Une auberge de jeunesse à Séville

- Par l'auteur HDS Gael1414 -
Récit érotique écrit par Gael1414 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une auberge de jeunesse à Séville Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(10.0 / 10)

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Une auberge de jeunesse à Séville
Cette semaine nous sommes à Séville sans les enfants. Ma femme et moi partons tous les deux pour une semaine de restos et de verres de vin en terrasse. N’étant pas sûr d’avoir un mode de garde, nous avons pris nos réservations au dernier moment. Résultat, nous dormons dans une auberge de jeunesse. Et comme partout en Europe, mais en particulier en Espagne, les auberges de jeunesse ce sont pas mal d’étudiants qui font la fête. Par chance, nous avons réussi à avoir une chambre pour deux, mais elle a une particularité ; il faut passer par un dortoir de quatre lits pour y accéder. Pour l’instant il est occupé par quatre filles plutôt sages. Joana m’a prévenu avec humour : « Interdiction de te lever dans la nuit ! »Cela fait désormais quatre jours que nous sommes en vacances et ce soir nous avons décidé de nous amuser un peu. On est en Espagne, on se doit de sortir. Nous commençons notre soirée simplement, par un restaurant typique, où l’on arrose copieusement notre repas de vin. Joana et moi sommes d’humeur câline, nous n’arrêtons pas de nous embrasser. Après le restaurant, nous enchaînons par un premier bar assez sonore, où nous prenons chacun un Gin Tonic. L’alcool nous libérant toujours un peu plus, nos câlins deviennent de plus en plus chauds. Je commence à avoir du mal à me freiner et je passe mon temps à lui toucher les fesses. Joana porte un pantalon très léger qui décuple l’effet de mes caresses. Notre deuxième bar est un club dansant où la lumière est très tamisée. L’installation est un peu spéciale, toutes les tables entourent la piste de danse et les clients s’installent côte à côte. Pour ne pas dénoter, nous nous asseyons à une table tous les deux du même côté et sirotons nos verres. Avec cette lumière très faible, je ne peux pas m’empêcher d’aller gentiment embêter Joana. Ma main glisse sous la table et je commence à lui caresser les jambes. Elle me laisse faire tout en continuant à regarder les gens danser. J’ose un peu plus et me tente à la caresser entre les cuisses par-dessus son pantalon. Personne ne peut nous voir, nous sommes contre un mur et les deux tables autour de nous sont vides. Elle ne me parle toujours pas, et son regard est fixé sur la piste de danse. Je continue donc et passe légèrement sous sa culotte. Elle est déjà bien trempée. Au moment où je passe sur son clitoris, je sens un soupir de plaisir. Elle ne me parle pas, mais je sens qu’elle veut que je lui fasse du bien. Je ne dis rien et rentre complètement ma main dans sa culotte. Je prends quelques gorgées de verre pour faire style qu’il ne se passe rien, mais je suis complètement excité et Joana encore plus. Je lui dis discrètement à l’oreille que nous sommes entourés de monde et qu’elle n’a pas le droit de montrer qu’elle prend du plaisir. Ces quelques paroles l’excitent encore plus. J’accélère le mouvement et je sens que ses fesses commencent à bouger sur notre banquette. Je lui rappelle qu’elle ne doit rien montrer. Elle s’arrête, et regarde la piste de danse avec un regard perdu. Elle ne m’adresse ni la parole, ni ne me regarde. Tout d’un coup, je sens qu’elle se met à trembler sous mes doigts. Elle vient de jouir. Elle pose sa tête sur mon épaule et m’embrasse tendrement sur la joue. Après quelques secondes, elle se relève et pousse un soupir de soulagement. Elle termine son verre, et m’invite à aller danser. Je termine le mien et me lève pour l’accompagner.
Nous dansons deux bonnes heures, elle n’a d’yeux que pour moi. Elle ne calcule même pas les mecs qui viennent la brancher. Nous sortons vers trois heures du matin. J’avoue que n’ayant pas joui, je suis toujours d’humeur taquine. Nous prenons un Uber et je recommence à la titiller à l’arrière de la voiture. Elle est de nouveau complice. Sauf que cette fois, elle peut se permettre de me chauffer aussi. Nos mains sont par-dessus nos vêtements, mais nous sommes malgré tout de plus en plus excités. Je sens qu’elle veut me rendre l’appareil. Nous sortons de la voiture, et nous rentrons dans l’hôtel. Au détour d’un couloir, elle me pousse dans un coin, baisse mon pantalon et commence à me sucer. Bien que super excité, je lui demande de se relever afin que nous puissions jouir ensemble cette fois-ci.
