COLLECTION ANNE MA MUSE. Et dire que c’est mon gendre (1/1) - histoire érotique

Vous me connaissez, je m’appelle Anne dans toutes mes aventures contées par Chris71.
J’aime changer d’identité, d’âge, de raison social.
Aujourd’hui ensemble nous avons décidé avec Chris que j’ai 55 ans, sans emploi mais mariée.
J’ai deux enfants Jennifer, 32 ans avocate comme mon gendre Christian 35 ans et Laurent 25 ans fruit d’un goût de revenez-y.
Christian a rencontré ma fille pendant des vacances au cap d’Agde où elle m’avait dit aller camper avec des amies.
Je ne savais pas que c’était le lieu privilégié des échangistes et des naturistes.
Christian était déjà installé à Toulon dans la basse ville appelé Chicago.
Chicago, quartier proche de l’arsenal, étant le haut lieu de la prostitution du temps de l’ancienne marine.
Maintenant ce sont les bobos qui y habitent ou qui y travaillent, après la réhabilitation de ces vieilles maisons.
C’est le cas de Christian qui a un cabinet employant cinq personnes et considéré comme le meilleur de la ville.
Que dire de moi, mon physique ?
Difficile de se décrire, ni trop petite, ni trop grande, la taille de la Française moyenne.
Ce qui doit plutôt vous intéresser c’est certainement mes seins et mon cul.
Excusez du mot, mes seins et mon fessier.
Mon cul, tout compte fait j’aime ce mot « cul ».
Mon cul donc est bien découpé, j’ai deux magnifiques fossettes de chaque côté montrant la sportive que je reste malgré de vieilles courbatures qui commencent à apparaître.
Mes seins, j’en suis fière, 90 C assez denses et un peu lourds mais à mon âge c'est normal.
Eux aussi sont bien équilibrés en rapport du reste de mon corps.
J’aime les montrer dans la limite de la décence bien que rares sont ceux qui peuvent dire que si je faisais le test Crasy ou Bluebell le crayon ne tiendrait pas une seule seconde avant de rejoindre le sol.
Aimant ma poitrine, que j’aime mettre en valeur, je suis connue comme la femme aux chemisiers blancs souvent noués en dessous, principalement l’été.
Jupe serrée ou jupe ample, j’ai une garde-robe que je renouvelle fréquemment ayant les moyens de faire flamber ma carte bleue.
Je parlais de mon cul, ce matin chez ma fille, je suis carrément en maillot deux pièces rouge mettant en valeur mon tain mat.
L’hiver je vais dans le centre-ville de Mâcon faire des UV.
Tout a commencé un soir quand Jennifer m’a appelé.

- Maman, j’ai besoin de tes services si de ton côté tu n’as rien prévu !
- Dis toujours Jennifer, on vous a toujours dit d'envoyer des SOS en cas de besoin.
- Je pars pour New York pendant trois semaines à un mois, j’aimerais que tu viennes seconder Christian pendant mon absence et t’occuper de Jules et de Julie.
- S’occuper de mes petits anges, j’accours de suite, le temps de faire ma valise et de tourner la clef de contact de ma voiture.
- Reste calme maman pas d’emballement, nous sommes samedi, je pars mardi, arrive lundi dans la soirée ça sera suffisant.
- À lundi Jennifer embrasse mes petits chérubins.
- Ils sont dans la piscine, ils s’amusent à faire la bombe, c’est pratique ça permet d’arroser la pelouse.

Elle raccroche après un dernier baiser.
La piscine, leur villa perchée sur les hauteurs de Toulon sur le mont Faron pour ceux qui connaissent, domine toute la rade de Toulon.
Dois-je rappeler que c’est la rade naturelle la plus belle d’Europe, principalement occupée par les civils au port de plaisance et par ses quais de chaque côté de la mairie, avec ses départs de bateau pour les différentes villes de la rade.
Principalement La Seynes sur mer, les Sablettes et Saint-Mandrier.
L’autre partie par la marine nationale.
D’où je suis, je vois que le porte-avion Charles de Gaulle à propulsion nucléaire est à quai.
L’effervescence à bord montre qu’il va appareiller d’ici quelques jours pour une mission dans le golfe d’Oman près de l'Iran voire de l’Irak par ses avions.
Du moins c’est ce qui se dit dans les restaurants sur le port.
Je vois aussi amarré à un des grands quais très protégés, un sous-marin atomique battant pavillon américain déversant dans la ville son équipage et qui laisse des dollars convertis en euros, aidant à faire vivre la ville.
Il se dit aussi en ville où nous étions hier au soir à manger une pizza tous les six sur le port que des plongeurs de combat sont en mer vingt-quatre heures sur vingt-quatre se relayant pour éviter toute attaque sur ce fleuron de la marine américaine.
Ça ce sont des on-dit, je ne plonge pas dans la piscine de mes enfants ce n’est pas dans la rade que je vais le faire surtout que lorsque nous sommes près de l’eau, les couleurs chatoyantes du gasoil coulant des nombreux bateaux ne vous donnent pas l’envie d’y tremper même un orteil.

