COLLECTION TABOU. Le fils de ma fille (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION TABOU. Le fils de ma fille (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION TABOU. Le fils de ma fille (1/1)
- Allô maman, c’est Juliette.
- J’avais reconnu ta voix, ma fille ça fait trente deux ans que je t’ai mise au monde.
- J’ai un service à te demander.
Je sais que tu ne considère pas Caleb comme ton petit fils ce qui me navre mais j’ai besoin de toi.
- Certes ma fille, je le conçois que Caleb ne sera jamais pour moi mon petit fils, mais au fil du temps, ce grand dadais de 22 ans ne m’est pas antipathique pour le peu que nous nous voyons.

Ma fille Juliette nous a ramené Caleb de Somalie là où elle était partie pour une mission humanitaire.
Elle avait 20 ans ayant fini ses études d’infirmière.
J’avais des frayeur qu’elle me ramène un joli garçon black comme mari mais elle m’a ramené un orphelin de 12 ans dans ses bagages qu’elle s’est empressée d’adopter.
Quand elle est revenue avec ce petit maigrichon, c’est à Paris à l’hôpital Henri Mondor de Créteil qu’elle a trouvé du boulot.
Rapidement j’ai appris que ce n’était pas un grand noir qui avait ses faveurs, mais Canab jeune somalienne de son âge elle aussi infirmière qui partageait sa couche.
Elle aussi a trouvé du boulot et des papiers à Henri Mondor, tous les trois vivent dans une tour non loin de la mairie de cette ville.

Par chance, j’habite non loin d’Aix en Provence dans une villa héritée de mon mari décédé pendant que notre fille était en mission.
Elle était revenue pour son enterrement faisant de moi et une commerçante propriétaire de la boutique de chaussure au centre d’Aix créé par ses parents.
J’ai aussi hérité de notre villa construite ensemble après notre mariage.
Depuis ces années sans dire que je suis une salope, j’ai fréquenté quelques bars à vins près de ma boutique où j’y ai rencontrer des hommes avec qui je passe rarement plus d’une semaine.
J’aimais le sexe du temps de Robert, il en va de même malgré sa trahison définitive.
Il s’est noyé pendant nos vacances en Grèce.
Depuis son retour, nous nous sommes vue deux fois avec ma fille.
Nous nous téléphonons au 1er de l’an pour la bonne année.
Caleb était avec elle sans sa maîtresse que j’ai du mal à accepter.
Une nouvelle fois, ce n’est pas la couleur de la peau de son amie qui me choque, c’est le faite qu’elle aime les femmes.
D’ailleurs pour la couleur de peau, j’ai rencontré dernièrement un réunionnais avec lequel j’ai passé trois jours.
Il était de Roubaix et était là pour visiter Aix.
Ça été l’un de mes meilleurs amants, bien que contrairement à ce que l’on dit il en avait une normale.
Vous voyez à quoi je fais allusion ?

- Que veux-tu me demander ?
- Caleb a fait des études jusqu’à un BTS Force de vente, ici il ne trouve pas de travail, certainement dû à la couleur de sa peau.
Il commence à traîner avec des gars à qui je ne fais pas confiance.
Tu connais sa religion et j’ai peur qu’il se laisse entraîner.
Quand nous nous sommes téléphoné la dernière fois, tu m’as dit chercher quelqu’un, c’est toujours le cas ?
- J’avais trouvé une jeune femme mais elle piquait dans la caisse, je l’ai viré.
Depuis je cherche.
- Peut-il venir chez toi et que tu le fasses travailler ?
Tu lui donneras simplement de l’argent de poche en complément de son hébergement et de ses repas.
- Je te dis oui, non pas pour trouver quelqu’un travaillant avec moi mais pour te faire voir que ta maman t’aime malgré certains choix de vie que tu as faite.
- Je suis de repos lundi, je peux te l’amener avec ses affaires.
- Aucun problème Juliette je vous attends.
À ma villa, le lundi pour moi c’est repos.
Tu n’oublieras pas de lui dire que la boutique est ouverte les samedis et dimanches matin.
Pour qu’il est deux jours de repos consécutifs, il sera de repos les dimanches après-midi, lundi toute la journée et mardi matin.
Il pourra rester au lit et rejoindra Aix par le bus passant à cent mètres de chez moi et qui le posera à cinquante mètres de la boutique.
- C’est parfait, il est près de moi et a entendu, j’avais mis mon portable sur haut parleur.
- Bonjours mamy, je suis content que tu ais dit oui.
Tu verras je ne te décevrais pas, maman ne t’a pas dit, je mange halal, mais pour la prière je saurais m’adapter, on a des possibilités dans notre culte suivant les circonstances.
Pour le halal, j’ai regardé sur Internet, il y a une boutique où je pourrais trouver tout ce qu’il me faut.

