COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (6/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (6/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(6.0 / 10)

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COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (6/10)
Dans la saison I, Lolita cachée derrière une porte écoute grand-mère Marlène raconter sa vie de jeune fille de bourgeois allemand s’étant retrouvée enfermée dans un bordel afin de peupler le pays de personnes de races pures grâce aux enfants qu’elle devaient avoir avec des officiers supérieurs.
La guerre étant presque fini les alliés ayant débarqués en Normandie.
Pardon Normandie en France, Lolita attend la suite de ses péripéties ayant fuit le bordel.
Elles partent à quatre direction de la France pour échapper au soldat Russe avançant vers Berlin.

Le récit de mamy se poursuivait, toujours avec du vin servit dans leurs verres qu’ils entrechoquaient.

- Maman vient de nous sauver en acceptant que onze jeunes soldats puceaux s’occupent de son corps devant nous.
Ils l’ont prise de multiples façons en se servant de tous les orifices qui étaient à leur disposition, ils l’ont laissé pour morte.
Quand ils sont partis, une voiture avec quatre SS est passée sans nous voir grâce à un lapin qui les a amusés en traversant dans la lumière de la fente des phares.
Nous avons entendu des tirs.
Je me suis rendu dans cette direction, vers une ferme, mais sans l’atteindre car les hommes de la SS avaient intercepté ces garçons.
Ils avaient eu le malheur alors que pour certains, maman venait de leur ôter leur pucelage que leur camion soit tombé en panne.
Ils les ont pris pour des déserteurs ce qu’ils étaient depuis quelques minutes et les ont exécutés d’une façon barbare.
Après trois jours maman a repris assez de forces pour qu’avec notre aide, comme elle nous avait aidé, nous nous mettions en route malgré nos pieds qui commençaient à avoir des plaies dans ces chaussures trop grandes.
Ce repos forcé nous ayant permis de commencer à cicatriser.
Plusieurs virages plus loin, en contrebas de la route une voiture de marque inconnue, où de la peinture bleue apparaissait était criblée de balles et entièrement calcinée.
À côté, deux tombes sans nom et sans marque distinctive.
À la fin de la nuit, nous sommes arrivées à la lisière d’une clairière qui nous était impossible de traversée avant que la nuit ne s’installe.
La route passait sur un petit cours d’eau et c’est sous un petit pont sur une berge à l’abri de tous les regards que nous avons passés la journée serrée comme des sardines l'une contre l’autre afin de nous réchauffer.
À la nuit tombée le plus rapidement possible nous avons rejoint la lisière opposée que nous voyons à cinq cents mètres de l’endroit où nous étions.
Ce terrain à découvert franchi, nous avons parcouru beaucoup de kilomètres cette nuit-là sous le couvert des arbres, chaque fois qu’une trouée le permettait et que la lune et des étoiles nous apparaissaient.
Ingrid nous guidait, elle avait dû avoir un entraînement du temps où elle était une espionne !
C’est elle qui aidait maman, j’étais contente, je n’avais plus peur d’Ingrid et le bonheur de maman m’importait après le sacrifice qu’elle avait fait pour nous.
La journée suivante c’est derrière un buisson que nous la passons sans avoir trouvé d’endroit pour nous protéger du froid.
Nous nous placions le plus près l’une de l’autre changeant même celle qui était aux extrémités car les deux du milieu profitaient beaucoup plus de notre chaleur personnelle sauf maman qui était exempte de ces positions extérieures étant encore trop faible.
Un moment je me suis trouvée tout contre Hilde, elle m’a pris la main et elle l’a glissé sous son poncho.
J’ai réussi à reconnaître que c’était elle à son sein que j’avais assez sucé et caressé pour le reconnaître entre mille.
Ce qu’il y a de bien avec nos tenues c’est qu’ils sont sans couture.
J’ai fini par descendre le long de son corps et mettre mes doigts dans sa chatte, comme elle l’avait fait pour moi dans la grange, c’est à ce moment que j’ai senti quelque chose d’insolite.
Une autre main, plutôt d’autres doigts étaient déjà dans sa chatte, celle qui était placée après nous était obligatoirement maman, pendant des heures, évitant de nous endormir par ce froid, nos mains sont restées très proches.
Nous l’avons caressé et fait jouir, j’étais très heureuse, maman semblait revivre et reprenait goût au sexe, surtout avec Hilde, mais plus surprenant, comme la petite était tournée, j’entendais leurs baisés.
Hilde aussi devait avoir ses doigts voire sa main dans sa chatte car par plusieurs fois maman à lâcher des cris de plaisir.
J’étais la plus mal placée à cause du vent froid, sans compter la pluie qui tombait.
