COLLECTION HISTOIRE COURTE. Trente ans, vierge (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Trente ans, vierge (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Trente ans, vierge (1/1)
Je m’appelle Alexandra, j’ai légèrement plus de trente ans quand je prends la plume, je dirais plutôt le clavier de mon ordinateur pour vous conter ce que je vis depuis une semaine.
Comme le dit le titre à trente ans je suis vierge.
Du moins, je suis pure de toute pénétration par la bite d’un homme.
Si les godes de plus en plus sophistiquer que je fais venir par Internet dépucelle quand je me les introduis de plus en plus frénétiquement, c’est moi qui me suis dépucelée dans les premiers temps de ma puberté.
Si j’en suis là, c’est corrélé à deux faits.
Je suis légèrement disgracieuse et rapidement j’ai dû m’occuper de mon père après un accident de voiture où ma mère a laissé la vie.
Fauteuil roulant et tous les tracas inhérents à ces situations conjuguées à un travail à mi-temps on fait qu’à mon âge aucun homme ne m’a serré dans ses bras.

Une fois seulement un soir où j’avais traîné après avoir coiffé Sainte Catherine, j’ai été plaqué contre un mur à deux pas de chez moi.
L’homme a soulevé la jupe de mon tailleur et mis sa main à ma chatte.
J’aurais dû avoir peur me faisant littéralement violer mais au fond de moi, j’espérais qu’il sortirait sa verge et qu’il me prenne une bonne fois.
Il y a des femmes qui sont faites pour rester doublement vierge.
Par le signe du zodiaque, je fête mon anniversaire le 31 août dans quelques jours et par cette maudite chatte qu’aucun homme ne souhaite honorer.
Je sais j’ai Internet, je me suis inscrit sur un site de rencontres, pas de touche directe quand je leur dis que je suis disgracieuse, je les sens moins enthousiasme.
Pas de touche pour un rendez-vous, mais Christian qui me dit qu’un endroit est fait pour moi.
Barbès.
Je suis allée voir où ça se trouvait.
J’habite banlieue Ouest, c’est dans le nord de Paris facile d’accès par le métro.
Dans ce quartier, de nombreux hommes sont en manque de femme et il est certain que je devrais trouver l’un d’eux qui saurait s’occuper de mon sexe.

Un bouleversement dans ma vie va me permettre de voir si ce que Christian m’a dit était réalisable.
Les services de l'État ont mis des aides à personnes handicapées comme mon père pour soulager les personnes comme moi qui sont prises en étau entre leur travail et les soins permanents apportés à ces personnes fauchées par la vie.
On me propose de m’envoyer une auxiliaire de vie un après-midi par semaine.
Ce n’est pas beaucoup mais ça me permet de prendre un mercredi après-midi par semaine pour ne m’occuper que de moi.
Le premier mercredi, je suis allée au cinéma voir 50 nuances de Grey.
J’étais excitée surtout quand la fille se faisait attacher.
Je vais être entièrement franche, il m’arrive de regarder des petits films cochons sur mon ordi.
Les femmes se faisant attacher m’apportent mes plus grands plaisirs bien que je n’aie jamais osé acheter des cordelettes pour qu’elles me serrent les seins comme certaines de ces femmes l’acceptent.
À un moment un homme pas très jeune est venu à côté de moi alors que la salle était presque vide.
Nous nous sommes regardés quand l’écran était plus clair.
Je n’aurais pas accepté de le suivre, mais ma disgrâce a fait qu’il s’est levé et est parti s’asseoir plus loin.
Barbès, ce nom tournait en boucle dans ma tête.
Je viens de céder et pris les transports en commun descendant à la station du même nom.
Il est vrai que je constate que les hommes seuls ou en groupe de garçons sont légion.
De là a avancé vers eux et leur dire que je suis vierge et que je suis là pour me faire sauter il y a un pas infranchissable.
La chance devait me sourire, je suis installée place Pigalle près du Moulin Rouge quand un grand black vient s’asseoir à mes côtés.
Il commande un demi alors que je viens d’être servi d’un café.

- Vous avez du feu ?
- Je m’excuse, je ne fume pas, du moins j’ai arrêté.
- Ça tombe bien moi non plus, mais je n’ai jamais commencé.
- Alors pourquoi me demander si j’ai du feu ?
- Pour engager la conversation, je suis un peu seul et j’avais envie de parler à quelqu’un.
- Seul, pourtant vous êtes bel homme.
- Dans ma situation, il est préférable de ne pas rester trop longtemps à traîner aux yeux de tout le monde.
- Vous devez vous cacher ?
- Voilà, si je me fais prendre on me raccompagne dans mon pays au Mali.
- Comment vivez-vous ?
- Je travaille dans un restaurant dans une rue voisine.
Je fais la plonge, ça me permet de louer une chambre en attendant de pouvoir avoir mes papiers.
Veux-tu que je te montre où j’habite ?
Tu n’as rien à craindre, je ne suis pas un satire, juste un homme ressentant la solitude.

