, la prochaine fois il faudra que je garde le dispositif au moins douze semaines, treize même …
Ce serait bien ça, douze, huit plus la moitié de huit. C'est une bonne progression et ça doit être terriblement jouissif. Il faudra aussi que je me trouve un partenaire qui m'encule quand je porte un tel dispositif. Là encore je pensais à Olivier …
Il était tard quand j'arrivais chez moi. La fatigue à toujours le même effet sur mes érections, ça ne les calme pas. J'en ai fait l'expérience après des nuits blanches, plus jeune il m'arrivait de me branler trois ou quatre fois de suite, j'étais épuisé mais je bandais et je bandais encore. Et cette nuit là je savais que ça me le ferait. La pression de la cage contre ma queue ne disparaissait pas.

Depuis le restaurant je bandais et je voulais avant tout cracher ma sauce. Juter, éjaculer. Et en garant la voiture je me disais : '' Demain je serai fatigué mais, ce soir je vais me vider les couilles comme jamais … ! ''.



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Texte coquin : OLIVIER 03 FIN DU WEEK END
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