Je devais donner le top du changement si j’avais trop froid, maman avait été héroïque avec le camion et les jeunes allemands.
À mon tour, j’ai serré les dents pour éviter qu’elles entendent qu’elles claquaient.
J’ai laissé ces deux femmes avoir une nuit de plaisir dans ces conditions extrêmes, au risque de mourir.
Mais j’avais moi-même un soutient, mon violon, que je serrais sur mon sein.
Je jouais des morceaux du répertoire que dans mes belles années, j’avais appris. Ce sont eux que je jouais dans la salle d’abattage où les jeunes soldats aussi pommés que nous venaient nous choisir.
Je jouais les notes sans les partitions bien sûres, mi sol mi sol la mi sol.
Une nouvelle fois vous n’allez pas me croire, pourtant c’est l'exacte vérité.
Je me suis réveillée, j’étais debout, j’avais sorti mon violon de son coffret et malgré mes doigts gelés, je faisais courir l’archet sur les cordes.
Les sons qui sortaient étaient infâmes pour un mélomane, mais la valse que je jouais a permis à mes compagnes de danser ce qui les a réchauffés, je jouais et les trois femmes arrivaient à valser, c’était irréel.
La nuit avait été longue, mais nous en étions toutes sorties vivantes quand nous repartîmes.
Nous avons cherché un endroit où nous pourrions nous mettre à l’abri des regards et de la pluie qui recommençait à tomber.
Nous nous étions simplement arrêtés pendant mon concert.
Mais surtout il nous fallait trouver à manger, car depuis le début de notre fuite seule maman ayant ingurgité le sperme des soldats avait eu un liquide chaud dans son estomac.
Je sais, je suis abjecte, mais mettez-vous à notre place, notre vie tenait par des fils ténus, qui peut dire que ce sperme n’a pas aidé maman à survivre.
Je vous jure que j’ai eu cette pensée alors que c’était ignoble, mais tous ce que nous avions vu et subit depuis le début de la guerre devait y être pour quelque chose.
Plusieurs fois Ingrid qui ouvrait la marche a roulé dans le fossé risquant de se faire mal.
Mon violon que je gardais serré sur mon cœur, me pesait de plus en plus, mais il était hors de question que je le laisse au bord du chemin.
Je ne l’aurais abandonné pour rien au monde.
Dès que nous sommes arrivées à l’orée d’un bois les aboiements d’un chien, se sont fait entendre.
Un chemin en terre plus clair que la route nous a décidés de tourner vers la droite.
À plus de deux cents mètres, une lumière vacillante nous est apparue comme un havre de paix.
Dès que nous sommes approchées, le chien de la maison nous a fait rebrousser chemin sur une centaine de mètres.
Nous nous sommes concertées, Ingrid a réussi malgré la pluie et la nuit noire à nous faire comprendre qu’elle allait s’en occuper.
Une fois de plus le temps nous a paru long, mais elle est revenue vers nous tenant le chien au bout d’une corde.
Il nous faisait fête, elle est retournée en direction d’où nous étions venus et est revenue sans le chien.
J’étais persuadé qu’elle l’avait estourbi ou tué.
Elle nous a fait signe de la suivre toujours en nous mettant à chacune le doigt sur nos bouches.
Nous avons avancé jusqu’à un petit portillon en bois qui était ouvert.
En marchant sur le chemin ma chaussure a touché une chaîne qui a fait du bruit, ce devait être celle du chien qu’Ingrid avait détaché.
Comment avait-elle fait ?
Je commençais à l’aimer cette petite malgré qu’elle ne dise pas un mot, le bruit de la chaîne à eux un seul effet, la lumière s’est éteinte.
Nous nous trouvions de nouveau dans la nuit noire et sous la pluie qui n’avait jamais arrêté.
Une masse plus noire que la nuit se trouvait sur notre gauche, maman, nous y a conduites, c’était une grange à foin idéal comme le premier jour pour passer la nuit au chaud.
Comme la première nuit, il y avait une échelle pour nous cacher vers le haut, avant de nous recouvrir par le foin, nous avons pu enlever nos ponchos.
J’avais toujours ma guêpière qui commençait à se détériorer à force de la laver avec du mauvais savon au bordel.
Cela faisait presque cinq ans que je la portais même si presque cent pour cent du temps les hommes me l’enlevais ou me la faisait enlever.
Il y a bien longtemps que nos bas sans couture avaient quitté nos jambes et j’avais toujours la chatte à l’air comme toutes les filles qui travaillaient pour le plaisir de nos soldats.
Ingrid quant à elle, a enlevé la blouse noire qu’elle portait pendant tout le temps où nous étions sous sa coupe.