Christian avait raison, il y a des possibilités ici et comme il me reste presque trois heures avant de retourner à mon labeur familial.
J’appelle le serveur, je paye les deux consos et je le suis à ses côtés.
Il me rend une tête.
J’ai souvent réfléchi à quoi dire au garçon qui me mettrait dans son lit.
Parlé de ma virginité toute relative au risque qu’il se braque pensant tacher ses draps, ce n’est pas la tactique que je dois employer.
Sans être raciste, le fantasme des noirs à la grosse verge, je sais que ça existe chez certaines femmes mais pas chez moi.
Alors quand il m’ouvre la porte d’un immeuble de quelques étages, je monte l’escalier comme le faisaient les putes à la belle époque.
Il ouvre la porte d’un appartement et me conduit dans un couloir me faisant entrer dans une chambre de célibataire.

- L’appartement appartient à une grand-mère qui est dans sa chambre à l’autre bout du couloir.
Elle est entièrement sourde et ne viens jamais ici, tu peux être tranquille.

On y est, il me prend dans ses bras et me prend la bouche.
Pour la première fois une bouche d’homme est sur ma bouche.
J’avais toujours entendu parler des lèvres épaisses des hommes de couleur, ce n’est pas le cas des siennes.
Sa langue un instant la sentir entrer dans ma bouche est étrange, mais sa langue vient bien vite effacer cette impression bizarre et je m’abandonne.

Folle que je suis, j’ai envie de retarder l’échéance, je suis à deux doigts de lui demander si ma disgrâce ne le choque pas.
Mais il est plein d’initiative et sa main se porte sur ma poitrine défaisant un à un les boutons de mon chemisier.
Je fais du 100 D, ils sont assez volumineux, il recule la tête.

- J’adore les femmes aux gros seins, les tiens sont très beaux.

Mon soutien gorge me quitte et ses lèvres viennent sur ma tétine droite.
Je fonds littéralement.
Je passe ma main entre nous et je prends son sexe à pleine main au travers de son pantalon.
Il bande, j’arrive à faire bander un homme.
Son pantalon tombe, il est si viril qu’il me prend sous les fesses et me plaque contre le mur.
J’avais toujours pensé que si ce jour arrivait, ce serait dans un lit à la missionnaire qu’un homme viendrait en moi.
Là, c’est coller au mur me tenant d’une main qu’il écarte ma culotte et qu’il me prend alors que je suis pendu à son cou ma langue retrouvant sa langue.
Immédiatement en moi, je sens que je vais jouir et que je jouis.
Un orgasme m’emportant bien plus haut que tous mes godes.
Il me déplace sur son lit sans sortir de moi et recommence à s’agiter en moi me refaisant partir vers des sommets de plaisirs.
Merci à Christian de m’avoir parlé de Barbès même si c’est place Pigalle que j’ai trouvé cet homme.
Il éclate en moi.
Je me soulève pour me mettre nue, lui aussi et c’est dans ses bras que je récupère de mon dépucelage.

- Tu étais le premier, je ne connais même pas ton nom, moi c’est Alexandra.
- Traoré, je m’appelle Traoré, tu n’avais jamais baisé ?
- Non, j’étais vierge à trente ans.
- Je suis content d’être le premier, surtout que tu as joui !

Je sens qu’il faut que je fasse diversion, inutile de lui parler de mes godes.

- À quoi sert cette corde sur ta table ?
- C’est pour l’attacher à l’appui de fenêtre sur l’arrière et descendre dans la petite cour si la police arrive pour m’expulser.
- Je croyais qu’elle servait à autre chose, tu sais j’ai toujours eu un fantasme.
- Tu voudrais être attachée, j’avais une copine au Mali qui prenait son plaisir les seins serrés à mort par plusieurs tours de corde.
- Veux-tu que je te fasse ce que je lui faisais, ma corde est assez longue pour ça ?

C’est comme ça que je me lève, qu’il prend sa corde et qu’il commence par mon sein gauche.
Trois tours, ils sont assez gros pour qu’une fois comprimés une partie avec mes pointes devienne rapidement violacée sortant.
Il me saucissonne à me faire mal mais rapidement je m’habitue surtout quand il m’écarte les jambes la corde passant dans ma chatte deux fois.
Mes mains sont attachées derrière mon dos.
La sensation est extrême, je comprends pourquoi dans les films les femmes aiment ça.
On tambourine à la porte.

- Police ouvrez, sinon on enfonce la porte.

Un grand bruit, Traoré ouvre la fenêtre, mais j’ai la corde autour de moi.
Deux policiers le maîtrisent et comme moi il se retrouve avec des menottes les mains dans le dos.

- Monsieur Traoré Boubacar, je vous arrête, emmenez-le, le juge va l’expulser.
Ça fait plusieurs fois qu’il nous échappe.
Madame, vous a-t-il forcée, saucissonnée comme vous l’êtes ?

Quel con, je suis dans le métro retournant chez moi après qu’il m’est détaché.
Je sens le sperme de Traoré couler le long de mes jambes sortant de ma chatte dépucelée.
Mercredi prochain, je sais que je vais revenir à Barbès, j’ai nettement l’impression que je vais devenir une folle du cul même à trente ans.

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