Bref, j’ai dit oui, mais déjà certaines contrainte se fond jour.
Vivre avec des étrangers fussent celui que je n’arrive pas à considérer comme mon petit fils va me compliquer la vie.

Le lundi, j’embrasse ma fille, je lui permets de prendre une douche par cette chaleur lui proposant même ma piscine.
Mais elle doit repartir sans s’arrêter longtemps car elle est de poste du matin relevant Canab qui travaille de nuit.
C’est lorsqu’elle est partie ayant embrassé son fils que je vois ce grand garçon venir vers moi.

- Mamy, je peux me baigner, je savais que tu avais une piscine, j’ai acheté un maillot de bains.
- J’allais te le proposer, je vais dans ma chambre pour me changer, c’est l’heure où j’aime faire quelques longueurs.
Ça me maintient en forme.
- C’est vrai, tu es toujours une belle femme.

Coup de chance, il n’ajoute pas pour ton âge.
Plus rapide que moi, il est déjà dans l’eau quand j’arrive.
L’eau de la douche coule toujours.
Il a de l’hygiène car cette douche près de la piscine pour moi est obligatoire afin que garder la qualité de l’eau.
Il a commencé à faire des longueurs et c’est au moment que je me mets sous la douche que je prends conscience que le petit garçon chétif est devenu un parfait athlète bien découpé.
Je le rejoins, je fais des longueurs à ses côtés mais l’âge est là, la championne de France de natation que j’étais est bien loin j’avais dix huit ans.
C’est lors de ces championnat à la piscine d’Aix que celui qui m’a remis ma médaille m’a amené dans son lit.
Il était déjà président des commerçants de la ville et a ce titre il faisait parti des donateurs lui donnant le droit de remettre les médailles.
Notre regard s’est croisé, le soir c’est la médaille pendant sous mon cou et mes seins qu’il m’a dépucelé en levrette.
Dans la même journée, je suis passée de championne de France à femme et neuf mois plus tard à maman de ma fille Juliette.
Il a assumé et m’a épousé jusqu’au jour où il m’a quitté.
Depuis j’ai déjà expliqué ma vie.

Je sors de la piscine et je vais prendre ma serviette.
Je n’avais pas vu qu’il m’avait suivi et très galant prend la serviette et me la place sur mes épaules.
Aucun geste déplacé, juste ma serviette sur les épaules qu’une de ses mains a effleuré.
Bref une éducation parfaite même pour sa religion, c’est dans sa chambre qu’il pratique hors de mon regard.
C’est le cas aussi toute la semaine à la boutique où il se retire dans l’arrière boutique pendant quelques minutes sauf si des clients sont là.

- Mamy, puis-je te suggérer quelques changements surtout dans ta devanture, j’ai appris certaines choses qui te ferons vendre plus.

C’est vrai, mon chiffre d’affaire cette semaine là monte de 14 %, plus grosse hausse de l’année et record de toutes les semaines.

- Mamy, j’ai repéré sur internet une salle de sport, je ne sais pas si maman te l’a dit, mais à Créteil je pratique la fonte depuis cinq ans.
Ce qui m’a forgé ce corps d’athlète.