J’ai senti que l’on me bouchonnait avec du foin.
J’ai donc fait sauter les deux agrafes qui tenaient encore.
C’était facile car au fil de la guerre les privations de nourritures conjuguées aux coups que les hommes nous donnaient lors de nos rapports, surtout les officiers, m’avaient fait perdre de nombreux kilos.
Chacune s’est mise à frotter le dos de sa voisine pour commencer, puis sur la poitrine et pour finir sur le ventre.
La caresse au niveau de ma minette par une main baladeuse m’a fait comprendre que la jeune femme qui était dans mon dos ne pouvait être maman car je pense qu’elle aurait évité de me caresser le bas de mon corps bien que dans le noir cela se serait avéré possible.
Dommage qu’il ne fasse pas jour, nos corps traités comme je traitais mon cheval dans le manège où mon père me conduisait avant le grand malheur qui a frappé notre pays.
Même si le foin nous grattait et nous piquait, la fin de nuit que nous avons passée était idyllique après avoir subi les foudres du ciel.
Une voix de femme parlant en allemand nous a réveillés, elle appelait son chien.
Nous l’avons entendu qui répondait au loin à la sollicitation de sa maîtresse.
Elle semblait étonnée qu’il n’arrive pas et que le son de ses aboiements soit toujours constant et semblant venir du même endroit.
Elle est rentée dans la pièce et en est ressortie en repoussant sa porte sans la fermer avec à l’épaule une mitraillette toute neuve.
C’était une femme petite et rondouillarde qui se portait bien malgré les privations que toute l’Allemagne subissait.
Nous-mêmes au début de la guerre avions des repas très bien équilibrés avec des ingrédients de première qualité.
Au fil des mois, le choix entre deux plats principaux avait disparu comme a disparu le cuisinier chef venu d’un des deux plus grands restaurant de Cologne.
Lorsque le manque de combattant, c’est fait sentir, les hommes en noir ont considéré que tous ces postes de planqués, pouvaient être tenus par des femmes.
Chaque fois qu’il faisait un échange de ce type, c’est qu’ils avaient remonté la lignée de ses postulantes sur plusieurs générations et qu’aucune marque étrangère à la race pure n’avait été détectée.
C’est à ce double titre que mon père, comme le cuisinier, se sont retrouvés sur le front de l’Est et que ma mère a été conduite au bordel, le grand orchestre ayant vécu.
La femme est partie dans la direction des aboiements passant d’arbres en arbre, lorsqu’elle a été cachée au détour du chemin, Ingrid entièrement nue s’est précipitée hors de la grange et est entrée dans la pièce laissée ouverte par la femme.
Elle avait ramassé une ficelle pour les bottes de foin.
Nous l’avons suivi sans nous poser de questions, nous avions plus que confiance en elle, sans son secours au bordel et par la suite nous serions déjà mortes.
J’aurais voulu avoir le temps d’admirer ces quatre femmes l’intimité et les seins à l’air courant vers l’intérieur de la pièce.
La réaction d’Ingrid contrairement à nous qui virevoltions de l’armoire à la réserve de pain mangeant à pleine dent, qui un morceau de pain noir, qui un bout de lard, s’était placée derrière la porte avec à la main un couteau de cuisine récupéré sur la table.
Ma mère a ouvert un tiroir, elle aussi a pris un couteau en nous faisant signe avec son doigt devant ses lèvres de ne plus faire de bruit, elle s’est placée au côté opposé d’Ingrid.
Elle m’a fait signe de regarder discrètement par la fenêtre et de les prévenir quand la fermière reviendrait.
Je l’ai vu tourner le coin tenant sa mitraillette en bandoulière, le doigt sur la détente avec son chien au bout de la laisse improvisée par Ingrid, il regardait vers nous, mais étrangement n’aboyait pas.
C’était pourtant un magnifique berger allemand, très haut et très massif qui la veille dans la nuit aurait pu nous massacrer s’il avait attaqué.
Comment Ingrid avait-elle fait pour transformer ce loup en agneau ?
Le plus beau c’est qu’il regardait dans notre direction frétillant de la queue comme s’il avait envie de venir jouer avec nous.
La femme l’a rattaché à sa chaîne, il semblait heureux, c’est sans appréhensions qu’elle s’est dirigée vers nous.
Sur un geste de ma part, dès qu’elle a passé la porte Ingrid l’a maîtrisée et m’a passé la mitraillette.
J’avais devant moi une professionnelle entraînée, car en moins de trois secondes la femme apeurée s’est trouvé les mains attachées dans le dos avec le lien pour le foin qu’elle avait amené de la grange.
- Töten Sie mich nicht, ne me tuez pas…

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