En montant les étages, nous passons devant un grand balcon, il n’y a que deux personnes qui fument un joint dans un coin. Je propose à Joana que l’on s’arrête fumer une clope. Avec le nombre de verres qu’elle a bu, elle a peur que cela la rende malade. Elle préfère donc passer son tour pour cette fois, et prendre de l’avance pour passer sous la douche. Je lui taxe une cigarette et son briquet, et vais me mettre à une table pour fumer tranquillement. De son côté Joana monte les deux étages restants et s’apprête à traverser la chambre des filles lorsqu’elle remarque qu’il y a encore de la lumière dans le dortoir.
Elle s’approche de la porte, qui est légèrement ouverte. L’obscurité du couloir lui permet de jeter un œil sans être vue. Cette nuit, les filles qui nous paraissaient si sages ne le sont pas du tout. Elles sont toutes les quatre réunies au centre de la pièce, deux d’entre elles sont à genoux et sucent un mec nu. Les deux autres sont dos aux premières et sont en train de déshabiller un autre type. Ils ont tous dans les 25 ans et ce qui marque Joana c’est que les filles comme les garçons sont tous épilés et bronzés intégralement. Ils sont tellement beaux qu’elle a l’impression d’être devant un film. Elle ne veut et ne peut clairement pas les déranger. Déjà bien excitée par cette fin de soirée, Joana se met donc à les regarder avec envie. Elle n’a qu’un désir, c’est d’aller les rejoindre afin de profiter, elle aussi, de ces deux mecs. Elle sent qu’elle est de plus en plus trempée, elle pense faire demi-tour pour me rejoindre lorsqu’elle sent enfin ma main sur ses fesses. Joana ne se retourne pas et me laisse entrer dans sa culotte pour commencer à la caresser. Elle est tellement bien devant son show, qu’elle colle ses fesses contre moi et commence un petit va et vient. Elle sent que cela m’excite. Je baisse mon pantalon et tends mon sexe vers elle pour qu’elle l’attrape. Le sexe en main, elle sent que ce n’est pas le mien. Ma femme n’arrive clairement pas à en faire le tour avec ses doigts. Elle se rend donc compte que depuis tout à l’heure elle se fait caresser par un autre homme que moi. Joana a désormais le sexe en érection d’un inconnu dans la main. Devant elle, les filles poussent des gémissements de plus en plus fort et enchaînent les positions comme de véritables actrices. Sous les caresses de plus en plus rapides de l’inconnu, elle perd tout contrôle et commence, elle aussi, à caresser ce sexe qu’elle a en main.
Joana en veut plus, elle veut faire partie de ce film et que ce sexe soit en elle. Bien que toujours dans ce couloir sombre, ma femme baisse son pantalon, sa culotte et se penche comme pour être prise par derrière. A ce moment l’inconnu se met à la porter, la fait rentrer dans le dortoir et l’allonge sur le ventre, sur un lit. Joana ne voit que ses fesses, lorsque celui-ci frime auprès de ses copains en expliquant qu’il a fait une belle prise devant la porte. Il enfile un préservatif et revient derrière elle. Il lui relève les fesses, et la pénètre vigoureusement. Joana n’attendait que ça. Elle se laisse complétement porter par son plaisir et sent ses fesses attrapées par cet inconnu. Après quelques minutes et quelques dizaines de secousses, il se retire et laisse la place à un autre homme qui la pénètre plus doucement. Le passage de l’un à l’autre est très agréable se dit-elle. Les fesses de l’inconnu s’éloignent vers un autre couple, pendant que Joana prend plaisirs avec ce nouvel homme. Son sexe est plus petit, mais sa main entre ses cuisses décuple le plaisir. Ses coups de rein sont rythmés par ses caresses sur son clitoris. Sous ses doigts, elle se sent partir et jouit bruyamment. Il se met lui-même à jouir et s’écroule à côté d’elle. Là elle me reconnaît et se met à m’enlacer. Nous restons comme ça quelques dizaines de secondes à nous regarder. Elle caresse mon visage, m’embrasse et me dit : « On va se coucher ? ».

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