Mamy, à part ce nom qu’il me donne, me faisant voir que j’ai vieilli, tous ce passe bien.
Petit déjeuner ensemble, travail ensemble et repas du soir ensemble préparé par Babette ma femme de ménage qui me rempli le frigo et me prépare mes repas.
J’ai oublié même du temps de mon mari d’être cuisinière.

- Mamy, les dimanches et les lundis, Babette est de repos, au lieu d’aller au resto, je vais te faire de bon petit plat.
La fonte et la cuisine sont mes deux passions.
D’ailleurs si un restaurant m’avait pris en alternance j’aurais appris le cuisine.
Je voulais devenir chef étoilé mais c’était une utopie.

Divin, le dimanche dans la matinée, il s’était absenté.
Il avait acheté ce qu’il fallait et c’est le soir un repas divin que nous prenons au bord de ma piscine.
Qu’importe si la viande est halal, la sauce l’accompagnant donnait au veau un goût inimitable.
Les petits légumes juste cuits comme j’aime qu’ils le soient.
Ils nous manquaient les bougies, mais elles n’aient pas lieu d’être vu notre différence d’âge.
Un seul point noir, j’ai envie de baiser mais il serait mal venu que j’aille chercher et que je ramène un sexe à la maison.

Le lundi il est 11 heures quand j’émerge, Caleb fait des longueurs, je le rejoins.
J’ai mis mon maillot de bains deux pièces rouge celui qui met ma silhouette en valeur.
Dans la cuisine, il a mis à cuir des légumes au court bouillon, leur odeur me donne faim, mais je me contente d’un café et un croissant.
Je rejoins moi aussi l’eau très tentante par cette chaleur, douche et je fais des longueurs à ses côtés sans un mot.
L’atmosphère n’a jamais été aussi lourde.
Nous ne nous disons pas un mot.
Je sors de l’eau, il m’a suivi comme la première fois.
Il récupère la serviette et au lieu de me la poser comme la semaine dernière, il se sert de sa main pour m’essuyer se collant à moi.
Sa main prend mon sein et le caresse.
Une douceur, jamais un homme ne m’a caressé les seins avec une tel douceur.
Je sens sur le bas de mon dos vu notre différence de taille un sexe semblant correspondre à ce qui se dit sur les verges noires.
Quand il me pousse vers l’avant, il ne me manque que ma médaille pour retrouver la position en levrette sur mon transat.
Il a mis les matelas et c’est sans aucune douleur aux genoux qu’il écarte ma culotte rouge et que je sens son pieu venir en moi.
Je comprends mieux l’atmosphère lourde que je ressentais, je savais que ça arriverait, je savais que je me laisserais faire pour le bien de mon corps qui d’emblé s’embrase sous ses coups de cul.

- Mamy je te remercie, tu viens de faire de moi un homme.

Trois fois sur ce transat, nous avons fait l’amour.
J’ai adoré me faire prendre m’empalant sur sa verge.
J’ai adoré l’embrasser prenant ses grosses lèvres comme des loukoums fondant.
Nous avons fini la nuit dans ma chambre où une fois de plus il m’a fait jouir.

- Mamy, veux-tu m’épouser ?

C’est le lundi suivant qu’il s’est agenouillé m’offrant un gâteau qu’il avait confectionné où sur le dessus se trouvait une bague.
J’ai failli la refuser, mais ses yeux de chien battu m’en ont dissuadé.
Je sais c’est le fils de ma fille, mais j’ai bien dit depuis le début que pour moi il ne serait jamais mon petit fils.

- Oui.
- Oui.

Nous sommes mariés à la mairie d’Aix.
Caleb a prévenu sa mère de notre mariage.
J’étais persuadée que mon amour serait seul.
Mais c’est au bras de sa mère que je le rejoins devant monsieur le maire.
Je suis moi-même au bras de Canab de nombreuses personnes surtout les commerçants de ma rue persuadé que c’est la maman de mon futur mari.

- Vous pouvez embrasser la mariée.

Le baiser qu’il me donne montre à tous l’amour né entre nous.
C’est sans tabou que je dis mille fois oui.

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