Ça fait deux jours que je suis là.
Chez moi, je me lève tôt pour jardiner l’été et faire mes conserves.
L’hiver, je me lève aussi vers 6 heures mais je lis jusqu’à sept heures avant de m’occuper du petit déjeuner.
Aujourd’hui c’est dans la piscine que je nage, dans la partie été.
Cette piscine creusée en partie sous la villa a la particularité d’avoir une partie été l’autre hiver quand les froids arrivent et de pouvoir en profiter toute l’année.

Le voyage à New York de ma fille plus les nombreux clients toulonnais permettent aux enfants de se payer cette villa que bon nombre de personnes leur envie.
Il est presque sept heures quand après m’être essuyée je suis devant le plan de travail de leur cuisine à faire cuire des œufs broyés pour Christian.
Je l’entends descendre et je surveille la cuisson, étant très précise à ce que ma fille m’a montré.
Ni trop sec, ni trop baveux, je ne le vois pas entrer mais d’un coup je le sens qui se colle à moi.

- Anne vous me fait bander, votre cul me fait bander dans votre petite culotte à fleur.
Vous avez un cul à faire bander un âne castré.

Incroyable, je suis surprise de sentir sur mes fesses un bâton bien plus imposant que celui de mon ami mais surtout en pleine forme. Mon mari a presque 60 ans et se disant dans la force de l’âge il a de temps en temps de légères défaillances.

- Christian vous êtes fou.
- Anne, je plaide tout à l’heure à Nice une grosse affaire, pouvez-vous me tailler une pipe.
Ça me détendra et je suis certain d’être assez calme pour gagner mon affaire.

Un de ses bras enserre ma poitrine et vient titiller ma fraise qui immédiatement bande.
Si c’est pour gagner une affaire, devenant toute molle, lui étant très dur, je me retourne.
Sa verge est nue, il est descendu dans le simple appareil.
Il m’appuie sur une épaule, mais je sais déjà que je vais céder à celui qui pourtant est mon gendre.
Je la prends dans ma main, c’est chaud.
Il faut dire pour ma défense, si je suis défendable, c’est que je suis partie assez vite, que j’ai essayé de faire bander chez moi mon homme et que je suis restée sur ma faim.
J’essaye un dernier stratagème pour me donner bonne conscience.

- Et les enfants.
- Pas de faux-fuyant Anne, sucez-moi et avalez mon sperme, je suis sûr que vous adorerez boire mon sperme.

Comment lui donner tort, j’ai eu quelques amants dans ma vie, par exemple une seule fois mon dernier patron, quand j’étais fiancée.
J’étais dans un plan de restructuration, je savais par une amie que Colette ou moi allions sauter.
J’ai sucé Adrien, non ex-boss pendant huit jours sous son bureau avalant son sperme pour finir par être virée moi aussi avec Colette.
Par chance, j’ai rencontré mon mari qui m’a séduite et lorsque mes droits au chômage ont été épuisés, j'ai pu grâce à lui vivre sans travailler.
Être oisive ce que je suis devenue m’a donné du temps pour faire quelques après-midi à Lyon avec de beaux mecs.

Je n’en suis pas fière comme je ne suis pas fière de faire entrer Christian dans ma cavité buccale.
L’un de mes premiers amants m’a appris à masturber tout en suçant sa verge.
Suis-je pour autant une experte ?
Je l’ignore !
Tout ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il me faut peu de temps pour le faire gicler, me fournissant par grande rasade mon petit déjeuner.

Ce matin, Christian part vers la basse ville dans sa grosse Mercedes, l’estomac vide, ses œufs brouillés ayant brûlé.

Çà fait trois jours que Christian me fait sucer sa verge chaque matin, ça fait trois grosses affaires qu’il gagne.
Quand il entre chaque soir, je suis fière d’avoir participé avec ma bouche aux affaires de ma fille.

Ma fille ! Quelle mère indigne, je fais, la tromper avec mon gendre alors qu’elle est seule à New York !
Heureusement nous ne faisons que des fellations, je lui rends simplement service en l’absence de sa moitié.
Ce soir, il est vingt-deux heures, Jules et Julie sont couchés, Christian m’a téléphoné, il est à Marseille lors d’une coupure d’audience qu’il rentrerait tard.
J’ai eu ma fille à qui j’ai parlé deux secondes, lui passant ses enfants pour éviter de m’étendre sur ce que je fais avec son mari chaque matin.

J’ai dû m’endormir quand je sens un corps chaud sur mes fesses.

- Anne, j’ai perdu mon procès et je suis tellement frustré car j’ai trop pensé à votre cul pendant que je plaisais et j’ai tout foiré.

Sucer comme l’on dit est-ce tromper ?
Lever ma jambe pour que sa verge entre en moi, c’est certain, à grande distance, je cocufie ma fille !
Je dois être franche, si j’ai levé ma jambe si facilement c’est que ma chatte est de plus en plus souvent en feu depuis que je pompe mon gendre.
Un sexe est un morceau de chair anonyme quand il me prend sans que je ne le vois.
Sa main sur mon sein me brûle, mais j’aime énormément.
Pour rien au monde au moment où sa main vient museler ma bouche quand je commence à hurler mon plaisir, je ne voudrais qu’il me quitte.
Merci pour cette main, me permettant de rester la mamy gâteau que je suis pour eux et non la salope que Christian vient de faire de moi.

Je sens que le mois étant loin d’être terminé, Chris71 aura à vous narrer mes aventures avec mon gendre amant.
Il me dit que ça s’appellera « Partie de poker avec mon gendre ».